(lu en anglais)

les neuf dixièmes de ce livre sont géniaux, il semblerait que l'Iliade et la Tempête ont été conçues pour s'imbriquer de cette manière.
Mais la fin est décevante. Dan Simmons nous avait déjà montré que

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non, plus jamais il ne tuerait de personnages, le lecteur étant traumatisé par le décès de Savi. Donc il parvient à sauver un personnage poignardé dans le coeur et un autre irradié à mort. On est heureux de les voir survivre, mais c'est un peu cheaté quand même. Et puis... Ils ne pouvaient pas vaincre Setébos. Donc il est dit sur une demi ligne que le Quiet est venu et que Setebos est parti. On n'en saura jamais plus.

Il y a donc un certains nombre de longueurs, de scènes qui ne servent à rien, tandis que d'autres auraient mérité plus qu'une allusion ou une demi ligne. Enfin, il est tout à fait possible de montrer qu'un personnage est fâché sans lui faire dire une vulgarité entre chaque mot.

Ce livre est génial.
Il prend place dans un moment sombre de l'histoire moderne qu'il décrit sans pitié. L'histoire m'a prise par la gorge et happée, impossible de refermer le livre avant de l'avoir fini.
En dehors de son intérêt historique, j'ai beaucoup apprécié la réflexion sur la place de l'individu dans un régime politique (d'où le titre)

Le thème choisi est intéressant. Néanmoins j'ai abandonné le livre après quelques pages parceque je ne comprenais pas grand chose à la manière dont les phrases étaient agencées, le vocabulaire m'a déroutée, et j'ai trouvé l'espèce de tableau de correspondance assez peu sérieux dans la mesure où il ressemblait à des roues d'ésotérisme....

La trilogie est magnifique et le scénario de ce troisième tome est une oeuvre de génie. Le suspens est constant jusqu'aux dernières pages tandis que toutes les pièces du puzzle se mettent en place. Le monde et ses personnages nous réservent toujours plus de surprises par leur originalité, et de réflexions très intéressantes.
Enfin, c'est sans doute le seul livre en anglais que j'ai lu et pour lequel, après quelques lignes, j'oubliais qu'il s'agissait d'une langue étrangère.

Je me souvenais d'une pièce agréable à lire et pédagogiquement très intéressante avec le renversement du duo maître/valet. Après relecture, je suis légèrement déçue par la fin, que je considère trop douce pour certains personnages

Je m'attendais à être déçue comme je ne suis pas une grande fan de zombies et que j'en ai vraiment assez vu des histoires de mondes post apocalyptiques.
Ce livre était une bonne surprise: tout en n'étant pas non plus extraordinaire, il parvient à ne pas s'enliser dans les clichés, garde un rythme soutenu et un bon suspens. Les personnages de Alice et de la Reine sont intéressants.
Ce livre m'a offert un bon moment.

Le sujet est extrêmement intéressant et tous les arguments sont développés et illustrés de manière très claire. Ce livre est enrichissant.
Comme il est au programme de cette année, je l'ai déjà lu trois fois, et c'est toujours une expérience géniale de le redécouvrir et de le comprendre plus en profondeur

L'idée de base sort de l'ordinaire et ce livre aurait pu être bien. Néanmoins l'auteur déploie plein d'efforts pour nous montrer que l'intrigue sort d'un schéma manichéen qu'elle tente de dépasser, mais au final elle ne s'y enfonce que plus profondément. Tous ses efforts pour être original et enchaîner des coups de maître tombent à plat.
Le personnage d'Agatha m'a plu au début et elle aurait pu être intéressante. Cependant elle devient une cruche vers la fin. Les autres personnages sont un peu moins que stéréotypés, mais ils n'ont pas tellement d'épaisseur en plus de leur fonction dans l'histoire.
D'ailleurs je ne parviens pas à comprendre la fin. Est-elle volontairement confuse pour qu'on achète le tome deux? Personnellement, j'aime bien l'éventualité d'un couple entre Sophie et Agatha, mais cela arrive un peu comme un cheveu sur la soupe...

C'est un livre à la fois intéressant et motivant qui redonne espoir en un futur meilleur pour lequel il donne les clefs

Ce livre est super, on passe d'excellents moments avec lui et la qualité de l'intrigue et des rebondissements nous tient en haleine.
Cependant il m'a moins éblouie que le précédent tome.... Peut-être cela est-il dû à l'absence de Kelsier, qui a mon avis n'est pas avantageusement remplacé par Elend, un peu plus pâle....
Bref, j'ai adoré, mais un peu moins que le tome 1

J'adore cette nouvelle et sa chute, même si on me l'avait spoilée avant^^

Je l'ai lu il y a bien longtemps, mais je garde un bon souvenir de ce petit livre à la fois triste et attachant.

Le style est simple, celui d'une enfant (la narratrice), mais le contexte est très dur.
Ce livre est très émouvant, les sujets abordés me tiennent à coeur.

Le concept est génial. Les trames semblent à première vue indépendantes (la guerre de Troie, des robots passionnés de littérature, des humains dans le futur...) pour peu à peu se rejoindre.
Le livre est très dense.

On suit l'agonie de cet homme, ses désillusions, sa haine, la vengeance qu'il médite... Sa famille semble mesquine.
Ce livre est poignant.

Ce livre est très court mais extrêmement bouleversant. Le tragique de l'histoire de cette femme est magnifié par un style très agréable.

C'est une belle saga mythologique et haute en couleurs, que je recommande.

Ce livre est très intéressant à lire, en revanche j'ai eu un peu de mal avec le style très poétique

La fin est "parfaite"
C'est ce qu'il y avait de mieux pour Lucy

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même si pour le lecteur c'est ce qu'il y a de pire, elle ne pouvait pas continuer à vivre, elle ne pourrait pas tenir sa promesse à Kôta car sans cesse on aurait cherché à la tuer. Mourir de la main des soldats aurait été humiliant. Fondre aurait été trop "simple", mais en se sacrifiant elle prouve enfin son humanité. Alors être tuée par Kôta était la bonne solution.

J'étais en larmes en lisant ce dénouement. La lettre que Kôta découvre permet de prolonger cette fin.
Je veux savoir qui sont les deux jumelles dont on ne voit pas le haut de la tête!!
(bon sinon j'ai trouvé que l'histoire des projections de la conscience de Lucy qui protègent Kôta... C'est un peu too much, même si c'est sympa)

C'est le tome des "révélations", en quelques sorte, puisqu'il est centré sur le directeur et ses scientifiques. C'est assez dur à suivre mais cela vaut vraiment le coup.
L'histoire m'a tellement captivée que j'en ai oublié les dessins qui me rebutaient tant, au début...

Les rebondissements se succèdent de manière tout aussi macabre, j'avais hâte de voir la suite.

La mort de Bandô est poignante (il se sacrifie, et pendant son agonie il dit qu'il ne serait plus lui même s'il mourait)

Le côté pervers m'a assez choquée de premier abord. Mais au fond la tentative de viol était indispensable, sinon Bandô ne serait jamais venu à la rescousse de Mayu, révélant par là le bon coeur qu'il cache.
On voit Anna sur la couverture... Je trouve que son histoire est invraisemblable et ne sert à rien.

Entres autres, j'aime le côté absolument pas manichéen du manga. Nul ne peut être étiqueté "méchant" à part les Kakuzawa. Tous les autres sont manipulés, cherchent à survivre, cherchent de l'affection, ont peur...

au début je prenais Mariko pour ce qu'elle semble être: un monstre sans pitié. Puis je l'ai peu à peu comprise, et sa rencontre avec Kurama et Nana est émouvante, même si j'ai eu du mal à suivre l'histoire des missiles et qu'une Mariko avec une double personnalité (Myû) m'aurait un peu excédée.

Je n'aime pas les excès d'ecchi qui ne servent à rien.
Mais on ne peut pas s'arrêter de lire^^