Commentaires de livres faits par Syracuse
Extraits de livres par Syracuse
Commentaires de livres appréciés par Syracuse
Extraits de livres appréciés par Syracuse
On s'attache de plus en plus à chacun des personnages même si j'apprécie un peu moins Liu Bang au fur et à mesure de l'évolution de l'histoire. Les combats sont spectaculaires, peut-être même un peu trop pour être proche de la réalité. Mais bon, on reste ici dans une oeuvre de fiction.
Finalement... La guerre est plus une guerre d'épées et de mots que de vin. Le vin n'étant que peu présent dans cette "guerre" qui est annoncée. C'est plus un échange de mots qu'autre chose. Beaucoup de pages pour pas grand chose.
L'écriture reste agréable et les graphismes très bien réussis. Les pages pédagogiques sont très complètes. Mais je ne peux pas dire que le scénario soit agréable à lire. Et c'est dommage car j'imaginais plus une vraie guerre, des échanges,... un scénario en bref beaucoup plus complet vraiment centré sur le vin et les techniques en lien et place des histoires d'amour... ou je passe vraiment à côté du sujet sans le comprendre réellement.
Encore une fois, ou alors ça vient de moi, je ne comprends pas d'où sort le personnage de Cassandre...
Le personnage semble complètement hors de propos dans le cadre de l'histoire. De même que certains passages qui semblent être juste là pour combler des cases vides... D'autant que les dernières pages se finissent littéralement en queue de poisson...
Pourtant, l'ensemble part bien et est très intéressant. Je trouve juste dommage de devoir attendre les pages pédagogiques pour en apprendre vraiment plus sur le sujet du vin et du cadre de l'abbaye cistercienne. La BD et le cadre auraient gagné en profondeur si ces pages avaient été moins étoffées en fin du volume et les informations données au fil de la lecture en elle-même. En prime, je ne comprends pas d'où sort le personnage de la femme rousse...
L'écriture reste agréablement à lire par contre et les graphismes sont très bons. On sent une passion pour le sujet qui arrive à nous intéresser même si on n'est pas porté sur le vin.
De révélations en révélations m'obligeant à relire les tomes précédents plusieurs fois mais je ne m'en lasse jamais.
On s'attache de plus en plus à Faust mine de rien.
En espérant que le fait que l'histoire se termine en 5 tomes ne gâche le merveilleux potentiel de l'histoire ni la merveilleuse plume de l'auteur.
On tourne les pages si facilement... on ne voit pas le temps passer ni comment se combinent la foi avec la réalité. Ou la réalité avec la foi ? Que croire en fin de compte ?
Les personnages sont intriguant aussi.
Cette série se classe dans le top des romans policiers... Et je craque pour le roman dont le manga a été inspiré. Je n'ai que trop hâte de pouvoir lire le 4ème tome.
Chaque Maître Inquisiteur semble être aussi complexe que l'intrigue en elle-même et cela ne rend l'histoire que plus intéressante encore.
L'écriture est simple, sans très grande qualité, mais elle nous plonge très vite dans l'histoire et il est impossible de s'en décrocher une fois qu'on a commencé à lire la première page.
Bref, l'ensemble de la sage sur une période difficile de guerre et de politique à Rome et Carthage est simplement un pur bonheur à lire, satisfaisant les historiens aguerris et non aguerris.
Ca fait du bien d'être de retour à Florence ! Les rues sont toutes aussi vives et animées que Arte qui se pose toujours mille et unes questions... Mais un artiste grandit petit à petit... Ainsi que la réputation et l'avenir... ainsi que les médisances.
Si le scénario est lent à se mettre en place au début, on plonge très vite toutefois dans un univers de dark fantasy assez sombre, où, à l'issue d'une guerre, un ordre d'Inquisiteurs maîtrisant la magie, est chargé de maintenir la paix. Ces Inquisiteurs sont intrigants, sombres et aux personnalités complexes. L'univers l'est tout autant. Mais une fois qu'on a plongé dedans, on en sort difficilement. Les retours en arrière nous font perdre parfois un peu le fil. L'écriture aurait cependant mérité une taille de police plus grande.
La suite promet encore de nombreuses surprises et des rebondissements et visiblement, on en apprendra un peu plus sur l'histoire d'Holo et de son frère.
Action, imagination, de la dark fantasy comme je les aime. Le tout avec des graphismes vraiment magnifiques.
La fin approche à grands pas oui... et on tremble d'avance à l'idée de découvrir la suite mais aussi de voir la fin arriver. Finn et Durandal sont de plus en plus attachants...
On ne peut que adorer cette série magnifique.
Les héros sont des abrutis... je le reconnais volontiers. Mais on ne peut que admirer ceux qui se battent pour protéger les gens qu'ils aiment.
Le scénario est addictif, les dessins fins, précis et tout aussi prenant que l'univers en lui-même.
Si le scénario n'offre rien de vraiment très original, l'immortalité de monsieur Jaume explore toutefois des côtés sombres de l'histoire et de l'existence, des faits en dehors des sentiers battus qui rendent l'histoire très intéressante à suivre.
Le final est lui aussi très intriguant... Finalement, l'immortalité peut-elle vraiment brisée ? Et... laisse toujours la grande question en suspens : l'immortalité est-elle un cadeau ?
Le scénario, s'il n'offre rien de nouveau, montre pourtant - pour une fois ! - une révolte contre Rome plutôt qu'une Rome toute puissante qui écrase tout sur son passage. Certes, Rome est conquérante, mais elle est aussi mise en difficulté parfois et c'est prouvé ici. Le scénario est quand même très bon : action, rebondissement, entraînant et très rythmé.
Les quelques pages en couleurs agrémentent agréablement la lecture.
Allez, on pourrait reprocher la représentation de Arthur et Elaine... ils passent très rapidement de la représentation de "jeune enfant" à des adolescents en un an. Mais pourquoi après tout : la présence de monstres pourrait indiquer de la magie, alors pourquoi pas une croissance accélérée en l'espace d'un an ?
Si certains croient que Star Wars tient du divertissement de la première à la dernière minute du film, Gilles Vervisch nous offre ici une lecture du mythe et de l'histoire de Star Wars au prisme des différentes philosophies et philosophes.
Nous permettant ainsi de voir, de revoir, de découvrir ou redécouvrir Yoda, Vador, Palpatine, Chewbacca, R2-D2 et C3PO dans l'univers de la philosophie, Gilles Vervisch nous fait réviser de manière agréable et ludique de nombreux philosophes avec beaucoup d'humour et une excellente qualité d'écriture.
Fan ou non-fan, amateur ou non de la saga, chacun y trouvera son compte et il n'y a même pas besoin de connaître les épisodes sur le bout des doigts pour imaginer la philosophie de Star Wars. Il suffit de lire et de... réfléchir à son avenir.
Si les combats sont un peu prévisible et le montage parfois pas très clair, l'ensemble offre quand même une très bonne qualité et un très bon scénario qui s'annonce intéressant et prometteur.
Au moins, pour une fois, il n'y a pas de dualité gentil et méchant, le méchant se révèle ne pas être celui qu'on croit...
On perçoit bien un contraste entre la naïveté de Théo et Mia par rapport à la violence de certains personnages.
Les graphismes sont toujours aussi magnifiques, très doux, reposant, laissant facilement emporter dans le monde de Nicke.
Mais en réalité, je n'ai fait que survoler cette histoire sans rien trouver à quoi m'accrocher pour apprécier pleinement le scénario. En or juste pour la qualité de l'écriture et des graphismes sinon je décroche malheureusement ici...
Mais personnellement, je me lasse un peu de l'histoire. J'ai lu très vite ce tome mais je ne sais plus quoi en penser que ce soit de ce volume et/ou de l'histoire en générale finalement. Je m'y perds un peu j'avoue. Peut-être que le prochain tome apportera les réponses mais je ne suis pas sûre d'avoir envie de le lire... Dommage parce que je m'étais attachée à chacun des personnages.
Deux antihéros qu'on adore détester. Ce qui m'agace le plus, c'est quand les sentiments et la complexité des personnages ne sont que peu développés mais alors... voici deux antihéros qu'on adore détester. On s'attache très vite à eux. Peut-être - certainement même - que le montage du roman en épisodes y est pour beaucoup. Des histoires et des personnages qui se suivent et se croisent, s'entremêlent. De l'humour aussi noir que les deux antihéros. Les actions s'enchaînent et on arrive vite à la conclusion que nos deux antihéros vont devoir un jour ou l'autre payer leurs méfaits. Beaucoup de questions laissées en suspens à la fin du livre mais ce n'en est que mieux : ça laisse travailler l'imagination et l'imaginaire propre à la fantasy.
Bref, une fois qu'on a commencé Des Sorciers et des Hommes, on le finit dans la foulée en fait... Une très bonne découverte.
Que du bonheur de découvrir cette maison d'édition.