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Commentaires de livres faits par Antaresia

Extraits de livres par Antaresia

Commentaires de livres appréciés par Antaresia

Extraits de livres appréciés par Antaresia

- Après m'avoir donné les indications de base, elle m'a dit que je devais vous laisser faire ce que vous voulez, en essayant de ne pas me plaindre si je n'aimais pas quelque chose. Et, au cas où cela deviendrait trop déplaisant, elle m'a suggéré de penser à l'énorme compte en banque que vous allez m'ouvrir.
Annabelle regretta ses paroles dès qu'elles eurent franchi ses lèvres, car elle s'attendait que Simon s'offense d'une telle candeur. A tort.
- Voilà qui change, fit-il en riant. D'ordinaire, on conseille de penser à l'Angleterre. Dois-je vous séduire en vous susurrant à l'oreille des transferts de soldes et des taux d'intérêt?
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J'avais imaginé que la couleur noire serait dominante dans la chambre d'un vampire et qu'on y verrait des livres de Camus, ainsi qu'un portrait touchant du seul humain aimé par le vampire, un humain mort de quelque chose de beau et de tragique, condamnant le vampire à une éternité de sanglots et de soupirs romantiques. Je sais, je lis beaucoup de romans.
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Chaque ouvrage que tu vois ici a été le meilleur ami de quelqu’un.
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La poésie ment, même si elle le fait joliment.
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L’auteur s’écrit à lui-même pour se dire des choses qu’il ne pourrait comprendre autrement.
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Rien ne marque autant un lecteur que le premier livre qui s’ouvre vraiment un chemin jusqu’à son cœur.
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Les guerres sont sans mémoire, et nul n’a le courage de les dénoncer, jusqu’au jour où il ne reste plus de voix pour dire la vérité, jusqu’au moment où l’on s’aperçoit qu’elles sont de retour, avec un autre visage et sous un autre nom, pour dévorer ceux qu’elles avaient laissés derrière elles.
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"La figure majeure de l'arbre."

Dans le lien qui unit les artistes au vivant, on retrouve un thème récurrent : la figure de l'arbre. En effet, l'arbre est un thème universel et fédérateur. Connu depuis les œuvres de l'art égyptien et grec, il reste un sujet omniprésent dans toute l'histoire de l'art et dans de nombreuses cultures à travers le monde. [...]
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date : 01-12-2022
"Ma petite, tu ne pouvais pas mieux tomber, car je suis... paléo-climatologue. Du grec palaïos, qui veut dire ancien. Un scientifique qui étudie les mécanismes du climat... un spécialiste des climats passés quoi !"
"Super. Sauf que le passé, c'est passé. Je te parle du présent et du futur, moi !"
"Patience, laisse-moi t'expliquer..."
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Mouvement #MeToo, inégalités hommes-femmes... La question du genre nourrit nombre de débats dans la société tout en interrogeant personnellement chacun d'entre nous. Et cependant, le sujet traverse encore timidement la sphère du marketing : les stratégies et les dispositifs marketing ont-ils une influence sur la transmission de stéréotypes de genre ? Dans la société de consommation qui est la nôtre, cette influence est subtile et cependant puissante car elle s'exprime au travers de notre quotidien le plus banal : rayons de magasins de jouets, prospectus de la grande distribution, visuels publicitaires, messages sur des T-shirts...
Cet ouvrage, écrit par des étudiant(e)s du Master Marketing & Stratégie de l'Université Paris-Dauphine et leurs enseignantes, se propose d'explorer les liens entre marketing et stéréotypes de genre. Partant du constat que, malgré d'incontestables progrès, des différences et des inégalités subsistent entre les hommes et les femmes, les auteur(e)s se sont posé la question du rôle joué par le marketing et la publicité dans la diffusion des stéréotypes de genre.
Des étudiant(e)s volontaires ont accepté de transformer leur mémoire universitaire en chapitre d'ouvrage. Les chapitres discutent tour à tour des dérives sexistes d'un marketing genré, tout en faisant également le constat d'une prise de conscience des marques et de réels changements de pratiques. Plusieurs secteurs sont ainsi explorés : cosmétique, jouets, littérature, dessins animés, prêt-à-porter, puériculture ou sport.
Cet ouvrage a pour objectif de sensibiliser les praticien(ne)s, étudiant(e)s, chercheur(se)s ainsi que l'opinion publique dans son ensemble à la question des stéréotypes de genre dès lors qu'ils restreignent les opportunités de l'un ou l'autre des deux sexes. Dirigé par Florence Benoit-Moreau et Eva Delacroix, cet ouvrage comprend les contributions de Soraya Achiakh, Meryem Ben Ssi, Florence Benoit-Moreau, Anna-Camille Camacho, Lauréline Chagnot, Kim Charfadi, Constance Chuiton, Charles Cristofari, Eva Delacroix, Nicolas Denecheau, Floriane Drouglazet, Lucie Durand, Alix Galinier Duprat, Louise Goral, Isaure Grandgirard, Hawa Jarrossay, Sarah Lasri, Agathe Lepère, Clotilde Meutelet, Marine Pariente, Vincent Rathelot, Célia Salmon et Juliette Schott.
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Libérer la vie est impossible sans une révolution des femmes radicale qui changerait la mentalité et la vie des hommes. Si nous sommes incapables de réconcilier l’homme et la vie ainsi que la vie et la femme, alors, le bonheur n’est qu’un vain espoir. La révolution de genre ne concerne pas que les femmes. Elle concerne les cinq mille ans de société de classes qui a fait plus de mal aux hommes qu’aux femmes. Ainsi, cette révolution de
genre signifie aussi la libération des hommes. J’ai souvent écrit sur le « divorce total », c’est-à-dire la capacité de divorcer d’avec la culture vieille de cinq mille ans de la domination masculine. Les identités de genre féminine et masculine que nous connaissons aujourd’hui sont des constructions qui furent formées bien plus tard que l’homme et la femme biologiques. La femme a été exploitée pendant des milliers d’années en
raison de cette identité construite ; elle n’a jamais été reconnue à la hauteur de son travail. L’homme doit cesser de toujours voir
la femme comme une femme, une sœur, une amante – ces stéréotypes qui furent forgés par la tradition et la modernité.
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L’histoire de la privation de liberté est aussi l’histoire de la perte de statut de la femme et de sa disparition de l’histoire.
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L’obligation faite à l’homme de dominer la nature découle directement de la domination de l’homme sur l’homme.
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Ça avait commencé quand il était petit. Sa première femme, il l'avait tuée à sept ans. Ce n'était pas une femme, évidemment, c'était une petite fille de son âge, une copine.
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On peut braver les lois humaines, mais non résister aux lois naturelles.
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date : 07-01-2020
Mouret avait l'unique passion de vaincre la femme. Il la voulait reine dans sa maison, il lui avait bâti ce temple, pour l'y tenir à sa merci. C'était toute sa tactique, la griser d'attentions galantes et trafiquer de ses désirs, exploiter sa fièvre. Aussi, nuit et jour, se creusait-il la tête, à la recherche de trouvailles nouvelles. Déjà, voulant éviter la fatigue des étages aux dames délicates, il avait fait installer deux ascenseurs, capitonnés de velours. Puis, il venait d'ouvrir un buffet, où l'on donnait gratuitement des sirops et des biscuits, et un salon de lecture, une galerie monumentale, décorée avec un luxe trop riche, dans laquelle il risquait même des expositions de tableaux. Mais son idée la plus profonde était, chez la femme sans coquetterie, de conquérir la mère par l'enfant ; il ne perdait aucune force, spéculait sur tous les sentiments, créait des rayons pour petits garçons et fillettes, arrêtait les mamans au passage, en offrant aux bébés des images et des ballons. Un trait de génie que cette prime des ballons, distribuée à chaque acheteuse, des ballons rouges, à la fine peau de caoutchouc, portant en grosses lettres le nom du magasin, et qui, tenus au bout d'un fil, voyageant en l'air, promenaient par les rues une réclame vivante !
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date : 07-01-2020
La vie des simples, Abbon, n’est pas éclairée par la sapience et par le sens vigilant des distinctions qui fait de nous des sages… Souvent, pour maints d’entre eux, l’adhésion à un groupe hérétique n’est qu’un moyen comme un autre de crier son propre désespoir.
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Tandis que je traversais des tunnels entiers de livres dans l’obscurité, je ne pus éviter une sensation de tristesse et de découragement. Je pensais que si j’avais découvert tout un univers dans un seul livre inconnu au sein de cette nécropole infinie, des dizaines de milliers resteraient inexplorés, à jamais oubliés. Je me sentis entouré de millions de pages abandonnées, d’univers et d’âme sans maître, qui restaient plongés dans un océan de ténèbres pendant que le monde qui palpitait au-dehors perdait la mémoire sans s’en rendre compte, jour après jour, se croyant plus sage à mesure qu’il oubliait.
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date : 07-01-2020
Eugène de Rastignac était revenu dans une disposition d'esprit que doivent avoir connue les jeunes gens supérieurs, ou ceux auxquels une position difficile communique momentanément les qualités des hommes d'élite. Pendant sa première année de séjour à Paris, le peu de travail que veulent les premiers grades à prendre dans la Faculté l'avait laissé libre de goûter les délices visibles du Paris matériel. Un étudiant n'a pas trop de temps s'il veut connaître le répertoire de chaque théâtre, étudier les issues du labyrinthe parisien, savoir les usages, apprendre la langue et s'habituer aux plaisirs particuliers de la capitale; fouiller les bons et les mauvais endroits, suivre les cours qui amusent, inventorier les richesses des musées. Un étudiant se passionne alors pour des niaiseries qui lui paraissent grandioses. Il a son grand homme, un professeur du Collège de France, payé pour se tenir à la hauteur de son auditoire. Il rehausse sa cravate et se pose pour la femme des premières galeries de l'Opéra-Comique. Dans ces initiations successives, il se dépouille de son aubier, agrandit l'horizon de sa vie, et finit par concevoir la superposition des couches humaines qui composent la société. S'il a commencé par admirer les voitures au défilé des Champs-Elysées par un beau soleil, il arrive bientôt à les envier. Eugène avait subi cet apprentissage à son insu, quand il partit en vacances, après avoir été reçu bachelier en Lettres et bachelier en Droit.
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date : 07-01-2020
LA FONTAINE DE SANG

Il me semble parfois que mon sang coule à flots,
Ainsi qu’une fontaine aux rhythmiques sanglots.
Je l’entends bien qui coule avec un long murmure,
Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure.
À travers la cité, comme dans un champ clos,
Il s’en va, transformant les pavés en îlots,
Désaltérant la soif de chaque créature,
Et partout colorant en rouge la nature.
J’ai demandé souvent à des vins captieux
D’endormir pour un jour la terreur qui me mine ;
Le vin rend l’œil plus clair et l’oreille plus fine !
J’ai cherché dans l’amour un sommeil oublieux ;
Mais l’amour n’est pour moi qu’un matelas d’aiguilles
Fait pour donner à boire à ces cruelles filles !
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Chaque livre, chaque volume que tu vois, a une âme. L’âme de celui qui l’a écrit, et l’âme de ceux qui l’ont lu, ont vécu et rêvé avec lui. Chaque fois qu’un livre change de mains, que quelqu’un promène son regard sur ses pages, son esprit grandit et devient plus fort.
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date : 08-01-2020
Le lendemain, pareil.
Le lieutenant avait effectué suffisamment de perquisitions dans sa carrière pour ne pas reconnaître un inquiétant déséquilibre. La femme était trop détendue. L'enfant -trop calme, comme éteint. Une équipe de déménageurs aurait semé plus de trouble et produit plus d'angoisse que les services compétents -malgré la tronche lugubre de l'agent Chmakov, accentuée par sa crise de foie.
Un truc clochait.
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Peut-être éprouvait-il une sorte de compassion, car il avait traversé une épreuve similaire ; la trahison, la violence dans un lieu qu’il croyait sûr. Peut-être était-ce un moyen pour lui de revivre ces moments, de réparer ses erreurs, car il n’avait pas réagi aussi vite qu’il l’aurait dû, alors. Cela devait être cela. Cela devait être l’écho de cette nuit-là, tout le chaos et toute l’émotion qu’il avait barricadés derrière une porte verrouillée. 
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— De qui êtes-vous amoureux ? demanda lord Henry.

— D’une actrice, dit Dorian Gray rougissant.

Lord Henry leva les épaules :

— C’est un début plutôt commun.

— Vous ne diriez pas cela si vous l’aviez vue, Harry.

— Qui est-ce ?

— Elle s’appelle Sibyl Vane.

— Je n’en ai jamais entendu parler.

— Ni personne. Mais on parlera d’elle un jour. Elle est géniale.

— Mon cher enfant, aucune femme n’est géniale. Les femmes sont un sexe décoratif. Elles n’ont jamais rien à dire, mais elles le disent d’une façon charmante. Les femmes représentent le triomphe de la matière sur l’intelligence, de même que les hommes représentent le triomphe de l’intelligence sur les mœurs.
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date : 07-01-2020
La parole est le signe de la rationalité humaine, et avec la parole on peut blasphémer Dieu. N’est pas nécessairement bon tout ce qui est le propre de l’homme. Le rire est un signe de sottise. Qui rit ne croit pas en ce dont il rit, mais non plus ne le hait. Or donc, rire du mal signifie ne pas se disposer à le combattre et rire du bien signifie méconnaître la force avec laquelle le bien se propage par sa propre vertu.
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