Un régal d'humour et de légèreté malgré quelques longueurs parfois (un tracas peut-être ?)
Fred Vargas, du policier au petit traité de philosophie libre, reste toujours aussi drôle, agréable à lire, avec une plume vive, acérée, pleine de légèreté, d'humour, de liberté, d'un tout capable de nous entraîner dans ce petit traité de manière très agréable.
Cependant, il faut quand même quelque fois s'accrocher pour ne pas perdre le fil de la-dite pelote d'anxiété... J'ai eu du mal à entrer dans ce traité. Et à le finir aussi. Chemin faisan, le fil nous empêche de lâcher ce traité avant de finir la dernière page.

On en apprends plus sur le passé d'Im. Ce n'est pas pour déplaire mais je ne peux pas m'empêcher de trouver que le scénario commence à... déraper quelque peu. Il y a un je ne sais quoi qui fait en sorte qu'il semble que le monde du mangaka commence quelque peu à s'effondrer. Volonté ou non ? A voir dans la suite car même si je ne peux m'empêcher de trouver que cela dérape quelque peu, il y a une addictivité qui se créait en lisant les pages de ce manga.

Si on explore un peu plus certains personnages, j'en garde quand même une impression de survol. Certes, c'est un manga et non un roman mais les sentiments et les émotions semblent quand même rester très superficiels. Il y a de grandes révélations...
Côté rebondissements, rien à redire. Le scénario avance à grands pas et emmène encore plus loin dans la mythologie égyptienne et annonce certainement d'autres batailles et des surprises. Im est de plus en plus intéressant. Les connaissances historiques établies sur Imhotep permettent de prendre une grande liberté autour de la création de ce personnage. Cependant, parfois, je trouve que les libertés prises donnent lieu à quelques "dérapages" dans le scénario que l'auteur essaye de rattraper tant bien que mal pour faire en sorte que son scénario reste plausible et "réaliste". Le suspens manque un peu par contre ; je trouve qu'il est aisé de deviner le quoi et le comment des mystères autour d'Imhotep.
Bon, en attendant, je ne nie pas avoir pris plaisir à lire la suite, loin s'en faut. Et je vais lire la suite avec curiosité.

La plongée dans l'Italie du XVIème siècle est toujours aussi magnifique. On commence aussi à voir les rouages des apprentissages et du système du mécénat. Certes l'intrigue principale semble ne pas avancer beaucoup mais... elle fait quelques pas en avant, tout comme Arte. Un passage qui peut sembler inutile mais nécessaire pour voir qu'il est possible d'aller à l'encontre des préjugés et de changer de destin, de vie,... de se prendre en main pour réaliser ses rêves.

Encore une fois, la suite est à la hauteur des tomes précédents. On ne peut que admirer la force de caractère d'Arte mais aussi celui de Caterina. Comme quoi, la volonté peut faire changer beaucoup de choses.
Arte... une frise d'art et d'histoire que l'on admire pour la qualité du scénario, de la plume du mangaka et des graphismes qui nous emmènent en plongée dans l'Italie de la Renaissance.

Ce volume nous offre de plus en plus de curiosités et de questions qui maintiennent le scénario en alerte... Les personnages sont de plus en plus intriguant. C'est presque rageant de savoir que le prochain volume sera le dernier tellement le scénario tient en haleine et laisse plein de questions... Mais j'adore vraiment l'histoire, la manière dont elle est montée, la palette d'émotions et de diversités des personnages, l'univers en lui-même. Les graphismes continuent à être à la hauteur des premiers volumes. C'est digne de la dark fantasy que j'aime par-dessus tout.

On en apprends un peu plus sur chacun des compagnons de Jade et Cyan. Chacun se révèle un peu mais pas trop non plus. Aussi, on en apprends un peu plus sur l'histoire du royaume. La magie se fait curieuse dans ce manga et ce n'est pas pour déplaire ! Surtout quand des secrets commencent à être révélés...
L'intrigue se fait prenante, haletante, pleine de suspens et de surprise. On ne veut pas en voir la fin et en même temps... la série étant annoncée finie en six tomes, la fin de ce volume nous laisse beaucoup de questions quant au dénouement final à venir.
Les graphismes sont toujours à la hauteur, de même que la plume du mangaka. Le tout pour un moment idéal de lecture et de divertissement.

Une suite a la hauteur de mes attentes et espérances.
De l'action, des nouveaux personnages. Le groupe poursuit sa quête. De pas en pas, chacun va de découverte en découverte. Qui trompe le plus les apparences ? A voir. Car chacun semble marcher droit sur une mort certaine.
Les héros s'étoffent de plus en plus, le scénario aussi et ce n'est pas pour déplaire car tout tient encore très bien la route. Les graphismes sont à la hauteur de l'excellente qualité du scénario.
Bref... que demander de plus si ce n'est la suite ?

Ben... parce que c'est Adamsberg et qu'on ne se lasse jamais du commissaire. Et qu'on l'adore tout simplement. Fred Vargas nous le livre dans deux nouvelles beaucoup trop courtes à lire mais qu'on ne dédaigne par pour autant. Du rythme, du génie, de l'humour, des enquêtes là où le policier ordinaire ne verrait rien... Tout pour qu'on adore encore plus ce commissaire Adamsberg.

Une suite qui n'offre guère d'originalité... Ni suspens ni rebondissement particulier. On continue à découvrir l'univers et à s'attacher peut-être un peu plus à Claire et Raki mais... deviner l'issue des combats est trop simple. Si on découvre des dessins un peu plus complets que dans le premier volume, l'ensemble du scénario reste assez plat.

Un premier tome qui place doucement le décor mais celui-ci, comme le résumé, n'offre aucune originalité particulière. Les dessins sont assez simplistes (peut-être dû à l'âge du manga ?), tout comme le scénario aux premiers abords.
Les personnages sont très bien représentés et offrent quelques émotions particulières à chacun. Oui pour l'héroïne féminine, ça change il faut le reconnaître.
En somme, certes, une originalité pour l'héroïne féminine mais je ne suis plus intéressée que ça par l'ensemble du scénario de ce premier volume. A tenter pour lire le second par curiosité mais... un scénario de déjà-vu sans trop de rythme ni surprises qui me fera sans doute décrocher assez rapidement.

Que dire si ce n'est le plaisir de découvrir à chaque fois un nouveau roman de Fred Vargas en librairie ? Comment Adamsberg, cette erreur de la nature qui erre certainement plus aux environs de Pluton que sur Terre, a-t-il pu arriver au grade de commissaire ?
Cette brigade, toute aussi atypique que son commissaire, recèle des personnages hauts en couleurs, distrayants, attachants, agaçants. Tout comme le scénario de ce roman-ci est attachant et agaçant. Deux enquêtes en une pour le plaisir des yeux, de la lecture, d'un excellent moment avec le commissaire Adamsberg qui sait se rendre de plus en plus attachant à chacune de ses avancées brumeuses. Pour ne rien gâcher, on découvre l'atypique commissaire un brin plus agressif que d'habitude mais ce n'est pas pour déplaire, bien au contraire.
Le tout avec un humour et une plume exquise. Le meurtre est parfait : Fred Vargas nous tue le temps passer à dévorer son livre.

C'est un premier tome d'entrée pour un scénario qui paraît assez bien construit aux premiers abords mais qui n'offre pas de trop grandes surprises dans l'ensemble du premier volume. Les dessins sont assez corrects, d'un style assez simpliste mais qui vont bien avec l'histoire. Les personnages arrivent à nous offrir des raisonnements et des réflexions complexes mais d'une stratégie assez basique quand même. De plus, on ne s'attache guère aux personnages qui me paraissent bien superficiels, surtout au niveau des sentiments.
Bon, quelques frissons certes, mais un scénario sans grande surprise ni grande originalité. Un bon moment mais sans plus.

Un excellent volume dans la saga annexe Star Wars qui nous permet de plonger au coeur de la guerre des clones.
On y découvre plusieurs Jedi. Un scénario, que dire, des scénarii palpitants et haletants à chacune des pages, à suivre avec la plus grande attention pour tout comprendre et tout suivre. On y trouve surtout un Anakin troublé...
L'écriture est toujours aussi rythmée. Les graphismes absolument très réussis et toujours aussi fidèles et à la hauteur des autres comics Star Wars.
Pour les fans bien entendu. Et les curieux.

Pour entamer cette trilogie, j'ai été attirée à la fois par l'illustration de l'oiseau-tonnerre et par les critiques : du steampunk japonais ? J'adhère. Enfin, jusque là.
Certes, la présence de l'oiseau-tonnerre -enfin des - est intrigante. Mais ça s'arrête là.
L'ensemble rappelle étrangement un mélange de l'univers de Katniss Everdeen des romans Hunger Games et un peu de magie (comment ne pas penser à l'oiseau-tonnerre des Animaux Fantastiques de JK Rowling ?) : il y a un tyran, une rébellion, une guerre civile, des combats, des machines de toutes sortes... Mais le tout pour un scénario qui se révèle étrangement plat, presque sans vie. Le steampunk ? mouais... pas convaincue du bien-fondé de l'usage du steampunk dans ce livre.
Je n'arrive même pas à m'attacher plus que ça à l'héroïne Yukiko. Je me suis peut-être un peu plus attachée à Buruu. Et encore...
Sans nier de multiples rebondissements dans le scénario, l'écriture lourde vient gâcher rapidement le plaisir de la lecture, rendant lourd un scénario déjà très peu imaginatif. Encore pire, certains passages lourdement écrits pèsent et allongent le temps de lecture de manière inutile. De plus, on croise parfois certains personnages qui ne sont là que pour décorer, ne servant presque "à rien" pour l'histoire en elle-même, faisant perdre le fil des pensées et de l'avancement de l'histoire. C'est presque dommage.
Concernant les personnages en eux-mêmes, on pourrait réclamer qu'ils soient mieux construits de manière à se rendre plus attachants. Des dénouements les concernant sont presque pitoyables et ridicules à lire, trop vite noués et trop vite défaits. C'est comme un roman qui manque de vie en somme, ne permettant que peu ou prou de partager les sentiments et les motivations des personnages, qui auraient rendu le scénario déjà plus attrayant.
Tout ça pour un scénario finalement classique de rébellion. Et 1163 pages pour découvrir en fait que le dénouement de cette rébellion est bâclée très rapidement et achevée par une éclipse de dix ans qui nous offre ce que sont devenues les personnages mais pas comment le pays a été relevé ni que sont devenus précisément les héros suivis tout au long de ces pages. Ce qui gâche grandement la lecture et le plaisir.
Bref, un long moment à lire pour un roman qui ne me laissera guère de souvenirs si ce n'est par sa longueur et sa langueur comme un roman pour lequel l'auteur avait plein d'idées mais qu'il a mal utilisées, bâclées, pour un résultat lourd et pesant. Dommage car j'attendais mieux de ce roman. En bronze pour l'originalité de placer ça dans un univers japonais et pour la précision du glossaire quant aux termes japonais mais uniquement pour ça.

On entre ici dans la période suivant la fin de la République et le début de l'Empire : surtout la naissance de Dark Vador.
On y découvre un être qui semble toujours osciller entre le bon et le mauvais côté bien qu'il paraisse ne lui rester plus qu'une seule et unique voie à suivre dans la première mission que lui donne l'Empereur.
Pour le plus grand plaisir des fans de la saga et du plus célèbre méchant bien entendu.
Pour ne rien gâcher, la plume et les graphismes sont toujours fidèles et à la hauteur des autres comics/bd de la saga Star Wars.

Pour les rêveurs, les grands enfants, ceux qui imaginent,...
Nicke nous entraîne dès la première de couverture dans un univers doux, charmant, mélancolique, rêveur, presque parfait mais avec ses défauts qui apparaissent au fil des pages. Un doux mélange onirique entre la fantasy et le steampunk.
Sous sa plume, on plonge à pieds joints dans l'univers de Théo, ce grand garçon qui continue à rêver... et qui verrait ses rêves se réaliser ? On dirait bien en tout cas. Les graphismes sont à la fois doux et imposants, piquant au vif pour s'accorder avec l'univers et le style d'écriture.
On ne peut que sauter à pieds joints, passer à travers les pages pour rejoindre ce monde à l'atmosphère si particulière créé par Nicke. D'autant que le scénario semble très bien monté et très prometteur quant à la qualité d'écriture et des graphismes qui accompagnent si bien le développement de ce scénario.
Cependant, je reproche quand même un certain manque au niveau des émotions des personnages qui les rendent quand même un peu superficiels par rapport à l'univers créé par l'auteure. Et ce, malgré le fait qu'on s'attache très facilement à chacun des personnages.

Une entrée complètement obscure... pour moi en tout cas. Les termes précis propre à l'univers de ce roman ne sont pas expliqués, ce qui rend difficile la compréhension des premières pages. De plus, l'écriture est lourde et sans aucun rythme. Il faut aussi passer outre le langage ... outrancier à souhait et se mettre à imaginer des scènes difficiles empreintes de magie assez spécifique paraissent quand même assez irréalistes. Bref, j'ai abandonné au bout de 25 pages avant d'abandonner, faute de pouvoir réussir à m'accrocher à l'histoire. Un glossaire des termes spécifiques à l'univers aurait été bienvenu dès le début du roman pour éclairer le lecteur.

Je reprends un ancien commentaire après une nouvelle relecture.
L'univers de Cassandra Clare est très bien construit. C'est une plongée dans un univers très complexe, qui n'offre dans ce premier volume, que des prémices, dévoilant les choses petit à petit.
Jace est un personnage très intéressant et très complexe. C'est un tueur implacable qui se dévoile quand même au contact de certaines personnes.
Clary... Clary, je m'attache moins à elle par contre. Elle reste une petite fille qui semble naïve. Cependant, elle parvient petit à petit à gagner de la confiance en elle. Mais j'arrive moins à m'attacher à elle qu'à Jace.
Les intrigues semblent complexes et très imbriquées les unes dans les autres. Il est facile d'imaginer l'univers de Cassandra Clare et il est si prenant qu'il est difficile de vouloir en sortir et d'arrêter la lecture de cette saga.

Fidèle à l'ambiance construite dans le premier volume, celui-ci nous plonge une fois de plus au coeur du Londres victorieux dans des ruelles et des quartiers sombres en compagnie de nos Chasseurs d'Ombres. Cassandra Clare a une réelle capacité à nous projeter dans l'époque victorienne.
La palette des personnages nous les rends encore plus attachants, chacun à sa façon. On explore l'amitié entre Jem et Will, les sentiments de Tessa... La haine, l'amour et l'amitié. De l'envie de distribuer quelques claques à certains (Will pour ne pas le citer) à ressentir la colère des autres...
Le scénario se poursuit. On y découvre quelques éléments nouveaux concernant Tessa qui... sont... surprenants pour nous et les héros. Mais c'est à la fois un supplice et un ravissement. Car on attends la suite avec une plus grande impatience encore.
Le scénario est rythmé, sans pause, plein de rebondissements, avec une plume fine, légère et agréable permettant une imagination fertile et très facile, permettant une évasion dans l'univers de Cassandra Clare aussi facile que prenante.

Un héros charismatique fidèle à l'image forgée par les rares apparitions de Moriarty dans les romans de Conan Doyle. Alors un manga dont il est le héros, j'adhère, j'accroche, je lis, je fonce.
Le héros est charismatique certes. Cependant, on peut lui reprocher de ne donner qu'une image du sociopathe des romans sans plus de profondeur, de détails ni de complexité. Bref, un héros trop superficiel dans ce premier volume.
Je regrette aussi que l'ensemble du scénario soit trop superficiel. Il n'y a que trop peu de détails sur le génie du crime. C'est un enchaînement : trouver un crime à châtier puis ensuite le châtiment. Pas de complexité, ni d'imagination... Trop superficiel et trop rapide à lire. Presque on n'aurait pas le temps d'apprécier ni de pouvoir imaginer les détails des plans machiavéliques du génie du crime Moriarty, si célèbre ennemi de Sherlock Holmes.
Alors oui, le manga est une bonne idée mais encore trop superficiel pour pouvoir se révéler vraiment intéressant.

Ce tome confirme mon impression à l'issue du premier. L'intrigue policière est très bien construite - même mieux que très bien - et le religieux très peu présent, ne venant pas écraser le côté policier de l'affaire. Les deux prêtres enquêteurs du Vatican retiennent toute notre attention à un rythme soutenu, très addictif, avec une plume digne des plus grands auteurs de roman policier. Impossible de s'ennuyer en lisant ! Le tout sur des dessins extrêmement précis, fins et agréables au regard, venant compléter idéalement l'ensemble.

Après une deuxième relecture du premier volume et la lecture du second volume, je trouve moins intéressant la suite et l'ensemble de l'univers en général.
Les légendes des différents servants sont bien décrites mais pour le coup, on se demande l'intérêt qu'elles peuvent prendre dans ce volume précis.
Les personnages ne se révèlent pas si attachants qu'aux premiers abords.
Les scènes de duels sont brouillonnes...
Bref, ce fut plus un survol qu'un intérêt véritable. Je passe mon tour pour la suite. L'ensemble est d'un superficiel douteux qui m'a fait perdre l'intérêt que j'ai pu avoir pour cette histoire. Dommage.

Cette série, sortant de l'ordinaire pour s'intéresser à l'Inquisition, nous plonge dans une ambiance qui est captivante du début à la fin. Cependant, ce dernier tome m'a un peu déçu. Les événements se déroulent trop rapidement et surtout le scénario comporte une large ellipse temporelle qui nous dispense de voir des événements que j'aurais bien voulu voir comme le passage des différentes stations par notre groupe de résistantes, voir comment elles en arrivent là où elles sont, quels sont les choix qui ont été faits par chacune d'elles... On voit surtout le questionnement d'Ella à propos de sa vengeance mais ça paraît que trop peu suffisant.

Mais malgré cette petite déception - on veut toujours en savoir et en avoir plus faut le reconnaître mais là ... ça manque vraiment pour le plaisir de voir et de lire - l'ambiance de ce manga depuis le premier volume est absolument captivante, glaçante, frissonnante.

Excellente série ! Les dessins sont à couper le souffle, extrêmement fins et très détailles, une véritable beauté. Le scénario est calculé et avance à pas de loups, petit à petit au plus profond de la noirceur de l'Inquisition, de l'âme, de la vengeance.
Chacune des héroïnes se démarquent par son caractère propre. Il est impossible de ne pas s'attacher à ses jeunes filles.
Le tout est extrêmement intéressant, intense, original, brillant, glaçant aussi par certains côtés, frissonnant. On trouve tout le panel d'émotions possibles à travers ses pages. D'autant qu'on vibre aussi à chaque fois qu'Ella déclame son désir de vengeance par des petites phrases incisives et poignantes, comme un coup de poignard en plein coeur.
Il est impossible de ne pas ressortir glacé de ce volume. Et impossible aussi de ne pas vouloir lire la suite. Il n'y a qu'une seule chose qu'on veut découvrir : jusqu'où Ella est prête à aller dans sa vengeance ! Mais aussi, jusqu'où sa vengeance va la mener...

Trop détaché des films, avec un style d'écriture beaucoup trop lourd, on se retrouve à lire les principaux points de la saga expliqué en paragraphe différents sans trop de liens entre eux ni d'ancrage dans la saga.
Peu de pédagogie au final, surtout des explications superficielles dans l'ensemble à mon goût.