Commentaires de livres faits par Linkdramas
Extraits de livres par Linkdramas
Commentaires de livres appréciés par Linkdramas
Extraits de livres appréciés par Linkdramas
Donc, on passe un moment sympa, mais si le film est mature, j'ai trouvé que le livre manquait de maturité, justement. L'histoire est longue avec une impression de répétitions à plusieurs reprises (par là, j'entends les schémas classiques de situations et autres). J'ai trouvé la temporalité chaotique également.
L'aspect politique est présent sans être étouffant. C'est une partie des personnages qu'il est impossible de laisser de côté. Pour le reste, il faut s'accrocher avec des chapitres interminables (l'éditeur aurait dû faire un meilleur travail sur ce point) et je ne comprends toujours pas le titre de l'édition française, mais soit !
De plus, c'est à se demander si Christopher Holmes apprécie un autre auteur que lui-même. Plus d'une fois, son mépris envers les auteurs débutants ou indépendants est palpable. Sans compter ceux qui ne connaissent tout simplement pas sa propre botaniste de 80 ans - ou plus - qui mène l'enquête avec son chat et un jeune flic. Si le personnage m'avait été sympathique derrière son côté grincheux du premier tome, le deuxième, en revanche, dépeint une toute autre facette qui me laisse franchement perplexe.
Côté intrigue, c'est honnête quoiqu'un peu long pour pas grand chose. Arrive un moment où les connexions se font, mais le final m'a laissé sur ma faim, simplement parce que je n'ai pas eu ce sentiment de justice.
Bref, définitivement pas ma lecture favorite de l'auteur.
On découvre donc Christopher Holmes, un auteur sur le déclin depuis plusieurs années et qui va tenter de convaincre son nouvel éditeur. Avant de tomber sur un premier cadavre. L'enquête se déroule dans un lieu isolé et coupé du monde en raison d'une tempête violente. Les suspects sont nombreux, le mystère persiste tandis que le suspense s'installe et où le doute s'installe.
Pour mentionner rapidement la romance, elle existe, sans être exploitée. Après tout, Josh Lanyon sait comment ajouter une romance sans qu'elle ne prenne le pas sur le reste de l'intrigue. Et si on l'enlevait, il manquerait quelque chose. Bref, à voir sur les prochains tomes.
Suite du premier tome, on garde la même recette tout en ajoutant des problèmes plus profonds et durs ainsi que quelques éléments passés.
Le passé de Logan n'est pas une révélation, c'était assez évident depuis le premier tome, mais ce fut bien amené. Ça fonctionne avec son caractère têtu qui s'affirme et s'accepte tout en refusant une relation pleine de non-dits ou de conflits.
De l'autre côté, nous avons Tate qui doit assumer sa diabolique ex-femme et surtout une famille qui semble préférer lui tourner le dos et embrasser son ex-femme (oui oui) que d'aimer leur fils, même s'il a découvert qu'un homme c'est sympa aussi.
Ce tome est un conflit permanent, émotionnellement. Tant ensemble que indépendamment l'un de l'autre ce qui le rend tout aussi attractif que le précédent.
Encore une fois, les scènes de sexe peuvent rebuter, mais elles font parties intégrantes à l'histoire.
C'est le genre de romans qui me demande beaucoup de temps de lecture. Si j'aime lire l'histoire de deux hommes torrides, quand l'intrigue est axée autour d'une relation charnelle, aussi exquise que ça puisse être, j'ai besoin de prendre mon temps.
La première fois, j'avais trouvé ça impressionnant d'être capable d'écrire plus de 400 pages de sexe. Car oui, ce premier tome regorge d'érotisme et sensualité au travers de scènes toutes aussi audacieuses les unes que les autres. Lors de ma relecture (et en prenant mon temps tout en me laissant également le temps de digérer ma lecture), je me suis surprise à le voir tout autrement.
Ce premier tome n'est jamais vulgaire ou grossier. Il n'est pas non plus un fourre-tout de phrases préconçues sans intérêt. Tout comme il ne s'agit pas que d'une histoire de sexe (et c'est là où j'ai relevé les nuances entre ma première et deuxième lecture).
Les émotions passent au travers des choix et des gestes des personnages. Une relation sulfureuse où le désir est palpable et devient un brasier incontrôlable, mais où les questions de consentements sont là (Logan ne fait jamais rien que Tate ne veuille pas). Le désir; aussi primaire qu'il puisse être, est une émotion forte avec laquelle l'auteur s'amuse et donne le tournis à ses personnages.
Au-delà des scènes de sexe très bien écrites et chaudes comme la braise, c'est surtout une passion dévorante qui en ressort. Et on ne peut que se douter que la suite explorera plus en profondeur les sentiments. Le désir est une émotion basique de l'être humain et c'est exactement celle qui a débuté entre Logan et Tate.
D'une certaine façon, on remet toutes les bases à plat et on fait les mises à jour des nouvelles situations de l'équipe. Il n'en fait pas plus et ça tombe bien, on en demande pas plus non plus. Quoiqu'il advienne.
Des dessins soignés aux couleurs rafraîchissantes jusqu'au scénario simple et léger, mais efficace et bien rythmé. Personnellement, je ne lis plus vraiment de romans avec seulement une intrigue romantique, mais j'ai toujours un immense plaisir à le faire dans un manga, webtoon, manhwa, manhua (etc) grâce au rythme plus soutenu.
Ainsi, Social Temperature fonctionne et se révèle entraînant et très mignon avec son intrigue simple, mais aux multiples émotions et aux dessins magnifiques.
Le webtoon n'est pas si différent, mais se révèle plus généreux sur tout ce qui implique la vie à deux et c'était exactement ce qui manquait dans l'adaptation. Un tranche de vie où les scènes se suivent pour aboutir à une fin qui n'avait pas impliqué le spectateur plus que ça (ou du moins, en mon cas). Cela dit, le drama suit les codes du KBL. Quoiqu'il en soit, pour moi, le webtoon vient combler le tout avec la tendresse propre à cette histoire. Cela dit, on peut nier que certaines scènes se révèlent un peu répétitives.
J'ai presque envie de conseiller le drama avant le webtoon, mais chacun ira de son propre choix. Pour ma part, je suis heureuse d'avoir lu le webtoon après me permettant ainsi de combler les manques et surtout d'apprécier pleinement les personnages, notamment Jo Tae Seong.
Le style graphique est magnifique avec de belles lignes et des couleurs superbes. C'est clairement un des premiers attraits pour ce webtoon (que j'ai lu en ligne). L'histoire est simple, mais suit son cours avec de l'émotion, de la remise en question et beaucoup de tendresse.
Bref, une mignonne lecture au style joliment coloré.
Les événements de ce tome sont évidents. Ils ne donnent pas l'impression de tomber de nulle part. Au contraire, c'est bien pensé et ça s'emboîte parfaitement avec les événements passés et probablement les événements futurs. C'est là où je reste stupéfaite du travail et de la réflexion lointaine pour ce genre de série.
D'ailleurs, c'est pour cette raison (d'après moi) que des séries comme < Ty & Zane > ou < THRIDS > ne perdent pas de leur éclat au fil des tomes. Ce sont des séries soignées et pensées dans chaque recoin. Le moindre détail a son importance.
Ce tome n'est pas mon préféré dans son ensemble (je crois qu'aucun ne pourra égaler le premier tome qui, encore aujourd'hui, me tire des larmes de rires), mais je ne peux pas m'empêcher que sa construction est une vraie bombe en plus de relancer la série.
Coups du sort en Louisiane est un tome intense qui nous fait suivre Ty et Zane, mais également l'équipe Crotale dont on entend souvent parler. Quel plaisir de découvrir les interactions entre chacun tandis que la relation de Ty et Zane rencontrent de nouveaux problèmes - et pas un quelconque quiproquo. Les personnages atteignent leurs limites, si bien qu'on ressent, nous aussi lecteurs, ce manque d'espoir, cet abandon de chacun au pire moment. Comment ce bordel peut-il seulement avoir un sens et être réparable ?
On a le sentiment que la relation de notre duo d'Agents Spéciaux préférés est sur le point de s'arrêter, car trop malmenée. On se demande comment est-ce possible de réparer ça ?
J'aime à quel point cette série fait palpiter mon cœur, notamment quand je peux voir tout le travail en amont. Ces petits détails mentionnés dans les tomes précédents et qui reviennent subitement et prennent tous leurs sens. Abigail Roux malmène ses personnages et ses lecteurs d'une poigne de fer en distillant tension, action et émotions avec force.
Quant au final, il parle de lui-même au point d'en rester bouche bée avec qu'une hâte, dévorer sans modération son tome suivant.
Le style est simple et joli. De plus, il s'accorde à l'ambiance de l'histoire qui suit son cours. Bien que peu originale, elle n'en reste pas moins entraînante avec quelques planches très sympa (notamment Geum Hwa lorsqu'il travaille).
Je veux dire, une supérette uniquement fréquentée par des gangsters ? Ahah. Si étrange, mais amusant en même temps.
Les dessins sont superbes et l'histoire suit son cours joliment. L'idée que ça progresse lentement est tout autant agréable.
Ah ! C'était le parfait moment pour en découvrir plus sur Calvin et Ethan. Bien que chaque tome soit excellent sur le plan émotionnel, celui-ci me semble être le plus fort sur ce point. J'ignore si c'est parce que le duo m'a intrigué par leur relation fusionnelle depuis le premier tome ou parce qu'Ethan m'a rappelé beaucoup trop de choses.
Quoiqu'il en soit, on découvre les passifs de chacun ainsi que leurs différentes relations (familiales et autres). On plonge dans les pensées de Calvin, mais également d'Ethan qui s'avère être un gros tigre adorable et touchant.
En revanche, bien qu'on ressente de la compassion pour Rafe, je n'excuse pas pour autant son comportement de connard. Ce n'est pas parce que tu as des "problèmes" que ça te donne le droit d'agir ainsi.
Charlie Cochet jongle encore parfaitement entre l'action, l'humour et le sérieux. En plus de découvrir la relation de Calvin et Ethan, on voit aussi leurs compétences au THIRDS en tant qu'agents d'autant plus qu'ils se retrouvent face à des choix importants.
Cela dit, je regrette un peu le final. J'ai eu le sentiment que le tome ne pouvait pas offrir une fin à Calvin et Ethan, bien que le cliffhanger fonctionne complètement et donne envie de se ruer sur la suite, comme toujours.
L'intrigue nous place avec un avocat tenace en la peau de Lee Won et le patron de la Mafia, Caesar surnommé le Tsar. La dynamique entre les deux hommes est amusante à suivre. L'un attire, l'autre se tire. Suis moi, je te fuis. Fuis moi, je te suis. Malgré tout, on sent quelques pertes de vitesse et quelques changements de caractères qui surviennent trop soudainement. Ce qui fait perdre un peu de crédibilité à l'histoire.
Pour finir, ce n'est pas l'histoire qui plaira à tout le monde. Comme beaucoup de WKBL, la violence est de mise avec des scènes qui dépassent les limites morales (abus). Certaines scènes me semblent totalement invraisemblables, mais si vous êtes capables de vous en détacher ou les ignorer, le reste du webtoon est un plaisir.
Une megagrippe a eut raison de la quasi totalité des Hommes. On découvre alors Jamie qui vit seul dans le chalet qu'il a partagé avec sa mère désormais morte. Dans une routine bien huilée, son quotidien est perturbé par l'arrivée de Andrew, blessé.
Les sentiments entre Jamie et Andrew se développent en douceur tandis qu'ils vont devoir se confronter à ce qu'il reste du monde.
Si sur le papier rien n'est très original, Erik J. Brown arrive a capturer son lecteur dans une histoire simple, oui, mais avec des personnages solides et attachants, une écriture fluide et un rythme bien dosé.
Un quatrième tome aussi exquis que les précédents. L'histoire reprend où nous nous étions arrêtés. Beck Hogan est dans la nature et la traque ne fait que commencer. Dans ce quatrième tome, on découvre une part plus sombre de Dex. Bien qu'il soit toujours souriant et heureux, la vengeance alimente ses motivations. S'il était attachant en tant que rayon de soleil survolté, il n'en reste pas moins engageant en tant qu'agent prêt à tout pour débusquer Hogan. Mais peut-être l'est-il un peu trop ?
Encore une fois, Charlie Cochet arrive à jongler et équilibrer à la perfection l'aspect romantique de la relation de Sloane et Dex (et dans ce tome, leur relation est prise dans de nombreux tourments) et l'enquête bien que l'équipe soit sur la touche. L'histoire s'intéresse un peu plus aux premières générations, mais en ayant déjà lu les tomes suivants, d'autres réponses viendront.
Pour ce quatrième tome, Charlie Cochet ne délaisse pas son humour franchement hilarant au milieu de situations amusantes et bourrées d'action et suspense.
Belle Morte avait une base plutôt intéressante. Malheureusement, l'univers est manqué. On y croit pas. Si aujourd'hui croiser les vampires et la luxure est monnaie courante, Belle Morte donne une impression de contrefaçon. De même quant au fait de glorifier les vampires. Dans l'idée, je peux concevoir une adoration de la part des mortels, mais à ce point sans aucune raison ? Il manque quelque chose.
Son autre problème, ses personnages, notamment Renie, l'héroïne. Quelques années auparavant, un personnage comme elle était vendeur. Aujourd'hui, on en attend beaucoup plus d'une pseudo-rebelle qui craque sur le premier vampire qui lui tape dans l'œil. Renie est insipide avec une tendance de girouette (je l'aime, je l'aime pas, je pense à lui, mais je ne dois pas...). Elle ne dégage aucune sympathie ni affection. Elle est immature et hautaine. L'absence de nouvelles de sa sœur semble vite oublié, tout comme certains abus de morsures, mais elle tient toujours debout. Alors qu'une prise de sang nous donne le tournis. Je veux bien d'un personnage solide, mais il faut doser un minimum.
Edmond n'est pas en reste. Et je n'arrive toujours pas à comprendre comment des vampires vieux de 500 ans (ou plus, je ne me souviens plus de l'âge d'Edmond) peuvent se comporter et penser comme des gosses. On aura beau critiquer Twilight, c'était mature quand on y pense.
Bref ! La romance est sans intérêt. Les révélations sont évidentes depuis la première page (j'abuse qu'un chouïa). Cependant, c'est un roman qui se lit facilement grâce à son écriture légère.
Ceci étant dit... Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de romance. Je suis heureuse d'avoir passé un si bon moment avec une multitude d'émotions et des personnages réalistes.
On jongle entre deux personnages, Maxine et Garrett. Tous les deux écorchés, mais tentant de se reconstruire et de retrouver une confiance perdue. L'un va permettre à l'autre d'évoluer tout en étant aidé avec les réunions régulières aux Narcotiques Anonymes. Ce sont d'ailleurs des moments particulièrement puissants, car en plus des deux personnages principaux, on découvre aussi certaines brides des autres membres. Cela permet à Maxine et Garrett de réfléchir sur eux-mêmes en plus de donner du corps à l'histoire.
Confiance, consentement et reconstruction sont les mots importants de ce premier tome (et j'imagine de sa suite). Tout au long de l'histoire, on peut voir l'évolution du duo, mais sans brûler d'étape. C'était une petite crainte que j'avais, mais Jeanne Pears ne va jamais trop vite, au contraire. Et c'est cet aspect qui rend l'ensemble si réaliste et déculpe notre affection pour eux.
La fin est prévisible, mais pique l'intérêt pour la suite qui promet d'être aussi riche en émotions.
On sent que l'auteur s'est trouvé concernant son style. C'est plus fort, puissant et marqué. On sent toujours ce côté brut, mais qui s'accorde parfaitement à l'univers. Les descriptions sont fluides et légères ce qui permet aux lecteurs d'imaginer à son tour. L'auteur n'impose pas, c'était un trait que j'avais apprécié dans son premier tome, et je suis vraiment heureuse de le retrouve ici aussi.
Le Culte Imortis est captivant. Pour l'histoire des Immortels, mais aussi celle qui accompagne les personnages tout au long de ce roman. Les batailles sont également excellentes avec beaucoup de détails - dont certains bien moins glamours que d'autre, mais l'auteur ne se cache pas de ce point et tant mieux.
Le Seigneur de Feu, Mardaas, est à la hauteur des attentes. Encore plus sombre et mystérieux, on découvre le Mal qu'il peut représenter, mais aussi le fait qu'il n'est "juste" un méchant pour faire bien dans le décor, au contraire. Je l'aime.
Comment parler de Mardaas sans parler de Lezar, un nouveau personnage... Il est mon coup de coeur sur ce tome. Entre Mardaas et lui, c'est ok, ils sont clairement ceux que j'affectionne plus que tout. Lezar attire la curiosité, on se demande quel sera son rôle et j'ai hâte de le voir aller plus loin.
Les autres personnages sont tous bons. Kerena, Grinwok (son évolution est flagrante et très intéressante), Dragean, ainsi que tous les autres. Ils évoluent ensemble. C'est un point que j'ai aimé. L'auteur n'attend pas de soudainement les sortir de son chapeau magique.
Quant à au final... Marquant. Surprenant. Mais efficace ! Aucune déception sur cette suite. Ce beau bébé repose sagement aux côtés de son petit frère et désormais, ils attendent le suivant :)
AJ Rose prend le temps de développer toutes les facettes de cet univers sans jamais dépasser la limite du lecteur. Il en est de même pour les scènes de crime. Les détails ne sont pas tous énumérés. Non, ils sont utiles à l'enquête, tout en gardant une certaine retenue sans jamais entrer dans le malsain.
Un roman à découvrir pour la qualité de l'écriture (un vrai plaisir), mais aussi l'approche du BDSM dans le respect de choix de vies, et surtout l'acceptation de soi.
Ce qui m'a le plus frappé dans ce roman, c'est le style de Siobhan Jensen. Nous sommes loin des longs drames ou des larmes. Bien au contraire, on va être sur un style léger, frais et drôle. On change un peu les codes et c'est une idée plus qu'intéressante. Pour tout dire, c'est ce qui m'a le plus emballé dans l'histoire.
Evan est un personnage très attachant, amusant et simple. Isaiah est tout autant agréable, quoiqu'un peu plus sage (et mystérieux vu que nous sommes exclusivement du pdv d'Evan). J'ai beaucoup aimé le duo qui offre une dynamique pétillante. La romance est présente, mais sans plus (un point que ne m'a pas gêné).
L'histoire se découpe en trois parties. La première est celle qui m'a le plus séduite. Pour son humour, son rappel d'avant l'apocalypse, pour les événements que j'ai trouvé bien mené. Les deux autres m'ont moins plus. J'ai trouvé qu'il manquait de détails et d'explications. La réponse au virus ne m'a pas emballé plus que ça non plus, mais c'était le choix de l'auteur, et je pense qu'il est important de le respecter, bien que je n'en sois pas amatrice.
C'est un premier tome sympathique avec un style d'écriture entraînant et rafraîchissant. Même s'il m'aura manqué le poutrage de zombies, on comprend le choix de l'auteur. Je me demande maintenant de quoi parlera la suite.
Dès la première page on plonge dans l'action - et pas n'importe laquelle. C'est un tome beaucoup plus dynamique dans son ensemble, étant donné que nous sommes sensible à l'univers de l'Épouvanteur, l'auteur s'attarde moins sur les "petites subtilités" comme dans le tome précédent. Ce qui fait qu'une fois débuté, il est difficile de s'arrêter avant la fin.
Tout au long du roman, on va d'action en action. Les rebondissements sont là et amènent leur lot de problèmes. On voit nettement l'évolution de Tom, mais qui à encore beaucoup a apprendre. L'écriture est fluide, entraînante et quelques secrets sont dévoilés.
Un vrai plaisir, et le tome 03 m'appelle maintenant.
Les personnages ont tous leur identité. Aucun ne se ressemble, on sent que Michael Bielli n'a pas seulement crée un anti-héros avec quelques copains en prime. On ressent la recherche dans chaque trait de caractère et c'est ce qui donne envie de lire encore quelques pages, quelques pages qui deviennent des chapitres entiers, évidemment.
L'histoire est intéressante. Sur son scénario, mais aussi l'évolution des personnages. On ne s'ennuie pas, les temps-morts sont rares et souvent, l'auteur nous livre quelques secrets pour nous permettre de ne pas ressentir de longueurs.
C'est une série à suivre, tout comme son auteur.
Mardaas est le genre de livre fantasy qu'on aime découvrir, car il possède sa touche originale qui le rend unique.
C'est un roman avec un fort potentiel et quelques défauts, mais on y passe un moment agréable. Le côté SF est recherché, les descriptions permettent de bien s'imaginer les créatures et décors.
Malgré tout, ça manque de maturité au sujet des personnages. Ils ont la vingtaine, mais agissent comme des adolescents de quinze ans. On se retrouve a avoir du mal à les prendre au sérieux. De plus, on peut reprocher quelques longueurs et le fait de passer d'un point de vue à l'autre qui brise le suspense et la fluidité sur pas mal de scènes.
On reste sur un roman avec du complot, des alliances et des trahissons qui se révèlent bien ficelées, mais qui manque un peu de tensions.
Hellraiser n'est pas une histoire faite pour tout le monde. C'est violent et pervers avec de lourdes tendances sadiques. Ça put la sueur et le sang à plein nez, c'est intense.