Commentaires de livres faits par Syracuse
Extraits de livres par Syracuse
Commentaires de livres appréciés par Syracuse
Extraits de livres appréciés par Syracuse
En compagnie des centaures, créatures mythiques, on côtoie des tritons, des sirènes, des faunes,... aux côtés d'animaux plus classiques comme le loup, le renard, la panthère,... Et... les Maudits, les Ecorchés, ceux qui chassent les animaux pour pouvoir étendre leurs dominations. Les moeurs de chacun sont visibles, compréhensibles.
Et, surtout, il est possible ici d'illustrer un "l'homme est un loup pour l'homme"... Même s'ils ne sont clairement pas identifiés comme étant des humains, le comportement de ces Maudits le rappelle clairement à travers chacune des pages.
En tissage sous-entendu volontaire ou non, cette odyssée d'un âge oublié, premier pas d'une fantasy naissante des années 1920 (rappelons quand même que Les Centaures est considéré comme le tout premier récit de la fantasy française), me semble clairement annoncer le (futur ?) réchauffement climatique, les destructions, les pillages et la domination de l'homme sur les animaux, qu'ils soient mythiques ou non.
Mes deux seuls regrets sont d'avoir lu que trop vite (ou que ce récit soit trop court c'est selon) et que les sentiments des centaures soient un peu trop superficiels.
Les graphismes sont toujours aussi bien dessinés et fidèles à la première version.
Cette édition plus travaillée et plus approfondie, du point de vue d'Asuna, nous offre de nombreux détails et des histoires non aperçues dans l'animé et la première édition.
Bref, que du bonheur de suivre Asuna dans un univers qu'elle ne connaît pas.
J'apprécie que plus cette version. Vue par Asuna, j'ai l'impression que les personnages sont plus travaillés et se livrent ici dans une version plus complexe de chacun, les émotions se font bien ressentir dans tous les cas.
Les graphismes sont toujours fidèles à la réputation de la première version.
La fin approche c'est sûr. Les personnages aussi évoluent... un peu. La frontière entre le réel et le virtuel pose question bien sûr...
Kirito reste toujours prisonnier de ses démons de SAO, ça se voit et se ressent très bien. De même que Shinoa. L'ensemble s'accélère un peu.
L'ensemble reste pour moi assez mitigé. Les graphismes sont excellents et très bien trouvés. Le scénario est bon dans l'ensemble, prenant et rythmé. Les personnages vraiment tiraillés et semblent être le miroir l'un de l'autre. Mais il manque un peu de nouveauté.
Ce manga, graphiquement pourtant irréprochable, commence à manquer un peu d'originalité par le scénario qui semble se répéter quelque peu même si quelques éléments différencient de-ci de-là.
Je regrette de là la... simplicité si je puis dire puisque aucune nouveauté n'apparaît réellement ici. Je regrette aussi le manque de complexité des personnages. Ils paraissent tous quelque peu en surface, sans trop se préoccuper des sentiments. Certes, c'est du virtuel mais je trouve quelque peu ironique voire dérangeant que les sentiments se fassent plus sentir dans le virtuel que dans le réel, même si, de fait du scénario, la plupart des pages se déroulent dans l'univers virtuel.
Sinon, dans l'ensemble, c'est un bon moment à passer à lire, très agréable et très rythmé.
La fin appellerait bien une suite... que l'on voudrait toute aussi prenante et encore pleine de mystères...
Ici, si parfois il devient compliqué d'arriver à tout suivre, il faut reconnaître que les différents points d'attaches et les enquêtes menées en parallèle par Wiggins et Watson sont très intéressantes, rythmées et toutes les deux rondement bien menées et construites.
Graphiquement, rien à redire.
Le récit complet nous offre ici une bande dessinée avec un scénario qui tend à devenir plus haletant et ô combien intéressant.
Cependant, je regrette encore une fois les nombreuses libertés prises par les auteurs...
L'écriture est toujours poignante et très prenante. Enfin, uniquement quand il s'agit ici de la voix de Florence la ville. Sinon... on ne ressent guère les émotions des personnages.
Les graphismes ressemblent bien à ceux de l'époque.
Opter pour l'histoire d'Isabelle, même si c'est une femme de caractère fort pour son époque, paraît aussi simpliste sachant les grands noms féminins des Médicis qui ne sont - du moins, pas pour l'instant - représentés en bd et qui auraient pourtant eu leur place...
De l'ensemble, c'est un bon divertissement pour ceux qui veulent connaître un peu plus l'histoire des Médicis mais à la condition de ne pas regarder plus amplement les détails de l'histoire familiale.
Les dessins restent toutefois trop peu travaillés... Dommage par rapport à la qualité des autres comics Arrow/Green Arrow.
Que ce soit à la guerre ou au Sénat romain, tout n'est que bataille... mais ô combien toutes les scènes sont magnifiques.
Le génie de Scipion se dévoile et se développe... La légende de Scipion l'Africain est en train de naître.
Côté scénario, comme toujours, on n'a pas une seule seconde pour souffler. Les émotions sont aussi très bien transmises. Ainsi que les effets des guerres sur les hommes.
Chacun avance...
Avec force, les graphismes accompagnent toujours aussi magnifiquement bien le scénario des guerres puniques.
Archimède est présenté avec beaucoup d'humour, permettant de s'évader un peu des zones de combats.
Les graphismes sont toujours aussi excellents et très bien réalisés. Les explications, que ce soit des inventions ou des stratégies, sont claires.
L'écriture est fine, rythmée, nous entraînant sans aucune pause possible dans les batailles.
Pour ne rien gâcher, les graphismes sont toujours aussi superbes et illustrent magnifique ce scénario de batailles légendaires où la ruse est maîtresse pour triompher.
Suivre ces deux légendes dans un scénario toujours aussi bien mené, rythmé et superbement illustré est toujours un plaisir.
Que dire... Les auteurs nous envoient dans un univers si... magnifique qu'il en devient troublant.
Aux croisements des chemins, nos héros et héroïnes nous emmènent dans un univers chevaleresque entre un Nord et un Sud dans un monde en constant équilibre précaire entre guerre et paix.
Des seuls éléments connus, la Ligue des Assassins et les chevaliers du Temple, ainsi que l'Eglise et un Evangile à protéger, les auteurs nous emmènent dans un univers fracassant aux côtés de personnages attachants, complexes, ne cessant de faire des flash-backs afin de nous faire partager leurs souvenirs et la réalité de l'instant. D'une plume magnifique, le scénario est entraînant, entêtant, rythmé, sans aucune pause. Pas le temps de retenir son souffle que tout s'enchaîne sans aucune pause mais si entraînant et addictif que tout se lit d'une traite sans voir le temps passer.
Pour parfaire le tout, des graphismes d'une beauté à côté le souffle, très fins et très détaillés aux côtés d'un scénario qui apparaît comme étant très addictif et on ne peut plus prometteur dans une fin qui appelle une suite (du moins... je l'espère !)
On prends plaisir à vibrer de peur, de terreur, on retient son souffle au rythme des batailles.
On ne peut que admirer le génie de ces deux grands généraux en matière de stratégie, le tout expliqué et illustré par l'auteur.
La plume et les graphismes sont toujours aussi magnifiques.
Bref, on se régale et on a qu'une hâte : s'empresser de pouvoir lire la suite.
Le plus intéressant reste bien évidemment les stratégies des légendaires Scipion et Hannibal. Le jeune Scipion a encore beaucoup de chemin à faire... surtout que son nom n'est pas encore associé aux ruses employées par le jeune soldat.
Ici, dans ce volume, nous avons la parfaite illustration du vieil adage "diviser pour mieux régner".
Toujours avec une plume fine et acérée, aussi rythmée que les batailles et les avancées, ce tome-ci nous montre les rouages politiques de Rome et des démonstrations de stratégies. Lequel sera le plus malin ? Ou le plus retors ? le plus inventif ?
L'ensemble, accompagné de dessins aussi fins que superbes accompagnant magnifiquement le scénario, nous plonge au plus près de l'Histoire.
L'écriture fine et les dessins bluffants permettent une plongée intense. Les émotions se font magnifiquement ressentir à travers les personnages, les attitudes dessinées et la plume fine et forte.
Les graphismes sont superbes.
La jeunesse, le talent, l'intelligence. Deux génies qui se font face au coeur de ses pages pour notre plus grand plaisir.
Pour ne rien gâcher, les stratégies des batailles sont illustrées et expliquées simplement et quelques précisions historiques viennent compléter ce magnifique ensemble que sont les guerres entre Scipion et Hannibal.
L'histoire est d'autant plus attachante que les personnages sont doux. Toutefois, ils auraient gagné à avoir plus de profondeur.
De très bons points accordés pour l'originalité des dragons dont on veut apprendre plus.
L'écriture est fine, ni trop ni pas assez présente, et nous entraîne facilement dans la ronde des sentiments amoureux.
Si l'univers est particulier et peut être appréciable par son originalité... il est dur de s'y familiariser.
L'écriture est longue, un peu difficile. Les descriptions sont très longues pour finalement peu de dialogues, faisant perdre le fil rouge de l'histoire bien trop souvent.
La psychologie des personnages est également très peu présente et très peu développée, que ce soit d'Evalie à Leif.
Bref, je mets quelques points pour le plaisir de retrouver Fitz, mais je ressors d'une lecture que trop superficielle, sans réel plaisir. Dommage pour une suite de l'Assassin royal qui, à l'issue de ce premier volume, ne me paraît pas des plus nécessaires. Je regrette presque de l'avoir lue, celle-ci venant me gâcher le plaisir que j'ai eu en refermant la Citadelle des Ombres.
La traque des derniers Jedi, peut-être un peu monotone et sans trop de surprises en connaissant le reste de la saga, nous offre quand même une évolution intéressante du personnage de Dark Vador et son ascension.
Quelques questions en suspens à la fin mais après tout... l'espoir est là et il est perçu dans les dernières pages.