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Commentaires de livres faits par mewmewgirl

Extraits de livres par mewmewgirl

Commentaires de livres appréciés par mewmewgirl

Extraits de livres appréciés par mewmewgirl

I believed, and still believe, that you can build your dreams brick by brick. That you can accomplish anything with persistence.
Even falling in love.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
“Love is friendship that has caught fire. It is quiet understanding, mutual confidence, sharing and forgiving. It is loyalty through good and bad times. It settles for less than perfection and makes allowances for human weaknesses.”
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
My goal was bigger than revenge. My purpose greater than personal retribution.
Avez vous apprécié cet extrait ? +50
date : 23-06-2015 par anonyme
“Sometimes my life felt so small. And I had to wonder why those of us who were given small lives, still had to feel pain so big.”
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Lorsque ses lèvres se sont posées sur les miennes, son odeur m’a fait frémir et j’ai eu l’impression qu’une décharge électrique parcourait tout mon corps. Une multitude de sensations m’a envahie. Quand il s’est écarté, il a scruté mes yeux avec attention. Il m’a fallu quelques secondes pour revenir à la réalité.
— Emma ?
C’était la voix de notre prof. Evan a ouvert des yeux grands comme des soucoupes avant de m’entraîner rapidement dans la chambre noire. Le temps de reprendre mes esprits, j’ai attendu quelques secondes.
— Bonjour, madame Mier, ai-je dit d’une voix peu assurée en sortant de la pièce.
J’avais l’impression d’être écarlate.
— Ah, tu es là ! s’est-elle exclamée avec un sourire étonné.
Elle déplaçait des affaires sur son bureau.
— J’avais besoin de récupérer un papier. Tu pourras fermer la porte à clé quand tu partiras ?
— Bien sûr.
Elle a levé la tête vers moi et son sourire s’est élargi.
— Ça te va bien, cette couleur, a-t-elle remarqué.
Je me suis sentie devenir encore plus rouge. J’ai baissé les yeux sur les traces bleues laissées par Evan sur mon tee-shirt.
— Non, je parlais du rouge…
J’ai froncé les sourcils et l’ai regardée se diriger vers la porte. Avant de sortir, elle m’a jeté un dernier regard et m’a dit :
— Dis à Evan Mathews que je lui souhaite un bon retour parmi nous."
Avez vous apprécié cet extrait ? +56
Camille se retourne vers moi et me lance un regard agacé :
-Cassiopée, dis à ta bestiole de se calmer, elle est en train de mettre en rogne tous les chiens du village.
Il se met à faire des grands gestes vers la meute en criant des « Houste, houste ! » et j’en profite pour lancer mentalement un :
"Dégagez fissa".
Tous les chiens cessent de grogner et disparaissent à l’unisson dans les ruelles adjacentes. Camille s’arrête net, étonné d’avoir été obéi aussi promptement. Isha se met à rire, son petit rire sarcastique et agaçant qu’il me réserve habituellement.
-Dis donc Camille, quelle autorité ! Tu peux essayer ça sur moi s’il te plait ? J’ai des problèmes avec l’obéissance.
-La ferme.
-Flûte, ça marche pas.
Avez vous apprécié cet extrait ? +55
Un mort, ce n'était pas seulement la perte d'un être cher. C'est une part entière de soi qui disparaissait dans le néant.[...] Oublier les morts, c'était comme les tuer une seconde fois.
Avez vous apprécié cet extrait ? +102
date : 15-02-2014 par adele
Il se pencha et l’embrassa tout doucement, leurs bouches si parfaites l’une pour l’autre qu’elle en eut des frissons. La chaleur de cet homme était un bonheur à savourer, et, du bout de la langue, elle effleura le chocolat resté au coin de ses lèvres vigoureuses, puis leurs langues s’engagèrent en une danse sensuelle et sauvage. Il rompit leur baiser, la laissant haletante, prise de vertiges et d’une envie folle de recommencer. Leurs regards se croisèrent un instant, la stupéfaction se lisant sur leurs visages. Elle ne se sentait ni trompée ni déçue puisqu’elle savait à quoi s’attendre avec lui. Seulement, elle s’en fichait complètement.

— Encore, souffla-t-elle et il s’exécuta en tendant la main vers un gâteau mais elle le retint. Non, pas ça, toi.
Elle l’attrapa par le col de sa chemise, l’attira contre elle, et se laissa embrasser plus fort, lui faisant comprendre qu’il pouvait glisser sa main au creux de sa nuque, l’envelopper dans ses bras, l’embraser. Elle sentit la main de Cal s’insinuer autour de sa taille pour se faufiler sous son sweat, son sang circulait à une vitesse folle et les pulsations contre ses tempes lui hurlaient : « Celui-ci ! »

source site "dans notre petite bulle"
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Puis elle se retourna avant qu’on la surprenne dans sa contemplation béate. Elle savait que ce n’était pas le bon, mais son ADN à l’affût d’un donneur de sperme de haute qualité s’emballait à la vue de cet homme. Chaque femme en possession d’ovaires en état de marche et présente dans l’assemblée devait regarder ce type en se disant : « Celui-ci. » Mais la biologie ne faisait pas tout.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
— Mais tu n’as pas fait ta demande ! se révolta Min en tentant d’arracher la ceinture.
— Veux-tu m’épouser ? dit-il les yeux toujours posés sur le galbe de sa poitrine.
— Non ! rugit-elle déchirée entre l’amour et l’envie de le tuer.
— Ah, oui, parce que lorsque Harry t’interrogera, dans quelques années, sur la façon dont oncle Cal a fait sa demande, tu ne veux pas avoir à lui répondre : « Eh bien, il m’a attachée au canapé, m’a mise toute nue et a dévoré des donuts sur ma poitrine, ensuite il m’a demandée en mariage. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
"Je crois que j'ai toujours eu peur d'être moi-même."
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
"Mon coeur s'arrête un instant, mon souffle se bloque silencieusement. Cette fille vient de me caresser l'âme du bout des lèvres."
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
— Évidemment, tu as dragué une fille hier soir, soupira Shanna en tournant la tête pour le regarder. On pourrait t’enfermer dans des vestiaires pour hommes, et tu trouverais toujours le moyen d’en ressortir au bras d’une conquête. Mais comment tu fais ?
Cal esquissa un sourire malicieux.
— Mon charme naturel.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Min se redressa le sourire aux lèvres.
— Ma sandale ! Je croyais l’avoir perdue !
— En fait, tu ne la reverras jamais. Sauf si tu acceptes de déjeuner avec moi. Je la tiens en otage, un flingue est pointé sur son talon à la minute où je te parle.
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
« - Qu'est-il arrivé au loup alpha ?
- Des Lego.
-Lego ?
C'a avait l'air grec mais je n'arrivais pas à me souvenir d'une créature mythologique de ce nom. N'était-ce pas une île ?
- Il apportait du linge dans la cave et il a trébuché sur un vieux jeu Lego que ses gosses avaient laissé dans l'escalier. Il s'est cassé deux côtes et une cheville. Il est hors combat pour deux semaines. (Curran secoua la tête.) Il a vraiment choisi le moment ! Si je n'avais pas besoin de lui, je le tuerais. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +17
"Ecoute moi bien, fille...
Tu es la personnalité la plus forte de la famille, ma petite. Oublie ce que je t'ai dit la dernière fois. Je te prédis que la volonté de ton mari se brisera sur la tienne."
Avez vous apprécié cet extrait ? +104
date : 04-04-2014 par anonyme
“Sky, I'm not kissing you tonight but believe me when I tell you, I've never wanted to kiss a girl more. So stop thinking I'm not attracted to you because you have no idea just how much I am. You can hold my hand, you can run your fingers through my hair, you can straddle me while I feed you spaghetti, but you are not getting kissed tonight. And probably not tomorrow, either. I need this. I need to know for sure that you're feeling every single thing that I'm feeling the moment my lips touch yours. Because I want your first kiss to be the best first kiss in the history of first kisses.”
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
— C’est une bonne chose qu’il t’ait quittée. Au moins maintenant tu es disponible pour le prince Charmant. Il est en route, je le sens.
— C’est ça... Il était en route, mais un tracteur l’a fauché en chemin.
Avez vous apprécié cet extrait ? +15
Souviens toi seulement de toujours rester toi même et n'aie pas peur de dire ce que tu penses ou de rêver à haute voix'
J'espère que tu ne m'oubliera jamais'
Une dernière chose: ne t'en veux pas de ne pas m'avoir dire tu m'aimais. Ce n'était pas la peine. Je l'ai toujours su.
Avez vous apprécié cet extrait ? +12
— Une minute, s’il vous plaît.
Je posai le combiné sur la table et criai :
— Curran !
— Quoi ?
— Tu ne pourrais pas t’arrêter une minute ? Je suis au téléphone avec la DAP.
Il grogna quelque chose, mais les coups de marteau cessèrent.
— Je suis désolée. Vous disiez ? demandai-je au téléphone.
— Je disais que nous étions très impressionnés par votre travail. Nous avons contacté la Meute, et le Seigneur des Bêtes n’a pas terni d’éloges à votre sujet.
— Le Seigneur des Bêtes ?
— Oui.
— Une minute, s’il vous plaît.
Je baissai le combiné.
— Curran ?
— Quoi ?
— Qu’est-ce que tu leur as dit ?
— Je ne m’en souviens pas. Je crois que j’ai mentionné ta discipline et ta capacité à obéir aux ordres, j’ai aussi vanté tes qualités dans le travail en équipe.
Avez vous apprécié cet extrait ? +33
date : 05-08-2013 par kats-at
« Tu ne mérites pas des belles paroles, Sky. Tu mérites des actions. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +67
date : 07-01-2013 par maya18
"Let me inform you of something," he ays in a low voice.
"The moment my lips touch yours, it will be your first kiss. Because if you've never felt anything when someone's kissed you, then no one's ever really kissed you. Not the way i plan on kissing you."
Avez vous apprécié cet extrait ? +15
— Dis-moi ce que tu veux, Lucie.
— Je ne comprends pas.
— Pourquoi sommes-nous en train de faire cela ? Parce que tu veux quelque chose. Qu’est-ce que tu veux – réponds-moi sans réfléchir, exigea-t-il.
Elle passa sa langue sur ses lèvres et déglutit quand il se rapprocha, mais demeura hors d’atteinte.
— Là, maintenant ?
— Oui, à l’instant même.
— J’ai tellement envie de t’embrasser que cela me fait peur.
Sa réponse le bouleversa – il avait cru qu’elle parlerait du désir que lui inspirait son petit docteur. Son ego s’en estima néanmoins parfaitement satisfait.
— Alors fais quelque chose, ordonna-t-il.
Lucie prit son visage entre ses mains et unit sa bouche à la sienne. Cette fois, la saveur salée de sa sueur se mêlait au goût de fraise qu’avaient ses lèvres. Une combinaison enivrante dont la puissance n’était rien comparée à la surprise qui le saisit quand elle fit glisser sa langue sur sa lèvre supérieure.
Reid prit cela pour une invitation en bonne et due forme. Il inséra sa langue à l’intérieur de sa
bouche et eut la sensation d’être autorisé à goûter la plus suave des ambroisies.
[...]
Soudain, elle s’écarta de lui et prit un air professionnel, bien que son halètement la trahisse encore. Reid trouva plaisant de la troubler ainsi. Très plaisant, même.
— Ce n’est pas une bonne idée, Reid. Il faut te concentrer sur tes étirements sinon tu risques de te faire mal.
De la main gauche, il lui prit le menton pour détourner son attention de sa blessure.
— Mon épaule ne m’élance absolument pas, Lu. C’est une autre partie de mon anatomie qui me fait cet effet-là.
Il attendit patiemment que le déclic se fasse entre son esprit innocent et ses propos pervers. En vain.
— Je ne comprends pas. Où as-tu mal ?
Il arqua le sourcil gauche et sa bouche s’étira en un sourire diaboliquement coquin. Attention, elle allait bientôt percuter, dans trois… deux… une seconde…
À la façon dont les yeux gris pâle de Lucie s’écarquillèrent puis se levèrent au ciel, il comprit qu’il venait de gagner son pari. Ses joues s’empourprèrent de façon comique, mais Reid n’était pas d’humeur à rire. Absolument pas. Il s’était entièrement focalisé sur une seule et unique chose. Une chose qui ne pouvait amener que des problèmes.
Avez vous apprécié cet extrait ? +17
— La soirée est trop belle pour que tu aies l’air aussi sérieux.
Surpris, il fit volte-face, prêt à houspiller Lucie de lui avoir fait une telle frayeur… quand il aperçut la créature la plus divine qu’il ait jamais vue.
Elle se tenait sur le seuil du balcon, les mains de part et d’autre de la porte-fenêtre, comme si elle s’apprêtait à la franchir. Jusqu’à cet instant, si on avait demandé à Reid dans quelle tenue il trouvait qu’une femme était la plus sexy, il aurait répondu sans hésitation : en sous-vêtements transparents. Mais la chemise de Reid, qu’elle avait enfilée et qui dissimulait son corps depuis ses épaules jusqu’à mi-cuisses, était mille fois plus suggestive que n’importe quel ensemble Victoria’s Secret.
Elle avait lâché ses cheveux, et la lueur qui brillait dans ses yeux en disait long sur ses intentions.
— Dieu que tu es belle, fit-il d’une voix rauque.
Avez vous apprécié cet extrait ? +14
— Est-ce que tu te souviens du jour où je t’ai dit que j’adorais mon sport mais que je ne savais pas combien de temps encore je continuerais à en vivre ?
— Je m’en souviens, oui. Après cette soirée au restaurant.
— C’est ce que je voulais dire. Je n’ai plus le coeur à ça.
— Et à quoi as-tu le cœur, Reid ? demanda-t-elle en soutenant son regard.
— À toi, Lucie. Mon cœur t’appartient.
— Depuis quand ? répliqua-t-elle d’un ton de défi.
— Je crois bien qu’il t’appartient depuis que je t’ai entendue renifler pour la première fois, répondit-il, tenant son visage entre ses mains. Enfin, il est possible que j’en aie seulement pris conscience quand tu as flirté à ma demande avec ce serveur, ajouta-t-il en déposant un baiser sur le bout de son nez. Je suis sûr et certain d’avoir été définitivement mordu la première fois que tu t’es endormie dans mes bras, ajouta-t-il en embrassant cette fois la petite tache de rousseur en forme de coeur qu’elle avait au coin de l’oeil. Et j’ai su de façon certaine et définitive que j’étais complètement
cuit la nuit où nous avons fait l’amour, conclut-il en déposant un baiser sur ses lèvres.
Lucie se hissa sur la pointe des pieds et l’embrassa sur la bouche avec passion. Reid l’étreignit alors de ses bras puissants pour la serrer contre lui et répondre à son baiser de toute son âme. Les cloches d’une église voisine égrenèrent une mélodie joyeuse quand ils reprirent leur souffle.
— Dis-le, Reid, exigea-t-elle en s’écartant de lui.
— Te connaissant, tu ne seras pas satisfaite tant que je ne l’aurais pas épelé jusqu’au bout, hein ?
— Estime-toi heureux que je ne te demande pas de l’écrire dans le ciel avec les fumées d’un avion, Andrews.
Il rit puis laissa aller son front contre celui de Lucie.
— Lucie Marie Maris… je suis gravement et complètement amoureux de toi. Et Dieu m’est témoin qu’un jour – quel que soit le temps que cela prendra – tu daigneras envisager de devenir ma femme. Parce que je ne supporte pas l’idée de vivre sans toi.
Les douze coups de minuit retentirent tandis que les merveilleuses paroles qui venaient de
franchir ses lèvres enveloppaient Lucie d’un voile de bonheur qui dissipa toute l’horreur des mots qu’il avait jadis prononcés. Pour la première fois de sa vie, elle se sentit comblée et aimée, inconditionnellement. Son menton trembla quand elle essaya de retenir ses larmes mais elles coulèrent le long de ses joues malgré tous ses efforts.
— Regarde ce que tu as fait, gémit-elle. Tu n’aurais pas pu te contenter d’un simple « Je t’aime » ?
— Je t’aime, répondit-il avant de déposer un baiser sur ses lèvres.
— C’est trop tard. Regarde dans quel état je suis.
— Je te trouve magnifique.
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date : 03-05-2013 par Fairy-World
Je me suis de nouveau allongée sur lui, le visage contre le sien. J’ai aperçu l’horloge au-dessus de la porte, et eu soudain la sensation du temps qui filait. J’ai pris ses bras pour les nouer très fort autour de moi, puis je l’ai enserré entre mes bras et mes jambes, de sorte que nous soyons infiniment mêlés. J’ai pris sa main dans la mienne et mêlé mes doigts aux siens. Je l’ai sentie serrer la mienne et j’y ai déposé un baiser. Son corps m’était devenu si familier. Jamais je n’avais connu Patrick aussi intensément, aussi intimement – ses forces et ses faiblesses, ses cicatrices et son odeur. Mon visage était si près du sien que ses traits se sont brouillés. J’ai commencé à me perdre en eux. Du bout des doigts, j’ai caressé ses cheveux, sa peau, son front. Les larmes coulaient toutes seules le long de mes joues, de mon nez contre le sien, et il ne m’a pas quittée du regard. Sans un mot, il me scrutait intensément, comme s’il voulait stocker quelque part chacune des molécules qui me composaient. Il se repliait déjà – se retirait vers quelque lieu où je ne pouvais l’atteindre.
Je l’ai embrassé, essayant de toutes mes forces de le ramener. Je l’ai embrassé et j’ai laissé mes lèvres sur les siennes, pour que nos souffles soient mêlés et que les larmes de mes yeux deviennent du sel sur sa peau. Et, pendant tout ce temps, je me disais que de petites particules de lui deviendraient de petites particules de moi, ingérées, avalées, vivantes et éternelles. Je voulais presser contre lui jusqu’à la plus infime partie de moi. Je voulais le forcer à recevoir quelque chose. Je voulais lui communiquer chaque parcelle de vie qui était en moi pour l’obliger à vivre.
J’ai compris que j’avais peur d’exister sans lui.
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