Commentaires de livres faits par Leomaster
Extraits de livres par Leomaster
Commentaires de livres appréciés par Leomaster
Extraits de livres appréciés par Leomaster
Je déplore simplement que le jugement porté sur la gent masculine ne soit pas nuancé. Il n'y a pas QUE de sales types dans le monde, même au Moyen-Âge.
Niveau intrigue le scénario est bien ficelé. C'est surprenant qu'on apprenne déjà ce qui est arrivé aux parents Carstairs, je pensais que ça allait être le ressort de la série, donc je dois m'attendre à l'inattendu pour la suite avec peut-être une nouvelle protagoniste dévoilée en cliffhanger.
Evidemment, avec Cassandra Clare, la thématique de l'amour impossible est omniprésente. Il en faut, mais pas trop et là on tombe beaucoup dans le mélo. C'est mon seul reproche, comme pour la première série qui nous fait quand même bien poireauter pendant cinq tomes...
Et en parlant de ça : génial le petit extrait à la fin, mais on VEUT connaître la réponse de Clary ! Nous tourmenter ainsi est cruel.
L'originalité est assurément son point fort. Les douze duchés ont non seulement une vertu qui conditionne leur société mais des caractéristiques ou des pouvoirs spéciaux leur donnant de l'épaisseur. J'apprécie particulièrement les Sorguiens dont les cheveux reflètent les émotions. Et les scènes de combat sont remarquables, notamment la dernière.
En points susceptibles de gêner les lecteurs (qui ne sont pas négatifs pour autant), parlons de l'écriture assez empesée de tournures médiévales et du très grand nombre de personnages. J'ai été particulièrement ennuyé par les chapitres qui sont les lieux où cela se passe et n'indiquent pas forcément d'emblée qui est le protagoniste.
L'originalité est assurément son point fort. Les douze duchés ont non seulement une vertu qui conditionne leur société mais des caractéristiques ou des pouvoirs spéciaux leur donnant de l'épaisseur. J'apprécie particulièrement les Sorguiens dont les cheveux reflètent les émotions. Et les scènes de combat sont remarquables, notamment la dernière.
En points susceptibles de gêner les lecteurs (qui ne sont pas négatifs pour autant), parlons de l'écriture assez empesée de tournures médiévales et du très grand nombre de personnages. J'ai été particulièrement ennuyé par les chapitres qui sont les lieux où cela se passe et n'indiquent pas forcément d'emblée qui est le protagoniste.
Je préconise aussi de ne pas mélanger les mythes du monde sans le justifier (Zeus ne peut commander à un pucka ou à Hati et Sköll et Ornela ne peut les connaître, surtout si elle n'a jamais entendu parler des Ases...). Attention donc aux incohérences et aux erreurs historiques/mythologiques, en plus de certaines répétitions et de plusieurs anachronismes...
Bref un travail approfondi est nécessaire et pourtant j'ai acheté la version censée être une réédition corrigée.
Le principal problème du livre est qu'il est trop court. Le couple est joli mais la relation amoureuse ne se développe pas suffisamment et tombe vers la fin comme une évidence (néanmoins le choix des mots est magnifique).
Notre coeur oscille en permanence entre toute une palette d'émotions. Quand on croit que c'est fini, un nouveau rebondissement complique les choses. N'ayant pas peur de la taille du livre car il n'y a aucunes longueurs. Presque tout est parfaitement maîtrisé
La lecture est ralentie par de nombreuses lourdeurs, des répétitions et des maladresses, toutefois c'est excusable pour un premier livre.
Je déplore surtout une violence tout à fait excessive et n'apportant strictement rien à l'histoire. Comme s'il n'y en avait pas déjà trop dans le monde. Les ellipses, ça existe pour une bonne raison, les amis...
A titre personnel j'ai beaucoup apprécié l'humour parfois féroce de l'auteur, nous avons le même visiblement.
Et puis arriva Guenièvre qui, avant d'être la reine de Camelot, est la reine des casse-pieds. Sa niaiserie sans bornes lui fait répéter les mêmes paroles haineuses du début à la fin. C'est aussi par elle que la situation se dégrada sans espoir de retour et de fait on en retombe sur une doctrine très catholique, ce qui est assez paradoxal par rapport au reste de l'oeuvre.
Par contre ce premier tome est desservi par des maladresses et une typographie anarchique, qui empêchent de pleinement s'immerger dans le texte.
Le gros écueil que je redoutais mais qui a été évité avec brio, c'est une baisse de tension en milieu de livre lorsque des éléments déjà connus du lecteur doivent être appris par les personnages. Pas de soucis dans notre cas, l'ancienne ligne temporelle n'est pas entièrement absente et permet d'économiser des pages tout en créant certains télescopages intéressants.
Ce fut aussi un vrai honneur de rencontre Albert, Marie, Léonard, Alphonse et tant d'autres célèbres décédés !
Restent quelques maladresses et de petites fautes d'orthographe, excusables mais étonnantes pour un livre censé être passé par un éditeur.
C'est sur la fin, quand les choses se gâtent, que ça se gâte aussi pour la narration que j'ai trouvé bien moins prenante. Ça n’entache pas la valeur du livre mais j'ai été un peu déçu. J'attends la suite pour me faire un avis définitif.
Par ailleurs, il ne faut pas trop se fier aux informations géographiques données au début du livre, elles manquent de réalisme. Petit souci également avec le personnage de Chloris, huit ans, qui utilise des tournures de phrases que beaucoup d'adultes de ma connaissance n'utilisent pas...