Commentaires de livres faits par TiliaFox
Extraits de livres par TiliaFox
Commentaires de livres appréciés par TiliaFox
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-Les étoiles ne se posent jamais près des hommes. Sauf la plus belle d'entre elles. Celle qui est maintenant ma femme.
Il se penchait pour l'embrasser lorsqu'une petite main l'attrapa par l'épaule et le secoua avec détermination.
-Papa! Et la réponse du savant, c'est quoi ?
Elle s'immobilisa.
Sur un plancher ravagé, une trappe béante retenue par sun ultime charnière hurlaiit vers elle un appel silencieux.
Ellana se hissa sur le chariot et, en bloquant son souffle, s'approcha de la trappe. Elle s'ouvrait sur un compartiment tout en longueur, juste assez grand pour contenir un enfant.
Une petite fille.
Avec de longs cheveux et des yeux noirs emplis de terreur.
- Je ne reviendrai peut être jamais, ma princesse.
-Elle est nulle cette réponse. Donne-moi celle du poète.
Isaya se pencha pour la lui murmurer à l'oreille.
-Je serais toujours avec toi. Où que tu te trouves, quoi que tu fasses, je serai là. Toujours.
-Dans mon coeur?
-Oui.
Ellana enfouit son visage entre ses mains, puis un cri rauque jaillit de sa poitrine. Un cri qui se transforma en hurlement.
-Maman!
Elle se laissa tomber à terre, se roula en boule, voulut disparaître.
Mourir.
Elle ne parvint qu'à pleurer.
-Maman...
- Se glisser derrière l'ombre de la lune.
- Rêver le vent.
- Chevaucher la brume.
- Découvrir la frontière absolue.
- La franchir.
- D'une phrase, lier la Terre aux étoiles.
- Danser sur ce lien.
- Capter la lumière.
- Vivre l'ombre.
- Tendre vers l'harmonie. Toujours.
J'étais certain que rien ne se passerait. J'avais tort.
Les lettres ont disparu. Deux mots les ont remplacées :
TRANSPORT ÉCLAIR
Farniente, palmiers, soleil.
Un cocktail parfait.
Pourtant, le rêve tourne court. Quand Liane disparaît de l'hôtel, son mari, Martial, devient le coupable idéal. Désemparé, ne sachant comment prouver son innocence, il prend la fuite avec leur fille de six ans. Pour la police, cela sonne comme un aveu : la course-poursuite, au cœur de la nature luxuriante de l'île, est lancée.
"Il faut que je vous dise...
Raconter ma sœur ne suffit plus.
Me raconter non plus.
J'aimerais annoncer que je suis le héros de cette histoire, mais ce serait faux.
Je ne suis qu'un morceau du gâteau, même pas la cerise.
Je suis un bout du tout, un quart de ma famille. Laquelle est mon nid, mon univers depuis l’enfance, et mes racines, même coupées.
Je ne suis pas le héros de cette histoire - parce que nous sommes quatre.
Étroitement mêlés, même quand l'on l'ignore, même quand l'on s'ignore.
J'imagine que c'est pareil pour tout le monde : que c'est ça, une famille.
Je ne suis pas le héros, mais je suis
Le bavardage et la digression
L'oreille et les mots pour essayer de dire ce qui est a entendre, ce qui est à l'envi :
Les désenchantements et les éclats de bruit
En ces temps lointains où Pauline découvrait
Le monde
Le cruel
Le normal
et la guerre,
ma mère et ma mère, chacune pour soi mais ensemble, vivaient de leur côté des heures délicates.
C'est a moi qu'il revient de conter nos quatre chemins.
Parce que j'aime ça, d'abord, dérouler les histoires comme on crée un langage ; et aussi pour que les choses soient claires, évidemment.
Comment comprendre, sinon?"
- Et ça veut dire quoi ?
- Ça veut dire qu'elle parle grec."
Tout le monde admira le raisonnement.
Harry avait plongé vers sa baguette mais Rogue lança un maléfice et elle fut expédiée quelques mètres plus loin, hors de vue dans l'obscurité.
-Alors tuez-moi, dit Harry la voix haletante.
Il n'éprouvait aucune peur, simplement de la rage et du mépris.
-Tuez-moi comme vous l’avez tué lui, espèce de lâche …
-NE ME TRAITEZ PAS DE LÂCHE ! hurla Rogue.
Son visage était devenu soudain dément, inhumain, comme s'il éprouvait la même douleur que le chien jappant, gémissant, coincé dans la cabane en feu de Hagrid.
Mais elle a laissé tomber Dean !
"Elle reste la sœur de Ron."
Je suis son meilleur ami !
"Ce serait encore pire."
Si je lui parle d'abord.
"Il te casserait la figure."
Et si je m'en fiche ?
"C'est ton meilleur ami !"
-Qu'est-ce que vous voulez dire par là? s'exclama soudain Fleur. Qu'est-ce que vous voulez dire par il devait se marier?
Mrs Weasley, interloquée, leva son visage ruisselant de larmes.
-Eh bien... maintenant...
-Vous pensez que Bill ne voudra plus se marier avec moi? demanda Fleur d'un ton impérieux. Vous pensez qu'à cause de ces morsures, il ne m'aimera plus?
-Non ce n'est pas ce que...
-Parce qu'il m'aimera toujours! répliqua Fleur qui se redressa de toute sa taille et rejeta en arrière sa longue chevelure d'un blond argenté. Il faudrait plus qu'un loup-garou pour empêcher Bill de m'aimer!
-Certainement, j'en suis sûr, répondit Mrs Weasley mais je pensais que peut-être... étant donné... la façon dont il...
-Vous croyez que je ne voudrais plus me marier avec lui? Ou c'est peut-être ce que vous espérez? lança Fleur, les ailes du nez frémissantes. Qu'est-ce que ça peut me faire, son physique? Je suis suffisamment belle pour deux, il me semble! Ces cicatrices montrent simplement que mon mari est courageux! Et d'ailleurs, c'est moi qui vais m'occuper de lui! ajouta-t-elle d'un ton féroce en écartant Mrs Weasley et en lui prenant l'onguent des mains.
Mrs Weasley tomba en arrière contre son mari et, avec une expression très étrange regarda Fleur étaler l'onguent sur les blessures de Bill. Personne ne prononça un mot. Harry n'osait pas bouger. Comme tous les autres, il attendait l'explosion.
-Notre grande-tante Muriel, dit Mrs Weasley après un long silence, possède un très beau diadème -fabriqué par des gobelins- et je suis sûre que je pourrais la convaincre de vous le prêter pour le mariage. Elle aime beaucoup Bill, et ce diadème vous irait à merveille, avec vos cheveux.
-Merci, répondit Fleur avec raideur. Ce sera sûrement ravissant.
Un instant plus tard -Harry n'avait pas très bien vu comment les choses s'étaient passées-, les deux femmes pleuraient dans les bras l'une de l'autre. Complètement désorienté, se demandant si le monde n'était pas devenu fou, il se retourna: Ron paraissait aussi abasourdi que lui et Ginny échangeait avec Hermione des regards surpris.
" - Vais-je enfin apprendre où vous avez disparu, Ron, Hermione, et toi, pendant vous étiez censés vous trouver dans l'arrière-boutique ?
- Comment avez-vous...
- Harry, s'il te plaît, tu parles à l'homme qui a élevé Fred et George."
- 5 gallions (répond George)
- Et pour moi ? (demande Ron)
- 5 gallions (répondit George)
- Mais, je suis votre frère ! (s'exclama Ron)
- 10 gallions !! (répondit Fred)
[...]
- Je ne sais pas pourquoi l'équipe a tant de succès tout d'un coup.
- Allons, Harry, dit Hermione, soudain agacée. Ce n'est pas le Quidditch qui a du succès, c'est toi ! Tu n'as jamais été aussi intéressant et, franchement, jamais aussi attirant.
Ron s'étrangla en avalant un gros morceaux de hareng fumé. Hermione le gratifia d'un regard dédaigneux avant de se tourner à nouveau vers Harry.
- Ils savent tous désormais que tu disais la vérité, non ? Le monde de la sorcellerie tout entier a dû reconnaître que tu avais raison quand tu déclarais que Voldemort était de retour, [...] - alors, tu comprends pourquoi tu fascines les gens ?
[...]
- [...] On voit toujours les marquent là où cette horrible bonne femme t'obligeait à écrire avec ton propre sang, mais tu n'as jamais dévié de ton récit pour autant...
- Sur moi aussi, on voit les marques,là où les cerveaux ont enroulés leurs tentacules, au ministère, dit Ron en secouant les bras pour remonter ses manches.
- Enfin, le fait que tu aies pris trente centimètres pendant l'été ne gâche rien, conclut Hermione sans prêter attention à Ron.
- Moi aussi, je suis grand, fit observer Ron en passant.
– Hazel Grace, a-t-il dit, mon nom paraissait plus joli, comme neuf dans sa bouche. Je suis très content d’avoir fait ta connaissance.
– De même, Monsieur Waters.
J’étais intimidée. Je ne pouvais soutenir l’intensité de son regard bleu azur.
– Je peux te revoir ? a-t-il demandé d’un ton qui trahissait une inquiétude charmante.
J’ai souri.
– Bien sûr.
– Demain ?
– Attention, ai-je rétorqué. Tu risques de passer pour un impatient.
– C’est pour ça que j’ai dit demain, a-t-il répliqué. J’ai déjà envie de te revoir maintenant. Mais je vais m’obliger à attendre toute la nuit et une bonne partie de la journée de demain.
J’ai levé les yeux au ciel.
– Je ne blague pas, a-t-il insisté.
– Tu ne me connais même pas.
J’ai pris le livre qu’il avait calé entre les deux sièges.
– Et si je t’appelais quand j’ai fini ça ? ai-je proposé.
– Tu n’as pas mon numéro.
– Je te soupçonne fortement de l’avoir écrit dans ce livre.
Il s’est fendu de son sourire béat.
– Et tu oses dire qu’on ne se connaît pas.
Trois minutes pour faire basculer le destin.
Le vieux conseiller fusilla Pilipip du regard avant de l'invectiver:
- Un peu de respect quand tu t'adresses au grand Boulouakoulouzek! Cette attitude est...
- Eh, la momie, le coupa Ouk, on ne t'as pas demandé la couleur de ton caleçon, d'accord? Alors tu t'écrases ou je te jette dans une mare à trodd.
Qu'est-ce que tu disais, Boulou?
Le grand Boulouakoulouzek poussa un grognement de mauvais augure mais poursuivit:
- J'ai été surpris par la taille de ces Humains, bien plus impressionnants que les Faëls ou les Raïs, mais je me suis convaincu qu'ils n'étaient pas dangereux. J'ai imaginé qu'ils étaient à l'image d'Ipiutiminelle, je me suis trompé.
- Ils étaient nombreux? s'enquit Pil.
- Quatorze.
- Que ça? Pourquoi ne les rattrapons-nous pas pour récupérer Ilfasidrel?
- Ce ne serais pas difficile de les rattraper, ils ne sont pas très loin. Nous n'avons cependant aucune chance de leur reprendre le joyau. Ils ont des armes en métal, et nous ne pouvons plus lancer de sorts.
- Ouh là là, c'est sûr que ça complique les choses. Face à du métal, nos sarbacanes sont un peu légères...
Avec un ensemble parfait, Ouk et Pil ôtèrent leur chapeau pour se gratter la tête.
- Ils ne sont pas très loin dis-tu? demanda finalement Oukilip.
- Non, ils ont dressé leur campement près de la mare d'Humph, et ne cherchent même pas à se cacher. Ca me fais mal aux dents de l'avouer, mais je crois qu'ils ne nous craignent pas plus que des lapins !
- Pourquoi ne pas profiter de la nuit pour se glisser là-bas et...
- Nous y avons pensé, vois-tu. Il y a toutefois un problème. Un gros problème.
- Aïe. Lequel?
- Ils ont avec eux un Humain qui possède un pouvoir étrange.
- C'est à dire?
- D'après ce que j'ai compris, ce qu'il imagine dans sa tête devient réel.
- Ouh là là, c'est possible ça?
- Ca m'en a tout l'air. Ce qui est certain, c'est qu'à cause de cet individu un Petit qui s'approche à moins de cent mètres du campement est immédiatement repéré. Comment veux-tu que nous ayons la moindre chance? Seuls les Humains peuvent se balader là-bas.
- Pas de bol! s'exclama Pil.
- Vraiment pas de bol! renchérit Ouk.
Le grand Boulouakoulouzek leva les yeux aux ciel en soupirant.
- J'ai dis que seuls les Humains peuvent se balader là-bas. Ce qui signifie que seul un Humain peut récupéré Ilfasidrel.
- C'est sûr , approuva Pil en se frottant le menton.
- Un Humain ou une Humaine, insista le grand Boulouakoulouzek.
- C'est bon, j'ai compris.
- Ce n'est pas trop tôt! Qu'est-ce que tu as comrpis, Pilipip?
- Ben... qu'on est mal.
Le grand Boulouakoulouzek poussa un grognement rageur et arracha son chapeau qu'il jeta à terre.
- Par les dents d'Humph le trodd! vociféra-t-il. Possèderais-tu l'intelligence d'une limace faisandée, Pilipip? Et toi Oukilip, l'intérieur de ton crâne ne serai-il balayé que par des courant d'air? Je...
Il se tut soudain et baissa les yeux vers Ipiu qui venait de lui tapoter le genou avec familiarité.
- Tu devrais te calmer grand Boulou, lui conseilla la fillette. Tu es tellement rouge que j'ai peur que tu exploses.
- Mais...
- Ne t'en fais pas, j'ai compris, moi. Je vais aller le chercher ton joyau aux mille facettes!