Commentaires de livres faits par Syracuse
Extraits de livres par Syracuse
Commentaires de livres appréciés par Syracuse
Extraits de livres appréciés par Syracuse
L'auteur nous offre cependant un final ouvert, qui nous laisse la possibilité d'imaginer nous-même la suite. Cependant, la fin est bâclée... j'avoue ne pas avoir tout compris. Du coup, c'est dommage d'avoir une fin bâclée car, malgré tout, je continue à saluer la qualité du scénario et de la plume de l'auteur. J'ai pris du plaisir à lire ce dernier tome. Aussi, je me suis attachée encore plus à Holo. On assiste à son évolution, petit à petit.
Avoir ce volume en main, c'est entrer de plein pieds dans une bibliothèque, un monde où les livres sont rois. Ce monde envoûtant nous emmène lire les aventures de Shio, petit enfant à l'écart avec pour seuls amis des livres. Je m'y retrouve un peu à le voir lire, à le voir rêver d'aventures en lisant.
Je n'ai qu'une hâte : lire la suite. Chacune des pages de ce premier volume ne me donne qu'une envie : celle de lire la suite. On ne peut que adorer et continuer à rêver après avoir refermé ce premier volume.
L'enquête avance pas à pas, puis tout se déroule très vite. Mais pas trop non plus. Tout est parfait. L'écriture est toujours aussi plaisante à lire, fluide et légère, rythmée et très agréable. Je m'imagine très facilement les scènes décrites et ça me plaît au plus haut point.
Les éléments de magie m'intriguent au plus haut point aussi, surtout ce qu'il se passe entre Nick et Evelina.
Franchement, je n'ai qu'une seule hâte : lire la suite ! Car les dernières pages s'arrêtent de la plus cruelle des manières pour un lecteur ...
Imaginer une nièce à Sherlock Holmes, l'idée était osée, le pari fou mais très bien réalisé.
Suivre Evelina dans un univers Steampunk très bien monté dans le Londres de la fin du XIXème siècle est très prenant. Une fois que le livre est commencé, impossible de le lâcher avant d'avoir terminé.
L'écriture est fluide, simple, pas trop chargée de descriptions pour se consacrer uniquement à l'action. On s'attache facilement à chacun des personnages et surtout à Evelina. Un changement agréable aux enquêtes de Sherlock Holmes mais après tout, Sherlock est là, Lestrade aussi et il y a une enquête à la hauteur de celles qui intéressent le détective britannique.
Donc : enquête, steampunk, vapeur, magie, un Londres de la fin du XIXème siècle très bien monté (ni trop ni trop peu). C'est un pari fou très bien réalisé, un vrai coup de coeur pour cette histoire très originale et très bien montée. Je n'ai qu'une hâte : aller lire la première age du volume suivant !
J'ai retrouvé avec un immense plaisir Fitz et Castelcerf ainsi que l'histoire dans son ensemble. Les dessins et l'impression qui s'en dégagent sont à la hauteur des romans de Robin Hobb.
Seul petit bémol à l'ensemble, je trouve qu'il est difficile de s'attacher aux différents personnages car tout va très vite.
Pour une réécriture contemporaine du conte, on ne retrouve strictement rien du conte original en dehors du nom Blanche-Neige.
Un asile psychiatrique ? Des hallucinations ? Une colombe qui parle ? Euh...
Combiné en plus à une écriture lourde, pénible, à la première personne, l'atmosphère angoissante voulue par l'auteur est si mal écrite que rien de l'angoissant ne se sent à la lecture. C'est d'une platitude inouïe. C'est tellement ennuyeux que j'ai lâché à la page 67. Et encore, j'ai lu les 67 premières pages sans vraiment les lire...je n'ai absolument pas accroché.
Bref, un ensemble qui fait réfléchir et réfléchit, à l'image de l'homme, du publicitaire qui a tout vu ou presque.
C'est à regret que j'ai refermé ce coup de g.... après l'avoir ouvert. Presque trop court dans son hallali contre les GAFA. On voudrait en savoir plus de la pensée de l'homme de pub et de l'homme citoyen et humain qui exerce son esprit critique si bien aiguisé dans cet ouvrage.
Surtout dans un nouveau monde, bien différent des mondes présentés dans les tomes précédents qui nous fait découvrir un Kirito qui paraît un peu perdu. Et surtout, rien ne répond tout de suite à la question "va-t-il arriver à se sortir de là ?" et... à revoir Asuna ?
J'apprécie encore mieux les Light Novel que les mangas. Je trouve les personnages Kirito et Asuna encore plus attachants et plus complexes que dans les mangas.
Après les longueurs du début, on peut se laisser facilement emporter par la plume et l'écriture de l'auteur. Je me suis aussi attachée facilement à Mordred.
Cependant, si je suis arrivée à m'attacher au varanier, il est plus difficile d'apprécier réellement l'univers de Bankgreen. Trop long ou trop court sur certains passages ? Un univers éternel qui n'en finit pas, aucune carte,... Aucun Temps précis certes mais après tout c'est un univers éternel.
J'en retire une impression d'une nature qui se rebelle et qui est maîtresse de tout et des hommes, une nature qui ne veut plus avoir d'hommes qui la foulent. Hors, finalement, ce sont les plus pauvres qui gagnent à la fin du compte.
Une fin non-finie... une fin d'éternité. Et on est content d'arriver enfin au bout ! Parce que je ne sais toujours pas quoi penser exactement de cette lecture, si elle valait vraiment le coup ou si ce fut une éternité de trop pour arriver à la dernière page.
Par ailleurs, pour un livre qui parle d'éternité, le mot "fin" paraît déplacé...
L'univers est déjà bien construit et on entre de plein pieds dedans sans aucun détour ni aucune présentation.
Les personnages paraissent complexes et bien construits. Je trouve qu'on ne fait que les effleurer dans leurs complexités et leurs personnalités. Intéressant.
Cependant, le scénario n'offre que peu d'intérêts au final de mon point de vue. Je trouve qu'il n'y a aucune surprise malgré l'écriture et l'avancée très rapide du scénario. L'écriture est très moyenne. La qualité graphique aussi est très moyenne.
Dans l'ensemble, c'est une lecture assez moyenne qui m'a divertit durant quelques pages sans plus. Quelques surprises peuvent être intéressantes dans la suite mais je ne suis pas convaincue pour la lire. Ce manga n'est pas à classer pour moi comme nouveau fer de lance de la dark fantasy.
Et que dire... sinon que la plume de l'auteur se retrouve magnifiquement bien. Les personnages sont attachants, surtout Hiraga !
L'intrigue est complexe à souhait, rythmée, sans pause et la plume de l'auteur nous emporte facilement à l'intérieur du cadre posé. En fait, une fois entamée, ce thriller policier et ésotérique (ou non ?) se lit d'une traite.
Le temps passe aussi lentement mais, en fait, on ne peut que apprécier de passer nous aussi "deux ans" aux côtés des héros de SAO.
Les graphismes et le scénario, plus travaillé et mieux fourni, sont toujours aussi excellents. On ne peut que apprécier même si cette version est centrée plus sur Asuna que sur Kirito. Mais après tout, pourquoi pas, cela nous permettant d'avoir les deux points de vue.
Edgar Allan Poe, on aime ou on n'aime pas.
Les adaptations de ses nouvelles sont pourtant moyennement réussies. Je suis complètement passée à côté sans accrocher à aucune des nouvelles. Les graphismes ne parviennent guère à rendre compte de l'atmosphère terrifiante et inquiétante des textes des nouvelles. C'est comme lire sans lire... on accroche (éventuellement) au texte de Poe sans pour autant accrocher au dessin qui m'ont distrait plus que permis de m'accrocher à l'ensemble de l'ouvrage. Pourtant, les graphismes sont très bien réalisés... Dommage donc.
Beaucoup d'intrigues, beaucoup de personnages, un monde dont on ne saisit pas encore l'ensemble des tenants et des aboutissants. Les graphismes sont très travaillés.
Les personnages sont tous intéressants, peu complexes et peu travaillés mais une impression de force se dégage de chacun d'eux.
Le tout forme un ensemble quelque peu léger en 60 pages mais j'espère que le deuxième tome n'apportera que du bien et du mieux, pour tenir toutes les promesses qu'offrent ce premier tome.
Les personnages sont forts et intéressants. On a bien envie de les connaître un peu plus et plus longtemps et on les quitte à regrets à la fin de ce volume.
Après Les Maître Inquisiteurs, je découvre avec grand plaisir cette nouvelle saga de fantasy. Et j'adore à égalité Elfes. Comme la première saga découverte, j'espère de tout coeur que Elfes tiendra toutes les promesses à l'issue de ce premier volume.
Ici... lier post-apocalypse et fantasy, fallait oser, il faut l'admettre. Ce n'est pas tous les jours qu'on croise ce mélange dans les rayons d'une librairie.
Dès le début, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. La plume de l'auteur est lourde, sans intérêt précis. Il y a beaucoup de longueurs dans l'histoire. D'autant que la construction du livre, à savoir un chapitre - bien que court certes - centré sur un personnage, puis le suivant sur un autre, et ainsi de suite, ne me sied absolument pas. Autant ne pas cacher que je déteste lire des livres construits comme ça.
Le post-apocalypse, si on n'est pas au courant du sujet, ne se laisse guère deviner dans les premières pages. La religion, elle, y est très fortement présente dès la première page. Il est dommage qu'on n'en sache pas un peu plus avant de commencer vraiment la lecture. J'ai l'impression d'être largué dans un monde totalement inconnu, construit cahin-caha sans but particulier.
Au fur et à mesure des pages, je tombe sur des aberrations totalement grotesques même pour de la dark fantasy et du post-apocalypse. J'ai plus rigolé et regardé les lignes de travers qu'autre chose, me faisant totalement lâché le (très) peu d'intérêt que j'avais réussi à trouver (en cherchant bien).
Les personnages sont forts, il faut le reconnaître. La créativité est là mais peut-être un peu trop. Même beaucoup trop pour pouvoir construire quelque chose de bien. A trop vouloir mêler des éléments différents, c'est devenu du bancal, donnant une impression plus d'errer dans un monde construit après la collision de plusieurs univers différents qui n'auraient jamais du se rencontrer.
Le résultat est là : je lâche ce roman à la page 92. Et sans regret.
Enfin, cette suite se centre plus sur Evyna et sa quête de vengeance. A égalité, la critique de la corruption politique se fait très bien ressentir à travers les lignes, rendant une atmosphère particulièrement sombre.
Les personnages sont fidèles au premier tome. Ils sont chacun complexes et très fouillés, débordant de sentiments sombres que chacun retient pour lui. On les sent bien torturés de bout en bout. Mais aucun ne lâche rien. Ce n'est que du plaisir de les suivre et de les admirer dans leur force et pour leur courage à continuer.
La fin est déprimante... mais très réaliste. J'adore particulièrement les fins comme celle-ci : une qui est réaliste, une dont on sent qu'elle précède le mot "fin" mais qui nous fait rager quand on voit le fameux mot redouté parce qu'on voudrait tellement en savoir plus sur ce qu'il advient de chacun des personnages suivis dans les pages sous la plume de l'auteur.
Les personnages sont intéressants mais un peu bâclés, très peu travaillés dans ce premier volume.
Le scénario avance vite, peut-être un peu trop d'ailleurs. Il y a beaucoup de choses sur lesquelles j'ai eu l'impression de passer très vite, voir trop vite, et du coup, de ne pas en comprendre certaines.
Les dessins sont très bons, très précis et nets.
Je regrette cependant la mise en page choisie par Meian... Des écritures sont prises dans la reliure et il en devient souvent difficile de pouvoir tout lire.
Sur la dernière page, le pari est gagné : j'ai quand même envie de lire la suite malgré ce sentiment mitigé sur l'appréciation globale de cette lecture. J'en reste sur un mélange de sentiment déçu, satisfaisait, curieux, agacé. Peut-être sera-t-il comblé au deuxième tome.
On retrouve un Vidocq assez fidèle au film. Certains personnages sont un peu moins présents et moins travaillés que dans le film cependant.
Il manque aussi quelques éléments vus dans le film mais on retrouve un ensemble assez fidèle de la première à la dernière page.
Ce premier tome se révèle entraînant, épique, époustouflant et vraiment très original. Une impression de Seigneur des Anneaux à retrouver des Nains, des Elfes, des Orcs et des Hommes et pourtant un univers totalement différent !
Les intrigues sont imbriquées les unes dans les autres, très bien montées, originales et vraiment engagées. On pense rapidement à la corruption politique en premier lieu comme thème principal de ce roman de fantasy. C'est vraiment original que de choisir le biais de la fantasy pour porter un thème fort comme la corruption politique.
Les personnages sont eux aussi haut en couleurs. L'elfe Torgend est vraiment très intriguant par sa nature et son passé qu'il refuse de révéler.
A la fin de ce premier volume, je garde l'impression que je n'ai fait que effleurer la surface de cet univers très moderne et très engagé. Moderne pas tout à fait car une impression de révolution industrielle du XIXème siècle imprègne fortement les pages mais très moderne dans les thèmes d'engagement.
On frissonne tout au long du scénario dans lequel on rentre très rapidement. Et on frissonne jusqu'aux dernières pages où l'auteur, cruel, s'arrête en plein milieu de son intrigue et d'un moment fort.
On découvre le mot fin et je regrette fortement que l'histoire s'arrête. J'aurais bien aimé voir une suite au chapitre spéciale tellement je quitte à regret cette histoire. Amour et amitié font de très bons éléments avec l'immortalité.
Bref en un mot : magnifique.