Commentaires de livres faits par mamour04
Extraits de livres par mamour04
Commentaires de livres appréciés par mamour04
Extraits de livres appréciés par mamour04
— C’est tout ce que tu as à me donner, Capitaine Samuels ? geint-elle.
— On pourrait nous apercevoir. Ce n’est pas ce que nous voulons, n’est-ce pas ?
— Certes, je pensais juste à un bisou pour sceller notre accord, s’amuse-t-elle.
— Tes baisers sont trop ensorceleurs, ma belle. Là, tout de suite, j’ai besoin de prendre une douche froide, si tu vois ce que je veux dire.
Alors un baiser… C’est au-dessus de mes forces.
Mes yeux se plissent et je perds pied, bercé par la musique de 10 CC. I'm not love... Non, c'est ma bouche qui le désire, laisse sa langue ouvrir le bal, dans un baiser licencieux. Licencieux car sa bille de titane me rend complètement maboule; je l'imagine sans peine malmener mes chaires humides et gémis contre ses lèvres. Il se dégage une telle sensualité dans l'indolence de ce baiser sur j'en oublie comment respirer.
Alors, je lui pique son air et me raccroche à sa nuque; comme un instinct de survie qui me dicte de fourrager dans ses cheveux, empoigner quelques mèches entre mes doigts pour ne pas sombrer. Et pourtant je sombre quand sa bouche se montre plus exigeante, me soumet à son ardeur au point de m'aliener. C'est beaucoup trop fort : désir incontrôlable, plaisir irrépressible, maintenant que j'y ai goûté je veux qu'il me dévore.
Si ça continue...
- Tu es une personne très inspirante, Sanchez, lui avoué-je sincèrement. J'ai appris énormément de choses en te côtoyant, que ce soit professionnellement, ou personnellement.
Surtout personnellement, putain.
Je desserre ma prise, et la libère de tout ce que je ne parviens pas à dompter: ma rage et ma passion, mon impatience et ma déraison.
Mon envie d'elle: si interdite, si indécente... Si immorale.
Double Zéro, alias Théo 🥰 📚
Prenez soin de votre matériel, lavez-le, reparez-le... C'est lui qui vous soutiendra en permanence. Si vous le laissez tomber, il fera pareil avec vous à la première occasion. Chaque exercice que vous réussissez est une victoire. Chaque journée que vous terminez, est une victoire. Chaque lendemain, vous aurez encore l'occasion de gagner. Bâtissez votre temple du héros sur vos victoires. Le dernier conseil que je vais vous donner, est de rester concentré sur le moment présent.
Il n'y a qu'une chose à faire : rester conscient de ce que vous faites ici et maintenant et le terminer tout simplement. Le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore.
Souvenez-vous en!
Il transporte, bouleverse, peut être à l'origine d'harmonie, de conflit, de joie ou de tristesse. Certains le disent avec un grand A. D'autres évoque une passion déraisonnée qui peut s'effilocher. Lorsque ce sentiment puissant parvient à créer une brèche dans votre carapace, c'est avec un empressement particulier qu'il se rue vers votre âme mise à nu. Il peut la magnifier, tout comme il a ce pouvoir effrayant de la balayer avec une force redoutable. Pourtant l'amour est bien plus complexe que ce flottement entre douce ivresse et dévastation. Il revêt plusieurs visages, évolue avec le temps, se transforme selon les êtres
Ca n'a jamais été un homme qui respecte les canons classiques. Il a les traits du visage grossiers, une bouche épaisse et la mâchoire large et saillante sans un seul poil de barbe. Mais son regard...
Ca lui donne un côté guerrier scandinave, avec ses cheveux blonds coupés plus court sur le dessus des oreilles. Il est séduisant. C'est le mot la plus adéquat pour lui.
Pas beau. Séduisant.
Et arrogant. Cynique.
Détestable.
Aujourd'hui il vient de percer ma cuirasse par la simple force de son amour.
Et j'ai rendu les armes sans contraintes. En toute confiance. Le sous-officier Fresnault n'était pas là pour m'arrêter. Non. Il est venu briser les chaînes. M'affranchir de l'obscurité dans laquelle j'errais sans but.
Et malgré les années écoulées, et les conflits, mon cœur, lui, ne peut mentir : je suis toujours amoureux de Hurricane McGuinness.
~ Kord ~
Abandonner?
La natation n'avait jamais été qu'un sport, pour moi. C'était les seuls moments où je devenais quelqu'un. Pas un nom, pas une histoire, pas un scandale. Seulement quelqu'un.
Blue.
Je l’embrasse. Mon cœur me trahissant à son tour
❤️❤️❤️
- Ouais, même qu'il siffle toute la liqueur, parce qu'il sait qu'elle est pas fan. Comme ça, il ne lui reste que le chocolat, c'est un beau geste d'amour non ?
Mais qu'ils sont cons, je voudrais mouriiiir !
- C'est tout Caleb ça, il lui chante des chansons de lover avec sa guitare, il écrit même des poèmes.
Au secours !
Caleb est devenu un bad boy guimauve, accro aux Mon Chéri.
Rhooo ce passage m' à tué :D
je me sens bien.
Lorsque je fais le mal,
je me sens mal."
Abraham Lincoln
" Lorsque je fais le bien,
je me sens bien.
Lorsque je fais le mal,
je me sens putain de super bien."
Damon " Preacher " Fox
— Vous êtes bien pâle.
Instinctivement, mon regard se porte sur la personne qui vient de me sortir une connerie pareille. Sans blague ! Je bloque quelques secondes, ouvre la bouche, la referme aussitôt. Mes yeux se figent sur les lèvres de l’inconnu. Charnues, dessinées à la perfection, elles sont un appel au baiser. Ses yeux d’un bleu intense me transpercent, je déglutis péniblement. Je dérive mon regard vers sa mâchoire, puis descends dans l’espoir d’en voir davantage, mais je suis interrompue par sa voix, sexy au possible.
— Quoique, vous virez au vert là ! reprend ce dernier avec un sourire amusé.
C’est qui ce type ? S’il essaie de me rassurer, ben, c’est raté ! Et puis de quoi je me mêle ? Est-ce que je lui dis, moi, qu’il est totalement déplacé de se moquer de quelqu’un ?
— Vous savez que l’avion est le moyen de locomotion le plus sûr qui existe ? me demande-t-il ensuite.
Ouais, on me l’a répété maintes et maintes fois, inutile de me le préciser. Et puis, j’ai déjà lu cette remarque dans un magazine. Je n’ai pas besoin de toi Albert Einstein.
— Mais aussi, celui qui ne pardonne pas ? On appelle les survivants à un crash : des miraculés. Ils sont tellement rares ! continue-t-il en plantant ses yeux dans les miens, comme pour me prouver sa théorie.
Il est sérieux là ? Je vais vomir et même certainement mourir et lui ça l’amuse ! Mes mains deviennent de plus en plus moites, tandis que mon cœur, lui, palpite tellement vite qu’il tape contre ma poitrine. Je peux l’entendre à travers ma cage thoracique.
— Oh, je m’appelle Kayden. Et vous ? se présente-t-il en me tendant sa main pour que je la lui serre.
Sauf qu’il peut la ranger sa main, car je n’ai aucunement l’intention de le saluer après ce qu’il vient de me sortir. Et s’il croit que je vais lui répondre, il rêve encore plus. Je lui lance un regard noir, celui qui veut dire « fous-moi la paix, bon sang ! ». Il me scrute de ses yeux d’un bleu océan à damner une sainte et finit par laisser tomber sa main. "
Sources: Page FB Black Ink
Toujours ce bruit de pas, de plus en plus fort.
Allez Abby ! Bouge !
Je remue les doigts, mais je suis toujours dans l’incapacité de remuer les jambes.
Le bruit de pas s’arrête, une ombre se dessine dans l’interstice entre la porte et le sol ...
Il est derrière ... "
Sources: page FB Black Ink.
— Réveillez-moi quand elle aura terminé, dit Yani.
— Puisque c’est comme ça, je ne ferai pas de discours, bande d’ingrats ! décidé-je. Je note que tout le monde se moque de m’avoir vexée. Val m’adresse un clin d’œil complice, puis il se lève pour prononcer ce discours que j’attendais :
— Levons nos verres à cette maison qui symbolise vingt ans d’amitié ! Ici, ce sera toujours chez nous, notre refuge pour les jours tristes, et notre paradis pour les jours heureux. À la vôtre, les amis !
Décidément, Val sait toujours trouver les mots