Commentaires de livres faits par Antaresia
Extraits de livres par Antaresia
Commentaires de livres appréciés par Antaresia
Extraits de livres appréciés par Antaresia
Dans le lien qui unit les artistes au vivant, on retrouve un thème récurrent : la figure de l'arbre. En effet, l'arbre est un thème universel et fédérateur. Connu depuis les œuvres de l'art égyptien et grec, il reste un sujet omniprésent dans toute l'histoire de l'art et dans de nombreuses cultures à travers le monde. [...]
"Super. Sauf que le passé, c'est passé. Je te parle du présent et du futur, moi !"
"Patience, laisse-moi t'expliquer..."
Cet ouvrage, écrit par des étudiant(e)s du Master Marketing & Stratégie de l'Université Paris-Dauphine et leurs enseignantes, se propose d'explorer les liens entre marketing et stéréotypes de genre. Partant du constat que, malgré d'incontestables progrès, des différences et des inégalités subsistent entre les hommes et les femmes, les auteur(e)s se sont posé la question du rôle joué par le marketing et la publicité dans la diffusion des stéréotypes de genre.
Des étudiant(e)s volontaires ont accepté de transformer leur mémoire universitaire en chapitre d'ouvrage. Les chapitres discutent tour à tour des dérives sexistes d'un marketing genré, tout en faisant également le constat d'une prise de conscience des marques et de réels changements de pratiques. Plusieurs secteurs sont ainsi explorés : cosmétique, jouets, littérature, dessins animés, prêt-à-porter, puériculture ou sport.
Cet ouvrage a pour objectif de sensibiliser les praticien(ne)s, étudiant(e)s, chercheur(se)s ainsi que l'opinion publique dans son ensemble à la question des stéréotypes de genre dès lors qu'ils restreignent les opportunités de l'un ou l'autre des deux sexes. Dirigé par Florence Benoit-Moreau et Eva Delacroix, cet ouvrage comprend les contributions de Soraya Achiakh, Meryem Ben Ssi, Florence Benoit-Moreau, Anna-Camille Camacho, Lauréline Chagnot, Kim Charfadi, Constance Chuiton, Charles Cristofari, Eva Delacroix, Nicolas Denecheau, Floriane Drouglazet, Lucie Durand, Alix Galinier Duprat, Louise Goral, Isaure Grandgirard, Hawa Jarrossay, Sarah Lasri, Agathe Lepère, Clotilde Meutelet, Marine Pariente, Vincent Rathelot, Célia Salmon et Juliette Schott.
genre signifie aussi la libération des hommes. J’ai souvent écrit sur le « divorce total », c’est-à-dire la capacité de divorcer d’avec la culture vieille de cinq mille ans de la domination masculine. Les identités de genre féminine et masculine que nous connaissons aujourd’hui sont des constructions qui furent formées bien plus tard que l’homme et la femme biologiques. La femme a été exploitée pendant des milliers d’années en
raison de cette identité construite ; elle n’a jamais été reconnue à la hauteur de son travail. L’homme doit cesser de toujours voir
la femme comme une femme, une sœur, une amante – ces stéréotypes qui furent forgés par la tradition et la modernité.
Il me semble parfois que mon sang coule à flots,
Ainsi qu’une fontaine aux rhythmiques sanglots.
Je l’entends bien qui coule avec un long murmure,
Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure.
À travers la cité, comme dans un champ clos,
Il s’en va, transformant les pavés en îlots,
Désaltérant la soif de chaque créature,
Et partout colorant en rouge la nature.
J’ai demandé souvent à des vins captieux
D’endormir pour un jour la terreur qui me mine ;
Le vin rend l’œil plus clair et l’oreille plus fine !
J’ai cherché dans l’amour un sommeil oublieux ;
Mais l’amour n’est pour moi qu’un matelas d’aiguilles
Fait pour donner à boire à ces cruelles filles !
Le lieutenant avait effectué suffisamment de perquisitions dans sa carrière pour ne pas reconnaître un inquiétant déséquilibre. La femme était trop détendue. L'enfant -trop calme, comme éteint. Une équipe de déménageurs aurait semé plus de trouble et produit plus d'angoisse que les services compétents -malgré la tronche lugubre de l'agent Chmakov, accentuée par sa crise de foie.
Un truc clochait.
— D’une actrice, dit Dorian Gray rougissant.
Lord Henry leva les épaules :
— C’est un début plutôt commun.
— Vous ne diriez pas cela si vous l’aviez vue, Harry.
— Qui est-ce ?
— Elle s’appelle Sibyl Vane.
— Je n’en ai jamais entendu parler.
— Ni personne. Mais on parlera d’elle un jour. Elle est géniale.
— Mon cher enfant, aucune femme n’est géniale. Les femmes sont un sexe décoratif. Elles n’ont jamais rien à dire, mais elles le disent d’une façon charmante. Les femmes représentent le triomphe de la matière sur l’intelligence, de même que les hommes représentent le triomphe de l’intelligence sur les mœurs.
Annabelle regretta ses paroles dès qu'elles eurent franchi ses lèvres, car elle s'attendait que Simon s'offense d'une telle candeur. A tort.
- Voilà qui change, fit-il en riant. D'ordinaire, on conseille de penser à l'Angleterre. Dois-je vous séduire en vous susurrant à l'oreille des transferts de soldes et des taux d'intérêt?