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Nos pères, nos frères, nos amis - Dans la tête des hommes violents



Résumé

Nos pères, nos frères, nos amis est une enquête immersive, un livre essentiel pour comprendre un point aveugle de notre société

" La petite graine de la violence, elle pousse, elle pousse, et je pense que cette graine est en moi depuis longtemps, elle fait partie de mon bagage, de ce que m'ont transmis mes parents. La violence surgit comme un instinct animal, et vous murmure à l'oreille : "C'est la faute de l'autre.' "

Pendant quatre ans, le journaliste Mathieu Palain s'est rendu dans des groupes de parole, dans une Maison des femmes, à des auditions judiciaires. Il a eu accès à des histoires et des témoignages d'une rare puissance.

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Classement en biblio - 38 lecteurs

extrait

- (...) mais les notables portent peu plainte à cause de la honte sociale. Ils doivent camoufler, cacher, supporter sans faire de scandale, alors que les autres, les pauvres, ils se font repérer.

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Commentaires récents

Argent

"Nos pères, nos frères, nos amis - Dans la tête des hommes violents" explore les mécanismes complexes qui sous-tendent la violence masculine et offre une introduction nécessaire. Cet ouvrage courageux et percutant explore les origines socioculturelles, psychologiques et individuelles de la violence perpétrée par certains hommes. L'auteur ouvre une fenêtre sur les luttes intérieures et les conflits identitaires qui peuvent conduire à des comportements violents en explorant les multiples facettes de la masculinité et les pressions sociales qui pèsent sur les hommes pour correspondre à des normes souvent toxiques. Cet ouvrage se présente comme un appel à l'action, un appel à reconnaître la responsabilité collective dans la création d'une société plus sûre et plus égalitaire pour tous, où la violence est éliminée et où les hommes peuvent se développer dans des modèles de masculinité plus sains et plus respectueux.

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Bronze

Ce livre parle d’un sujet actuel, la violence des hommes.

Je suis déçus, j’attendais de l’émotion de la part de ce livre, j en ai eu mais que à quelque rare passage.

Je ne le recommande pas spécialement malgré que les témoignages soient bouleversants.

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Argent

En Novembre dernier je découvrais *Ne t’arrête pas de courir* du même auteur, un récit que j’avais non seulement trouvé très fort - mais qui constituait aussi une véritable performance journalistique et littéraire. Je n’ai donc pas hésité bien longtemps, lorsque j’ai appris l’arrivée en librairie de *Nos pères, nos frères, nos amis,* avant de l’ajouter à ma wishlist. Et c’est finalement au cours des dernières semaines que j’ai enfin pris le temps de le découvrir !

—Dans la tête des hommes violents—

Et comme la dernière fois, je ne peux que saluer le travail de Mathieu Palain qui s’attaque à un véritable sujet de société qu’il va suivre sur plusieurs années - un peu par hasard d’abord, puis avec une véritable implication. Nous allons ainsi le suivre dans les groupes de parole imposés aux hommes violents qu’il va essayer de décortiquer, mais aussi lors de sa rencontre avec des victimes, des agresseurs (certains en “rémission”, d’autres multirécidivistes), des spécialistes, des médecins, des sociologues, des acteurs de la justice, etc… Tout cela dans le but de comprendre ce qui fait la violence, pourquoi les hommes deviennent violents et pourquoi cette violence semble si ancrée en eux et dans la société en général.

*Nos pères, nos frères, nos amis* est donc un livre important, notamment pour son parti pris de se mettre du côté des bourreaux, d’endosser leur point de vue et de faire entendre leur voix. Chose qui me faisait peur au début, ne sachant pas comment Mathieu Palain allait pouvoir faire ça sans se casser la figure dans les grandes largeurs. Mais non. Parce que même si l’on côtoie constamment les agresseurs, leurs réactions sont toujours analysées et désamorcées, de même que la situation de leurs victimes est toujours rappelée et remise sur le devant de la scène à un moment ou à un autre.

L’auteur réussi donc à éviter les pièges et à nous offrir un livre finalement extrêmement humain, où il ne prend jamais la liberté de juger, sans toutefois excuser quoi que ce soit et en se remettant lui-même constamment en question. Et c’est certainement l’une des choses qui m’a le plus marquée dans *Nos pères, nos frères, nos amis* : l’implication pleine et entière de Mathieu Palain qui se livre, s’ouvre et s’interroge sans retenue dans des réflexions et des confidences que j’ai parfois trouvées très intimes et qui contribuent à rendre se livre toujours plus humain.

—Nos pères, nos frères, nos amis : Un livre qui bouscule la société—

On s’aperçoit très vite, en débutant la lecture, que *Nos pères, nos frères, nos amis* est un travail quasiment inédit dans la sphère de l’information (que ce soit littéraire, journalistique, cinématographique, etc). Je ne pense pas avoir déjà vu ou lu jusque-là d’œuvre qui traite des violences conjugales tout en ne se plaçant pas du côté des victimes. Alors qu’il devient très vite clair, lorsqu’on lit ce livre et qu’on réfléchit deux minutes, que l’on ne peut pas régler un problème en ne s’occupant que des conséquences. Il faut s’attaquer à la source. Et ce n’est pas en obligeant ces hommes à faire quatre jours de stage ou de groupe de parole que l’on va y arriver. Il faut y mettre beaucoup plus de moyens.

Surtout lorsque l’on s’aperçoit que la violence n’apparaît jamais comme par magie : Elle est toujours la réponse à un modèle que les agresseurs reproduisent. Comme si la violence, installée dès l’enfance dans le couple parental, s’inscrivait ensuite dans le code génétique et se transmettait de génération en génération. Ce qui a de quoi faire peur, mais donne aussi considérablement matière à réfléchir. Tout comme l’intégralité de ce livre, d’ailleurs.

—Un podcast comme première approche avant la lecture—

Avant de conclure cette chronique, j’aimerais te faire une nouvelle recommandation à propos de *Des hommes violents*, un podcast documentaire en 6 épisodes de 30 minutes, que Mathieu Palain a réalisé pour Radio France et qui a été diffusé pour la première fois en 2020. L’auteur y fait très souvent référence dans son livre et explique d’ailleurs que le podcast a été le point de départ de son enquête et de son engagement, et que *Nos pères, nos frères, nos amis* en est la continuité directe. Je pense donc que, si le livre t’intrigue, le podcast pourrait constituer une première approche intéressante avant de sauter le pas.

—En bref—

En bref, *Nos pères, nos frères, nos amis* de Mathieu Palain est un récit fort, inédit et nécessaire qui s’attaque à l’un des problèmes majeurs de notre société tout en prenant le parti pris (pour le moins osé) de s’intéresser au point de vue des auteurs de violences conjugales. L’auteur nous offre un travail exhaustif et consciencieux qui met en évidence les difficultés (voire l’incapacité) de la société à traiter le problème des violences conjugales à sa source, tout en nous brossant des portraits d’hommes et de femmes extrêmement éclectiques qui forment là un récit profondément humain.

https://desrevesdanslamarge.com/nos-peres-nos-freres-nos-amis-mathieu-palain/

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Or

J'étais sur mon lieu de "travail" avec ce livre intitulé "Nos pères, nos frères, nos amis - dans la tête des hommes violents" par Mathieu Palain (Ce qui est une bonne chose en l'occurrence que l'auteur soit un homme...), donc jean michel anonyme me dit "Tu lis quoi?" je lui dis ce que je lis et devinez sa réponse? Pas une seconde d'hésitation il dit "Les femmes sont violentes" j'ai été effaré et je lui ai plus adressé la parole de la matin. Je demande donc à une seconde "collègue" pour me rassurer sur le manque de féminisme de cet anonyme mais qu'est ce qu'elle me chante?! Le même discours que ce sont les femmes qui sont violentes! De la part d'une femme, en plus! J'ai lâché l'affaire... Et je me défoule ici! lol!

Une femme qui se fait battre est une chose beaucoup trop fréquente! C'est un problème de grande ampleur. Parfois les accusés se justifient honteusement. Il y a un groupe de paroles d'hommes qui ont "des problèmes avec leur femmes" (comprenez : qui les battent .. ) A chaque fois, je dis bien chaque fois c'est lié à un problème d'alcool !! : -o (mesdames je ne bois pas d'alcool !! lol ).

La colère... La violence... Des synonymes ? Pas exactement. Je me permet de parler sur Shutter Island où le garde à une conversation "finale" avec le héros. Il lui dit que Dieu aime la violence, sinon pourquoi il y en aurait partout? Il lui explique, qu'ils sont tout les deux pareil. Des hommes violents. Et que c'est la seule raison. Ce n'est pas parce qu'une femme vous "pousse à bout!!" allez faire un jogging, promener le chien, un tour en vélo... Bordel, y en a des façons de se défouler. Et au pire, tapez un bon coup de poing dans le mur ça vous pétera la main et vous enlèvera vos idées...

Et les gens qui ferment les yeux ... Comme Monsieur "G" qui vois une fille se faire passer dessus par 12 gars et qui non n'appelle pas la police parce que G est anti keuf et surtout anti cerveau/reprend ton calme charly xd... Ca me met mal à l'aise de parler à une femme battue, je pense qu'on est écartelé entre notre peur de la violence et notre indignation/colère. Voilà pour moi la solution c'est encore l'éducation...

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Lu aussi

Je ne sais pas ce qui m’a pris. Tu le sais, ami-lecteur, je lis régulièrement un ouvrage autour de la thématique du genre, que ce soit strictement en lien avec le féminisme ou avec les violences faites aux femmes. Il y a peu, c’était un essai bouleversant, Nos Absentes, qui enquêtait sur les féminicides. Après ça j’aurais sans doute dû m’éloigner de ce sujet, aller vers un bouquin théorique ou philosophique qui ne me collerait pas des sueurs froides. Sauf que je suis impulsive. Alors quand j’ai entendu parler d’un bouquin qui évoquait les violences conjugales, mais cette fois du côté de ceux qui exercent la violence, j’ai pensé que c’était une bonne idée.

Téméraire, mais pas inconsciente, j’ai laissé passer un peu de temps entre les deux lectures, un peu moins de deux mois. Histoire de me remettre. Et quand je me suis plongée dans Nos Pères, nos frères, nos amis, j’imaginais que je serais blindée…

Ouais, je ne suis pas toujours la plus futée des lectrices, je le concède. Et pourtant… Et pourtant je ne regrette absolument pas ce choix. Car l’enquête de monsieur Palain fait de manière troublante écho à Nos Absentes. Les deux auteurs, journalistes, sont dans la même démarche, la même franchise, la même remise en question permanente. Si lire l’un ou l’autre des ouvrages en question reste une manière intelligente de se pencher sur la thématique des violences conjugales, les lire ensemble, ou comme moi l’un après l’autre, donne une tout autre résonance à ces enquêtes. Elles sont complémentaires.

Comme je l’évoque précédemment, Mathieu Palain ne tente pas de se faire passer pour un héros ou un militant qui aurait tout compris et donc choisi de travailler ce sujet. Sa démarche commence par une question simple et il ne cherche pas à travestir la réalité :

"Les violences faites aux femmes, c’est un truc qui t’intéresse ?

La question n’appelait pas autre chose qu’un “oui”, mais la vérité, c’est qu’en dix ans de journalisme je n’avais pas écrit une ligne sur le sujet. […] J’aurais pu me défendre en prétextant que j’étais sur d’autres fronts, mais j’étais tout simplement passé à côté."

Surtout, il n'essaie pas à tracer un mur entre lui et les auteurs de violences conjugales :

"Au fond, c’est une question de possession. J’estimais que cette fille-là, elle était à moi. Je suis un petit Blanc de 34 ans qui ne se sent pas concerné par les violences conjugales parce qu’il faut être fou pour agresser la femme qu’on aime. Mais en quoi suis-je différent de Morcine, quand il dit : “Ma femme, c’est mon sang, elle fait partie de moi” ?"

L’auteur est donc avant toute chose entré en contact avec ces hommes condamnés pour violence, en assistant à un groupe de paroles. Et même s’il recueille aussi de nombreux témoignages de victimes, c’est d’abord du côté des coupables qu’il se place. J’entends déjà les mascu qui prendront la parole : "Il y a des hommes victimes de violences conjugales, aussi". Oui, c’est vrai et c’est un sujet qui mérite d’être évoqué. Mais pas maintenant, pas ici.

Comprendre ce qui se joue pour les hommes qui franchissent cette limite de la violence, c’est primordial. Parce que ce serait trop facile de leur coller des clichés de cas soc', sans doute pauvre et alcoolique, des clichés qui mentent alors que la tragédie des violences conjugales touche tous les milieux, toutes les strates de la société. Comprendre donc, pour réfléchir à des outils efficaces pour lutter en amont.

Comme pour Nos Absentes, Nos Pères, nos frères, nos amis est une claque. La réalité est terrible et elle n’est pas facile à lire, soyons francs. Et bien entendu, l’existence de ces enquêtes est vitale. Pour que notre société avance.

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Argent

J'ai trouvé la lecture de cet ouvrage intéressante. Il permets d'avoir la vision de ces hommes qui battent leurs compagnes.

Je n'excuse pas leurs comportements mais cela éclaire sur les mécanismes qui mène à la violence et aussi, à ce qui pourrait être mis en place pour l'éviter.

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Argent

Un essai très étonnant et un peu déconcertant, vu l'approche du sujet de la violence faite aux femmes.. par le biais des témoignages et de l'étude des homes maltraitants. J'ai été sidérée devant leur faculté à se victimiser, à nier et à relativiser, ou bien à dire "C'est normal, mon père faisait pareil avec ma mère". Cette immersion en hauts troubles eut paraitre scandaleuse, mais j'ai trouvé intelligent et téméraire de se pencher sur l'origine du mal, à savoir ces hommes eux-mêmes, petits, insignifiants, immatures, qui vivent dans la peur de perdre du pouvoir ou d'être dominé.

Examiner et expliquer n'excuse en rien ces individus, mais aide à comprendre le mécanisme pervers qui les anime, ce qui pourrait donner, à terme, des solutions durables pour lutter efficacement contre ce cancer sociétal qui continue encore à tuer.

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Lu aussi

Après avoir lu 𝙉𝙚 𝙩’𝙖𝙧𝙧𝙚̂𝙩𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙤𝙪𝙧𝙞𝙧 et 𝙎𝙖𝙡𝙚 𝙜𝙤𝙨𝙨𝙚 qui ont été des coups de coeur, je me suis lancée dans la découverte de ce nouveau titre de Mathieu Palain.

𝙉𝙤𝙨 𝙥𝙚̀𝙧𝙚𝙨, 𝙣𝙤𝙨 𝙛𝙧𝙚̀𝙧𝙚𝙨, 𝙣𝙤𝙨 𝙖𝙢𝙞𝙨, est une enquête que peu de journalistes ont réalisé avant lui. Pendant 4 ans, Mathieu a pris part à des groupes de parole d’hommes condamnés pour violences conjugales, il s’est rendu dans une Maison des femmes et a eu accès à des témoignages d’une rare puissance.

C’est un ouvrage qui soulève la question de : Pourquoi les hommes frappent les femmes ?

On en apprend plus sur le sujet à travers cette enquête. C’est un ouvrage important, à lire indéniablement.

Mais effectivement, si j’ai eu un coup de coeur pour les 2 ouvrages précédents, celui-ci m’a moins touché, pourtant c’est un thème qui me tient à cœur, le sujet est fort, intéressant et le travail journalistique de Mathieu Palain est remarquable. Même si l’on est jamais assez éduqué sur certains sujets, je me permets de dire que j’ai lu énormément sur ce sujet des violences, donc je n’en ai pas appris bien plus ici. Cela ne m’empêchera pas de découvrir toujours des romans, essais, témoignages etc sur le sujet.

C’est une lecture intéressante et surtout nécessaire.

Certains témoignages font froid dans le dos. Triste réalité.

Comme vous l’aurez compris, j’ai moins apprécié que les précédents, il m’a manqué un petit quelque chose, peut-être parce que je préfère qu’on se focalise sur 1 ou 2 personnes. (Mais bon, le principe d’une enquête c’est quand même d’avoir plusieurs éléments de comparaisons, plusieurs témoignages différents ! Cela aurait eu beaucoup moins de sens dans cet ouvrage de ne proposer l’histoire que d’une ou deux personnes !)

Évidement, je conseille indéniablement de découvrir ce livre. Mon ressenti est très personnel, mais cela n’enlève en rien le respect que j’ai pour le travail de Mathieu Palain. Il met toujours en lumière des sujets importants dans ses ouvrages.

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Date de sortie

Nos pères, nos frères, nos amis - Dans la tête des hommes violents

  • France : 2023-01-12 (Français)

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Note globale 7.83 / 10

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