Commentaires de livres faits par beckygirly
Extraits de livres par beckygirly
Commentaires de livres appréciés par beckygirly
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La reine fait également sa première apparition, et elle détonne avec l'image officielle que nous avons d'elle. On voit une personne décalée et amusante, contrastant par la-même avec sa fonction.
Les personnages secondaires ne sont pas en reste, comme d'habitude: Soma apprend de ses erreurs, et pour un prince pourri gâté, il est très attachant.
Le charme opère toujours autant: entre humour, points historiques et développement des personnages, ce manga ne laisse rien de manga.
Aghni et son prince ajoute à nouveau une touche d'humour, mais également de mystère avec la main droite de Dieu d'Aghni.
La nouvelle affaire prend tout son sens à la fin, et à nouveau elle est basée autour d'un fait réel qui nous en apprend plus sur la société anglaise de l'époque.
La fin nous laisse curieux comme toujours, quant à savoir si Sebastian peut réussir à combattre son nouveau rival pourtant bien humain.
L'introduction des Shinigami est intéressante: à nouveau, on s'aperçoit de la manière adroit qu'ont les japonais de s'approprier ce mythe pour le rendre différent à chaque manga découvert.
La curiosité est toujours de mise quant à Grell, personnage haut en couleur, très déjanté et particulier.
On termine sur une nouvelle histoire en devenir.
De nouveaux personnages font leur apparition, fort intéressants. Mais le plus de ce tome est de mêler une vraie affaire avec cet univers gothique/fantastique en mettant en avant Jack l'Eventreur. C'est une surprise agréable qui permet d'ancrer un peu plus l'histoire dans l'Angleterre de la fin du 19ème siècle.
Cette enquête révèle des surprises et la fin du tome nous laisse choqués mais avide de connaître la suite.
La fin est superbe, comme toujours on subit les aléas de la guerre. La suite réserve un suspense intense.
Acculés dans leurs retranchements, Allen et Lenalee font face à une innocence toujours plus énigmatique qui les pousse pourtant à surpasser leur condition et leur synchronisation avec elle.
Lenalee apparaît enfin comme une héroïne digne de ce nom et se jette enfin à corps perdu dans le combat.
On continue donc la lancée dans la noirceur du récit.
Si on constate à nouveau le côté héroïque d'Allen, toujours prêt à tout pour sauver tout le monde, on se rend compte que la force de Lenalee n'est pas forcément celle que l'on pensait. Au final, il semblerait que ce personnage, pourtant intéressant au départ, retombe dans une banalité décevante.
Heureusement, Tikky nous offre une prestation hors du commun et nous laisse pantois à la fin du tome.
La suite réserve une surprise de taille entre la présentation d'un nouveau Noé, qui semble sympathique au premier abord avec son humour. Pourtant, on se rend vite compte qu'il porte bien son nom avec cette fin terrifiante qui nous rappelle à nouveau que la guerre fait rage.
On a le côté émouvant avec Komui et les autres personnages restés à la citadelle. L'horreur du récit prend tout son sens lors de cette scène, tandis qu'on sent qu'il ne s'agit que des prémices d'une plus grande tragédie à venir.
Un tome somme toute dans la continuité de l'histoire tout en l'approfondissant de manière cohérente.
Deux récits s’imbriquent alors en un seul, et nous suivons d’un côté une enquête classique avec son décorticage des victimes et les diverses hypothèses sur le tueur, et de l’autre la découverte du passé de Liz qui semble lui revenir d’un coup. Alors le tout reste assez convenu, puisque l’auteur suit une trame assez traditionnelle, mais la sauce prend bien au vu de l’écriture (de la traduction ici pour le coup) et du développement et du récit et des personnages.
En effet, on se prend d’amitié pour ces deux protagonistes qui prennent à cœur leur mission et qui n’en reste pas moins tourmentés par certains événements. Liz a du mal à se lier et se livrer. Malgré son succès professionnel, son passé la retient et la hante toujours. Quant à Stadler, c’est plutôt son côté lover qui lui confère quelques soucis. Ce duo n’a donc rien d’innovant mais ce n’est pas embêtant puisque leurs personnalités s’imbriquent parfaitement avec le récit.
Ce dernier est donc convenu et très prévisible. De nombreux indices nous font deviner la suite des événements ainsi que l’identité du tueur. Pourtant l’envie ne nous quitte pas de tourner les pages. Cela provient du suspense très bien rendu, mais également de la mise en forme du texte ; l’utilisation de courts paragraphes confèrent l’idée que les choses se précipitent et aident à rendre une atmosphère tendue. Cependant, on peut regretter la fin qui reste précipitée ; au vu de la tension accumulée tout au long du récit, cette résolution semble bâclée et trop artificielle pour qu’on y croit réellement. C’est un peu décevant par rapport à ce qu’il y a eu auparavant, mais elle ne gâche pas non plus la lecture.
Au final, cette lecture est très prenante et nous plonge dans un récit allemand bien mené malgré un côté banal du récit et des personnages.
La guerre s'intensifie également d'un coup: un nouveau Noé nous est présenté, tout aussi cruel que les autres déjà vus; les maréchaux sont désormais traqués et les pertes débutent.
On se rend compte, malgré certes un début déjà sombre, que le récit plonge inexorablement dans dans une noirceur toujours plus menaçante.
Un nouveau personnage apparaît, fort et intrigant, qui, comme Miranda, a vécu rejeté par ses pairs. Son apparition promet un petit rebondissement divertissant pour la suite.
Le clan Noé se dévoile lui aussi un peu plus, avec Road, cette jeune fille intrigante qui paraît sympathique mais n'en reste pas moins cruelle.
L'action est toujours présente, et la guerre fait toujours aussi rage.
On fait pour la première fois connaissance avec un Akuma de niveau 2, et on voit déjà toute la différence avec les basiques. Idée intéressante qui permet de ne pas rester coincer avec les mêmes monstres tout le temps. La difficulté des combats s'en fait ressentir, et Allen nous prouve à nouveau qu'il a un grand coeur et qu'il pense à tout le monde, le rendant particulier par rapport à ses congénères.
L'intrigue s'étoffe doucement mais sûrement.
L'histoire se situe dans une Angleterre victorienne, et on en retrouve l'ambiance sombre à travers les dessins dont les traits noirs sont marqués et accentués.
L'histoire est attrayante et nous offre un nouvel ennemi original en la personne du comte millénaire et de ses armes les Akumas, tout en jouant sur le concept de la religion catholique avec ces références (âme, exorcistes, croix etc.). On a donc l'idée de cette éternelle bataille entre Dieu et le Diable, mais à un niveau bien différent de la foi (même si celle-ci peut être retrouvée différemment de notre conception plus tard).
Si les ficelles semblent être communes aux shonen, la sauce prend avec ce héros maudit et ce méchant bien intrigant avec son énorme sourire qui se joue du malheur des humains. Le concept des Akumas est lui aussi intéressant et laisse entrevoir de multiples possibilités pour la suite.
Ce premier tome nous plonge directement au coeur de l'action et joue entre sérieux et humour pour dédramatiser la guerre qui fait rage aux milieux des humains. La curiosité est au rendez-vous et on a envie de découvrir la suite.
On fait donc la connaissance de Onizuka, jeune homme de 22 ans qui cherche du travail. Suite à une rencontre fortuite, il se prend d'une lubie: devenir prof. Ses motivations sont totalement contraires à ce qu'on a l'habitude de voir, le décalage et l'humour sont donc déjà bien implantés dans ce tome.
Cependant, on s'aperçoit que malgré ses manières totalement en déphasage, Onizuka prend sa mission à coeur et nous surprend de bien des manières.
Entre humour et sérieux, le mangaka nous plonge dans l'univers scolaire et semble prendre le chemin pour nous parler de tous les travers que l'on peut trouver dans ce milieu.
Premier tome réussi donc, qui nous donne envie de découvrir la suite.
Et voici que Shampoo revient, transformée elle aussi... et malheureusement cette transformation risque de ne pas plaire à Ranma.
On reste dans le thème de la phobie, superbement traité par la mangaka.
Cependant, la situation empire encore et Shampoo devient la rivale numéro 1 de Akane.
La mangaka joue vraiment avec tous les personnages mais surtout les codes du shonen Harem. Si on a la situation habituelle du garçon entouré de filles, ici ça se complexifie avec le côté fille de Ranma, mais surtout Akane n'est pas en reste elle non plus.
Tout est prétexte pour lancer des combats dont l'enjeu est bien souvent Ranma.
L'humour est toujours bien présent et on se régale toujours autant.
Second combat du tome, cette fois-ci Ranma et Akane affrontent les champions du combat sur glace, tout ça pour récupérer P-Chan. On avance dans le déjanté, il n'y a aucune limite.
Ce qui est plaisant ici c'est de constater que la relation Ranma/Akane s'est approfondie. A travers quelques réactions, quelques paroles, on aperçoit l'affection que voue Ranma pour sa fiancée, même si le moment ne dure jamais puisque toujours coupé par un moment comique.
Les aventures s'enchaînent donc, on rigole toujours et les personnages qui apparaissent sont tous plus délurés que les autres.
Alors que Ranma et Akane se disputent toujours autant, voilà qu'arrive un nouveau rival: Ryoga. Puissant mais sans aucun sens de l'orientation, ce dernier s'en prend violemment à Ranma pour une histoire de... transformation. Troisième personnage à subir la malédiction des sources chaudes, ce jeune homme n'a de cesse de vouloir se venger de Ranma. Quand on pense que tout va s'arranger, hop, on retombe dans un délire délicieux qui nous fait rire.
On termine le tome avec l'arrivée de Kodashi, une fille totalement délurée (tout comme son frère), qui n'a de cesse de faire des coups bas. Son entrée dans l'histoire va amener Ranma à devoir se battre en fille, chose à laquelle il semble s'être parfaitement habitué.
Nous entrons rapidement dans le vif du sujet avec l'arrivée de Ranma et son père chez les Tendo, chez qui ils vont vivre. Dès le départ on a droit à des quiproquos qui seront la marque récurrente du récit.
Ce dernier ne semble pas se présenter comme quelque chose de réellement linéaire, avec une quête bien définie. Cependant, on retrouve les ingrédients d'un shonen avec les ennemis, les aventures, les batailles et le harem.
Rien n'est sérieux, tout est dans l'humour. Ce dernier est très bien dosé et nous présente des scènes totalement ahurissantes mais drôles. On se surprend à dévorer ce tome rapidement et à en redemander.
Le résumé est intrigant, on se dit qu'on va découvrir une histoire frissonnante et passionnante. Et puis on début la lecture et c'est la désillusion.
Ce roman traîne en longueur, parce que l'auteur a voulu créer une certaine ambiance et plonger réellement la ville dans un huis-clos terrifiant. Cependant l'effet rendu est tout le contraire: on s'ennuie en découvrant les personnages, on se demande quand les choses vont bouger, et même quand on commence à voir à peu près où le récit veut aller, l'atmosphère est tellement plate que la sauce ne prend pas.
Pas une seule fois on ne ressent un frisson ou un sentiment de peur. Bien au contraire, l'ennui, parfois agrémenté d'une légère curiosité, et le sentiment qui prévaut.
Alors il se passe un peu des choses vers la fin, mais on reste loin de quelque chose de trépidant et d'horrifique.
Bref, j'ai découvert un roman qualifié d'un des meilleurs dans le domaine de l'horreur et j'en ressors extrêmement déçue puisque d'horreur ce roman n'en a que l'appellation.
L'univers est toujours aussi sombre et cette atmosphère oppressante est très bien rendue par le côté noir dominant du graphisme.
Le récit évolue, chaque soir réserve son lot de surprises, et on a envie de découvrir la suite.
On retrouve donc un thème très cher aux japonais: les légendes urbaines dans les lycées. Le pitch de départ semble assez simple, et c'est le cas du récit, tout du moins dans ce tome, mais on est pris dans le mystère de cette Rouge-Sang et de cette chasse au corps. De nombreuses questions sont soulevées, et on se demande notamment comment vont s'en sortir nos héros.
Ajouté à cela, on a un autre thème intéressant: celui de la boucle temporelle. Avec un jour qui se répète, on pourrait avoir peur d'une répétition lassante, ce qui n'est pas le cas ici. Chaque nuit réserve son lot de surprise, et tout comme les protagonistes, nous nous demandons comment tout cela va se terminer.
Le récit est un peu confus au début entre tous les points de vus qui se mêlent. On a la 1ère personne du singulier avec Henry qui nous raconte ses aventures, et puis un retour au récit classique, 3ème personne du singulier pour nous conter ce qui se passe avec d’autres personnages. Ce choix particulier a cependant des avantages : d’une part il nous lie à Henry qui nous partage ses émotions et ses pensées. De l’autre, on a une réelle vue d’ensemble de ce qui se passe avec les autres protagonistes. Ce parti pris est finalement très important et nous démontre toute l’ingéniosité de l’auteur pour nous amener là où il veut.
Finalement, ce n’est pas tant ce mélange stylistique qui dérange, mais plutôt la profusion des personnages qui fait qu’on a du mal à se situer dans le récit. On finit par s’habituer à cet étrange enchevêtrement des points de vus, même si cela prend un bon moment. Les personnages sont donc assez nombreux, tous différents avec une psychologie qui tente de s’éloigner de certains clichés même si au final on s’y rapproche pour certains. Chacun apporte sa pierre à l’édifice et leurs actes nous amènent inexorablement vers cette conclusion édifiante.
En voulant situer le récit aux Etats-Unis, et plus particulièrement sur des îles dans le nord-ouest, Minier cherche à recréer une ambiance très américaine, en reprenant des thèmes déjà-vus (MacGuffin d’Hitchcock par exemple) et chers à ce public, mais aussi en instaurant les nouvelles peurs face aux technologies. L’auteur n’hésite pas à nous incorporer ses éléments afin de rendre son récit plus crédible : la paranoïa des gens autour du gouvernement, capable de tout contrôler, la profusion et l’importance trop grande des nouvelles technologies, la perte de la vie privée ; le tout est étroitement lié à la nature, hostile et menaçante. On retrouve cette idée des terres inexplorées, encore dangereuses pour l’homme qui le fascinent. Une conquête qui, mise en parallèle avec celle de la vie privée des gens, restent bien plus difficile et dangereuse.
Minier parvient à créer une ambiance malsaine, glauque façon huis-clos. On a l’impression d’être pris au piège sur cette île, et le climat rajoute encore à la tension et au suspense.
Deux mondes se côtoient, et entre les deux l’histoire avance, inexorablement. On se rend compte qu’au même titre que les personnages nous ne sommes que des pions entre les mains de l’auteur qui n’hésite pas à s’amuser de nous en rajoutant des pistes, des soupçons qui nous feraient presque devenir aussi chèvre que le héros. Et puis le doute commence à s’immiscer et on finit par se poser les bonnes questions juste avant que la vérité n’éclate, nous laissant pantois et ahuris.
Minier aura réussi à nous mener en bateau du début à la fin, à nous convaincre de certaines choses pour mieux nous montrer que la vérité n’est pas aussi limpide que nous souhaiterions qu’elle le soit.
Si on comprend les motivations de Superman, les moyens employés et la folie latente qui semble l'envahir nous font douter du bien-fondé de ses actes. Petit à petit on le voit s'éloigner de son but premier, n'hésitant à menacer et frapper des humains ne faisant que manifester. A travers ce geste, il s'en prend à une des libertés de nombreux peuples, et démontre que quiconque n'étant pas d'accord avec lui n'a que droit au silence. Une dictature se met donc doucement mais sûrement en place et seuls une poignée de supers-héros pourraient peut-être changer la donne.
Entre tragédie et terreur, ce premier tome pose les bases d'un univers captivant, et nous fait découvrir les dérives possibles dues à la possession de supers-pouvoirs.
Le récit débutait bien, avec notre rencontre avec le héros qui s’avère être sociopathe. John est un personnage atypique, pour qui il est impossible de se lier émotionnellement parlant et qui a des tendances à vouloir tuer. On a donc un anti-héros sous toutes ses formes, mais au lieu d’être révulsés, comme cela devrait être le cas normalement, John nous intrigue, voire nous fascine. Dès le début les cartes sont posées : John ne nous épargne rien de son caractère hors norme et nous explique ses pulsions, qu’il tente de combattre du mieux qu’il peut, ainsi que sa fascination pour les cadavres et les tueurs en série. Sa « passion » et son caractère en font quelqu’un de marginalisé, et qui se marginalise de lui-même pour ne pas succomber à ses pulsions meurtrières. Il est intéressant de voir les règles qu’il a mis en place pour rester éloigner des gens et tenter de se montrer le plus normal possible. On sent toute son incompréhension face à l’empathie que les gens peuvent ressentir. Depuis tout petit, il a donc appris à lire sur le visage des gens pour reconnaître les émotions qui lui sont inconnues et de ce fait pouvoir interagir du mieux qu’il peut avec eux.
Cependant tout bascule le jour un commence une série de meurtres sanglants et étranges. John peut enfin mettre à contribution son savoir autour des meurtriers et il est prêt à pourchasser ce terrible monstre, qui lui fait pourtant écho. Malheureusement, cette chasse est des plus dangereuses puisqu’il n’y a plus un seul danger mais deux. En voulant pourchasser ce tueur, John réveille le monstre qui sommeille en lui, et une lutte des plus étranges s’engage à l’intérieur même de lui. Attrait donc plaisant pour quiconque s’intéresse aux tueurs en série et à leur manière de fonctionner.
Pourtant, si John et sa quête sont très intéressants, l’auteur choisi ici d’introduire un nouveau paramètre. Ce dernier se révèle peu pertinent puisqu’il n’apporte rien de plus au récit. Au contraire, le fait d’apporter cela semble plutôt contribuer au fait de vouloir dédouaner John de ses pulsions et ainsi de ne pas le transformer complètement en vrai tueur, et donc en monstre dangereux pour sa communauté. Qui plus est, cet ajout ne change pas complètement le cours du récit, et il aurait bien plus pertinent de rester avec un réel meurtrier.
Malgré ce point négatif, la lecture reste très plaisante. De par le choix d’écrire à la première personne du singulier le lecteur se retrouve étroitement lié au héros, permettant ainsi une proximité intéressante et instructive. L’écriture est plaisante, dynamique et ne laisse aucun répit au lecteur avec des descriptions plutôt détaillées des cadavres et des meurtres.
En somme, I am not a Serial Killer est un bon roman qui se laisse lire rapidement et pour lequel on accroche facilement, si ce n’est ce parti pris inutile de la part de l’auteur. Cela ne gâche pas non plus la lecture, et en reposant le roman l’envie de découvrir la suite est bien présente.
Les membres du cirque sont intrigants et attachants. On découvre de multiples personnalités et on sent que tout cela cache un profond traumatisme.
La fin s'arrête sur un beau suspense.