Commentaires de livres faits par Leomaster
Extraits de livres par Leomaster
Commentaires de livres appréciés par Leomaster
Extraits de livres appréciés par Leomaster
Je conseille simplement une relecture (quelques fautes et des maladresses de style persistent) et peut-être de l'ancrer davantage dans un contexte historique afin de donner des repères familiers aux lecteurs/lectrices.
Je conseille simplement une relecture (quelques fautes et des maladresses de style persistent) et peut-être de l'ancrer davantage dans un contexte historique afin de donner des repères familiers aux lecteurs/lectrices.
Les parfums y jouant un rôle-clé, le monde est plutôt décrit par les odeurs que par ses formes et ses couleurs, c'est un exercice différent pour se le figurer (avis aux amateurs de défi !). Une carte aurait été un plus non négligeable.
Le scénario reste simple mais agréable, on manque seulement de cohérence temporelle (les 2/3 du livres se passent sur une seule journée ???) et aussi de quelques explications sur le background ou la psychologie des personnages.
Il reste hélas de nombreuses fautes, surtout des étourderies (confusion ou/où, majuscules inutiles, accords, mots manquants...) mais le travail de relecture semble ne pas avoir été fait.
Il reste un nombre trop important de fautes. Je conseille à l'auteur avant tout de changer "d'éditeur" (celui-ci n'assurant pas le service minimum) et ensuite de se faire aider d'un logiciel ou d'un tiers (amateur ou professionnel).
Mais est-ce réellement fini ? Avec Riordan, pas sûr. Entre la nouvelle prophétie pour Nico et Will, le conclave inter-panthéon de Chiron et les allusions aux dieux celtes, il s'est laissé des portes de sortie en vue de prochains romans !
Malheureusement, dans ce livre, ce n'est pas possible : on nous assomme dès le début d'une myriade de noms sans nous donner la moitié des explications nécessaires, et même en continuant elles ne viennent pas (ou très tard, ou partiellement).
Le style est aussi assez lourd, j'ai remarqué notamment l'absence régulière de virgules qui auraient été bien utiles pour impulser un rythme. En résumé, malgré des idées prometteuses, une sérieuse refonte serait nécessaire pour apprécier à sa juste valeur cette histoire.
Comme dans les autres volumes, la fin reste confuse. Elle est censée préparer le tome suivant mais, même sous prétexte de susciter des interrogations, ne devrait pas donner ce rendu un peu brouillon.
Sont aussi à déplorées quelques fautes de syntaxe ainsi qu'un singulier manque de descriptions (pour le contexte) et d'explications (pour le background). A titre personnel je regrette aussi l'emploi massif de la technologie moderne par un "peuple magique" censé avoir coupé les ponts avec nous depuis des millénaires.
Je dis ça mais... Autant je suis habitué à lire des gros romans, autant je trouve qu'il y a des redites dans celui-ci (quand un personnage explique à un autre ce qui s'est passé, on peut l'indiquer en deux phrases, il y a pas réellement besoin de TOUT réexpliquer, le lecteur a lu les chapitres précédents normalement). C'est son principal défaut. Ca et sa fin...
J'ai été un peu perdu au niveau du contexte, cela semble se passer sur Terre mais les lieux (cités ou visités) sont fictifs, ça aurait mérité d'être clarifié.
Hélas, comme très souvent dans le fantastique "adulte", l'auteur s'est cru obligé de pondre des scènes gores comme si c'était le seul moyen de donner du réalisme à son univers. J'ai acheté un livre, pas le JT de 20h...
et totalement inventée.
Au niveau du style, évitez ce livre si vous êtes un peu trop sensible ou empathique, on vire fréquemment dans le gore sans que cela apporte grand-chose mis à part un soupçon de vraisemblance. Et une relecture aurait été nécessaire pour corriger des défauts typographiques.
Ce n'est pas mon genre habituel et, en parfaite honnêteté, je suis dur à attendrir. Pourtant, je le confesse sans honte, je retenais mon souffle sur les derniers chapitres et la fin m'a profondément troublé, même si elle a un goût doux-amer.
Pour la manière dont le récit est mené, dont les personnages sont complexes, dont les sentiments sont gérés, pour la pointe de mystère sous-jacent tout au long du récit à la façon Musso ou Maupassant et pour cette fin, tout m'a étrangement évoqué un film d'animation japonais (Les enfants du temps, Si tu tends l'oreille, Your Name...)
Et par pitié... Les druides celtes n'ont JAMAIS utilisé les runes nordiques (tout porte à croire qu'ils ne furent pas contemporains). De même les Scandinaves, particulièrement stéréotypés ici, ne connaissaient rien au druidisme. Ils avaient leurs propres sorcières (völva) tandis que les druides utilisaient l'écriture oghamique. Mélanger ainsi deux cultures très différentes est une erreur hélas trop présente dans l'écriture fantasy.
Mention particulière aux descriptions, un réel plaisir qu'on est obligé de lire plusieurs fois pour bien s'imprégner des paysages que se tissent progressivement dans notre esprit.
Le final atteint un état d'équilibre, certes, mais il n'est pas satisfaisant du point de vue d'un lecteur : à quand le quatrième et dernier tome ?
L'amour prédestiné, pourquoi pas ? La relation impossible, un classique. Rien de gênant en soi, il faut une part de romance dans toute bonne histoire. Dans les premiers chapitres, j'ai cru que le côté cucul allait disparaître une fois l'histoire lancée. J'ai été fort déconfit en voyant que cela ne faisait qu'augmenter.
L'héroïne a le cerveau qui dégouline littéralement chaque fois qu'elle voit son amoureux, qu'il lui parle ou même qu'il sourit, sans parler des épithètes niais dont il se retrouve affligé. Et quand elle n'est pas en train de baver, elle multiplie les hésitations, persuadée qu'il la déteste puis qu'il l'aime puis qu'il est en colère puis elle re-bave... Bref !
Je déplore simplement que le jugement porté sur la gent masculine ne soit pas nuancé. Il n'y a pas QUE de sales types dans le monde, même au Moyen-Âge.
Niveau intrigue le scénario est bien ficelé. C'est surprenant qu'on apprenne déjà ce qui est arrivé aux parents Carstairs, je pensais que ça allait être le ressort de la série, donc je dois m'attendre à l'inattendu pour la suite avec peut-être une nouvelle protagoniste dévoilée en cliffhanger.
Evidemment, avec Cassandra Clare, la thématique de l'amour impossible est omniprésente. Il en faut, mais pas trop et là on tombe beaucoup dans le mélo. C'est mon seul reproche, comme pour la première série qui nous fait quand même bien poireauter pendant cinq tomes...
Et en parlant de ça : génial le petit extrait à la fin, mais on VEUT connaître la réponse de Clary ! Nous tourmenter ainsi est cruel.
Reste à faire un petit travail de forme, afin de rendre le style plus fluide et de gommer quelques défauts dans la structure ou dans l'orthographe.