Commentaires de livres faits par ayon83
Extraits de livres par ayon83
Commentaires de livres appréciés par ayon83
Extraits de livres appréciés par ayon83
Claire est de nouveau dans de « beaux draps »!
Elle a signé un contrat avec la vampire la plus puissante et terrifiante de la ville , Amélie, qui en échange de son total dévouement protège ses amis, qui ne sont pas au courant, évidemment !...
Michael, devient le plus jeune vampire mais il se heurte à la colère et à la méfiance de Shane qui est persuadé qu'il deviendra vite incontrôlable comme les autres vampires.
Est-il vraiment dangereux pour Eve et ses amis? Michael changera t-il irrémédiablement ?
L'ambiance n'est donc pas au beau fixe à la maison...
D'autant plus que Jason, le frère d'Eve, est de retour ! Il menace de nouveau sa soeur , il viole et tue des jeunes filles sans être inquiété par la police. Pourquoi?...
Ce tome 3 nous permet de comprendre pour quelles raisons Amélie s'intéresse tant à Claire...Elle va lui donner une mission bien périlleuse qui peut lui coûtait la vie à tout moment.
On fait également connaissance avec Myrnin un vampire « savant fou » aussi terrifiant et sournois qu'une « Mygale » tissant sa toile...
Bref, nos héros, et particulièrement Claire, marchent sur une corde raide tout au long du roman ! Personne n'est à l'abri , malgré les apparences...
Des informations importantes sont révélées nous permettant de reconstituer petit à petit notre puzzle...
Si vous avez aimé les 2 premiers, vous ne serez pas déçus pas le 3ème !
Aucune des 3 histoires courtes n'est particulièrement haletante - dans l'ordre d'apparition, nous avons Oliver, qui doit guérir son mal d'amour et fait la rencontre d'une charmante sorcière, qui deviendra elle-même l'un des personnages de la nouvelle série de Melissa de la Cruz ; puis nous suivons Allegra dans sa folle jeunesse, en prise avec ses doutes, rencontrant un certain Stephen Bendix Chase, pensant à ses liens d'immortalité avec Charles, songeant même à bouleverser son avenir alors qu'une terrible vision lui fait entrapercevoir ce qui l'attend. Et pour finir, rendez-vous à Florence où nos jeunes amoureux en fuite - Jack et Theo - vont préparer leur cérémonie d'union. Malheureusement, les Venator de la vilaine comtesse sont sur les dents, leur journée idyllique est assombrie. D'un autre côté, on retrouve des personnages attachants, comme Bliss.
Bref, c'est tout gentil, tout mignon, parfois un peu cucul la praline. Objectivement, ce n'est pas un indispensable, mais quand on aime... Et puis, cela permet de ronger son frein dans l'attente du prochain tome - Lost in time, prévu pour Octobre 2011 !
Elle est diplômée du Musashino Art University, située près de Tokyo, dont sont issus notamment Satoshi Kon (Tokyo Godfathers) et Fusako Kuramochi (Simple comme l’amour). Elle fît ses débuts en tant qu’assistante de Mitsuru Adachi, dont on sent l’influence dans sa manière de mener la vie quotidienne de ses personnages, ainsi que dans son graphisme à certains égards.
Elle travailla aussi sous la supervision de Makoto Raiku, dont elle a sans doute appris le découpage des combats et repris certains traits d’humour pour ponctuer son récit.
Sa première histoire, Yami no Naka (Dans les ténèbres), a reçu une mention honorable lors du prestigieux concours Shinjin Comic Taisho de la Shogakukan (qui récompense les jeunes artistes) en 2000. Elle entame sa carrière solo en 2002 avec Lost Princess, une histoire courte, et obtient la consécration rapidement grâce à son titre phare (pour l’instant), Kekkaishi pour laquelle elle reçoit le prix du meilleur Shonen aux Shogakukan Manga Awards en 2007.
Elle a également publié plusieurs histoires courtes lors d'occasion spéciales :
En mai 2009, intitulée Birthday, à l’occasion de l’anniversaire du Monthly Shônen Sunday.
En 2012, intitulée Mori no Naka (森の中) pour fêter les 3 ans du magazine Gessan.
Son avatar de pingouin provient d’une de ses œuvres de jeunesse, qu’elle a réalisée au lycée.
Au final, une jeune auteure très prometteuse et dont on attend beaucoup encore dans l’avenir.
Le dessin est toujours aussi beau et l'histoire agréable, même si ici on retrouve du shônen classique.
Ps : les compagnons de Koya sont des clones des personnages du conte de « Momotarô » pour ceux qui connaissent!
mais l'umour cest pas possible ya quasi que sa je me demande ou ils ont trouver tous sa
un des meilleur manga que jai lu
A la lecture de ce titre, on sent la nette influence de deux autres shonens qui cartonnent, à savoir Bleach et Naruto. Bleach, pour l'apect "démons qui reviennent sur Terre sous forme de monstres", et Naruto pour le côté "maîtrise de techniques de la mort qui tue la vie et des gestes qui vont avec". Le scénario se tient, les seconds rôles sont intéressants (notamment le cuistot), les designs des monstres sont bien trouvés. Pour moi, il ne s'agit ici que d'un shonen de plus, que je ne trouve pas forcément révolutionnaire en plus, mais qui est agréable à lire.
Ici, Bella est Algonquin. Une fille ...
la suite >> http://mt2601.blogspot.fr/
1er point : les combats. Ces derniers se révèlent être particulièrement intenses et plaisants à lire, tant par les techniques des personnages que par les différents retournements de situation. Mais surtout, ce sont des combats où stratégie, ruse et anticipation vont de pair avec puissance et force (ça nous change des éternels combats bourrins employés très souvent dans le genre).
2ème point: la notion de bien/mal, de héros/méchant. Si vous aussi vous en avez marre de ces histoires où le héros combat le méchant car c'est lui le gentil et donc l'autre c'est le méchant, alors cette suite est faite pour vous. L'intrique de l'histoire fait que, à de nombreux moments, Negi ne sait plus si les conséquences de ses actes vont avoir un effet plus négatif que positif sur le monde. A plusieurs reprises, Negi ne sait pas s'il doit, oui ou non, s'opposer à "l’ennemi" (et même cette notion n'est déjà pas évidente à définir), qui n'est pas un être "maléfique" mais quelqu’un essayant de sauver le monde à sa manière et ayant juste un point de vue différent.
3ème point : le contexte historique de l'histoire et le réalisme. Un autre intérêt de l'histoire, c'est qu'on se situe dans un monde qui fut sauvé autrefois par un valeureux héros au péril de sa vie (après qu'il ait balancé, avec un coup mortel, la phrase typique de fin au moment d'achever le méchant : "Tu ne devrais pas sous-estimer les humains"). Du coup, Ken nous offre une histoire qui ne s'arrête pas sur une fin mystérieuse (comme dans de nombreuses fins de manga), sans que l'on sache ce qu'est devenu l'univers débarrassé de la tyrannie : ici, on sait que le combat a eu lieu, que l'univers a évolué ensuite, et que l'histoire de Negima commence bien après ce combat mené par le valeureux héros. (D'ailleurs, les évènements qui ont eu lieu jadis rattraperont le présent de Negima, qui devra gérer les conséquences des actes du valeureux héros). L'histoire ne commence donc pas par un "héros sorti de nulle part qui sauve le monde"... L'intrigue est plus profonde que cela.
De plus, l'univers magique dans lequel évolue Negi est un des (rares) qu'il m'ait été donné de voir qui donne une réelle impression de cohérence et de réalisme. Que ce soit au niveau politique, historique, culturel ou même sur le train de vie quotidien des gens, tout se tient.
Mais l'idée, à la base, c'est que Negi est avant tout un magicien. Et cet aspect des choses est davantage mis en avant à partir du second tome et par la suite. Il sera en effet confronté à d'autres créatures magiques et magiciens, et devra recruter parmi les filles de sa classe des alliées pour les combats qui vont régulièrement s'engager. En cela, la comédie romantique collégienne du début s'associe rapidement à une ambiance nettement plus Shonen Nekketsu avec des combats contre des ennemis de plus en plus puissants.
Un cocktail qui n'est pas mauvais car il ne se prend pas au sérieux et amène parfois le sourire.
Graphiquement, rien à redire. Akamatsu et son studio sont des pros qui ont largement eu le temps de se faire la main sur ce type de récit. Les filles sont plus mignonnes les unes que les autres, les décors sont travaillés et beaux, la narration est fluide et efficace. L'humour, l'aventure, la magie et la romance parfois un peu érotique se mêlent très bien avec un tel graphisme.
Maintenant, une fois passées les qualités objectives de ce manga, je dois dire que je n'ai pas été passionné par ma lecture. Ce n'est plus de mon âge.
Le concept de harem pour adolescents à la Love Hina est assez éculé. Les quiproquos sont déjà vus. Les confrontations magiques sont amenées de manière bien trop souvent artificielle. Certains personnages sont un peu agaçants, notamment Kamo, l'Hermine parlante qui apparait à partir du tome 3. Les intrigues sont plaisantes mais pas vraiment captivantes.
Et puis surtout, c'est un festival de petites culottes ! Ce racolage est vraiment lourdinque ! Il y en a à tout bout de champ ! Quand Negi éternue, le vent soulève les jupes des filles. Quand Negi lance un sort, ça déshabille les filles. Quand il gagne un combat, c'est en déshabillant la fille à qui il est confronté. Qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige, que quelqu'un tombe, qu'une fille perde l'équilibre, qu'elle se cogne, qu'elle fasse quoi que ce soit, hop, petite culotte à l'air voire plus déshabillée si affinités ! Bref, ok, comme les filles sont mignonnes et leurs sous-vêtements aussi, ce n'est pas désagréable pour un regard de mâle, mais franchement c'est lourd et trop souvent mal venu.
Bref, objectivement, c'est un manga qui devrait bien plaire à un lectorat de jeunes adolescents, mais sa lecture est nettement moins passionnante pour un adulte.
A noter, ce manga a été adapté en anime qui est à la fois plus rythmé et plus clair, car la colorisation des personnages permet de les différencier plus aisément. Encore un mot sur les DVD pour préciser qu'ils reprennent la sérigraphie de Harry Potter : lettrage doré et éclair sur la première lettre du nom du héros. Un emprunt quelque peu douteux à mon gout. D'autant plus que s'il s'agit d'un jeune magicien orphelin (enfin, livré à lui-même tout du moins), le rapport entre ces œuvres s'arrête là.
Les aventures magiques de notre petit Negi Springfield sont bien dans la veine de ce qu'à fait Ken Akamatsu jusqu'à présent : sans aucun rationalisme, des personnages exagérés et du fan service à gogo. Mais un cocktail au final assez distrayant et facile à lire. D'autant que les graphismes sont très soignés.
Bref du tout bon pour les fans de Ken Akamatsu mais sans grande surprise. Privilégiez tout de même les DVD si vous en avez les moyens.
Ken Akamatsu a tout compris, après avoir usé jusqu'à la corde le concept du héros lisse et identifiable, l'auteur l'a tout simplement rajeuni pour qu'il fasse mouche à tous les coups ! Et ça marche ! La preuve !
D'un point de vue scénaristique nous avons donc les aventures d'un jeune magicien qui devient professeur dans un lycée de filles. Merveilleux prétexte à toutes les situations les plus fantasmatiques pour le petit garçon qui sommeille dans chacun de nos hommes. Evidemment TOUTES les filles tombent amoureuses de leur juvénile professeur, là encore c'est un festival de petites culottes et de lingeries fines (d'ailleurs qu'est-ce que des lycéennes font en porte-jarretelle à l'école ?).
Il y aurait un peu plus d'humour là dedans que ça passerait à la rigueur pour une farce guillerette. Mais que nenni ! C'est sérieux tout ça, il y a même du bon sentiment bien dégoulinant.
D'un point de vue graphique c'est du gros, du lourd. Du super travail d'équipe qui souffre d'un sévère manque de personnalité. Le trait de Ken Akamatsu est inodore et sans grâce aucune. Les décors, pour la plupart faits sur ordinateur, sont aussi froids que mon coeur en écrivant ces lignes.
Negima est une tartufferie.
Le second défaut est que les personnages manquent cruellement d'épaisseur. Une fausse solution est de proposer une pléthore de personnages secondaires, mais cette alternative montre vite ses limites.
Quant à l'histoire, elle ne regorge pas de rebondissements. Disons que le paysage est vallonné pour être exact. Bref, les fausses pistes ne sont pas légion et les révélations sont téléphonées.
Point positif : l'humour, bien que redondant, arrive à faire rire
Enfin, dans ce volume, l'armée de Negi se forme! on sentait depuis longtemps le fantasme de Ken Akamatsu de former cette equipe. Lorsqu'on sait qu'il reste moins de 10 volumes, on s'inquiete, surtout vu le nombre de volum qu'il a fallu pour en arriver la. On a l'impression d'etre a des années lumieres de la recherche du pere de Negi...
L'histoire est bouclé au volume n°24, mais y'aurait il une suite de Negi ma? Negima dans quelques années, ou l'aventure se centrerait plus sur la vie de Negi? ce n'est qu'une idée en l'aire
J'en doute mais il est permis de rever