Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 833
Membres
1 019 215

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Mille pages plus tard…, Tome 2 : Je ne peux plus me concentrer



Description ajoutée par dNoisette 2023-04-13T02:15:47+02:00

Résumé

Un graffiti humiliant, une frousse évitée de justesse, des quiproquos à n’en plus finir, voilà ce qui occupe désormais mes soirées ! Et même s’il m’aide à me tirer d’affaire, Adam est clair : il le fait pour éviter à Félix de se retrouver mêlé à tout ça et non pour moi ! Je ne dois surtout pas me faire des idées sur ses intentions.

Mais je ne suis pas au bout de mes peines. Il y a cette lettre d’excuses, que je dois remettre à Matéo parce que je l’ai assommé avec mon bouquin. À ma grande surprise, Matéo me répond. Débute ainsi une correspondance clandestine troublante dans laquelle j’apprends que des personnes que je croyais loyales me jouent peut-être dans le dos…

Afficher en entier

Classement en biblio - 8 lecteurs


Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Diamant

Deuxième tome réussi pour cette série où l'on suit une lectrice passionnée de 14 ans qui veut seulement être épargnée du drama des ados et de l'école pour avoir la paix pour lire.

J'aime beaucoup Maxim et me reconnais énormément en elle. Elle a de bonnes valeurs, est mature, cherche pas la chicane, et son petit et subtil côté dramatique me fait rire. On a également pu observer une certaine évolution dans son affirmation de soi, ce qui nous garde accroché à l'histoire.

Dans ce deuxième tome, l'auteure complexifie les embûches sociales que rencontre Maxim, au point tel où on en vient nous aussi, en tant que lecteurs, à se demander qui on doit croire et qui on doit aimer.

J'aime beaucoup cet univers et ces personnages. L'écriture de Marie Potvin est fluide et remplie d'humour. Un vrai petit délice.

Et que dire de cette fin, qui se clôt sur un petit bang, mais un bang efficace.

C'était léger, divertissant, drôle, j'étais curieuse de voir ce qui allait arriver et je me suis attachée aux personnages. Le livre a livré ce qu'il devait livrer. Je suis très satisfaite de cette lecture et je me plonge dès maintenant dans le tome suivant.

Cote finale: 4.5/5 étoiles

*Raconté à la première personne, sous le point de vue unique du personnage féminin principal. Série dont les tomes doivent être lus dans l'ordre.

Afficher en entier
Pas apprécié

Cette critique-ci fait écho à la précédente et je sais que je tiens le rôle de celle qui "pète la balloune", que ça va fâcher des filles, mais il faut bien dire les choses comme elles le sont: Cette série comporte des relations TOXIQUES, qui tendent à être banalisées, voir même glorifiées.

J'ai pu constater, à ma grande aberration et ma grande indignation surtout, que notre petite introvertie mal dans sa peau de Maxim a désormais le béguin non pas pour un, mais DEUX hommes violents, et accessoirement, ses propres intimidateurs. On retrouve le même profil que la série Twilight, avec un triangle amour toxique, une jeune fille stupide et deux mâles alphas qui viennent complètement occulter l'intimidation pour tendre vers le syndrome de la Sauveuse et celui de Stockholm en même temps! Je ne comprend pas comment on peut employer près de 5 relations toxiques filés les unes par dessus les autres sans que personne ne le remarque.

Dans ce tome-ci, il est question d'une correspondance entre la victime et son bourreau, parce que Maxim a giflé Matéo avec son livre, et elle en porte désormais le blâme. Plutôt que de chercher de l'aide au plus vite, car je rappelle que Matéo a une bande de gars sous ses ordres ( les hockeyeurs, dont la solidarité de groupe dans les sports explique l'unité) et commit plusieurs infractions sur la personne de Maxim ( donc des menaces)

Nous tombons directement dans le profil de victime que j'anticipais chez Maxim. Elle se laisse si aisément manipuler par les beaux gars, s'en est désolant. Ce qu'elle aime voir, c'est la pauvre petite chose vulnérable derrière ces gros Bad boys magnifiques, ceux que, dans son âme de Sauveuse, elle commence à se plaire de sauver. Oubliant complètement la pression et torture psychologique qui vient autant de cet immature d'Adam, qui projette sa colère sur la mauvaise personne, bravo à lui, Maxim se retrouve comme toutes les filles de son genre dans un cycle infernal de violence.

On oublie souvent de le dire, mais la violence n'est pas que physique. Elle peut être psychologique, verbale, sexuelle et aussi financière. Ici, on est dans la psychologique et dans la verbale et elle vient de partout: autant de Matéo et ses sbires, que d'Adam, que de Justine et de Félix. Maxim est dans un univers social terrifiant, où les non-dits, le passif-agressif, les mensonges, les insultes, le détournement cognitif, l'invalidation émotionnelle et l'égoïsme sont les piliers pourris de relations interpersonnelles malsaines. Si un psychologue devait atterrir là-dedans, il capoterait.

Le meilleur exemple de cette violence est dans la correspondance elle-même. Matéo a le champs libre pour insulter plus encore sa victime, puisque personne ne surveille ces interactions, bien sur. Quand celle-ci manifeste la saturation de ses émotions, souhaitant donc mettre un terme à ces échanges, Matéo change de manœuvre: Il emploi une vieille tactique qu'usent les manipulateurs dans les relations toxiques: Restreindre ou ébranler le réseau social de sa victime. Il le fait en minant sa confiance en ses ami.es: Il assure à Maxim qu'il et elle ( Félix et Justine) parlent dans son dos. Je rappelle que Maxim est très fragile sur le plan de son estime personnelle et pas spécialement rationnelle. Elle a en plus, des doutes sur ses amitiés, nullement aidé de leur attitude, j'en convient. Justine et Félix sont de piètres amis, j'en ai déjà parlé dans ma précédente critique. Cependant, une révélation provenant d'un narcissique tel que Matéo fait beaucoup plus de mal qu'autre chose. Venant de lui, ça ne devrait même pas compter aux yeux de Maxim, parce que c'est un BOURREAU. Sa tendance à excuser les Bad boys m'inquièterais énormément si j'étais dans son cercle social. Elle a la mémoire bien courte et j'ai du mal à comprendre comment ce personnage qui se pense intelligente peut continuer de se faire martyriser comme ça. En même temps, si le récit était pertinent, il illustrerait avec quelle facilité les jeunes filles peuvent se faire manipuler, mais ce n'est pas l'axe choisi ici. L'axe choisi, c'est la romance.

Maxim voit de l’honnête dans le rapportage de Matéo, moi j'y vois une pique de plus. Oh, il y a surement un fond de vrai dans les propos de Matéo, mais là est le vicieux de la chose: les meilleurs manipulateurs se servent de la vérité.

Tomber en amour avec quelqu'un qui menace sa propre intégrité, qui emploi la menace, la violence verbale et l'intimidation, c'est carrément perturbant. Où sont les bases d'une saine relation? Ou est le respect mutuel, la confiance, la gentillesse et la tendresse? Pourquoi est-ce qu'on vend de plus en plus l'idée à nos filles qu'un amour violent, néfaste et souffrant c'est correct? Que c'est "cute"? Cette série n'est certainement pas la seule à jouer avec les extrêmes et faire passer éhontément de "relation conflictuelle et violente" à "amour avec le Grand A", mais bon sang, comment peut-on imaginer un instant que c'est "normal"? Des femmes de part le monde témoignent chaque jours de l'enfer relationnel qu'elles ont vécu, avec des hommes odieux, qui ont pilé sur leur estime, qui les ont humiliés et tourmentés ( entre autres choses), pour que je retrouve des romans destinés aux ADOS qui prétendent que ces mêmes relations sont ACCEPTABLES??

Ce que je remarque, comme ce fut le cas pour les Twilight, c'est la présence de deux BEAUX mâles alphas qui se justifient sans arrêt d'être ce qu'ils sont. Ce que je remarque aussi, c'est que les deux beaux gars ont le béguin pour sempiternelle "fille ordinaire mais au fond différente". En fait, Maxim n'a rien de vraiment spécial, elle encaisse, c'est tout. Elle préfère se donner des raisons de pardonner et de plier pour des gars qui ne la mérite même pas.

Je constate un élément récurent dans les romances toxiques qu'on vend comme des romances: L'idée que les filles ne méritent jamais mieux que des salaud. Oh, ce n'est pas explicitement dit, ça ne passerait pas, mais si je boude les romans ado ces dernières années, c'est précisément pour la récurrence de la stupidité affective des personnages féminins, qui préfèrent souffrir et se battre pour des amours néfastes, toujours à leur détriment, et ce , pour des Bad boys, seulement. Et pour des Bad boys qui sont d'épouvantables amoureux. Non, faire des mauvais coups pour sauver les fesses de la demoiselle, ce n'est pas romantique, c'est puéril et illustre une grosse immaturité. La première chose qu'il devrait faire, mais ne le fait, pas égo mal placé oblige, c'est de s"excuser et rétablir des bases saines. Mais non. Mais, il est dont beau! Et il a besoin d'une fille suffisamment masochiste pour subir les contre-coups de son estime malmenée et de sa virilité toxique. Alors, ça vaut la peine, non? Quand à Matéo...franchement, je ne comprend pas Maxim et je la trouve stupide. Ne pas faire la différence entre ses émotions et un brin de raison, ça me rappelle les émois illogiques des personnages de Harlequin. Et comme elle affectionne les "romances" de livre, sans aucun doute les pires exemple de relations qui existent, avec tous ces "ennemie à amoureux", "Je t'aime moi non plus" et "violente moi c'est sexy", franchement, pas étonnant que ses perceptions soient erronées et truffées de biais cognitifs.

Le problème que j'ai avec cette série, c'est que nul part, c'est écrit que tout cela est malsain. Aucun personnage n'a le bon sens de le voir. Aucun adulte ne voit l'intimidation. Et personne n'aide Maxim, réellement ( Non, commettre des actes de violences en guise de vengeance, c'est pas recevable! Ça ne règle RIEN!) À mon sens, Maxim est un centième cas de dépendance affective, dans un groupe social avec des interactions épouvantables, où la confiance est minée de toute part, où les commentaires mesquins sont sans cesse utilisés et où le détournement cognitif est visible. Pour ceux et celles qui ne m'ont pas lu sur le tome 1, le détournement cognitif est une manipulation psychologique où on fait douter des perceptions d'une personne pour la faire douter d'elle même.Outil très utilisé par les manipulateurs de ce monde, dans tous les types de relations ( conjugal, professionnel, familial et amical). Adam est assez doué avec ça, toujours à faire croire à Maxim qu'elle est la source du problème, alors qu'il se sait désagréable et cruel avec elle. Résultat, elle doute et pire, elle s'excuse sans arrêt. Elle préfère voir ces gentillesses, oblitérant assez facilement l'ensemble de comportements inadéquats qu'il a pu avoir envers elle ( pour aucune bonne raison en plus!).

Le meilleur exemple que je puisse donner est celui qui illustre la façon d'Adam de pousser Maxim à se défendre, puis de la défendre lui-même avec la violence physique, pour ensuite lui dire qu'il fait ça pour Félix, pas pour elle. C'est complètement illogique. Certaines me diront: "oui, mais il veut juste pas avouer qu'il l'aime!". Parce que c'est de l'amour de jouer avec la santé mentale de quelqu'un?? De lui donner l'impression qu'il l'aide pour ensuite la poignarder dans le dos en lui disant que c'est pas pour elle , que c'est pour son meilleur ami couillon? Que c'est "cute" peut-être, de lui mettre la pression pour réagir à SA façon à lui de faire les choses? Non, mais quel prétentieux condescendant ce personnage, il m'enrage! Il a tellement un profil d'homme violent et contrôlant, wake up Maxim! Non, ce n'est pas de l'amour, c'est du contrôle, c'est de la violence et je ne souhaite à aucune fille au monde de subir un Adam, surtout avec un Matéo et un Félix dans le portrait.

Par ailleurs, je fustige les triangles amoureux de type "Double-Mâle-Alpha", ces créations toxiques qui gangrènent par légion les romans adolescents ( destinés aux filles, je rappelle que les personnages masculins préfèrent les filles parfaites, eux) et dont la base est toujours la même: la fille-ordinaire-mais-spéciale avec deux mâles dominants. Le problème avec cette construction? Au final s'agit-il vraiment d'affection? Ou plutôt un combat de coq? Twilight en est d'ailleurs un bon exemple: La seule chose qui unit réellement Bella avec son vampire, roi du voyeurisme et du détournement cognitif, c'est le sexe et la beauté. Pas la confiance, le respect, la tendresse, la complicité et l'équité. Non, ça c'est "ennuyeux".

Parlant d'ennui, on en a un exemple ici. Maxim rencontre un certain jeune homme qui a le béguin pour elle, mais "ce bon gars" ne lui inspire pas le béguin irrationnel que les deux autres gros Bad boys. Deux choses ici. Premièrement, je ne suis pas stupide non plus: Jamais une fille ne devrait sortir avec un gars juste parce qu'il est "gentil", parce que ça relève de la transaction relationnelle. "Je suis fin, donc sort avec moi". C'est aussi une relation toxique, si c'est le cas. Donc, je conçois pourquoi Max ne se sent pas obligée de sortir avec si ses émotions ne sont pas réciproques. Le seul hic, c'est qu'elle craque pour des salauds. Donc, deuxièmement, cela revient à ce que je disais: Max est une petite superficielle qui raffole des belles gueules à sauver. Comme je disais dans ma critique du tome 1, on ne pardonne pas aux autres groupes de gars d'être autre chose qu'un superbe apollon ténébreux. Surtout pas de la part les filles "ordinaires". J'en viens à questionner Max dans sa dimension affective. J'ai tendance à penser qu'on choisi nos amoureux entre autre à travers l'estime qu'on se porte. Et dans la fiction comme dan la vie, je remarque que les filles mal dans leur peau ( pas forcément les plus laides!) se choisissent des hommes très peu vertueux et souvent odieux avec elles. Comme si elles ne s'estimait pas mériter mieux. Ce que je vois, c'est une Maxim qui se pâme et emploi toute sorte de biais cognitifs pour se donner une raison de sortir avec des salauds. Je pense que ce personnage a des enjeux affectifs et aussi personnels et franchement, j'espère qu'elle finira chez une psychologue pour traiter tout cela. Matéo et Adam en auraient aussi bien de besoin, l'un pour son narcissisme et l'autre pour son incapacité à gérer ses émotions et donc, sa violence.

On fabrique des romans toxiques pour nos filles sans que cela ne choque grand monde, car il semble que collectivement, on assume que des filles qui souffrent en amour, c'est méritoire et donc acceptable. Qu'une fille se batte pour son amour, c'est même valorisé. Quelle fille gentille âme charitable, quelle pureté innocente! Ce que je vois surtout, c'est le modèle valorisé au siècle dernier: La fille stupide qui s'oublie pour un gars, qui n'a pas beaucoup de qualité, mais qui fait "rêver". Et il faut croire que ça marche, parce que ces histoires sont innombrables. Même les relations gay commencent à devenir toxiques: un homme dominant sur un homme dominé. Y a rien de mieux que de voir un humain dangereux se transformer en prince charmant grâce à l'amour pure et dure, visiblement, même si c'est totalement inexistant dans la vraie vie. Ma foi, finalement, on évolue pas vite. J'espère qu'un jour, on parlera de cette période où les amours étaient toxiques et que la psychologie autant que le bons sens reprendra le dessus. Voir une ado souffrir comme ça pour deux exécrables êtres humains trop lâches pour se regarder franchement, ça ne me fait pas rêver. Ça me décourage. Et ça m'inquiète pour le sort des femmes, qui risque d'internaliser que la violence faite envers elles est séduisante.

Pour un lectorat ado, 15 +

***Pour les profs et bibliothécaires: Présence de violence psychologique et verbale, ainsi que de masculinité toxique.

Catégorisation: Roman fiction québécois, littérature jeunesse ado, 2 cycle secondaire, 15 ans+

Note: 1/10

Afficher en entier

Date de sortie

Mille pages plus tard…, Tome 2 : Je ne peux plus me concentrer

  • France : 2023-04-13 (Français)

Activité récente

Les chiffres

lecteurs 8
Commentaires 2
extraits 0
Evaluations 3
Note globale 6.33 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode