Moi, Lucho, l'important c'est de rester vivant
Auteur
- Luc Leblanc (Écrivain)
- Erik Orsenna (Préface)
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Classement en biblio - 2 lecteurs
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Un livre tout en sincérité d’un sportif discret, écorché par une multitude d’accidents de la vie. La description de son parcours professionnel est par ailleurs instructif et l’on comprend mieux certains épisodes. Pas de langue de bois et un courage exemplaire.
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J'ai reçu ce livre dans le cadre de la masse critique de Babelio que je remercie ainsi que les Éditions Solar pour l'envoi et leur confiance 🙂
Luc Leblanc, coureur cycliste professionnel de 1987 à 1998, nous raconte son histoire.
Il nous parle des moments forts de sa vie et de sa carrière de cycliste.
De son enfance, avec le décès tragique de son petit frère, jusqu'à son accession au sommet avec ses titres de champion de France tout d'abord et ensuite celui de champion du monde.
L'accident qu'il a eu avec son petit frère l'a suivi tout au long de sa carrière et le suit toujours dans sa vie quotidienne car il a eu des séquelles assez importantes de cet accident.
🗨️ 𝘔𝘰𝘯 𝘢𝘷𝘪𝘴
Étant fan de cyclisme, je connaissais Luc Leblanc mais pas son histoire.
J'ai été bouleversée dès les 1eres pages.
La perte de son frère a été un terrible drame pour lui.
Luc Leblanc a une sacrée force de caractère. Il a su affronter des évènements et des moments difficiles mais a toujours réussi à remonter la pente.
C'était une vraiment belle lecture !
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Date de sortie
Moi, Lucho, l'important c'est de rester vivant
- France : 2023-05-25 (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
Confession buissonnière d'un champion hors-norme.
Luc Leblanc fut l'un des meilleurs coureurs cyclistes professionnels de sa génération, un champion avec un grand C, un non conformiste. Il lui a fallu trente ans pour se délivrer d'une douleur obsédante depuis un certain soir de la Saint-Jean, où son petit frère et lui ont eu le malheur de croiser la route d'un chauffard qui ne leur a pas laissé l'ombre d'une chance.
Gilles a perdu la vie, la sienne a vacillé mais il est resté debout, la jambe gauche salement estropiée. Comment imaginer alors qu'il revêtira plus tard le maillot jaune du Tour de France, le tricolore de champion de France et l'arc en ciel de champion du monde ?Dans son autobiographie, qu'il décline à la manière d'un inventaire à la Prévert, " Lucho " nous fait passer du Chemin des Dames au Concours National d'apprenti cuisinier; d'Ivan Curkovic à Raymond Poulidor ; du désir d'entrer dans les Ordres à Bernard Tapie ; de la fourberie d'Aspin de Laurent Fignon à la marmite encore chaude du championnat de France 1992 ; du miracle de Lourdes-Hautacam au sacre arc-en-ciel dans la Vallée des Temples; d'une reconversion adaptée de " La vérité si je mens " à une volonté irrépressible de diriger une équipe cycliste.
Il y a du Chabrol dans ce récit, préfacé par Érik Orsenna, qui se lit comme un roman. Il y a surtout beaucoup d'amour.
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