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A cette heure dernière, au milieu de cet air surchauffé, les femmes régnaient. elles avaient pris d'assaut les magasins, elles y campaient comme en pays conquis, ainsi qu'une horde envahissante, installée dans la débâcle des marchandises. Les vendeurs, assourdis, brisés, n'étaient plus que leurs choses, dont elles disposaient avec une tyrannie de souvereines. de grosses dames bousculaient le monde. Les plus minces tenaient de la place, devenaient arrogantes... La clientèle se ruait au buffet dans une rage d'appétit, les mères elles-mêmes s'y gorgeaient de malaga... Quarante mille ballons rouges avaient pris leur vol dans l'air chaud des magasins, toute une nuée de ballons rouges qui flottaient à cette heure d'un bout à l'autre de Paris, portant au ciel le nom du Bonheur des dames !
C'est le Zola que je préfère. Une jeune fille qui semble banale mais qui va se métamorphoser quand elle devient vendeuse dans un grand magasin de Paris.
Je l’ai lu pour les cours et je reconnais évidemment la beauté de la plume de Zola et la minutie des descriptions mais qu’est ce que c’était longggggg !!!! Je l’ai lu par obligation mais sinon j’aurais arrêté au bout de 50 pages.
Les descriptions sont trop nombreuses (même si je sais que c’est la marque de fabrique de Zola). Mais on se rend vraiment compte de l’impact des grands magasins sur le petit commerce. Et même si je sait qu’à l’époque de Zola les femmes n’avaient pas une place importante c’est d’un sexisme tout au long.
Évidemment je ne sors pas le livre de son contexte historique mais je trouve que c’est à souligner.
Adorée ! Vraiment je me suis plongée dedans emportée par la plume magnifique de Zola. Malgré les longues description certes intéressantes mais par moments lassante je ne trouve rien a redire. Ce livre nous explique l'arrivée des grands magasins et la mort/diminution des petits commerces. Nous suivons l'histoire de Denise, qui vient d'arriver a Paris et qui va bientôt plonger dans cet univers sans pitié. Mais son courage et sa détermination l'aideront à surmonter ses problèmes.
Le débuts du commerce de masse, au travers du grand magazin "Au bonheur des dames" et de son patron octave Mouret; Et sa passion pour Denise une petite vendeuse...un tableau foisonnant de tissus, de couleurs, et d'or...! Palais de la tentations où les femmes tombent dans leur folie acheteuse...
À lire , ou relire...!
PS: Spoiler(cliquez pour révéler)Un des rares romans qui se termine sur l espoir d'un heureux futur!)
Bien que "Au Bonheur des Dames" soit souvent louangé pour sa représentation réaliste du monde du commerce au XIXe siècle, je dois avouer que j'ai trouvé le roman un peu long. Les descriptions détaillées des transactions commerciales et des rivalités entre les magasins peuvent devenir monotones à certains moments. De plus, certains passages semblent s'étirer inutilement, ce qui a eu pour effet de ralentir le rythme de ma lecture. Bien que l'œuvre soit indéniablement riche en détails historiques, j'ai trouvé que cela nuisait parfois à la fluidité de l'intrigue et à mon propre intérêt pour l'histoire.
Denise et Octave sont les héros-prétextes de ce roman superbe dont le véritable héros est le grand magasin et le début de la société de consommation. Tout y est décrit avec précision, comme si le capitalisme en dépendait. Les femmes sont des écervelées, manipulables à souhait ; les hommes paraissent au dessus de tout ça. Bref, c'est tellement 19ème! On est dans l'époque, on ne peut que la sentir d'autant qu'elle résonne vraiment avec la nôtre en bien des points. La petite provinciale qui monte à Paris pour réussir, ça vous rappelle rien ? Le père de tous les romans, c'est lui !
Ce roman imposé au collège n'était pas la meilleure de mes lectures ... Les descriptions sont très longues, certaines peuvent durer 2 à 3 pages et les scènes sont répétitives ! Livre à lire si tu as du temps car la lecture peut-être longue et difficile à comprendre pour certains car plusieurs mots sont écris dans un français de l'époque de Zola . Bonne lecture !
Je me devais de mettre à jour mon commentaire après ma relecture de ce petit bijou. J’ai lu pour la première fois Au Bonheur des Dames en 5ème, et il m’avait déjà laissé une excellente impression. Ainsi, j’étais heureuse de retrouver Denise et l’ensemble des protagonistes du roman.
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C’est avec cette dernière que nous débarquons dans le Paris du XIXème, alors que le magasin du Bonheur des Dames est en plein essor. Zola le décrit à la manière d’un monstre, d’une machine infernale avalant sur son passage l’ancien commerce, le condamnant à disparaitre. Tout comme la foule de clientes, nous nous retrouvons noyés sous l’amoncellement des marchandises, pris dans un flot continuel de tissus et autres merveilles. Tout au long de son roman, l’écrivain dépeint le difficile quotidien des employés, entraînés dans des mécanismes de concurrence et de survie ; il nous présente également les clientes, leur appétit pour les dépenses et leurs vices ; mais il montre aussi la détresse des petits commerçants, leur résistance et leur ruine.
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Et puis il y a Octave, patron du Bonheur à qui la fortune sourit, et Denise, provinciale fraichement arrivée à Paris qui devient vendeuse au grand magasin. Sans plus en révéler sur l’intrigue, j’ai particulièrement apprécié le renversement qui s’opère dans leur relation, tout comme j’ai aimé voir Denise évoluer et grandir.
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Je ne peux nier que les descriptions de Zola peuvent être longues, bien qu’elles soient magnifiquement écrites. Si l’histoire vous plaît mais que ces passages vous font peur, je ne peux que vous conseiller de vous lancer, vous pourrez très bien les sauter, ce n’est pas très grave, et peut-être que vous finirez même par les apprécier.
Une des pépites de Émile Zola, ce livre décrit la naissance de l'industrialisation, avec la création des premiers grands magasins et malheureusement la fin des petits commerçants de l'époque. Les personnages sont très attachants, avec des caractères différents mais décrit avec précision. J'ai adoré et je conseille !
Résumé
Octave Mouret affole les femmes de désir.
Son grand magasin parisien, Au Bonheur des Dames, est un paradis pour les sens.
Les tissus s'amoncellent, éblouissants, délicats, de faille ou de soie.
Tout ce qu'une femme peut acheter en 1883, Octave Mouret le vend, avec des techniques révolutionnaires.
Le succès est immense.
Mais ce bazar est une catastrophe pour le quartier, les petits commerces meurent, les spéculations immobilières se multiplient.
Et le personnel connait une vie d'enfer.
Denise échoue de Valognes dans cette fournaise, démunie mais tenace.
Zola fait de la jeune fille et de son puissant patron amoureux d'elle le symbole du modernisme et des crises qu'il suscite.
Zola plonge le lecteur dans un bain de foule érotique.
Personne ne pourra plus entrer dans un grand magasin sans ressentir ce que Zola raconte avec génie : les fourmillements de la vie.
Source : Le Livre de Poche résumé du livre: Au bonheur des dames de Emile Zola
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