Commentaires de livres faits par FeatherWenlock
Extraits de livres par FeatherWenlock
Commentaires de livres appréciés par FeatherWenlock
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Wow. Que dire ?
C’est un tome plus long que les autres et, pourtant, qui ne nous laisse pas le temps de souffler. Les enfants font face à diverses épreuves, plus éprouvantes les une que les autres. Leur voyage les mènera à faire de nouvelles rencontres aussi, pas toujours heureuses, cependant…
Ils trouvent certaines réponses qui les heurtent à de nouvelles énigmes. C’est intrigant et stressant mais toujours aussi drôle (enfin, pour le lecteur, pas pour eux… désolée).
Ça sent la fin des haricots pour nos héros, et j’ai hâte de savoir qui des Baudelaire ou du comte Olaf aura le dernier mot !
En résumé, un tome riche en action. J’ai hâte de connaître la suite !
Le mystère s’épaissit autour du comte Olaf… Mais que signifie donc V.D.C. ? Les parents des Baudelaire sont-ils mort dans un incendie réellement accidentel ? Les têtes commencent à tomber entre ses pages…
Difficile de ne pas trop en dire à ce stade de l’histoire, mais comme d’habitude, les orphelins se montrent d’une ingéniosité sans limite, et heureusement pour eux ! Ce ne sont certainement pas leurs nouveaux « tuteurs » qui vont se montrer dignes de leur titre. Toujours pas !
Ce que j’aime beaucoup dans cette série, c’est l’inversion des rôles. On apprend que les adultes aussi ont des failles, qu’il ne suffit pas d’être âgé pour être courageux, et que l’adversité fait parfois ressortir le meilleur de nous-mêmes… Une belle leçon, toujours très bien amenée par Lemony Snicket.
J’attaque la suite de ce pas !
Malheureusement, ils se rendront compte bien vite que le danger rôde toujours, le luxe n’ayant jamais été d’un grand secours face à un comte sans scrupules.
Cet opus m’a paru plus original que les autres, peut-être parce que, pour la première fois, les enfants s’inquiètent non seulement pour eux, mais aussi pour leurs amis, retenus captifs par Olaf. L’enjeu a changé, et les réactions des orphelins font donc de même.
Des mystères s’ajoutent aux précédents, et loin de nous éclairer, l’auteur nous perd encore plus en conjectures. C’est intrigant, intéressant, mais bien trop vague pour nous permettre de tirer des conclusions pour le moment.
J’ai bien aimé ce tome et j’espère que le prochain sera tout autant révélateur, voire davantage !
On aurait pu penser que le scénario est -et restera- toujours le même, mais la donne change dans cet opus. De nouveaux personnages entrent en scène et tiennent un rôle de la plus haute importance…
Alors qu’on pensait avoir tout lu au sujet de cet odieux comte Olaf, Lemony Snicket nous laisse entrevoir une infime partie de son histoire. Infime, mais bel et bien révélatrice. De quoi, exactement ? Les indices sont maigres, mais dans ce cinquième tome des Désastreuses aventures des Orphelins Baudelaire, une toute nouvelle dimension s’offre au lecteur. Je n’en dis pas plus afin de ne pas spoiler, cependant il est clair que le narrateur relance sacrément bien la machine… Moi qui pensais être rodée, je me suis trompée, et j’en suis ravie.
Bref, vivement la suite !
Mr Poe ne s’inquiète que très vaguement du sort des enfants, puisqu’il va se contenter de les déposer avant de retourner immédiatement à la banque. Et bien évidemment, des choses étranges se produisent dans cet endroit abominable où Violette, Klaus et même Prunille vont être obligés de travailler…
De nouvelles épreuves les attendent, si bien que chacun des aînés va devoir redoubler d’effort pour les sortir de leur pétrin. J’aime assez le fait qu’on en apprenne un peu plus sur leur relation avec leurs parents avant l’incident, et que les rôles s’inversent dans cet opus.
Je n’ai pas aimé cette histoire autant que les précédentes, mais la narration rattrape le tout : l’auteur prend un malin plaisir à nous faire peur, annonçant les catastrophes avant qu’elles arrivent réellement, et c’est à la fois terrible et vraiment intrigant.
J’ai passé un bon moment de lecture. Et bon, je l’avoue, j’ai déjà commencé le tome suivant…
On suit le même schéma que les tomes précédents. Le compte Olaf resurgit dans leur vie, déguisé pour duper les adultes puisque, de toute évidence, Violette, Klaus et Prunille ne sont pas aveugles assez dupes pour le confondre avec quelqu’un d’autre. Heureusement, les enfants ne manquent pas d’imagination et parviennent à se tirer des situations même les plus périlleuses… Et pourtant, ils ne sont franchement pas aidés par ceux qui les entourent.
J’ai encore une fois passé un bon moment de lecture, même si la trame est toujours identique. Les aventures des orphelins sont assez variées et leur ingéniosité toujours aussi intéressante, ce qui permet de garder le lecteur en haleine. De plus, mine de rien, on en apprend des choses avec eux !
J’ai hâte de savoir ce que le comte Olaf leur réserve encore !
Pour l’avoir croisé dans les séries Percy Jackson et Héros de l’Olympe, j’avais hâte (et c’est rien de l’écrire) de savoir ce qui pouvait se passer dans la tête du beau gosse crâneur et tellement imbu de lui-même… et le moins qu’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçue.
Même si on retrouve avec un immense plaisir d’anciens personnages (HAAAA!), les nouveaux sont toujours aussi géniaux. On a un panel de caractères très variés et intéressants, et le point de vue d’Apollon rend ce florilège encore plus croustillant.
Son adaptation au monde mortel se fait dans la douleur, ce qui est très drôle pour le lecteur. Ses références (volontaires ou non) à la culture populaire sont un délice, et je me suis surprise à rire et à sourire bêtement pendant presque toute ma lecture.
Bien sûr, l’histoire en elle-même est toujours aussi intéressante et le suspense bien présent. J’ai apprécié les rappels aux précédentes sagas (qui n’étaient pas superflus mais m’ont donné envie de les relire, hein.), et le fait qu’elles aient été « incorporées » à la trame, prouvant encore une fois le génie de l’auteur.
Entre l’humour, les haïkus et la trame toujours aussi prenante, Rick Riordan m’a conquise une fois encore. On va dire que je suis une vendue, que je ferai une bonne critique à chaque fois que je verrai son nom sur une couverture… mais je vous assure que je suis hyper objective. Je l’a-d-o-r-e !
Pourquoi j’enlève une demi-étoile, dans ce cas ? Parce que je veux être encore plus éblouie par le dieu du soleil dans le tome 2 !
On découvre que le comte Olaf encore plus vil que ce à quoi il nous a habitué, et réellement prêt à tout pour récupérer la fortune des enfants… Qui sont d’ailleurs toujours entourés d’adultes naïfs et bornés. Même le bon professeur Montgomery, pourtant très attentif au besoins des orphelins, n’a de toute évidence pas l’oreille prête à tout entendre.
Le rythme est toujours aussi bon, le style très agréable. Le fait que l’auteur s’adresse directement au lecteur renforce le lien de ce dernier avec le sort de Violette, Klaus et Prunille. On se sent concerné par ce qui leur arrive… Malheureusement.
Encore une bonne lecture, et je vais donc enchaîner avec le tome 3 !
Confiés à un certain Comte Olaf, un odieux personnage aussi laid que malhonnête, ils vont vite se rendre compte que les ennuis ne font que commencer.
J’ai trouvé cette première aventure excellente, bien qu’horrible pour les orphelins. Leur nouveau tuteur ne leur fait aucun cadeau, et c’est malheureux à dire, mais on s’y fait ! Les personnages sont très intéressants, dotés d’une singularité ingénieuse qui bouleverse les clichés. On a ainsi des enfants intelligents et pleins de ressources, faisant face à des adultes colériques, naïfs ou étourdis.
Le style de l’auteur est absolument génial. Il est omniscient et s’adresse directement à son lecteur, lui permettant de connaître les pensées de chacun des trois enfants. J’adhère totalement au principe et il me tarde de lire la suite !
En résumé, un très bon jeunesse et un début prometteur !
Encore un album consacré au fantastique duo formé de Perceval et Karadoc ! Forcément, je ne pouvais qu’apprécier. Entre eux, c’est une histoire d’amitié digne d’enfants, avec leur franche complicité et leurs disputes de cour de récré. Si vous aimez ce duo, vous ne pouvez qu’adhérer.
Comme d’habitude, Alexandre Astier nous livre un opus drôle, bien écrit et au dénouement inattendu.
Je n’ai pas la suite en ma possession, mais je l’ajoute à ma liste d’achat sans hésiter !
J’ai adoré cet opus. Pas seulement pour les dessins toujours aussi beaux, l’histoire toujours aussi sympa et l’humour omniprésent. J’ai adoré le message de cet album.
Perceval se révèle sous son meilleur jour, celui de l’homme qu’on prend pour un enfant borné et idiot, et qui pourtant ne perd jamais confiance en lui. Il s’agit d’après moi d’un des personnages les plus complexes de la série, et c’est aussi mon préféré…
Je suis aussi admirative parce que j’ai vu un message derrière les mots, en ayant fait le parallèle avec nos « coutumes » modernes. Je ne saurai probablement jamais si M. Alexandre Astier l’a écrit dans ce but, mais en tout cas, j’applaudis des deux mains !
En clair, ce tome est mon favori de la série, pour le moment !
Au programme : une énigme à résoudre, un trésor à retrouver et une équipe pas toujours des plus compétente pour mener l’enquête ! Je ne sais pas pourquoi j’avais l’impression d’être dans un mélange de Kaamelott et de Scooby-doo… Hem.
J’ai moins apprécié cet opus que les précédents, même si l’histoire est sympathique et toujours aussi bien écrite. Les dessins sont toujours aussi bons, la trame bien ficelée. J’ai retrouvé aussi avec plaisir le duo Perceval (moins con qu’il en a l’air) et Karadoc (moins… ah non). Au final, c’est peut-être juste la place moins importante accordée aux vannes qui m’a chagrinée.
En résumé, je dirais que c’était un bon tome, même s’il m’a moins convaincue. J’enchaîne avec le quatrième !
Et je n’ai pas été déçue !
Le schéma est semblable au premier tome : un ennemi de Kaamelott se retrouve confronté aux drôles de Chevaliers de la Table Ronde, et nous avons le plaisir de croiser un large panel de personnages.
Je suis fan du duo Arthur / Léodagan, et bien sûr, le fait de suivre un peu plus Perceval et Karadoc est un bonheur sans nom !
Je n’ai pas trop envie de vous spoiler, alors je vais essayer de rester vague ; une cascade de rires, des péripéties, toujours autant de la fameuse recette signée Astier ! J’ai adoré la trame, l’écriture, les dessins… On retrouve l’authenticité de la série et c’est un régal !
En bref, encore un super opus. Viiite, le tome 3 !!
Comme le précise le résumé, il s’agit d’une histoire inédite, donc jamais racontée dans la série télévisée. Cet album fait une cinquantaine de pages, mais garantit une immersion totale dans la série qu’on chérit tant ! On croise beaucoup de nos personnages favoris, sans pour autant les dénaturer (ce qui n’est sans doute pas évident en si peu de temps).
De plus, les dessins reprennent les physiques des acteurs ; c’est simple, j’entendais leurs voix dans ma tête !
Et évidemment, la plume d’Alexandre Astier est fidèle à elle-même : drôle, habile, intelligente. Je me suis régalée et je compte bien lire les autres albums !
Côté histoire, c’est toujours riche en action et rebondissements. On apprend ce qu’est devenu Narnia après le départ de Peter, Susan, Edmund et Lucy, et de nouvelles surprises nous attendent !
Les nouveaux personnages sont attachants et, malgré leurs noms étranges, ont des caractères assez marqués pour être identifiés rapidement. Les quatre enfants ont bien évolué et j’ai bien aimé le nouvel Edmund, plus mature et proche de son frère et sa soeur (un peu moins de Susan).
En bref, j’ai bien aimé ce quatrième tome et j’espère que les autres maintiendront ce regain d’intérêt pour la série !
Les nouveaux personnages sont à la hauteur de ce qu’on attend de l’auteur (haha), surtout un. Je ne dirai rien, si ce n’est : #TeamFierro. Ça fait du bien de voir des caractères, des personnalités aussi hétérogènes ! Cette impression est peut-être renforcée par l’apparition de plusieurs races dans le roman (nains, elfes, géants, divinités, boucs)…
J’ai retrouvé avec grand plaisir le style et l’humour (présent en toutes circonstances) de l’auteur. Je suis toujours autant charmée, et captivée par ses histoires…
Je ne sais pas encore si je vais enchaîner immédiatement avec le dernier tome, mais il est évident que je n’attendrai pas longtemps avant de partir avec Magnus pour l’ultime étape du voyage !
J’ai eu la chance de lire en exclusivité ce tom(m)e 1 complètement déjanté, alors je remercie sincèrement les auteures pour ces moments de pur délire !
Le roman se compose de plusieurs enquêtes, tels des épisodes de [ entrez la série policière de votre choix ]. Il y est beaucoup (beauuucoup) question de fromages, mais je vous déconseille de vous faire une raclette en accompagnement de ce livre : aucun détail ne nous est épargné ! Bon, il faut dire que le style des auteures et leur humour (douteux) aide largement à la lecture de ces scènes. Alors certes, il y a des meurtres, du sang, des… hem, mais l’histoire se tient – aussi farfelue soit-elle -, et il n’y a pas que ça ! Suspense.
Les protagonistes sont tous (dingues) uniques, dotés d’une personnalité détonante et d’une répartie fabuleuse, et on s’attache à eux malgré leurs (nombreux) défauts. On a envie de les avoir dans notre vie alors qu’on ne les supporterait pas plus d’une heure… Bref, c’est un florilège de caractères et étonnamment, ça fonctionne, et on en redemande !
Des vannes, des références, des jeux de mots à Tyr-larigot (quoi ? Moi aussi, j’ai le droit !)… C’est ce qui vous attend si vous partez à l’aventure avec cette équipe de bras cassés !
Malheureusement, on m’a promis encore plus dans le tomme 2, alors je réserve le rang "Or" pour le prochain… Sans rancune, les filles !
Je craignais que l’histoire en elle-même tourne autour des deux amants de Mila, mais pas du tout : elle ne s’arrête pas à la tromperie. À la place, on découvre les univers respectifs de M. & Mme Torres et, peu à peu, le passé qui les lie, puis celui qui les sépare. Les différents obstacles qui se mettent entre eux ne viennent pas de nulle part, ce qui est une très bonne chose ! J’ai bien aimé le fait qu’on en apprenne beaucoup sur le fonctionnement de l’entreprise de Julian et finalement assez peu sur l’agence de Mila : ça respecte le problème du couple, et en plus, ça prouve que l’auteure a bossé son sujet ! Bravo !
Je ne m’attendais pas à autant d’événements en lisant le résumé, ça m’a agréablement surprise. Les protagonistes bougent, vadrouillent, voyagent… Bref, ils VIVENT, quoi. C’est agréable de ne pas sentir que ce ne sont que des personnages : on n’est pas dans un huit-clos, ils rencontrent d’autres personnes qui, elles aussi, ont des vies. Je pense que c’est un point important à souligner car tous les auteurs ne prennent pas garde à ça.
D’ailleurs, la plume de Céline Langlois-Bécoulet est toujours aussi agréable, idéale quand on veut un roman léger et sans prise de tête. Attention toutefois : le livre contient plusieurs scènes de sexe explicites. Public averti !
En conclusion, je dirais que ce fut une bonne lecture, prenante et intéressante ! J’ai hâte d’avoir le prochain livre de l’auteure entre les mains !
L’histoire en elle-même est un peu rocambolesque… Il y a eu plusieurs passages durant lesquels j’ai froncé les sourcils, me demandant où l’auteur voulait en venir. Pourtant, je me suis laissée emporter facilement par sa plume ! Un style contemporain, agréable et parfois poétique. Les descriptions sont très bien faites, on s’y croirait !
Les personnages ne sont pas nombreux mais portent le récit avec brio. Chacun ajoute un petit plus et on se rend compte à la fin que rien n’est fait au hasard. On ressent la détresse de Rose et les sentiments de Gabriel sont décrits avec justesse. Maggie est plus difficile à cerner, ce qui est en parfaite osmose avec son histoire. Enfin, j’ai été plus que séduite par le couple secondaire, Mel et Anton, ce dernier étant attachant au possible ! Pour moi, il vole parfois la vedette aux personnages principaux et ce n’est pas désagréable.
La fin m’a encore une fois surprise, et m’a fait constater la malice de l’auteur… C’est un récit mené avec habileté. Très court, mais avec la dose idéale de romance, d’humour et de péripéties pour en faire un très joli roman contemporain !
Pour les deux du fond qui ne suivent pas, Harry a donc passé un été plus que pénible chez les Dursley. Son soulagement est pourtant de courte durée car à peine de retour dans le monde sorcier, il apprend qu’un dangereux criminel s’est évadé de la prison Azkaban.
Bien évidemment, j’ai adoré prolonger mon séjour à Poudlard. Cet opus est plus sombre que les précédents, mais aussi plus mature. L’humour est cependant toujours présent et le style de J.K. Rowling permet de savourer chaque scène comme si on y était !
L’ombre planant sur Harry tout au long du livre nous garde en haleine du premier chapitre au dernier. Comme toujours, il est en danger, même si ses amis sont plus ou moins présent pour le soutenir. D’ailleurs, je viens de me rendre compte que je considère un peu Ron et Hermione comme le Diablotin et l’Ange perchés sur les épaules de Harry… Inutile de préciser qui il écoute le plus souvent.
Cette sensation d’oppression est renforcée par les prédictions de cette très chère Sybille Trelawney, les tentions évidentes entre Rogue et le mystérieux Remus Lupin et les gardiens monstrueux de l’école.
Par contre, dans ce livre, on en également apprend davantage sur la mort des Potter, ainsi que sur le passé de James. C’est seulement une mise en bouche, mais comme elle met en scène les Maraudeurs, c’est juste parfait !
En conclusion, j’ai encore plus aimé ce tome 3 et ne compte pas attendre très longtemps avant de passer au suivant !
Cette année, nos amis sont confrontés à une nouvelle menace, celle d’un monstre rôdant dans le château pour se débarrasser des sang-mêlés. Le doute s’installe chez les étudiants : Harry est-il aussi innocent qu’il le prétend ?
Encore une fois, la plume de J.K. Rowling est un régal. Les pages défilent toutes seules, le ton est certes Jeunesse mais tout aussi captivant pour les adultes. Les révélations sur Harry et ses proches se font petit à petit, laissant au lecteur le temps de savourer un suspense parfait. C’est une lecture détente, avec de l’humour et de nouveaux personnages toujours aussi intéressant, et bien sûr une intrigue à la hauteur du premier opus !
Dans ce livre, on aborde l’un des points qui, d’après moi, ont fait de Harry Potter une grande Saga. Avec les attaques répétées des sorciers n’ayant pas le « sang-pur », on se trouve confronté à un défaut de notre propre civilisation : le racisme.
Bien sûr, ce thème est déjà abordé dans Harry Potter à l’école des sorciers, avec le clivage Dursley/monde des sorciers ou encore Weasley/Malefoy. Ce dernier est d’ailleurs repris avec une tout autre dimension, puisqu’on se rend compte que ça ne concerne pas que les enfants mais également les parents. Je suis contente de redécouvrir cette histoire avec le recul, mon regard d’adulte me permettant de mieux comprendre ce que dénonce l’auteure.
En conclusion, j’ai encore passé un moment magique à Poudlard, et j’ai hâte de passer à la suite !
Dans ce roman, on suit donc le quotidien de David, professeur d’Histoire au lycée. Afin de capter l’attention de ses élèves, il décide de les faire travailler sur la mythologie grecque, et plus particulièrement sur Zeus, le plus important des dieux de l’Olympe, et ses plus proches. Lui-même passionné, il n’a aucun mal à transmettre sa passion et nous assistons à ses différents cours.
Les récits des mariages de Zeus, ses conquêtes, certaines épopées des héros ainsi que les petites digressions du professeur sont bien amenés et expliqués. La plume contemporaine est fluide, agréable. Le style est simple et à la portée des débutants en mythologie. Beaucoup de références à la culture populaire m’ont fait sourire et j’ai appris certaines choses même si, dans l’ensemble, je connaissais la plupart des histoires.
Là où je n’ai pas trouvé mon bonheur, c’est dans l’intrigue secondaire. Enfin, la vie privée de David, plutôt. J’aurais beaucoup aimé en savoir plus sur lui, même si c’est un parti pris de l’auteure de se concentrer sur Zeus. Le livre n’étant pas très long, je pense qu’il aurait mérité qu’on s’attarde un peu plus sur lui, les origines de sa passions, etc. Je trouve dommage que ce soit autant survolé.
En conclusion, si vous êtes curieux et que la mythologie grecque vous inspire, ce livre est fait pour vous !
Je ne lis que très peu de Bit-lit, c’est un genre qui ne m’attire pas plus que ça et je ne peux donc le comparer qu’au premier tome.
Au début, on retrouve assez peu ses personnages (hors mis Varik, ennemi publique numéro un et donc incontournable), mais au fur et à mesure, on retrouve certains « anciens » et ça m’a plu (même si j’aurais apprécié plus de L&D, mh…). Si l’histoire tourne autour de deux protagonistes, les autres sont mis en avant tour à tour. Comme toujours, je n’ai pas aimé l’héroïne… Je suis très difficile, donc rien d’étonnant là-dedans. Cependant, les autres rattrapent relativement bien ce détail et ont su me faire passer outre mon envie de la baffer.
Il est précisé à l’arrière du livre qu’il peut être lu indépendamment du premier. Certes, il peut… Mais je trouve quand même que le mythe -revisité- du vampire est plus largement expliqué dans D’amour et de Sang, donc je vous conseillerai quand même de commencer par ce dernier si vous souhaitez approfondir l’univers. C’est un petit bémol d’après moi, mais je le signale quand même.
L’histoire est bien amenée et apporte une réelle réponse à des questions soulevées dans le premier tome. J’aurais aimé que ce soit plus long, notamment un passage en particulier (pour ne pas spoiler), mais ça reste un bon point. La plume est simple et efficace, c’est une lecture sans prise de tête ! Néanmoins, à cause de certaines scènes, le roman est destiné à un public averti. Encore une fois, c’est un livre à ne pas laisser entre toutes les mains, mais je dirais que si vous êtes majeur, aimez la bit-lit et la romance (+), ça pourrait vous plaire !
En résumé, encore un chouette moment en compagnie de ceux qui ont les crocs (oui, elle était facile), et une conclusion plus satisfaisante que le tome précédent !
Tuer n’est pas une chose évidente, et quand vient le moment de se débarrasser du corps, on se rend compte que, finalement, le pire est peut-être à venir… On les avait abandonnées au fond de la Creuse à la fin de la Saison 1, et c’est là qu’on les retrouvera. Mais pas pour longtemps. L’aventure les démange et c’est PK qui, cette fois-ci, répond à l’appel de Big Ben… ainsi qu’à ses pulsions morbides.
Les galères s’enchaînent aussi bien en France qu’à Londres, si bien que PK et Saule méritent tour à tour la palme de la malchance. S’accusant à distance de tous les maux de la Terre, ces deux « meilleures ennemies » se sont parfaitement trouvées. Leurs échanges de mails sont chargés de toutes les tensions possibles entre deux potes de longue date, même si on envoie rarement les restes d’un corps même à ses très bons amis… Quoique, vous faites ce que vous voulez.
Pas le temps de souffler pour elles, ni pour nous ! Elles nous font voyager d’un côté de la Manche puis de l’autre, tirant chacune sur la couverture pour savoir quelle est la plus ingrate des deux. De mon côté, je n’ai toujours pas réussi à trancher, mais peut-être qu’avec le tome 3…
Kathy Dorl et Marie-Pierre Bardou signent là un nouveau quatre mains déjanté, surprenant et incisif (si j’ose dire). Comme dans le premier, on se demande laquelle des deux protagonistes on détesterait le plus si on était à la place de l’autre (comment ? Tout le monde ne se demande pas ça ?). C’est fun, bourré de répartie sanglante cinglante et d’humour à toutes les sauces (si si, toutes.), mais peu ragoûtant. D’ailleurs, juste un petit conseil : évitez de manger pendant votre lecture. Vraiment. Vous me remercierez plus tard.
Pour autant, je n’ai pas autant apprécié les personnages secondaires que dans le premier, et même si j’ai beaucoup aimé les jeux de mots et autres quiproquos avec la langue de Shakespeare, je les ai trouvés moins présents. J’ai lu ce tome 2 avec grand plaisir mais j’en attends encore plus de la dernière saison, c’est pourquoi je n’attribue pas toutes les étoiles…
4,5/5
Alors certes, c’est du jeunesse, je n’aurais donc pas dû m’attendre à grand-chose… Et ç’aurait été mieux comme ça. Parce que la BA est pleine de promesse, et je suis restée sur ma faim ! Si l’histoire est sympathique et bien écrite, les personnages sont peu attachants et le héros n’a pas réussi à m’attendrir. Je ressors de cette lecture mitigée, peut-être parce que l’ai trop comparée à d’autres (Harry Potter et Narnia, principalement).
Le livre est court et se lit rapidement, donc si l’intrigue vous plaît vraiment et que le Jeunesse ne vous rebute pas, laissez-vous tenter… évitez seulement de regarder la bande-annonce en premier !
Je me suis lancée avec curiosité dans cette nouvelle lecture, Le message des loups, qui semblait justement allier les deux.
Certaines choses nous parlent plus que d’autres, bien sûr, mais ce sont des conseils, des astuces et des clés de vie qui nous sont livrés à travers ces pages. Qu’on soit déjà initié à ce sujet ou non, les outils du développement personnel sont dépeints au fur et à mesure de la lecture.
L’auteure nous ouvre peu à peu les portes de son univers, ou plutôt de l’Univers. À mi-chemin entre spiritualité et psychologie, Nathalie D. nous livre un enseignement tiré de son expérience personnelle. Son style d’écriture est agréable ; si elle n’avait pas précisé qu’il s’agissait de son premier livre, je ne m’en serais pas rendu compte !
Le texte est entrecoupé d’illustrations et de photos. Je trouve qu’elles auraient gagné à prendre davantage de place dans la version numérique ; peut-être est-ce le cas dans la version papier.
Les chapitres et leur développement sont bien pensés. J’ai aussi beaucoup aimé le fait que, dans la dernière partie de l’oeuvre, des pistes nous soient données pour « la suite du voyage » sur le chemin spirituel.
En conclusion, je trouve que c’est un bel ouvrage pour débuter sur ce chemin, même si les plus connaisseurs apprendront aussi des choses. Je suis très satisfaite de ma lecture et je la recommande !