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Commentaires de livres faits par LaLivrothequeblog

Extraits de livres par LaLivrothequeblog

Commentaires de livres appréciés par LaLivrothequeblog

Extraits de livres appréciés par LaLivrothequeblog

Un véritable coup de coeur pour ce roman de Marine Stengel. Une dystopie comme je les aime avec des personnages travaillés et une intrigue à couper le souffle ! L'ambiance et les différentes personnalités sont justement dosées et j'ai hâte d'en savoir plus ! J'adore les deux soeurs et le personnage de Jareck, comprendra qui pourra :P
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Légèrement déçue par cette suite, surtout par la fin beaucoup trop rapide à mon goût et quelques scènes prévisibles, le personnage qui se détache le plus c'est Rhysand, largement mais combien je l'aime !
Je continue quand même ma lecture car l'écriture est agréable, j'adore cette auteure et j'ai envie de connaître la suite ;)
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J'ai adoré ce roman ! Un gros gros coup de coeur pour la plume de l'auteure mais aussi pour son intrigue et ses personnages... j'écris ce message après avoir lu le tome 2, je suis fan d'un personnage qui sera développé plus tard, je n'en dis pas plus mais je vous invite à poursuivre !
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date : 31-10-2019
J'ai de suite été attirée par ce roman grâce au résumé, c'est tout à fait mon genre de lecture, mais j'en ressors mitigée... L'intrigue de base est bonne, le cadre est original, les scènes de meurtres sont superbes mais plusieurs points manquent de crédibilité pour moi. Je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages (à part Nyles) mais ce n'est pas ce qui m'a le plus dérangé: l'héroïne principale dans sa globalité et la fin, qui n'en est pas une alors qu'il y avait beaucoup de choses à faire...
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Quel plaisir de retrouver Léa et compagnie dans ce second tome de Léa et Paterson – Le jeteur de sors ! Je remercie l'auteure, Sylviane Blin, pour sa confiance et l'envoi , j'ai passé un moment très agréable !

Commençons par l'intrigue :
Dès que l'on pose les yeux sur les premières pages, l'on se rend compte qu'il s'agit d'un roman fantastique où la magie va prendre une très grande place. Ce qui m'avait particulièrement plus dans le tome précédent, était ce côté celtique, breton, apporté par Sylviane Blin. Et j'ai retrouvé cette petite touche dans ce tome-ci.

Le début nous replonge immédiatement dans le contexte. Cette fois, nos héros ont chacun repris leur quotidien en main jusqu'au jour tant attendu, celui de leur rentrée scolaire ! Une belle occasion pour entraîner et dompter les pouvoirs qu'ils ne maîtrisent pas encore ! Seulement, dès les premiers chapitres, l'on se rend compte que quelque chose va changer. Dans le cas présent, Laurelin est l'un des personnages qui m'a le plus surpris. Elle est devenue agressive, sombre, presque à en faire peur, mais personne n'en connaît la raison. Une bonne partie de l'intrigue va tourner autour d'elle et d'une mystérieuse cicatrice. Léa reste mon personnage préféré. Je pense que c'est la plus sensée dans cette histoire, peut-être est-ce dû au fait que c'est le personnage principal, mais je pense qu'elle aura une belle évolution dans la suite de ses aventures. Fagus est le comique de la bande, quant à Paterson, il reste fidèle à lui-même, même si je l'avais préféré dans le tome 1.
Suite à un événement dans le roman, les quatre amis vont retourner à Cornwand, je pense que c'est ce que tout lecteur attendait ! Pendant leurs vacances, les quatre amis vont faire des découvertes qui vont nous amener à comprendre le sous-titre : le jeteur de sors.

Je ne vous en dit pas plus, j'espère ainsi vous donner envie de plonger dans les pages de Léa et Paterson !

La plume de l'auteure :
Le rythme par chapitres est fluide, soigné. La plume de Sylviane nous permet de nous évader le temps de la lecture. Le vocabulaire est riche, varié et très imagé. Il en est de même pour les dialogues.

Il y a aussi de magnifiques descriptions, je pense notamment au voyage en train (l'un de mes préférés), la description d'une boutique remplie d'objets mystérieux, ou leur passage dans une pâtisserie. Ce sont des descriptions magiques, surnaturelles et très belles, qui ont fait que je n'ai eu aucun mal à plonger une nouvelle fois dans l'histoire.


Vient au tour des points positifs :
Les sens sont présents tout au long de l'intrigue ! Odeurs, vue, toucher... on a l'impression de vivre dans le roman aux côtés des personnages. Je pense qu'un enfant ou un adolescent pourra se sentir très proche de Léa et de ses amis !
Le partie académique, j'adore ce genre de roman qui mélange apprentissage et magie ! Ce deuxième tome m'a rappelé l'univers de Little Witch Academia, un anime japonais que je ne me lasse jamais de regarder, tout comme je ne me suis pas lassée de lire ce roman !
Les personnages et leurs interactions qui évoluent fluidement. Je n'ai pas trouvé de grog gros changements dans leurs personnalités, exceptant Laurelin. Chacun reste fidèle au tome 1 et c'est très appréciable.
La menace et le danger qui planent continuellement au-dessus de leurs tête sans être trop présents. Il y a des révélations, des rebondissements, de l'action mais juste ce qu'il faut.
La construction du monde, de plus en plus complexe et magique.
Certains détails, comme les déplacements via la cheminée ou certains cours m'ont fait penser à Harry Potter. Seraient-ce des clins d’œil ? :)
Les créatures nombreuses et diverses : fées, elfes, farfadets, gnomes, chevaux ailés, cocatrix, leprechauns, mandragores...
L'aura de Recto et Verso Surmulot et le personnage d'Elmons que je trouve vraiment attachant.
Le fait qu'il soit accessible à la jeunesse ainsi qu'aux adultes est un gros point positif ! Je pense que n'importe qui peut lire les aventures de Léa, ce sont des romans très accessibles !


Je ne peux hélas pas en dire plus, faute de quoi je spoilerais une grande partie du roman, donc je vais m'arrêter ici pour cette chronique. Ça a été une belle découverte, même si j'avais déjà lu le tome 1, j'ai l'impression d'avoir plongé dans une toute autre aventure en gardant l'univers et les personnages, en sera-t-il de même pour le tome suivant ?


Pour conclure, une belle énergie entoure ce roman. Entre voyages insolites, magie, une touche d'humour et une, plus grande, d'aventure et d'amitié, je vous conseille de découvrir ce second tome les yeux fermés ! Une véritable histoire fantasy qui saura plaire aux plus jeunes comme aux plus grands ;)


Extrait 1 :
« La nuit commençait à tomber, mais toutes les boutiques et maisons étaient allumées. Le village était déjà décoré pour la fête de Samonios. Excepté la pluie d’étoiles filantes et le ballet des feuilles scintillantes, tout était comme Grégor l’avait décrit. Les trottoirs étaient parsemés de citrouilles évidées à l’intérieur desquelles les flammettes se déhanchaient. Quelques guirlandes de coloquintes fluorescentes étaient disposées autour des meneaux.

La joie et la bonne humeur régnaient sur le village, à entendre les rires et les chants des habitants à l’intérieur des maisonnées. De l’autre côté des remparts du village, l’on pouvait entendre le son mélodieux de la flûte de la jeune paysanne. Ils restèrent un moment, la bouche ouverte, émerveillés et heureux de se retrouver tous ensemble à Cornwand. Ils avaient tellement attendu ce moment avec impatience. »


Extrait 2 :

Un lourd battement d’ailes commença à se faire entendre. Le ciel étoilé prit une teinte orangée, tandis qu’un cri strident retentit dans la vallée. La musique s’intensifia lorsque Bobraise, l’oiseau de feu, passa au-dessus de la place. Les étoiles commencèrent à filer, se transformant en une pluie scintillante. Les oiseaux déployèrent leurs ailes et se mirent à planer au rythme de la musique. Un vent agréable et tiède se leva, amenant avec lui une myriade de feuilles étincelantes. Les fées lutines se rassemblèrent en tourbillonnant un instant avant d’aller se poser sur les feuilles virevoltantes, donnant encore plus d’éclat à ce spectacle époustouflant.
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​Je remercie avant tout Pauline Deysson qui m'a de nouveau confié un de ses précieux romans, le deuxième tome de sa saga : La Bibliothèque.
La Bibliothèque raconte l’histoire d’Émilie, qui doit apprendre à lire et à écrire afin de faire à nouveau rêver les hommes. Mais rêver est-il encore possible, dans un monde où les livres n’existent plus ? C’est le début d’une longue quête, pleine de mystère et d’émerveillement…

Le roman en lui-même :

Le livre est magnifique : épais, de qualité, superbement illustré et possédant une carte du monde où évolue le personnage principal. Je dois avouer qu'au début je ne comprenais pas très bien les différents éléments de la couverture, très artistique et dans les tons bleus, mais au fur et à mesure que je suis entrée dans la lecture, tout s'est éclairé et je trouve qu'elle correspond parfaitement à « Vivre » ;)
J'ai eu tellement de plaisir à retrouver l'univers de la Bibliothèque ! Le tome 1 m'avait tellement marqué et impressionné par sa richesse et son intrigue, que je n'ai pu résister à cette suite, gentiment proposée par l'auteure.

Dans ce tome 2, divisé en cinq chapitres, nous retrouvons certains codes et quelques rappels de « Grandir » (comme certains éléments du technomonde) mais l'univers est devenu beaucoup plus Fantasy, un peu à la Game of Thrones où les personnages évoluent dans un monde divisé en plusieurs royaumes qui se font la guerre ou cherchent à former des alliances. Les intrigues possèdent elles-mêmes des sous-intrigues qui s'emboîtent parfaitement, comme dans un puzzle géant. Je ne m'attendais pas du tout à une suite de ce genre, la surprise a été plus qu'agréable !

Le début :

Il m'a séduit avec une facilité déconcertante. Dès les premières lignes, je suis entrée dans le récit, comme l'aurait fait un quatrième rêveur. Tout le reste s'est déroulé comme un film. Lire un livre, lu par le personnage qui lit lui-même une autre histoire, est quelque chose que je n'ai pas forcément l'habitude de lire, mais que j'apprécie particulièrement.
Il m'a fallu une petite période d'adaptation pour mémoriser les nombreux personnages, leurs rôles dans cette nouvelle intrigue, les différents royaumes et politiques de chacun. C'est pour vous dire combien « Vivre » est riche ! Je n'en attendais pas moins de l'auteure et de cette suite.

Les personnages :

Ils sont très nombreux au point que je n'ai même pas tenté de les compter, mais ce que je peux affirmer c'est qu'ils sont réalistes, et certains plus agréables que d'autres. Nous retrouvons deux personnages du tome 1. Si vous l'avez lu, je pense que vous vous doutez bien de qui je suis en train de parler. Comme leurs apparitions sont peu nombreuses, pour cette fois, je vais uniquement parler du personnage principal qu'est Émilie.
Émilie est plus âgée et elle est privée de son corps et de la parole. Cela m'a tellement frustrée! Bloquée par une entité qu'elle appelle l'Autre, elle va entamer le début d'un long périple aux nombreux rebondissements. Je l'ai trouvée plus rebelle et attachante dans cette nouvelle aventure. Ses actions la conduisent à certaines situations et a de nombreux choix qui font que l'on s'identifie mieux à elle dans Vivre que dans Grandir (c'est à ce moment-là que l'on réalise que les titres ont été bien trouvés). Elle est de même plus mature et surmonte de nombreuses difficultés. L'auteure ne l'a vraiment pas épargnée dans cette intrigue.

Le style et le contenu du roman :

Pauline Deysson maîtrise l'art de la métaphore, de l'histoire, de la langue et de la philosophie. L'on remarque tout de suite qu'il y a une véritable réflexion sur l'écriture, les dialogues et les descriptions. Je ne sais pas combien de mois (peut-être années) de recherches a dû effectuer l'auteure pour imaginer et produire un roman de cette qualité-là. Je pense qu'une personne dotée d'une culture générale excellente profitera de ces romans (tomes 1 et 2) davantage que moi. J'ai repéré pas mal de clins d'oeil par-ci par-là, surtout à la grande littérature, mais pas dans leur totalité, j'en doute fort.
​Les descriptions des différents pays sont sublimes. Il me reste encore des images en tête. Ma lecture est terminée depuis plusieurs jours, mais j'ai encore l'impression d'être plongée dans ce deuxième tome. Le tout est fluide, généreux. Le vocabulaire est riche, la plume de l'auteure est vraiment belle et délicate. On sent son amour pour les livres et la littérature. Je n'ai rien à rajouter là-dessus.

Les points forts:

- L'évolution d'Émilie.
- Les différents genres littéraires qui complètent Vivre. Le premier tome était plutôt dystopique, le côté science-fiction et le côté merveilleux/Fantasy m'avaient beaucoup plu. Ici, c'est la Fantasy qui domine largement avec de nombreux sous-genres.
- Le personnage du roi d'Abyss, assez complexe et travaillé, qui est finalement un de mes préférés ;)
- Le fait de m'être fait tromper plusieurs fois, car il m'arrivait d'oublier qu'Émilie rêve. Parfois même d'oublier la présence de l'Autre.
- Les nombreux rebondissements ! On ne s'ennuie jamais dans ce second tome, il y a toujours quelque chose qui nous frustre, nous étonne ou nous donne envie de poursuivre la lecture :) Action, aventure, histoire, romance, trahison et j'en passe !
- La plume de l'auteure ! J'ai eu l'impression d'avoir un petit bijou dans mes mains en lisant Vivre.
- Les nombreuses questions que je me pose encore, surtout autour du personnage de Jean ! Si je m'en souviens bien, il reste encore trois autres romans et je ne préfère pas imaginer ce que vont réserver ceux qui s'intitulent "Mourir" et "Rêver".
- Les deux derniers chapitres m'ont également plu, notamment la partie où Émilie rencontre les Ingalais.
- J'ai particulièrement apprécié une chose : la mythologie de ce roman. J'aime beaucoup la mythologie grecque et égyptienne, mais mon côté auteur ne se serait jamais lancé dans un roman aussi complexe. Il y a un véritable travail sur la construction, les squelettes de chaque pays. Chacun possède sa propre histoire, son art, sa science, sa religion, ses paysages...

​​Conclusion :

Ce roman est un véritable voyage, une formidable distraction que j'ai savouré lentement (vu l'épaisseur). Je ne dis pas cela pour souligner un aspect négatif, je suis une lectrice qui préfère prendre son temps pour lire et apprécier chaque détail d'un livre, surtout quand il est aussi bien écrit.
Comme vous l'aurez compris avec cette chronique, je recommande vivement cette lecture ! De mon côté, je vais attendre la suite de la saga. ​Avec la Bibliothèque, nous découvrons dans son intrigue le pouvoir des livres et des rêves, mais plus j'avance dans les tomes, et plus je me dis que ce sont les romans de Pauline Deysson qui sont magiques ;)


N'hésitez pas à faire un tour sur le site de l’auteure, ici → http://www.paulinedeysson.com/
​Vous pourrez y retrouver toutes ses actualités, des informations sur ses romans déjà parus, puis de nombreux articles très divers. Bon voyage !
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date : 30-05-2018
​Ce n’est pas la première fois que je lis un témoignage comme Survivre. Je ne sais pas bien comment commencer une chronique littéraire pour un roman de ce genre, car il ne correspond pas aux critères « normaux » que je peux me fixer pour rédiger un avis. Je ne peux pas parler des personnages et dire « ah tiens, j’ai préféré celui-ci, ou celui-là », « oh, les descriptions sont superbes » avec la même légèreté qu’un avis sur un roman Fantasy ou contemporain.

Je remercie déjà Stéphanie Bardou, qui m’a confié son livre, je dirais presque, son journal intime, sa thérapie, comme elle le dit si bien. Un livre dont la lecture m’a vraiment bouleversée.

Stéphanie Bardou décrit dans Survivre un témoignage sur la violence conjugale. Un thème d’actualité que je ne vais pas développer ici.

J’ai trouvé que l’auteure a su correctement aborder un thème aussi difficile et poignant, elle a su trouver les bons mots sans aucune violence. J’ai trouvé d'une élégance ! D’une simplicité remarquable, et j’ai trouvé que c’est ce qui rend ce roman encore plus « fort » émotionnellement parlant. Cela ressemble effectivement à une thérapie. Le lecteur devient en quelque sorte un psy auquel l’auteur se confie.

L’histoire est divisée en plusieurs parties : Le moment où la famille a basculé, la prise de conscience, le passé, présent et avenir de l’auteure et de son frère, puis les mots que Stéphanie Bardou adresse à ses lecteurs. Des étapes différentes qui sont développés de façon très fluide, de façon à ce que le lecteur ne se perde pas en cours de route.
Je ne m’attendais pas à vivre une expérience pareille, Survivre est riche en émotions. J’ai été touchée par cette histoire, celle de la fuite d’une mère et de ses deux enfants qui vont devoir cohabiter et se confronter à des difficultés de la vie quotidienne.


Il serait un peu délicat de vous recommander ce livre comme n’importe quel autre, mais je le conseille très fortement. Tout comme l’auteure, je pense qu’il pourrait aider certaines personnes à faire leur propre thérapie. Encore un immense merci, Stéphanie pour l’envoi de ce témoignage.
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Avant tout, je tenais à remercier les Éditions de la Caravelle pour ce SP obtenu en partenariat avec le site SimplementPro. Néo-monde est une de leurs premières parutions, et après l’avoir lue, je leur souhaite un bel avenir ainsi qu’à leurs auteurs.

Analyse :

Néo-Monde est une saga post-apocalyptique sur fond de dystopie. J’ai été tentée de lire ce roman grâce à la quatrième de couverture. C’est tout à fait le genre de livre qui m’attire en général, et dans celui-ci, les promesses ont été respectées.
Néo-monde raconte l’histoire de Karl, un personnage qui se réveille dans un monde qui lui est inconnu (ou c’est ce que l’on croit aux premiers abords). Un monde avec des conditions de vie que je ne souhaiterais jamais connaître : des températures glaciales, peu de chances de survie, des paysages hostiles, des ennemis… et j’en passe. Suite à sa rencontre avec Luke, celui-ci cherche à retrouver sa famille en passant par de nombreuses péripéties.

PS: Un voyage, un personnage qui a tout oublié, des menaces, des conditions de vie extrêmes... c'est tout ce que j'aime !

J’ai eu un peu de mal à accrocher, au tout début, même si j'ai adoré le prologue. Le temps de rentrer dans l’univers de l’auteur, de m’approprier ce monde et ses protagonistes, ainsi que les messages que l’auteur a voulu transmettre à ses lecteurs, j’ai fini par être immergée dans Néo-monde que j’ai bien apprécié globalement.
Ce premier tome m'a légèrement fait penser à la trilogie de L'élite de Joelle Charbonneau et à Les enfants de Pangée de Stephanie Aten, des romans que j'ai chroniqués et que vous pouvez retrouver sur le blog. Ce n'est pas tellement l'intrigue, mais l'ambiance apocalyptique qui se degage, ainsi que la force des éléments naturels qui fini par prendre le dessus qui m'a fait penser à ces deux romans. Puis, bien entendu, le point de vue des personnages alterné.

Personnages :

Dans l’ensemble, les personnages m’ont semblés très crédibles et complexes. Celui de Karl, ainsi que celui de Luke, mes préférés, sont très travaillés et possèdent chacun une psychologie qui leur est propre.
C’est l’un des grands points positifs de ce roman, selon moi. Pour ne pas dire le plus grand.

Plume :

J’ai bien aimé la plume de l’auteur. Elle est très soignée, et devient plus fluide au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire. Le vocabulaire est très divers et les descriptions sont formidables, bien que nombreuses, et parfois lentes. On sent que c’est un style masculin et plutôt mature.

Descriptions :

Parfois nombreuses et lentes mais nécessaires, ou plutôt rapides quand j’aurais préféré plus d’explications ou plus de dialogues…, mais agréables tout de même et encore plus une fois que l'on rentre dans le roman.

Points positifs :

Prologue accrocheur.
Les personnages de Néo-monde qui sont superbement travaillés. Et leur point de vue.
La plume de l’auteur que je vais suivre de plus près.
L’intrigue bien développée avec sa quête, ses conflits, ses rebondissements et de l’action (violente), très présente.
L’univers riche et l’originalité des noms fantasy.
Suspense bien maîtrisé, notamment pour la fin ;)

​Conclusion :

Néo-monde reste un beau voyage à faire dans la vie d’un lecteur. Si, comme moi, vous aimez les dystopies et les romans qui passent un message, avec une touche de science-fiction, je vous invite à découvrir l’intrigue et la plume de Teddy Roch, publié aux Éditions de la Caravelle.
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Je ne peux même pas décrire dans son ensemble tout ce que l’on vit en lisant ce premier livre des aventures de Keleana. J’ai absolument tout dévoré, l’histoire est tellement addictive que l’on ne voit pas le temps passer.
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Le prologue m’a conquise dès le départ. Il est fort, émotionnellement parlant. C'est ce genre de début qui réussit à m'embarquer dans une lecture. Et je ne vais pas tarder à découvrir qu’il en sera de même tout au long de Listen to your heart.

L’histoire :

L’on suit en parallèle (en double narration) l’histoire des deux personnages principaux, Lilian et Grace. Ces deux personnages ne se connaissent pas, même s’il existe une certaine connexion entre eux. Chacun possède un passé plus ou moins douloureux, et, parfois, leur présent l’est tout autant.

Les personnages :

Grace : Grace, personnage principal féminin, 35 ans. Elle a un franc parler incroyable. Je l’ai particulièrement apprécié grâce à son évolution et aux touches d’humour dont elle fait preuve dans les dialogues. Son mari est un parfait « connard », excusez-moi le mot, mais si vous lisez ce roman, vous comprendrez pourquoi je dis ça. À ses côtés, Grace est une femme blessée et fragile. Une petite chose avec laquelle il peut jouer.

J’avais un peu retrouvé ce côté dans le Secret de Prespa du même auteur (lire la chronique ici).

Lilian : Lilian, personnage principal masculin, dix ans de moins (à peu près). Son enfance est tout sauf un conte de fée. Il a connu les foyers, le monde de la drogue, puis, celui de la prison. Une fois adulte, il se fait tromper par l’amour de sa vie alors qu’il s’apprêtait à la demander en mariage.

Ces deux personnages sont très attachants. Ils sont torturés à la fois par leur passé, mais aussi par leur présent. Je ne vous raconte pas comment ils sont connectés, je vous invite simplement à le découvrir par vous-mêmes ;)

Points positifs :

La double narration donne un côté dynamique au roman. J'ai toujours aimé avoir plusieurs points de vue. Le point de vue masculin étant le plus compliqué à écrire (selon moi), je trouve que l'auteure s'est très bien débrouillée !
L’ambiance est électrique dans la romance qui se développe. Je lis rarement des romances, donc j'ai vraiment été impressionnée par l'intensité et les émotions qui se dégageaient des personnages !
La lecture est très fluide, j’ai lu le roman en à peine deux jours. C'est assez efficace ;)
Les dialogues sont très nombreux et humoristiques. Ils m'ont fait rire à plusieurs reprises, puis, ce que j'ai aimé par dessus tout, c'est ce petit côté moderne avec les échanges par SMS ou par Facebook.
Les personnages secondaires jouent un vrai rôle dans cette histoire.
La fin m’a retournée dans tous les sens. Le suspense était au rendez-vous même si j'avais prévu un peu comment ça allait finir ;)

La plume :

L’écriture de Laeticia est douce par moments, puis, elle devient plus familière lorsque les circonstances l’exigent. L'auteure ne se contente pas d'écrire, elle raconte des histoires. Je pense que c’est pour cela que l’on parvient à s’attacher aux deux personnages principaux, peut-être même que certaines personnes s’identifieront à eux. En tout cas, la lecture est très intense, et dans mon cas, elle a été trop rapide.

La conclusion :​
Je pense que grâce à l’auteure, je pense que je vais lire des romances plus souvent ;)
Si vous aimez ce genre d’histoire, que vous êtes fan du genre, ou si vous aimez voir votre petit cœur torturé par un roman, je ne peux que vous conseiller Listen to your heart, je pense que vous y trouverez votre bonheur !



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date : 10-12-2017
Je tiens avant tout à remercier Reines de Cœur pour ce Service Presse, effectué via la plateforme Simplement.Pro

Commençons par le commencement :

Avant mon inscription à la plate-forme, je ne connaissais pas la maison d’édition Reines de Cœur. C’est en cherchant des romans Fantasy/Fantastique que je suis tombée sur une de leurs publications. Dès une première lecture, le résumé m’a énormément intriguée, je me suis donc permis de les contacter afin de voir s’il était possible d’obtenir le service presse de Blood Moon Origine, et à ma plus grande surprise, la maison d’édition a été très réactive !

Blood Moon, c’est quoi ?

Alors, j’ai appris, plus tard, qu’un premier tome (intitulé : l’Éveil) était sorti avant Origine, en 2016 si je ne dis pas de bêtises. Donc voici un court résumé du tome que je n’ai pas lu :

"Une vampire sans cœur rencontre une lycan maudite et solitaire. Au lieu de s’affronter ces deux femmes s’entraident et découvrent bientôt que leurs destins sont liés…"
Honnêtement, le mini résumé est pas mal ^^ Si l’envie vous prend, vous pouvez vous le procurer ICI

L’intrigue Origine, résumée par l’éditeur :

Ione est une ange qui veille sur une sorcière promise à un grand avenir. Elle guide la jeune femme accompagnée d’un médiateur démoniaque. Le jour où ce dernier disparaît, une ange déchue qui éveille d’étranges sentiments chez Ione le remplace…

ps: Sur le site de la M.E vous pouvez lire le premier chapitre

Ma surprise :

Je n’avais pas compris, au départ, que j’allais lire une romance F/F. C’est ma toute première lecture dans le genre, bien qu’il ne s’agisse pas du genre principal du roman, selon moi. Blood Moon est un mélange de romance, de Fantastique, de Paranormal, c’est un peu tout ce que j’aime au départ, et, finalement, j’ai été agréablement surprise !

Les personnages :

Ione : Ione est une ange. Je ne vous spoil pas si je vous dit que ce premier personnage est amnésique (c’est dit dans la quatrième de couverture !). Le passé de Ione la tourmente, car elle ne se rappelle de strictement rien. Tout lui a été retiré, son passé, son identité. C’est le personnage que j’ai préféré. Quelque chose se dégage d’elle, comme une aura que le lecteur peut percevoir, l’auteur a fait un boulot formidable dans sa conception.

Elvina : Elvina est considérée comme une sorcière. Je l’ai trouvée très attachante, plus que la plupart des personnages en tout cas, c’est celle qui ressemble le plus aux humains.

Hope : La Déchue. Hope déteste Ione, c’est tout ce qu’on sait au début, et je pense que je ne vais pas vous en dire plus, mais pour moi, c’est la plus complexe de la bande ;)

Ma lecture :

Le premier chapitre a été un peu confus pour moi. Comme on rentre directement dans l’intrigue, j’ai eu un peu de mal à me souvenir de qui était qui, ce qu’ils voulaient, ce qui se jouait sur le moment, mais après une seconde lecture de ce même chapitre, et surtout grâce au chapitre 2, j’ai été lancée.
J’ai beaucoup aimé l’ambiance générale du roman. Le monde de l’imaginaire et ses caractéristiques sont bien présents dans Blood Moon. Les rebondissements sont nombreux, l’action est présente, ça bouge tout le temps, il y a aussi différentes narrations, c'est très bien mené. Les fins de chapitres sont parfois à couper le souffle et comme je disais plus tôt, j’ai carrément eu l’impression que certains personnages possédaient leur propre aura, c’est vraiment quelque chose qui m’a frappé dans ma lecture. J’ai un peu cette même impression lorsque je lis la plume de Cassandra Clare, une de mes auteures préférées.

La plume de l’auteur :

Soignée, simple, le vocabulaire est divers, en somme, elle est efficace. Je n’ai eu aucune difficulté à me plonger dans ce bel univers. J’ai apprécié les personnages, leur caractère, les descriptions et les dialogues, qui ont souvent une petite touche humoristique.

Les points positifs :

Certaines scènes, comme le cadeau de bienvenue de Hope et les flash-backs.
L’écriture et les échanges entre les personnages, souvent ironiques au début.
Le personnage de Ione.
L’intrigue principale où certains sujets sont protégés par ce que l’on appelle les médiateurs. Un médiateur angélique et un autre démoniaque. J’ai trouvé cela très original.
Le personnage de Lucifer qui est un vrai plus.
La magie très présente pour mon plus grand plaisir et les créatures qui peuplent ce roman.

Un point un peu moins positif : C’est bête, mais j’avais deviné bien à l’avance quel serait THE révélation. Après, cela ne m’a pas enlevé le plaisir de la lecture ^^


Pour conclure, je tiens vraiment à remercier la maison d'édition, j'ai découvert une nouvelle auteure à suivre et un nouveau genre dans lequel je ne me serais pas forcément lancée au départ. Ce fut une belle surprise et bien sûr, je vous conseille cette lecture, n'hésitez pas non plus à faire un tour sur le site de Reines de Coeur, j'ai mis tous les liens qu'il fallait pour !

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​Je viens de terminer la lecture des Enfants de Pangee, tome 1 : Naissance de Stéphanie Aten dans le cadre d’un partenariat avec les Éditions Helene Jacob que je remercie infiniment pour leur confiance.

Donc… je vais commencer par faire un rapide résumé de l’intrigue :

Dans ce premier tome, intitulé Naissance, nous faisons la connaissance de trois adolescents aux personnalités fortes : Corail, Lily et Rive. Tous les trois semblent souffrir d’un mal différent, mais qui les relie : ils ne s’intègrent pas bien dans la société, quel que soit leur environnement. Ils ont parfois des crises qu’ils n’expliquent pas. Leurs parents ne sont pas à l’écoute, et aucun des trois ne comprend ce qui leur arrive. Avec l’apparition d’Esteban, bien plus tard dans la narration, les jeunes adolescents découvrent, qu’il y a plusieurs mois de cela, un forum où des centaines, des milliers de personnes dans leurs cas a été créé. Ils souffrent tous de crises d’angoisse ou de colère et tout semble être relié.

Les personnages :

Corail : Corail est le personnage auquel je me suis le plus attaché. Elle ne se sent pas bien dans sa peau, a du mal à s’intégrer dans son lycée et se fait critiquer par les ados de son âge. Elle essaie de passer inaperçue, rien ne l’intéresse, ni son avenir ni ses petits camarades qu’elle trouve stupides et inintéressants. Ses parents ne s’inquiètent pas de son présent, de ce qu’elle vit et de ce qu’elle ressent. Il n'y a qu'une personne qui compte pour elle, et elle compte bien la retrouver.

Lily : Fille de parents riches, Lily vit dans le luxe, elle peut acheter tout ce dont elle a envie, mais tout comme Corail, ses parents ne sont pas présents dans sa vie. Ils ne lui dédient qu’un jour de la semaine, qu’ils ont baptisé le jour du shopping. Elle n’aime pas le travail de ses parents, qui met en danger la forêt amazonienne. Et elle est amoureuse d’un jeune délinquant à qui elle a dédié deux ans de sa vie.

Rive : Rive est un jeune délinquant, remis dans le droit chemin par la petite Lily. Il est âgé de 17 ans, et contrairement à son amie, qui fait des crises d’angoisses, les siennes sont plutôt axées sur la colère. Rive est un personnage torturé. Son père est alcoolique, il le bat souvent, cherche toujours à le provoquer ou à le rabaisser, mais depuis quelque temps, Rive réplique, et ne se laisse pas faire.
​Pour l’instant, Lily a réussi à le sauver, il ne veut pas retomber dans les affaires de drogues dans lesquelles il a été mêlées.

Esteban : Esteban fait son apparition plus tardivement. Jeune adolescent qui n’aspire qu’à une chose dans la vie, devenir scientifique. Lui aussi souffre de crises à répétition qu’il cache à sa mère pour que celle-ci ne s’inquiète pas.

Guillaume : un proche parent de Corail, qui va révéler le secret qui relie ces adolescents entre eux.

Globalement :

J’ai aimé ce roman ! Il m’a vraiment pris aux tripes. Il aborde un sujet d’actualité qui pourrait bien faire son apparition dans notre monde : l’extinction de l’espèce humaine, une sorte d’apocalypse programmée d’avance, le nettoyage de la Terre. Je m’attendais vraiment à lire une dystopie, un peu plus dans le genre de la trilogie de l’Élite de Joelle Charbonneau qui aborde un peu les mêmes thèmes (écologie, nature, technologie etc.), mais avec le recul, je me demande s’il ne s’agit pas plutôt d’un thriller-apocalyptique, un peu dans le genre de Dan Brown, un de mes auteurs fétiches.
J’ai apprécié les différents points de vue, ils donnent un rythme très agréable à la lecture.
De plus, il y a de très belles descriptions, la plume de l’auteure est merveilleuse, remplie d’images ou de comparaisons qui la rendent fluide à souhait.
Les personnages sont très attachants, l’on ne peut qu’être de leur côté quand tous ceux qui les entourent ne font que les rabaisser ou les freiner dans leur besoin de savoir.

Il y a des scènes que j’attendais, et qui ne sont arrivées que vers le milieu du roman. Sur le moment j’ai été légèrement (très légèrement) déçue de les voir arriver si tard, mais après avoir lu l’intégralité des Enfants de Pangée, je me dis que les premiers chapitres remplissent leur fonction à merveille, car sans eux, on ne s’attacherait pas autant aux trois enfants.

Le suspense et les rebondissements sont présents tout au long du roman. Il se dégage une ambiance très spéciale, qui m’a fait retenir mon souffle à plusieurs reprises, donc ça veut dire que, pour moi, l’intrigue et l’écriture ont fonctionné à merveille.



Pour conclure, je vous conseille ce roman à 1000%. Je ne connaissais pas l’auteure, je n’avais jamais eu l’occasion de lire un roman de la maison d’édition, c’est mon tout premier, et je dois dire que c’est une réussite !! Fans de romans apocalyptiques, fantastiques, et mêlant plusieurs genres, je vous invite à découvrir Les Enfants de Pangée, tome 1 : Naissance de Stéphanie Aten. Procurez-vous ce roman rapidement, car la fin du monde approche *musique angoissante*
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Aujourd’hui, je vous présente un roman paru récemment : « Cornwand – Léa et Paterson » de Sylviane Blin que je remercie pour sa confiance et son service presse. Ce fut une très belle découverte !


Mise en situation :

L’intrigue commence de façon bien mystérieuse. Edern (le papa de Léa, le personnage principal) reçoit un appel téléphonique assez étrange, qui va peu à peu, nous initier au monde de Cornwand et à ses secrets. J’ai accroché dès les premières lignes. Je me suis moi-même étonnée lorsque j'ai vu le temps et les pages défiler par la même occasion. La promesse d’un monde rempli de magie, de créatures et de possibles dangers suffisait pour me faire rentrer dans l’histoire. Bien que le premier chapitre soit un peu long, je pense qu’il est nécessaire. Il sert d’introduction à toute l’intrigue et à ses personnages ainsi qu’au futur voyage à Cornwand.

Les personnages principaux :

Léa Kerzennec : Léa est une jeune fille à laquelle on s’attache très vite. Un mystère plane sur sa personne, ainsi que sur sa famille. Elle est décrite comme quelqu’un de plutôt solitaire au début, je pense que c’est surtout à cause de sa mère, trop protectrice même si elle a ses raisons. Dès que Léa se retrouve seule en compagnie de sa grand-mère, elle devient amusante et charmante. Son côté aventurier et rebelle va prendre petit à petit le dessus.
J’ai beaucoup aimé ce personnage et son évolution tout au long de l’histoire. Léa est, sans aucun doute, le point fort de « Cornwand » (Cornwand le roman).

Paterson : Paterson est le chat de Léa. Le beau petit chat noir que vous pouvez voir sur la couverture du roman. Ce n’est pas un animal de compagnie comme les autres, Paterson cache un secret qui va en surprendre plus d’un/e.

Le lien qui les unit tous les deux est vraiment très fort, et va se renforcer de plus en plus au fil des pages. C'est le genre d'amitié que j'adore lire et voir grandir...

Wenny : La grand-mère de Léa. Une mamy comme tout le monde les aime. J'aurais bien voulu goûter une de ses tartes... Mais ne vous fiez pas aux apparences, elle n'est pas si innocente qu'on le croit. Wenny cache volontairement deux ou trois petits secrets de famille à sa petite-fille.

Les personnages secondaires :

Très nombreux ! Certains sont un peu foufous, mais qu’est-ce qu’ils m’ont fait rire ! Je ne vais évidemment pas les citer, il faut garder un peu de mystère, mais on trouve vraiment de tout. Le temps passé en leur compagnie a filé à une vitesse…

L’évolution de l’intrigue :

Dès que Léa arrive chez sa grand-mère, tout va s’enchaîner très vite.
Les voyages, les rebondissements, les révélations, la découverte d’autres personnages et créatures magiques… le premier chapitre ainsi que la quatrième de couverture tiennent bien leurs promesses !

J’ai eu l’impression de me retrouver dans un « Narnia » un tout petit peu plus jeunesse que l’original. Tout est beau, la magie est présente (et vous savez combien j’aime la magie !), l’on découvre un nouveau monde, Cornwand, l’on parcoure ses rues et ses magasins, accompagnés par Léa et ses amis, puis, soudain, la menace se profile. L’image que j’avais du monde lumineux de Cornwand devient plus ténébreuse, plus mystérieuse et dangereuse. La magie noire se dévoile. L’origine du mal aussi. Et c’est à ce moment-là, que nous réalisons que combattre ce mal ne va pas être une tâche aisée pour nos aventuriers.


Pour lire la suite, c'est par ici → http://lalivrothequeblog.weebly.com/cornwand---leacutea-et-paterson-par-sylviane-blin.html
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Avec exactement une minute d’écart, j’entame la deuxième chronique des Fils du Vent, 1er cycle, deuxième livre qui s’intitule : Voyages en Orient.

Le titre révèle déjà une partie de l’intrigue. Car, je ne vous l’ai pas encore dit, mais dans les Fils du Vent, on ne se contente pas de suivre aveuglement nos trois compagnons... Un chapitre est divisé comme ceci :
- Un premier extrait du journal intime de Föhn.
- Un extrait du journal intime de Shamal ou une correspondance entre Zéphyr et Esalf.
- Un extrait des mémoires d’Esalf.
- Le narrateur suit les aventures des trois compagnons.
- Et pour finir, une correspondance qui change de temps en temps.

Tout ça pour vous dire, que les personnages (ou l’auteure, à vous de choisir) nous font savoir ce qu’ils vivent même quand les kilomètres les séparent.

Les personnages :

Joran : Joran commence à succomber au charme des femmes orientales, et honnêtement, il y a de quoi succomber. J’avoue que je l’ai assez mal pris quand je l’ai vu tomber dans les bras d’une autre alors qu’il criait toujours son amour pour Shamal. Mais bon, je lui pardonne, car la jeune Alk Tempoh s’est carrément mariée au prince Philippe.

Shamal : Shamal vit sa vie entre Tintan (où elle coule des jours « heureux » avec son mari) et Suly. On suit ses aventures grâce à son journal et la correspondance qu’elle maintient avec sa famille, et on s’y attache sans le vouloir. Je n’ai jamais été très emballée par des personnages féminins, mais j’ai fait une exception pour elle.

Föhn : Föhn fait des gaffes, mais c’est ça que j’aime chez lui, il me fait rire. Mine de rien, je pense qu’il se cache derrière ce masque de « clown de service » car quelque chose de bien plus profond le tenaille. Le beau magicien a aussi ses propres secrets, et ne croit pas en l’amour, ou ne veut pas y croire.

Khamsin : Il devient de plus en plus puissant… son comportement change en compagnie de Joran et de Föhn, et il change en bien car dans le premier tome il était sacrément grognon, ce que je peux comprendre vu sa situation avec Borée qui va aussi finir par voyager, missionnée par le doyen de la famille.

Thalwind : Thal continue de passer ses initiations, et s’amuse un peu avec toutes les femmes qu’il croise. Le portrait du jeune homme est encore un peu flou, le mystère plane encore sur lui, c’est le tome 3 qui va vraiment révéler sa personnalité.

Intrigue :

Je pense que le résumé de ce tome-ci est assez complet, c’est pourquoi je ne vais pas en rajouter une couche avec l’intrigue. Juste préciser un peu plus sur le voyage dans le désert, où notre petite troupe va découvrir une nouvelle race : les djinns. J’avais déjà eu le loisir d’en rencontrer dans Enfants des Fées, si vous ne connaissez pas je vous laisse une petite description qui correspond assez bien aux créatures de ce roman :

Les djinns sont des créatures surnaturelles issues de croyances de tradition sémitique. Pour les Maghrébins, les djinns représentent une autre race habitant la terre, ce sont des êtres qui habitent les endroits déserts, les points d'eau, les cimetières et les forêts. Pour se manifester, ils prennent diverses formes (métamorphe), dont celles de l'homme ou des animaux.

Bon, je ne vais pas vous mentir, la description est plutôt globale. Les djinns de l’auteur sont différents, si vous voulez voir un aperçu, je vous conseille la lecture de ce conte que vous retrouverez dans le tome suivant (je vous envoie directement sur la page Facebook d’Aurélie) : Le conte des Deux Génies.


Suite de la chronique: http://lalivrothequeblog.weebly.com/fils-du-vent-ii-par-aureacutelie-chateaux-martin.html
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Troisième et dernière chronique pour le premier cycle des Fils du Vent, une saga magique et pleine d’amour que l’auteure a bien voulu partager avec moi, je lui en suis extrêmement reconnaissante car il s’agit d’une très belle découverte avec laquelle je vais finir l’année en beauté.


Les personnages :

Joran : L’évolution de ce personnage est sans doute un des points forts du roman. Je ne vous cache pas qu’il devient de plus en plus attachant et attirant. Joran est un magicien très doué, qui va faire battre le cœur de nombreuses dames.

Khamsin : Khamsin va nous quitter un moment dans ce dernier tome. Cela m’a attristé car c’est quand même un de mes chouchous… (au cas où vous ne l’auriez pas encore compris). Mais je vous rassure, il sera quand même présent, et nous aurons tout le loisir de lire ses aventures dans le prochain cycle qui porte son nom.

Föhn : Föhn se trouve toujours en plein dilemme. Car je ne vous l’avais pas dit, mais dans le tome 1, nos amis s’arrêtent quelque temps chez les fils de l’eau, le peuple dont je vous avais parlé sans vraiment vous en parler pour ne pas vous spoiler (merci qui ?). Ce fut un séjour très agréable qu’il partagea en compagnie d’Alide, une superbe jeune femme que j’adore. Dans le tome 2, je vous disais qu’il avait des secrets et qu’il ne croyait pas en l’amour. Pour finir, dans le tome 3, il avoue tout. Föhn éprouve des sentiments pour cette charmante Alide, et ne fait que penser à elle. J’ai trouvé leur relation très intéressante, plutôt complexe par la distance et le fait que Föhn ne se mettait pas d’accord avec lui-même. Je pense que ce sera un personnage à suivre dans les prochains tomes.

Thalwind : Et voilà, on y arrive enfin. Thalwind renait dans ce tome-ci. Il est toujours décrit comme un beau magicien doté de pouvoirs extraordinaires, un jeune homme avec un appétit considérable pour les jolies « choses » (hum hum) et gratifié d’un don de persuasion hors du commun, mais je l’ai trouvé transformé, grandi... Tout ce que j’avais imaginé sur sa personne a été réduit en fumée par sa prestation dans le désert. Thal veut absolument rejoindre ses camarades (Joran & Co) qu’il avait laissé lors des initiations (vu qu’il ne les avait pas complétées) et il va voyager en compagnie d’Alide qui veut surprendre Föhn avec son arrivée. À deux, ils vont entamer leur propre voyage dans le désert, un voyage qui va nous montrer la vraie personnalité de Thalwind, ma partie préférée.

Gwalarn : Un Maître hors du commun qui saura susciter votre intérêt avec des pratiques… (points de suspension car je n’ai pas trouvé de mot pour décrire ce que j’ai ressenti en lisant ce qu’il imposait à Thal). Car Gwalarn, qui est encore un membre de la famille, sera le maître de Thalwind qui suit des enseignements pour devenir druide. Il a aussi son propre charme, mais à simple vue (lecture) il a une aura plus ténébreuse que celle des autres personnages…

Shamal : La belle jeune femme, qui lutte entre le désir qu’elle éprouve pour Joran, la passion de son amant Guillaume, et la jalousie qu’elle ressent envers les femmes d’Orient, va vivre une expérience de taille. Son journal intime et la correspondance qu’elle maintient avec sa famille suffisent à nous expliquer et narrer ce qu’elle vit, et c’est ça qui me choque un peu, c’est que même si l’auteur nous en éloigne parfois (quand dans un chapitre on a qu’une lettre d’elle, sans un vrai narrateur), on reste attachés à elle, et on finit par comprendre pourquoi Joran l’aime tant.

Suite de la chronique: http://lalivrothequeblog.weebly.com/fils-du-vent-iii-par-aureacutelie-chateaux-martin.html
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Me voici de retour avec une autre chronique pour Aurélie Chateaux-Martin, cette fois-ci je vous parle du premier cycle de sa saga « Les Fils du Vent ». Ce premier cycle, s’intitule « Joran » et il est divisé en trois livres : Livre I : Shamal, Livre II : Voyages en Orient et le Livre III : La Rose de Damâs’.
Cette chronique est entièrement dédiée au Livre I.

Que dire ?

J’ai été perturbée par ce changement radical de lecture, d’intrigue et de personnages, moi qui avais lu Enfants des Fées et voyagé en compagnie de Meltem, Noah et Finn, vous vous en souvenez ? Cette fois-ci, j’ai eu droit à une saga qui mélange l’action, les histoires d’amour, la magie et la passion.
La lecture des Fils du Vent a été plus intense, et cette intensité n’a pas faibli, puisque le tome 3 est carrément explosif !

Personnages:

J’ai eu de ces coup de cœur, c’est inhumain de créer des personnages si sensuels, attachants et drôles.

Joran : Joran est un Alk Tempoh. Depuis toujours, il est attiré par sa cousine, à qui il voue un amour passionné et secret. Comme tous les personnages de l’auteure, Joran est beau, fort, amoureux, mais reste le personnage le plus « censé » de ce premier cycle.

Shamal : Elle est une Alk Tempoh aussi, oui. Shamal est la cousine de Joran, leur amour est réciproque, mais à un point… ils forment un très joli couple, et ce sont deux personnages avec qui on finit par être liés tellement leur histoire est prenante.

Suhali : Bon bah c’est la Suhali d’Enfants des Fées, celle qui ne faisait que des misères au petit Noah. Dans les Fils du Vent on la voit plus libre, et même si elle sera celle qui consolera Shamal, elle aussi possède un secret que très peu de gens connaissent.

Khamsin : Le plus beau, le plus fort, c’est Khamsin. Je ne peux même pas décrire ce personnage de manière juste, il est tout bonnement parfait. Nous voyagerons en sa compagnie, avec Joran et Föhn, un autre personnage haut en couleurs et qui promet, et découvrirons (au fur et à mesure) comment Khamsin devient le seigneur d’Al Jadida.

Thalwind : On ne va pas se mentir, Thalwind est un petit coquin. Il a un côté très charmeur, énormément de charisme, il est donc très beau (et oui) et saute un peu sur tout ce qui bouge, surtout si ce sont des femmes… qui bougent. Le premier tome le présente comme un jeune adulte qui possède un pouvoir immense, caché au plus profond de lui, et ce pouvoir va se développer dans chaque tome.

Suite de la chronique ici → http://lalivrothequeblog.weebly.com/fils-du-vent-i-par-aureacutelie-chateaux-martin.html
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Avant tout, je tiens à remercier Pauline Deysson pour l’envoi de son précieux roman (accompagné d’un magnifique marque-page) et aussi pour sa confiance. La Bibliothèque – Tome 1 : Grandir est un des romans les plus fascinants et originaux que j’ai lu ces deux dernières années, voici sa chronique.

Je ne sais pas exactement ce qui m’a attiré quand j’ai vu le roman pour la première fois. Le titre, la couverture, son résumé… je pense que c’est le mélange des trois qui a fait que je me sois arrêtée sur une publication faite par l’auteure sur les réseaux sociaux. J’hésitais à me proposer car j’avais encore de nombreux engagements pour le blog, mais les mots magie, Bibliothèque et aventure ont achevé de me convaincre. Dès les premières pages, la promesse est tenue. J’ai pu embarquer dans un monde surprenant et fantastique aux côtés de la petite Émilie.

L’intrigue :

D’un côté, le monde n’est plus, le technomonde l’a remplacé. La pauvreté et les guerres n’existent plus, et il en est de même pour les livres. Certains diront « oh, mais c’est un monde idéal », détrompez-vous. Les hommes se sont entièrement oubliés, et sont dirigés par une société qui contrôle leurs mouvements et leurs émotions.
D’un autre, la Bibliothèque. Un monde à part, où les humains viennent lire des livres pour rêver (avec leur âme).
Au centre de tout cela, une petite fille de 10 ans qui va, en quelque sorte, relier les deux mondes entre eux.

Les personnages principaux :

Émilie : Émilie est le personnage principal de ce roman. C’est une petite fille de 10 ans, qui vit sur la Terre, et qui, comme tous les humains, subit les règles du technomonde. Elle est très attachante et très intelligente. Elle m’a un peu rappelée Élie de Élie et l'Apocalypse (voir chronique ici). Une gamine d’une intelligence hors du commun, très curieuse, qui est obligée de se comporter en adulte pour pourvoir survivre dans son monde. C’est un personnage complexe, bien travaillé et exploité que j’ai beaucoup apprécié.

Antonie : la Bibliothécaire. Elle aide les humains à rêver et échapper au Voleur de Coeur. Elle va aussi former Émilie pour que celle-ci lui succède en lui apprenant à déchiffrer les signes des livres, interdits dans le technomonde d’où la petite s’est échappée. C’est grâce à Antonie qu’Émilie va lire son premier livre.

Jean : Un jeune garçon dont on ne sait, finalement, pas grand-chose si ce n’est qu’il se proclame comme un rebelle et qu’il apparaît de temps en temps auprès des Clandestins. Jean fait partie du technomonde, mais aussi de la Bibliothèque, je vous laisse découvrir de quelle façon il est impliqué.

Ps : je vous parle ici que des principaux, ceux qui vont construire l’histoire de la Bibliothèque, car il y a des dizaines, peut-être des centaines de personnages (je ne les ai pas comptés) donc je ne peux pas tous les mentionner.

L’univers :

L’univers est très développé. Il est riche en rebondissements, explications détaillées et descriptions. Je pense que tout est très bien expliqué même si au début j’étais un peu perdue avec tous les sigles et ce monde gouverné par des Fantômes, des Ombres… le Revery… mais ça a duré très peu de pages, après j’étais lancée.


La suite de la chronique ici → http://lalivrothequeblog.weebly.com/la-bibliothegraveque-ndash-tome-1--grandir-par-pauline-deysson.html
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J’avais lu le prologue de Zenlia il y a quelques mois, Marine m’avait demandé d’y jeter un œil, et j’avais adoré l’univers qui y était esquissé et les personnages qu’on y découvrait. Un monde d’elfes (ou des mondes, devrais-je dire !), à la fois merveilleux et original. Suite à ce prologue prometteur, lorsque Marine a publié son roman, elle me l’a offert, et j’en ai été très touchée, pour tout dire ! :-) Mes lectures sans fin du moment ne m’ont pas permis de le découvrir alors, mais je crois qu’il y a certains romans qui doivent être lus à des moments spéciaux…

Et voilà chose faite, j’ai été embarquée dans cet univers tout en demi-teinte, surprenant, où les elfes boivent de l’alcool et ont de la barbe, chose qui m’a beaucoup amusée. J’adore le cliché de l’elfe grand, beau, imberbe, hautain et parfait, vraiment, mais j’ai beaucoup accroché avec ces personnages peu banals qui nous proposent une image très différente de l’habituel stéréotype.

Ici, plusieurs races d’elfes sont évoquées (et j’ai cru comprendre qu’il en existe d’autres, encore), et toutes sont originales. Elfes blancs et elfes d’argent seront dans ce premier tome de Zenlia nos protagonistes principaux (et la couleur qui les définit n’a rien à voir avec une couleur de peau !), mais on y découvrira d’autres races, et notamment les elfes noirs… qui ma foi m’ont fascinée. Enfin, surtout deux d’entre eux… dont je vous parlerai un peu plus tard.
Ce qui constitue la principale originalité de cet univers, ce sont les portails qui permettent de passer d’un monde à l’autre. Les royaumes sont en fait des mondes en soi, que l’on ne peut gagner qu’en franchissant des portails. Avec l’aide des cartes du début et les belles descriptions de Marine, ou bien les souvenirs de Zenlia, nous découvrons donc ici Elbereth, royaume des elfes blancs, d’où la Magie a été bannie suite à une histoire bien triste, Dorenthee, royaume des elfes d’argent, les Terres Sauvages, monde dans lequel évoluent les terribles elfes noirs, vampires dangereux, puissants et profondément détestables, les Monts d’Or, qui sont le lieu où se prépare une grande guerre entre les elfes noirs et le reste des royaumes, la Brume, qui restent pour l’instant mystérieuses mais semblent être une sorte de terre d’asile pour les elfes souhaitant se retirer du monde, et enfin les Landes, dont on ignore également beaucoup de choses (et qui m’intriguent énormément !). Je parle ici des principaux, il y en a d’autres, cette liste n’est donc pas exhaustive, loin de là.

Presque dès le départ, avec l’évocation de l’Arbre d’Or qui trône dans une des salles du palais du roi Kendrar, à Elbereth, on découvre que la situation est critique : les elfes noirs ont empoisonné la reine des elfes blancs, Kendrar est devenu à moitié fou et a banni la Magie, la guerre est en marche. Les pertes parmi les elfes blancs sont importantes, mais le roi hésite à vraiment riposter…

L’idée de cet arbre d’Or qui perd ses feuilles à chaque elfe mourant est tout simplement géniale. J’en ai adoré le concept ! La Magie, dans cet univers, est à la fois semblable et différente des autres romans de fantasy. Le kya, comme elle est appelée, est plus qu’un don ou un assemblage de sortilèges appris. Certes, les elfes peuvent pratiquer la magie comme on l’entend habituellement, balancer des boules de feu sur leurs ennemis, des convivialités de ce genre, mais le kya dépasse complètement ce cadre-là. C’est comme une force vitale qui, si elle est contenue, amoindrit son possesseur. Amoindrit l’univers tout entier autour de lui, en fait. C’est une énergie qui fait partie d’un grand tout et qui, si elle peut être mal utilisée, fait partie intégrante de chaque elfe. A priori tous les elfes ne sont pas magiciens, de ce que j’ai compris, ce qui n’est pas très détaillé dans ce tome à cause de l’interdiction de pratiquer la Magie à Elbereth, du coup pour l’instant je me demande vraiment comment cela va se développer ensuite, mais une chose est sûre : le kya est présent en chaque elfe. Plus ou moins puissant et développé, évidemment.

Le concept du kya et celui des univers connectés par des portails ne sont pas les seuls intérêts majeurs de ce roman. Les personnages, dans Zenlia, sont doués de caractères forts, qui nous attachent ou nous repoussent. Vraiment travaillés, avec des back grounds qui se développent petit à petit au cours de l’histoire, ils donnent un vrai plus à l’histoire. Je vais vous en parler un peu plus amplement, ils méritent d’être détaillés !

Suite de la chronique ici → http://lalivrothequeblog.weebly.com/zenlia-lrsquoarbre-drsquoor-par-marine-stengel.html
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Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/inalia-par-maud-cordier.html

Je remercie avant tout Maud Cordier d’être venue me contacter alors que je comptais justement commencer la lecture d’Inalia grâce à mon partenariat avec l’Ivre-Book que je remercie également pour cette découverte.

Le résumé d’Inalia m’intéressait depuis un petit moment, et même en sachant ce qui m’attendait, j’ai quand même été surprise de son contenu. Les premières pages ont réussi à me transporter en quelques secondes, cela a été un très bon départ.
Si je devais résumer cette lecture, je dirais que c’est un mélange d’une dystopie futuriste avec une histoire à la Cendrillon revisitée, mais bizarrement, dans un monde qui pourrait s'y méprendre au Moyen-Âge.


Les personnages :

Je peux tout avouer maintenant, j’ai eu un grand coup de cœur pour trois personnages : Pénélope, et les deux princes.

Pénélope est une orpheline qui n’a qu’un choix, celui de devenir servante. Elle est le personnage principal de cette histoire. C’est une très belle femme qui s’ignore et fait chavirer les cœurs, mais suscite aussi la jalousie de ces demoiselles de Morvan, filles de la Marquise. J’aime son caractère, obéissante mais avec du répondant, sensible et forte à la fois…c’est une héroïne unique comme je les aime, qui se pose des questions sur le monde bien réfléchies.

Le Prince Stéphane, THE personnage que j’attendais et cherchais à tout moment. Dès qu’il apparaît, je suis aux anges. Il est très séduisant et intelligent. C’est le seul homme du palais qui possède un cœur.

Le prince Alexandre, une petite… peste (si je peux me permettre), mais comme je suis un peu maso sur les bords, je l’ai bien aimé. J’aime les « méchants », sans eux ont aurait pas de si beaux romans et sagas à découvrir. Il est de même très charmeur, mais je sens son aura ténébreuse jusqu’ici.

Laurine De Morvan, est une des seules alliées de Pénélope. Futée et marrante, c’est la seule qui fait preuve de bonté envers sa servante.

Les petites pestes (et je suis gentille) : toutes les demoiselles de Morvan, la Marquise et quelques servantes du palais, voilà comment je les appelle. Elles sont Méchantes et Méprisables avec deux grands M. Elles m’ont rappelées les belles-sœurs de Cendrillon, mais en pire…

Les servantes : Il y a quelques servantes en plus de Pénélope, qui subissent des maltraitances à longueur de lecture. Je les plains vraiment, et j’ai trouvé leur amitié très belle et touchante, c’est comme si elles ne pouvaient pas vivre les unes sans les autres.

J’ai trouvé les personnages très réalistes, complets et complexes à la fois. Chacun à sa propre façon d’agir, de parler et de se mouvoir…je pense que si on faisait une adaptation du roman sans prénoms, je pourrais quand même les reconnaître.


Les dialogues :

J’ai beaucoup aimé les dialogues dans Inalia. Ils sont biens construits et intelligents. Les personnages parlent de façon courtoise et cela est très appréciable.
L’humour est de même très présent dans ces échanges entre les personnages, j’ai beaucoup ris avec la répartie de Pénélope qui ne se laisse pas faire (enfin, pas totalement).

Les descriptions :

Il y a de très belles descriptions dans Inalia. De très belles images, paysages et une façon particulière et juste de faire ressentir des émotions, surtout en ce qui concerne Pénélope.
L’action est présente mais de façon subtile et bienvenue dans un univers de ce genre.


Le style d’écriture :

Rien à redire, fluide, avec un vocabulaire très divers et de l’émotion qui se dégage de la plume de Maud Cordier. Moi-même je me suis peut-être bien marré, mais j’ai aussi été en proie à la colère en voyant tout ce que subissaient les pauvres servantes car on finit par s’attacher énormément à certains personnages, seule une bonne écriture peut faire ressentir cela.


La suite sur le blog :)
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date : 20-04-2016

Lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/faux-raccord-par-mell-22.html


Je remercie tout d’abord les Editions Boz’Dodor pour ce service presse et pour m’avoir permis de découvrir l’auteure.

Parfois, il suffit de lire les premières lignes d’un roman pour savoir si celui-ci va nous plaire ou pas, et ça a été le cas avec Faux raccord. Dès les premiers mots j’ai été transportée dans cet univers dystopique et j’ai eu du mal à en décrocher.
Je ne peux pas dire que je suis une experte en dystopie, certes je ne lis pratiquement que ça depuis quelques années, mais il me reste encore de nombreuses lectures et sagas à découvrir (Dieu merci !), mais ce tome-ci, a été un de mes rares coup de cœur.

Les personnages :

Clémentine : Waouh. J’ai pris une claque dans la figure tellement j’ai aimé ce personnage pour le moins atypique. Une héroïne grossière, rebelle, égoïste, avec un caractère de…, qui se bat dès qu’elle peut, chercheuse de bagarre et langue bien pendue, voilà comment je pourrais décrire Mandarine…euh Clémentine (avant de juger mon jeu de mot pourri, lisez le livre, vous comprendrez)

Huit : Un personnage masculin charmant, séduisant, fort, hyper attachant qui supporte beaucoup de choses. Que demander de plus ?

Ces deux-là combinés, formeront une des plus belles relations d’amour que j’ai jamais vu. Comparable à Mélanie et Jared (Les Ames Vagabondes), comparable à celle de Trèfle et Del dans Enclave ou Mal et Alina dans la trilogie des Grishas. C’est exactement le genre de relation que je « supporte et tolère » moi qui n’aime pas trop tout ce qui touche à la romance. Un couple unique qui apprend à s’aimer alors que les conditions de départ n’étaient pas vraiment favorables.

Newton : Un ami-ennemi drôle qui m’a fait sourire à de nombreuses reprises.

Darren : Un des personnages masculins qui tomberont amoureux de la flamboyante Clémentine. J’aimais bien Darren avant de comprendre qu’il n’apparaîtrait pas souvent, nif nif.

L’histoire :

Le résumé n’est pas à la hauteur de l’intrigue, mais pas du tout. Je pense qu’il n’est pas aussi attirant que peut l’être l’histoire et je trouve cela vraiment dommage. Je n’ai pas la prétention de faire mieux ni de l’expliquer avec mes propres mots, c’est pourquoi je vous laisse découvrir ce bijou par vous-même.

Sinon, pour faire court, l’action est présente, les intrigues bien présentées et les rebondissements sont au top niveau. Si je dois résumer ce livre en un mot ce serait: addictif.

L’humour :

On a une sacré dose d’humour dans ce roman. En passant par la façon dont se comportent les personnages entre eux, les échanges qu’ils ont ou les nombreuses références comme Pokémon, la Panthère rose, les surnoms de Minitel, Culbuto, Vendredi 13, P'ti Biscuit ou le pied-de-biche… Je ne peux pas dire combien de fois j’ai ris, mais franchement chapeau l’auteure.

L’univers :

La réalité décrite donne lieu à un univers immensément riche et original. Je ne me rappelle pas avoir lu une histoire pareille même si certains éléments m’ont rappelés Reboot, Divergent et Les Insoumis.
Tout est recherché, expliqué et décrit avec une précision accablante. J’ai vraiment été scotchée du début à la fin et je suis vraiment heureuse d’avoir eu la chance de pouvoir le lire, car vivant en Espagne je n’ai pas vraiment l’opportunité de me fournir en livres français et encore moins de découvrir des pépites pareilles.

La plume de l’auteure :

Fluide, fluide et fluide. A part ça je l’ai trouvé fluide.
Blague à part, le tout est tellement agréable à lire…le vocabulaire est très varié, les descriptions sont très réalistes et complètement en (r)accord avec le décor et l’ambiance d’une dystopie. Ce qui est certain, c’est que je tenterais le tout pour le tout pour me procurer tous ses livres, l’auteure a désormais mon entière confiance.

La fin :

Je me pose des questions et celle qui revient le plus souvent est : Pourquoi ? Pourquoi avoir fait ça ? Pourquoi ou comment réussir à ce qu’une fin affreuse puisse paraître belle en même temps ? J'écris cette chronique juste après avoir fini la lecture, donc je suis encore en plein traumatisme de lectrice et je ne comprends pas ce qui m'arrive.


Pour terminer cette chronique, je ne peux que vous obliger à lire Faux raccord. Une dystopie de haut niveau que j’ai vraiment adoré et que je vais conseiller à tout mon entourage. Y aura-t-il une suite ou pas? Je l'espère de tout cœur !
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Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/chroniques-edwo--tome-1-par-tristan-kalan.html



​Chronique Edwo.

Je remercie avant tout l’auteur pour sa patience et surtout pour confier son précieux roman à des blogueuses comme moi.

Commençons par le commencement : Le prologue.
Pour moi, c’est LE prologue idéal. Il ambiance dès les premières lignes et invite le lecteur à continuer l’intrigue avec une fin digne de ce nom. C’est donc sans effort que je me suis plongée dans les premiers chapitres de Chroniques Edwo, racontés sous forme de « conte ».

Cela m’a fait énormément plaisir de découvrir de nouvelles races, inventées par l’auteur.
Nous retrouvons ainsi les « Edwos », les « Gemis », les « Elaros » et tant d’autres êtres et humains qui peuplent ce roman. Ce sont des créatures vraiment originales qui trouvent leur place dans cette histoire et cohabitent ou se battent comme dans n'importe quel roman fantasy.

Les personnages :
Arast : c’est un des premiers personnages que l’on voit. Il est très fort, très intelligent, un très bon personnage que j’ai aimé à l’instant, un vrai coup de cœur.
Je pense que c’est lui qui mène la barque quand même malgré le fait que beaucoup de personnages peuplent ce roman. Je ne peux pas vous les décrire tous, sous peine de faire une chronique éternelle, mais je peux affirmer que chacun a sa propre personnalité et qu’ils sont cohérents dans leur ensemble.
Voici quelques noms pour vous situer : Grem, Clénia, Ositis (que je lisais Osiris), Ael, Mélissa et Ferwell, mais comme je vous dit, le monde et univers de Chroniques Edwo est bien plus complexe qu’il n’y paraît.

Une belle amitié lie ces personnages. Entre amour, amitié et aventures, vous serez servis.

Les dialogues :
J’ai été marquée par les dialogues (ça ne m’arrive pas souvent). Je les ai trouvés intelligents, drôles et très réalistes. Car il y a aussi de l’humour dans ce roman, comme par exemple, un cartographe qui ne reconnait pas le nord du sud ou alors des nouvelles expressions comme : « …pas de quoi fouetter un bébé dragon » qui m’a énormément plus.

Les descriptions :
Comme le roman est très long, ils y a beaucoup de descriptions et de rebondissements. Beaucoup, beaucoup. C'est encore un premier tome avec de l'action a en revendre, décidément je ne lis que de ça en ce moment. Il y a de grandes promesses d’aventures avec ces personnages attrayants et complexes… l’auteur a su construire un univers bien à lui, qui n’égale celui de personne et y a déposé son empreinte... j’ai trouvé le tout très réussi.
D'ailleurs, une de mes scènes préférées a été la première scène de joutes. Je lisais justement en parallèle un livres avec des joutes dans un univers plus médiéval, mais celles-ci sont d’un niveau…je comprends beaucoup mieux la couverture du livre à présent!

Ce premier tome n'est pas qu'une découverte, c'est aussi un voyage, car il y a beaucoup de pays, de forêts, territoires…je pense qu’une carte du monde serait la bienvenue pour les lecteurs qui souhaiteraient se repérer.

L’écriture :
Je pensais m’ennuyer à un moment donné. Lorsque je lis de longs romans, je décroche toujours à un moment, mais j’avoue que la plume de l’auteur est très fluide et intéresse celui qui le lit. Le vocabulaire est de même très varié et ne se répète pas, donc rien à redire sur ce point-là.

La fin: ce qu'on attend tous lorsqu'on lit un roman de cette taille, la fin.
A la hauteur selon moi. Je ne veux pas vous spoiler donc je vais me taire même si cela me coûte, mais il va y avoir de la baston je pense.



Un conseil? Prenez le temps de lire ce roman, vous découvrirez une histoire pas comme les autres dans un univers fantasy très travaillé, du jamais vu pour moi qui lit pratiquement que des romans de ce genre littéraire !
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Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/les-insoumis-tome-3--deacutenouement-par-alexandra-bracken.html


Autant dire que ce dernier tome gère la patate… oui je ne fais pas dans la finesse mais je n’ai pas le choix. Une trilogie hors pair qui finit en beauté, voilà ce que j’ai à dire sur les Insoumis.

Je ne vais pas faire de résumé avec mes propres mots, mais je vais parler de l’analyse que j’en ai faite.
La plume d’Alexandra évolue de roman en roman et nous plonge de plus en plus dans cet univers futuriste. J’ai eu l’impression que le livre m’emprisonnait, je ne pouvais pas détacher mes yeux, avide d’en connaître la fin.

Les personnages sont comme je l’avais imaginé, il n’y a pas d’énorme changements, mis à part la relation entre Liam et Ruby (qui évolue et en bien !)
Vida est toujours aussi…spéciale, Chubs est moins peureux, Cole ahhh mon Cole (mon personnage préféré) qu’est-ce qu’il me fait rire, qu’est-ce qu’il est séduisant …Clancy m’a surpris par sa façon de parler, il reste très intelligent et il m’a même fait de la peine. La cerise sur le gâteau : le retour d’un personnage que j’attendais impatiemment.

Niveau histoire, je n’aurais pas pu espérer mieux. Tout s’enchaîne, tout concorde, aucun oubli.

Action : présente (même beaucoup ! il ne pouvait en être autrement d’ailleurs)

Romance : et bah oui, on a quelques petites histoires sympatoches même si ce n’est pas ce que je regarde le plus dans un roman.

Du sang : bon bah un peu hein, mais Ruby se débrouille toujours pour faire le moins de victimes.

Le narrateur : On vit à travers les yeux de Ruby qui pense toujours à Jude et regrette beaucoup de choses. Malgré ses faiblesses elle reste forte et va tout faire pour survivre et contrôler son pouvoir. C’est ce que j’aime voir chez une héroïne, même si elle a eu quelques réactions exagérées, elle vit au jour le jour et fait tout pour aider ses amis sans entraîner personne dans sa chute (façon de parler je vous rassure).

Une scène traumatisante ? Oui. (je ne vais pas vous la spoiler mais elle m’a arraché quelques larmes)

Est-il addictif ? Oui ! J’ai dévoré le livre avec un grand regret car maintenant il n’y a plus de suite.

La fin : triste, triste et triste. Vers la moitié du livre, je sentais la chose arriver…on peut difficilement me surprendre, mais même en m’y attendant, bah j’ai été choquée. L’auteure a vraiment eu de l’audace !



Cette chronique est structurée bizarrement, mais je ne veux pas vous en dire plus. Sachez que j’en reste traumatisée et que ce livre est celui que j’ai préféré (oui je suis maso).
A tous ceux qui ne connaissent pas les Insoumis, à ceux qui n’ont pas fini la trilogie : Vous attendez quoi au juste ????
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Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/enfants-des-feacutees-tome-3-par-aureacutelie-chateaux-martin.html


Enfants des Fées tome 3 : Noah

Cette fois-ci, la lecture a été rapide. Très même, comment faire autrement quand je suis complètement embarquée dans cet univers ?

Commençons par le commencement.

L’histoire commence là où on l’avait laissée. Dès le début je suis restée perplexe par les nouveaux sentiments que nourri Meltem pour l’elfe noire, je ne sais pas vraiment quoi en penser mais ces ’’rêves’’ ne sont pas là pour rien alors j’attends…impatiemment.

Ce troisième tome révèle pas mal de choses et donne plus de pistes que n’importe quel autre. Il y a de même, beaucoup de nouveautés !
Des personnages font leur apparition : Ninon, Thomas de Brenduy, Kadya l’impressionnante Mage Blanche et même de nouvelles races : des dragons d’eau (les shyss), des Sourcelyns (celle que j’ai particulièrement apprécié), les Mages gardiens de la paix, les elfes de Lune, les pieuvres géantes des Marais…
J’aime quand les auteurs prennent la peine d’inventer de nouvelles créatures au lieu de nous imposer les éternels vampires et loup-garous (même si je ne suis pas contre du tout).
Cela montre un effort et le lecteur ne peut que l’apprécier.

C’est en continuant ma lecture que j’ai pu en apprendre plus sur les différents types d’elfes et leurs pouvoirs (qui me rappellent vaguement un certains Legolas), les dangers qui menacent nos héros (notamment la partie avec les Ombres que j’ai adoré), les questions incessantes sur Noah (qui ne sont pas encore expliquées), l’intrigue qui pèse sur Finn…

Nous découvrons des lieux comme les Bois d’Estregor où nos personnages vont faire une halte et découvrir une bande de rebelles aux histoires poignantes. Les Marécages Féériques sont surprenants et ténébreux contrairement à ce que je croyais aux premiers abords…

La suite sur le blog :)
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Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/tmi-les-origines-par-cassandra-clare.html

On peut dire que ça va faire des années que l’on me forçait à entamer les ''TMI Origines'', mais comme j’avais lu les ''The Mortal Instruments'' je ne me sentais pas prête de commencer. Donc, trois/quatre ans plus tard, je me suis lancée et je suis tombée des nues. Moi qui croyais que ça allait être une pâle copie de TMI j’ai été hyper mega agréablement surprise et je les ai rajouté à ma P.A.L. J’ai actuellement fini le premier tome et j’ai adoré.

L’ambiance se prête au décor dans la ville de Londres, ténébreuse et mystérieuse, remplie de créatures magiques allant des démons aux fées, des sorciers aux Nephilim (ma "race" préférée).

Le livre narre les aventures de Tessa (une métamorphe), elle sait se montrer très courageuse et développe des pouvoirs qui seront très utiles aux Chasseurs d’Ombres; Will et Jem (mes deux chouchous, même si j’ai une légère préférence pour Will qui me rappelle Jace). La première est une nouvelle arrivée des Etats-Unis qui se retrouve séquestrée par les méchantes Sœurs Noires, employées du Magistère (THE méchant dans cette saga) ; Will est le beau brun aux yeux bleus qui va tout le temps sauver notre héroïne et se mettre en danger même si sa vie doit y passer et il garde un secret profondément enfoui en lui; puis Jem, cheveux gris, peau pâle, on s’y attache énormément vu son passé tourmenté.

L’Institut est présent sous un nouveau jour, dirigé par Charlotte et son mari Henry, inventeur, et nous retrouvons des personnages tel que l’incontournable Magnus Bane, notre sorcier préféré (après Harry Potter) avec un goût prononcé en tenues vestimentaires (d’ailleurs je vous invite à lire les Chroniques de Bane).

La suite sur le blog
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date : 29-03-2016
Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/reboot-t1t2-par-amy-tintera.html

Une chronique des deux romans réunie!

Voici ma première chronique avec une duologie.

Reboot m’a été conseillé par un ami dans une période où je faisais un sacré blocage de lecture et qu’elle merveilleuse surprise !

Un monde dystopique où un virus permet aux jeunes qui lui survivent de renaître plus forts et résistants. Plus le temps de réveil est long, plus vous avez la garantie d’être quasi invincible et sans émotions.
C’est le cas de l’héroïne, 178, qui se prénomme Wren.

Ce personnage est une Lara Croft/ Terminator/ fille de Chuck Norris avec encore plus de force et de courage, qu’est-ce que j’ai pu aimer sa personnalité, son intelligence, sa force… Une héroïne digne de ce nom ! Même si tout est fait pour la faire paraître froide et sans émotions, elle est de suite devenu mon personnage préféré, celui que j’allais suivre jusqu’au bout du monde s’il le fallait.

Le protagoniste principal masculin est Callum, numéro 22, donc beaucoup plus faible que la normale. Sa personnalité est bien plus chaleureuse et normale quand on ressent ses émotions (surtout dans le tome 2).
Il est si attachant et possède un humour si ravageur que même notre sublime Wren va succomber à son charme.

Cela donne lieu à une romance un peu particulière, mais qu’est-ce qu’elle m’a fait du bien ! Leurs échanges sont si touchants, surprenants et drôles que je me suis laissé porter par leur amour naissant et imprévisible.

En ce qui concerne l’entourage et la société dans laquelle ils vivent tout est assez basique, une dystopie simple mais efficace où le monde est dirigé par des humains ’’normaux’’ dans une ambiance ténébreuse où les humains vivent reclus et tentent des rébellions.

L’action est vraiment au rendez-vous. Les rebondissements sont nombreux, beaucoup de personnages, de défis et de peur dans le premier tome.

Le deuxième tome, écrit en double narration, à un peu déçu le public, sans doute parce qu’il est plus prévisible. Quant à moi, avec une fin pareille je m’attendais à un troisième tome et on m’a bien précisé que non, Reboot est une duologie, c’était bien la toute fin.
Bon bah correct, voilà, mais le gros coup de cœur a été pour le premier !

L’écriture est plaisante. On trouve un peu de tout et le vocabulaire est correct. Les dialogues ne sont pas du tout clichés et c’est ce qu’on attend dans des romans comme ceux-ci.


​Je conclus que cela a donné lieu a une bonne dystopie/ fantastique.
Si vous ne connaissez pas lancez-vous, sinon je lâche Wren à vos trousses !
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Le lien: http://lalivrothequeblog.weebly.com/la-baie-des-morts-par-azel-bury.html

La Baie des Morts porte bien son nom !

Dans ce premier tome, nous retrouvons à nouveau un personnage du nom d’Irma (celle-ci n’a pas sa place dans un asile, coucou ’’La Femme qui tua Stephen King’’) et son technicien Adriel. Ce sont deux journalistes de Channel Twelve qui possèdent aussi une émission de faits divers.

Les deux amis ont pour mission de se rendre en Ecosse afin de percer un secret pour le moins étrange. Leur sujet : Nicholas un petit garçon voit des revenants. Même si l’envie n’y est pas, ils prennent l’avion pour se rendre à : Cruden Bay.

Avant tout, je cherche à souligner les recherches qui ont dû être faîtes par l’auteur, j’imagine que l’on ne naît pas avec du vocabulaire technique en ce qui concerne l’audimat, le spiritisme ainsi que celui de l’aviation. Cela donne un effet très réaliste et réussi, les lecteurs ne peuvent qu’apprécier.

Il y a également de belles descriptions, les paysages décrits et les habitants ainsi que leur façon de parler m’ont fait voyager à travers les lignes de la Baie des Morts, comme si j’y étais. La narration, faîte par plusieurs personnages, est aussi un point positif car moi-même je pratique ce genre d’exercice dans mes écrits, je trouve que ça offre un regard plus complet et cela nous permet également de connaître le point de vue de personnages très différents.

J’y viens justement. Chaque personnage a son passé chamboulé ou finit par l’être.
Irma a perdu son mari et sa fille. Elle ne sait pas trop quoi penser du monde des esprits mais elle est dix fois plus ouverte que son ami Adriel, qui reste plutôt indécis. Joanna, Lorena, Josepha, Mary, Nicholas, les prêtres, Em, Jesse et tant d’autres qui peuplent ce roman…chacun a sa personnalité et sa façon de voir les choses mais je ne veux rien dévoiler d’autre.

J’avoue que tout le thème du roman, les esprits, le paranormal, le suspense, le spiritisme, le surnaturel, a toujours été un sujet qui m’intrigue. J’ai des livres sur le sujet qui m’ont fait me poser beaucoup de questions et c’est en lisant ce genre de roman (La Baie des Morts) que ma petite passion pourrait refaire surface. J’ai été surprise par l’approche de Lucifer (ange, démon ?) et je tiens à m’informer sur le sujet dès que possible.

La suite sur le blog!
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