Reincarnation Blues
Auteur
- Michael Poore (Écrivain)
Classement en biblio - 7 lecteurs
extrait
Quand était-ce ? Hier ? Il y a mille ans ? C'était du pareil au même... Le temps n'était guère qu'un bourbier agité sempiternellement par une métamachine à laver cosmique.
Afficher en entierCommentaires récents
*Abandon vers la page 75*
J'ai vraiment essayé de persévérer dans ma lecture, mais le style de l'auteur, accompagné du côté haché des péripéties, aura eu raison de ma motivation.
J'ai tiqué sur le style de l'histoire dès les premières pages : le langage est très familier, avec des gros mots qui parsèment les phrases. Les personnages ne m'ont pas intéressée du tout, tandis que les actions (et les vies du narrateur) s'enchainent très rapidement, mais sans émotions...
Tiens, il est mort. Bon, on passe à l'espace après la vie ?
Parlons de l'univers. Nous alternons donc entre une des vies de Milo, dans notre monde, contemporain, dans le futur ou le passé, et un espace "entre vies", sans logique pour moi. Milo ne semble y rencontrer que 3 personnages féminins, alors qu'il y a des maisons partout, sensée accueillir des âmes après leur vie terrestre. Ces 3 personnages sont au mieux caricaturaux... je les ai juste trouvé ratés.
C'est dommage, l'idée de base était bonne. Je n'adhère juste pas vraiment à ce type d'humour... Et comme l'univers derrière n'est pas creusé, on avait un enchainement de situations sensément drôles, mais qui ne l'étaient pas pour moi. Ca part dans tous les sens, les situations sont régulièrement loufoques.
Je pense que le roman peut plaire à ceux qui aiment cet humour. Moi, il m'a juste fait lever les yeux au ciel, et trainer de plus en plus pour rouvrir le roman.
Plutôt que de me forcer, je préfère commencer un autre roman qui me fait plus envie : beaucoup trop de livres m'attendent.
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Pfiioouu que c'était long et fastidieux ! Le résumé était pourtant prometteur, du fantastique un peu barré, avec un fond d'histoire d'amour, ça s'annonçait plutôt bien.
Mais je n'ai absolument pas accroché ni au fond, ni à la forme. Le style de l'auteur ne m'a pas emportée, j'ai eu énormément de mal à rentrer dans l'histoire ; souvent familier, parfois grossier, avec beaucoup de violence amenant à des scènes assez hard qui m'ont fait grincer des dents... La temporalité des événements, le vocabulaire souvent tiré par les cheveux, des personnages absolument pas attachants... autant d'exemples de points qui ont fait que le récit m'a perdue plus d'une fois, me donnant à chaque fois de plus en plus de mal à rouvrir ce livre pour réussir à le terminer.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas mis autant de temps pour lire un livre pourtant pas si long que ça (416 pages en version papier d'après le site de l'éditeur). J'ai réellement du m'accrocher et passer outre la répulsion que m'inspiraient certains chapitres pour en venir à bout, devant parfois même lire quelques pages en diagonale pour essayer de m'éviter les détails les plus sordides et/ou tout simplement pour essayer d'avancer un peu dans cette lecture par laquelle je ne suis pas parvenue à me sentir concernée...
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Date de sortie
Reincarnation Blues
- France : 2019-01-16 (Français)
Activité récente
Titres alternatifs
- Reincarnation Blues - Anglais
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Editeurs
Résumé
Le récit débordant d’imagination d’un homme qui connaîtra dix mille vies pour garder son plus grand amour : la Mort elle-même.
Nous vivons. Nous mourons, puis… on peut retenter le coup, c’est ça ?
Des essais, vous en avez même dix mille. Dix mille tentatives pour « aller au bout » : trouver une réponse aux interrogations métaphysiques les plus profondes, devenir un parangon de sagesse et ne plus faire qu’un avec le Grand Tout.
Milo a déjà grillé 9 995 cartouches, aussi ne lui reste-t-il plus que cinq chances de fusionner avec l’Âmultime. S’il n’y parvient pas, c’est le Néant qui l’attend. Milo qui lui ne désire rien de plus que s’abandonner aux bras de la Mort… ou Suzie, comme il l’appelle.
Plus que celle qui partage son cœur et son lit durant ses innombrables intermèdes dans l’Après-vie, Suzie est l’unique raison de vivre de Milo : chaque fois qu’il plonge vers une nouvelle incarnation, il prie pour revenir au plus vite à ses côtés et y demeurer à tout jamais.
Mais ce récit représente bien plus qu’une grande histoire d’amour : du berceau à la tombe, chaque nouvelle existence offre à Milo une pièce du puzzle cosmique, et il ne tient qu’à lui de le reconstituer entièrement s’il souhaite enfin fusionner avec le Grand Tout, cette entité absolue plus infinie que l’infini lui-même.
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