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Commentaires de livres faits par pilou62200

Extraits de livres par pilou62200

Commentaires de livres appréciés par pilou62200

Extraits de livres appréciés par pilou62200

date : 27-01-2021 par mielou35
- Groves : J'ai l'impression qu'il n'y a plus de priorités ! Hier, j'ai dû signerla commande de milliers de préservatifs ! Vous vous rendez compte ? Des préservtifs ! C'est une batterie de lapins ici ou quoi ?
- Oppenheimer : Il y a beaucoup de naissances, je vous l'accorde... Mais tous ces bébés sont comme des clandestins : la mention de leur lieu de naissance est "boîte postale 1663" !
- Groves : Secret Défense oblige !
- Oppenheimer : Il faut parfois desserrer l'étau, Général !
- Groves : On voit bien que ce n'est pas vous qui allez devoir régler le problème du logement et des moyens matériels à Los Alamos ! Commentje vais faire, moi, avec toutes ces familles qui s'agrandissent ?
- Oppenheimer : Vous ferez comme d'habitude : en aboyant et en ordonnant ! Et tout le monde fera des efforts, comme d'habitude !
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date : 05-04-2019 par boby62210
Paris avait son aspect morne des vilains jours d'octobre : une lumière crue tombait du ciel pareil à un plafond sale. Sur les trottoirs subsistaient des traces des pluies de la nuit. Et les passants eux-mêmes avaient l'air renfrogné des gens qui ne se sont pas encore adaptés à l'hiver.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 01-09-2014 par Didie6
Il n'a plus froid. Au contraire, une étrange vague de chaleur lui envahit le corps. Lui, qui pensait que toute chaleur l'avait déserté, il a l'impression qu'elle se diffuse dans ses bras et ses jambes, jusqu'à ses mains et ses pieds, et brusquement son visage lui semble s'enflammer.
Allongé dans le noir, ses pensées vont et viennent, désordonnées, il ne distingue qu'à peine la frontière entre le sommeil et la veille. Il a beaucoup de peine à se concentrer et à évaluer son état. Comme plongé dans une confortable torpeur, il ne souffre pas. Des rêves, des images, des bruits et des lieux qui lui sont à la fois connus et inconnus défilent dans son esprit qui lui joue d'étranges tours et le projette constamment à travers le passé et le présent, défiant l'espace et le temps. Il n'a aucune véritable prise sur ces errances. Un instant, il est assis à l'hôpital, au chevet de sa mère qui se meurt et le quitte. L'instant d'après, un hiver sombre s'est abattu et il se retrouve à nouveau allongé sur le sol de cette ferme abandonnée qui était jadis sa maison. Il a toutefois bien conscience que ce n'est là qu'une illusion.
- Que faites-vous ici ?
Il se redresse, s'assoit et aperçoit un homme à la porte. Un voyageur vient de tomber sur lui par hasard. Il ne comprend pas sa question.
- Que faites-vous ici ? répète l'homme.
- Qui êtes-vous ?
Il ne distingue pas son visage et ne l'a pas entendu entrer, tout ce qu'il voit se résume à cette silhouette qui répète inlassablement la même question insupportable.
- Que faites-vous ici ?
- Je suis chez moi. Qui êtes-vous ?
- J'ai l'intention de passer la nuit avec vous, si ça ne vous dérange pas.
L'homme assis par terre à côté de lui a allumé un feu. Il sent la chaleur se diffuser sur son visage et tend ses mains vers les flammes. Il n'a eu aussi froid qu'une seule fois dans sa vie.
- Qui êtes-vous ? demande-t-il une nouvelle fois à son visiteur.
- Je suis venu vous écouter.
- M'écouter ? Qui est avec vous ?
Il a l'impression qu'ils ne sont pas seuls, que quelqu'un d'autre accompagne cet homme, quelqu'un qu'il ne parvient pas à distinguer.
- Personne, répond le voyageur, je suis venu seul. Vous habitiez ici ?
- Êtes-vous Jakob ?
- Non, je ne suis pas Jakob. Je m'étonne que ces murs tiennent encore debout, je vois que la maison est solide.
- Qui êtes-vous ? Êtes-vous Boas ?
- Je passais par là.
- Vous êtes déjà venu ici ?
- Oui.
- Quand ça ?
- Il y a des années. A l'époque où cette maison était encore habitée. Que sont devenus ces gens ? Savez-vous ce qu'est devenue la famille qui vivait ici ?

Allongé dans le noir et transi, il ne parvient plus à faire aucun mouvement. Il est à nouveau seul, le feu a disparu, de même que la maison abandonnée. Les ténèbres et le froid le cernent, la chaleur déserte peu à peu ses membres et son visage.
Quelque part, il entend à nouveau ce grattement.
Venu des profondeurs glacées et lointaines, le bruit approche et enfle constamment, bientôt suivi par de déchirants cris d'effroi.
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Cernés par le silence de la nature, les deux hommes continuèrent leur marche, jusqu’à un petit abri constitué de pierres entassées et tapissé de mousse. Boas lui conseilla de rester là et de se reposer, le sens du vent leur était favorable, mais il devait aller examiner la situation d’un peu plus près. Assis sur la mousse, Erlendur l’attendit patiemment. Il lui revint en mémoire le peu qu’il savait du renard d’Islande : on affirmait qu’il avait été le premier à coloniser le pays où il s’était implanté à la fin de la dernière glaciation, ce qui remontait à environ dix mille ans. Il remarquait que Boas témoignait un grand respect à l’animal qu’il appelait cette chère petite, et dont il parlait comme d’une vieille amie. Pourtant, il la chassait quand cela lui semblait nécessaire, il l’abattait et tuait sa progéniture comme s’il s’était acquitté là d’une simple tâche ménagère.
– Elle est là, cette brave petite, nous n’avons plus qu’à être un peu patients, annonça-t-il à son retour avant de s’allonger à plat ventre dans l’abri à côté d’Erlendur. Il ôta le fusil et la cartouchière de son épaule, se débarrassa de son sac de cuir dont il sortit une flasque qu’il lui tendit. Erlendur grimaça en avalant la gorgée offerte.
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- Bon, je me tais. Je suis le dernier homme à te donner des conseils. Je n’ai jamais aimé qu’une femme dans ma vie et comme ça n’a pas marché…
- Pourquoi ça n’a pas marché, elle ne vous aimait pas ?
- Ça n’a pas marché parce que je ne l’ai jamais rencontrée. Je l’avais bien en tête, je la voyais tous les jours dans ma tête pendant trente ans, mais ça ne s’est pas trouvé. On ne s’est pas rencontrés. L’imagination vous joue parfois de vrais tours de cochon. C’est vrai pour les femmes, pour les idées et pour les pays. Tu aimes une idée, elle te semble la plus belle de toutes, et puis quand elle se matérialise, elle ne se ressemble plus du tout ou même devient carrément de la merde. Ou encore, tu aimes tellement ton pays qu’à la fin tu ne peux plus le souffrir, parce que ce n’est jamais le bon.
Il rigola.
- Et alors, on fait de sa vie, de ses idées et de ses rêves… des cerfs-volants.
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- Moi, le tournedos Rossini, je n’en ai jamais voulu sur ma carte. C’est encore Escoffier qui nous a légué ça. C’était un truqueur. Tu sais ce que c’est, le tournedos Rossini ? C’est du trompe-l’œil. Escoffier l’a inventé parce que la viande était souvent douteuse et alors, il lui collait dessus un passe-goût, foie gras et truffe à la brune, pour détourner l’attention de la langue. C’est là que nous en sommes, en politique, en tout : au tournedos Rossini. Du trompe-langue. Le produit est avarié, alors on l’entoure de mensonges et de beaux discours. Plus c’est éloquent, plus c’est fort, et plus tu peux être sûr que le contenu est avarié.
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date : 21-11-2010 par x-Key
- La France ne peut pas perdre la guerre. C'est impossible.
Elle ferma à demi un oeil, au-dessus de sa cigarette :
- Impossible n'est pas français, dit-elle.
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date : 21-11-2010 par x-Key
Ce qu'il y a d'affreux dans le nazisme, dit-on, c'est son côté inhumain. Oui. Mais il faut bien se rendre à l'évidence : ce côté inhumain fait partie de l'humain. Tant qu'on ne reconnaîtra pas que l'inhumanité est chose humaine, on restera dans le mensonge pieux.
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date : 09-07-2017 par Papillotte34
- On s'est fait des copains? remarqua Tripp
- Je suis sociable de nature.
- Tu sais qu'il est vice-président de la ligue, n'est-ce pas?
- La prochaine fois, je penserai à m'agenouiller, répondit Adam.
- Et que, moi, j'en suis le président.
- Dans ce cas, il me faudra des genouillères.
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Barcelone, c'était un peu l'Espagne, c'était surtout la Catalogne, c'était un peu la guerre, c'était surtout la révolution.
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date : 16-07-2015 par Julitlesmots
[...] On commence par les tours nord et on fera retour par les sud.
- Tu te la joues pisteur indien? C'est où, le nord?
- Lève les yeux et cherche les paraboles sur les fenêtres, elles sont toutes dirigées vers le sud, c'est une constante. Maintenant que tu sais où est le sud, ça va aller pour trouver le nord?
- A tes ordres, Pocahontas.
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date : 31-05-2015 par Papillotte34
L'homme qu'elle admirait était un roc, et elle avait vu la pierre se fendre et Yeruldegger se vider de son sable pour n'être plus qu'un plâtre creux. Il était là, devant elle, en larmes, et son silence était d'une telle violence que dix ans après, le soir quand elle y repensait, il résonnait encore.
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Gnondprom: il est naze ton fiancé, Waha!
Waha: Pas du tout. Il est persévérant. C'est une grand qualité.
Et puis, il a les os solides. C'est utile, ça.
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La caravane n’avait rien de douillet, observa Roach, en se penchant pour ramasser la bille. Elle aurait pu appartenir à n’importe qui, bien qu’elle fût d’une propreté scrupuleuse. Une couchette, une chaise de cuisine, un fourneau de bateau, une bouteille de gaz. Pas même une photo de sa femme, pensa Roach qui, à l’exception de Mr Thursgood, n’avait jamais rencontré de célibataire. Les seuls objets personnels qu’il aperçut, c’étaient un sac de voyage en toile avec des sangles accroché à la porte, une trousse à couture rangée près de la couchette et une douche bricolée à partir d’une boîte à biscuits perforée et proprement soudée au toit. Et sur la table une bouteille d’une liqueur incolore, du gin ou de la vodka, parce que c’était cela que son père buvait lorsque Roach allait chez lui pour le week-end ou pour les vacances
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Dans le courant de ce même trimestre d’été, les élèves firent à Jim le compliment de lui trouver un sobriquet. Ils firent plusieurs tentatives avant d’être satisfaits. Ils essayèrent Grognard, qui allait bien avec son côté un peu militaire, avec les imprécations bien inoffensives qu’il prodiguait parfois, avec ses vagabondages solitaires dans les Quantocks. Mais Grognard ne collait pas, alors ils essayèrent Pirate et pendant quelque temps Goulasch. Goulasch à cause de son goût pour les plats épicés, de l’odeur de curry, d’oignons et de paprika qui les accueillait par chaudes bouffées lorsqu’ils passaient en rangs devant le Creux pour se rendre à Evensong. Goulasch à cause de son français parfait auquel on trouvait une suavité particulière. Spikely, de 5e B, l’imitait à merveille : « Tu as entendu la question, Berger. Que regarde Émile ? » (Geste convulsif de la main droite.) « Ne me dévisage pas comme ça, mon vieux. Je ne suis pas un faiseur de gris-gris. Qu’est-ce qu’il regarde, Émile, dans le tableau que tu as sous le nez ? Mon cher Berger, si tu ne me sors pas très vite une phrase claire en français, je te mettrai tout de suite à la porte, tu comprends, triste crapaud ? 
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date : 01-03-2010 par balooo
" Le commissaire Maigret, de la 1re Brigade mobile, leva la tête, eut l'impression que le ronflement du poêle de fonte planté au milieu de son bureau et relié au plafond par un gros tuyau noir faiblissait. Il repoussa le télégramme, se leva pesamment, régla la clef et jeta trois pelletées de charbon dans le foyer.

Après quoi, debout, le dos au feu, il bourra une pipe, tirailla son faux col, qui, quoique très bas, le gênait. Il regarda sa montre, qui marquait quatre heures. Son veston pendait à un crochet planté derrière la porte. Il évolua lentement vers son bureau, relut le télégramme et traduisit à mi-voix : " Commission internationale de Police criminelle à Sûreté générale, Paris : Police Cracovie signale passage et départ pour Brême de Pietr le Letton. "
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date : 31-03-2015 par abstractblues
Saisissant un jeune lamantin sous les ailerons, le fils des ages farouches l'entrainait vers le rivage! La bête fouettait l'eau pour se dégager mais Rahan tenait bon...
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Le mont Bleu crachait des roches vers le ciel, vomissait un effrayant torrent de feu qui, en un instant, submergea tout..!
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Rahan se hissa sur la falaise, au pied de laquelle un tapis d'herbe jaune ondulait sous la brise. Emu, il s'approcha de la grotte...
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Le fils de craô observait les vapeurs qui s'étiraient à la surface de la source d'eau chaude, quand il sentit soudain quelque chose ramper sur ses jambes...
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date : 31-03-2015 par abstractblues
"Mon dieu c'est... Je ne sais pas Elijah, je veux dire...c'est vrai qu'il disait qu'il éteignait le temps, mais il le rallumait toujours..."
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Galaxity, métropole du futur et capitale de l'empire galactique terrien, avec le développement du voyage instantanée dans l'espace-temps, la structure de la société s'est radicalement modifiée.
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En effet sous les regards intéressés des assistants, "le triangle bleu" fait son apparition. trainé sur sa rampe de lancement mobile, nez pointé vers le ciel, il semble ramassé sur lui-même, déjà prêt à bondir vers l'azur..
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Ce soir là, un violent orage s'est abattu sur les Ardennes belges et dans le ciel grondant, illuminé d'éclairs fulgurants, un petit bimoteur semble en difficulté.
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Sans un mot de plus, l'empereur tourna les talons et sa puissante monture se jeta dans le vide tandis que derrière eux s'estompaient la pyramide volante et les espoirs déçus de l'empereur Haghendorf !
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Non loin de la faille, en un lieu d'antiques batailles, la lune noire commença une lente incantation, cascade de sons chuintants et sifflants à peine murmurés.
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