Commentaires de livres faits par Scriptabelle
Extraits de livres par Scriptabelle
Commentaires de livres appréciés par Scriptabelle
Extraits de livres appréciés par Scriptabelle
Le quotidien de Mia est toujours mouvementé, aux côtés de Wes, mais elle devient une belle femme d’affaire et je me plais à suivre ses aventures. Dommage qu’elle ne fasse plus de rencontres au sein de son travail, et à la fois je suis contente de retrouver des vieux personnages comme Anton et Mason. La jalousie de Wes est adorable, et Mia sait exactement comment le rassurer, je les trouve vraiment trop mignons ensemble. Le côté famille n’est jamais bien loin avec Max et sa petite tribu que nous noous prenons à aimer un peu plus à chaque page avec son côté protecteur. Un bon tome encore une fois, qui se lit facilement et très vite.
J’ai noté ce «fuis-moi je te suis, Suis-moi je te fuis» entre les deux personnages principaux, qui à mon sens devient très lassant jusqu’au milieu du livre. A partir du moment où Liv devient intéressante en fait, et que le rapprochement se fait avec Ethan. J’aime ce triangle amoureux et j’espère le revoir dans les prochains tomes. J’aimerais bien revoir Liv et savoir ce qu’elle devient malgré son action dans la partie et le royaume des enchanteurs alors qu’elle devait devenir une gardienne sans intervention. Lena retrouve une certaine raison à la fin, mais je la trouve un peu détestable. J’ai eu envie de la claquer à chaque fois qu’elle apparaissait. J’aime l’idée de donner un rôle important à Ethan, entre l’humain et l’enchanteur. J’ai hâte de voir ce qu’il adviendra de lui dans les prochains chapitres. Puis voir des personnages anciens, c’est intéressant, cela apporte un plus à l’histoire que je ne saurais décrire.
Toujours beaucoup de détails de l’univers et c’est agréable de voir cela. J’ai pu m’imaginer chaque chose au fur et à mesure de ma lecture. Un très bon tome une nouvelle fois, qui complète vraiment très bien l’histoire des enchanteurs. J’ai beaucoup aimé.
Je ne connaissais pas du tout Bleuenn Guillou. Et bien, une fois mais pas deux. Je n’ai absolument pas accroché à sa plume, sa façon d’écrire et de décrire les situations. Beaucoup de détails pour pas grand chose rendant la plume lourde.
Pour revenir au livre : à première vue, ce n’est pas un livre que j’aurais acheté, par rapport à la couverture. A mon sens, elle est beaucoup trop chargée, trop de fioriture, de détails sans intérêt qui n’ont même pas de lien avec l’histoire (les fleurs tout ça, tout ça, je ne comprends leur présence sur toute la couverture). En ouvrant le livre, j’ai vu flou. Les pages sont à l’image de la couverture : chargées! J’ai eu un mal fou à me plonger dans ma lecture: les marges des pages sont très étroites et en plus sont décorées sur les côtés rendant la lecture vraiment entravée. J’ai chopé plusieurs migraines à lire tellement mes yeux avaient du mal à s’adapter à autant de choses sur une page.
Des sujets forts puissants, mais mal abordés selon moi. La notion du deuil est vraiment mal apporté. Selon moi, l’autrice n’a jamais vécu le deuil d’un proche (parents/frères) et n’a pas fait appel à des sensitives readers. (Après certains auteurs abordent ces sujets très biens, mais là, ce n’est pas le cas). Tout comme la question du suicide, du sacrifice, et de la mort.
J’ai eu un mal fou à comprendre ce changement de point de vue au départ, je trouvais ça inutile et sans intérêt. Ce n’est qu’au deux tiers que j’ai compris vraiment où cela menait. Au moins je n’ai pas lâché ma lecture et j’ai eu des rebondissements de la fin. Enfin, j’aurais peut-être préféré ne pas les avoir :J’ai vraiment eu la nausée,
C’est un roman sombre qui selon moi n’a rien à faire dans la catégorie adolescent de Hachette. Je n’imagine pas des ados de 15 ans lire ce livre aussi sombre et violent. En soit l’univers et l’idée étaient intéressants. Seulement je n’ai pas accroché à l’imagination de l’autrice et je ne recommande pas ce livre.
J’ai été contente de retrouver cet univers : la plume d’Audrey Carlan m’avait presque manqué. Fluide, simple, facile à lire, sans prise de tête, j’ai dévoré une nouvelle fois l’histoire de l’autrice en quelques heures à peine.
Une couverture toujours simple et efficace, à l’image de toute la série. Toujours cet effet d’ombre, avec la silhouette de Parker et celle de Paige en contraste, et des monuments typiques de la ville où l’autrice veut nous faire voyager.
Dans ce tome, nous retrouvons Parker, le Dream Maker dans une nouvelle mission auprès d’une actrice de renommée (et accessoirement celle de ses rêves), Skyler Paige. C’est son agent qui fait appel à International Guy.
J’aime bien l’idée d’International Guy. Etrangement, à l’inverse du premier tome, ça ne m’a pas dérangé de n’avoir que le point de vue de Parker. J’ai apprécié malgré tout le chapitre final du point de vue de l’actrice. Les sentiments passent à travers les pages, j’ai beaucoup aimé ma lecture. Je reste un peu sur ma faim malgré tout, ce sont des livres courts et certains passages demanderaient à être approfondi (ici notamment, j’aurais aimé avoir plus de détails sur la famille de Skyler, son histoire, etc).
Encore un bon tome qui donne une ouverture intéressante sur le troisième tome de la série. Il me tarde de lire la suite.
J’admire toujours autant Julien Neel pour son œuvre de Lou.Il a su faire évolué le personnage de la blondinette à travers les générations en même temps que le lectorat. J’ai vraiment hâte d’être à la fin de l’année pour découvrir ce second tome de Lou! Sonata.
Ce n’est pas au niveau de l’écriture ni de la présentation : l’écriture de Liz Braswell se lit très facilement. C’est fluide et agréable (même si je n’apprécie pas beaucoup les textes à la 2=3ème personne.). J’avoue que ce point de vue omniscient est intéressant pour avoir des détails sur tout les personnages puis pour passer de l’un à l’autre.
Parlons de la couverture : je la trouve vraiment très belle. Au même titre que toutes les autres twisted tale, nous retrouvons le personnage principale au milieu en guise d’ombre. Elle a un cachet que j’aime beaucoup et les détails sur la tranche sont magnifiques (la rose sous verre notamment).
Passons au contenu du livre et c’est là que je suis mitigée. J’ai eu un mal fou à me mettre dans l’histoire dans la première partie. J’ai trouvé ce passage long et sans intérêt ; je n’appréciais que les passages avec Belle. C’est surtout les moments entre les parents de Belle qui m’ont beaucoup refroidi durant ma lecture. J’ai eu un mal fou à continuer le livre. Une fois la malédiction lancée par la bêtise de Belle et la rose, tout s’est enchainé plus vite et j’ai enfin réussi à me plonger dans l’histoire et apprécier bien plus ma lecture. Durant la deuxième partie, j’ai apprécié voir la relation naissance entre la Bête et Belle, à quel point la morale du conte que nous connaissons résonnait ici : «un beau physique plait aux yeux mais une belle personnalité plaît au cœur.». Je n’ai pas pu lâcher la troisième partie et je l’ai lu d’une seule traite : tout s’enchaine très vite, les révélations ce font à ce moment là et c’est, selon moi, ce qui sauve le livre. Malgré tout, j’ai été plutôt déçue de la fin de cette histoire : je m’attendais à une fin heureuse. Mais en fait elle n’est pas si heureuse et cela dénature le style Disney tant vendu. Pour le moment ce n’est pas la twisted tale que je conseillerais, en attendant que j’en lise d’autres bien sûr.
J’ai beaucoup apprécié retrouver la plume de Serena Valentino après «La Bête» de cette même série de Disney Villains. J’avoue que j’aurais tout de même aimé voir des scènes plus détaillés et avoir plus d’émotions entre les lignes, j’étais un peu déçue à ce niveau-là. Mais toujours une écriture fluide et simple et j’ai pu dévorer ce livre en quelques heures à peine.
Cette couverture est également d’une beauté. A l’image du second tome, nous retrouvons les deux formes physiques que la Reine peut prendre au cours du début de son règne. Je retrouve bien là, le côté Disney et le physique que nous connaissons à travers le film.
Par rapport au premier livre de cette série que j’ai lu (La Bête) j’ai été bien plus convaincu. La présence des trois soeurs me paraient plus plus logique et la bienvenue au côté de Verona. J’ai bien sûr retrouvé l’histoire de base de Blanche-Neige, mais du point de vue de la Méchante Reine : je suis d’autant plus ravie d’avoir de nouveaux détails sur cette univers.
J’ai eu beaucoup de peine en découvrant la raison pour laquelle la Reine devient «mauvaise» : la question du deuil marital qui apporte de la maturité à l’histoire de Blanche-Neige. Sans oublier un traumatisme parental venant de son propre père. La reine a perdu confiance en elle, a rencontré le père de Blanche peut après le décès de sa mère. Ce sens du détail aussi m’a beaucoup touché : apporter l’élément des miroirs dans l’histoire, avec le père de Verona miroitier. Selon moi, cela apporte une plus-valueà l’histoire de base et j’adore cela.
J’aime cette version finale où La Reine retrouve la raison et envoie un message à travers un miroir à Blanche.
Ce tome relève le niveau après le second (la Bête) que j’ai lu. J’ai beaucoup apprécié ma lecture. Je conseille vraiment ce petit tome très sympathique. J’ai presque envie de me lancer dans les autres livres, en espérant qu’ils soient à la hauteur de celui-ci.
Mais je dois tout de même dire que j’ai apprécié ma lecture, et j’ai passé un agréable moment. Cela se lit vite, sans prise de tête, avec des moments de sourire à cause du vocabulaire employé par Jimba et toute la sympathie de la golden. Margaux partage à merveille les pensées de sa golden Handi’chiens et je suis ravie de lire ses livres. Il me tarde de lire le dernier tome!
Pour une première approche de la saga des enchanteurs, je le conseille tout de même avant le film (qui lui est bien moins réussi), mais le mieux restent bien entendu le livre.
Kami Garcia et Margaret Stohl forment un duo d’autrices complémentaires : j’aime beaucoup leur plume, fluide et simple. Surtout j’apprécie le choix d’avoir le point de vue d’un garçon ! Généralement ce genre d’histoire se passent du point de vue de l’héroïne : avoir le point d’Ethan apporte un sacré cachet à l’histoire et j’apprécie beaucoup.
Dès le départ les couvertures simplistes m’avaient charmés. Pas de personnes, ni de quelconque lien magique. Juste des plantes : bien que je n’en comprenne pas le rapport avec le titre de base, ou le nouveau titre suites au film.
Nous suivons donc le quotidien d’Ethan, lycéen, qui fait un rêve étrange où il tente de sauver une jeune fille qui tombe dans le vide sans qu’il n’arrive à la rattraper. Il se trouve que cette jeune fille Lena, arrive au lycée et est la nièce de Macon Ravenwood, une personne qui vit dans son manoir à l’écart de la ville.
Beaucoup de suspens, un début de livre très long à se mettre en place, je dois l’avouer. Mais j’ai rapidement été prise dans l’histoire et j’ai lu rapidement ce livre. Les événements s’enchaînent plutôt vite et bien. Entre l’arrivée de Ridley, la cousine de Lena, Link, les aventures ne manquent pas. La variation entre touches d’humour, de sérieux, d’histoire avec la guerre de Sécession sont équilibrées et rythment la lecture. L’histoire d’amour entre les deux personnages arrivent cependant vite, trop vite à mon goût. En quelques chapitres ils finissent ensemble alors que le début traîne vraiment en longueur. Au niveau des personnages : bien que les autrices aient voulu donné un côté mystérieux et profond à Lena, je la trouve un peu superficielle. Elle attend limite son sort sans chercher à le contrer, même si il n’y a plus grand chose à faire. Quant à Ethan, j’aime ce personnage, positif alors qu’il a vécu tant de choses déjà. Il est touché contre son gré par la malédiction des enchanteurs, sans savoir pourquoi et nous apprenons rapidement que tout à un lien avec sa défunte mère. J’espère avoir plus de détails dans les prochains tomes ; je dois dire que sa mère m’intrigue et j’espère que nous aurons de quoi nous mettre sous la dent. Macon Ravenwood est aussi très mystérieux et intéressant comme personnage. J’ai senti à travers les descriptions que c’était un homme de valeur, et qui tenait beaucoup à Lena, faisant en sorte de la protéger de ce qui pourrait lui arriver. J’aurais aimé le voir plus longtemps. Ridley est le personnage que j’adore détesté. Elle est détestable à tout les niveau, tant quand elle manipule Ethan qu’à la fin quand elle entraine Link dans l’organisation d’une fête d’anniversaire. J’espère elle aussi la revoir dans la suite de l’histoire. L’univers reste malgré tout très bien construit et complet, riche en détails.
Ce premier tome est une très bonne entrée en matière dans l’univers des enchanteurs. Il me tarde de terminer le second tome ainsi que les autres. Je recommande vivement cette histoire à des fans de fantastiques : je pense que c’est une saga de base dans ce genre.
J’ai beaucoup aimé ce point de vue de Jimba, cette chienne Handi’Chiens. Le vocabulaire est décontracté et apporte un coup de pep’s à la lecture, j’ai adoré. Les aventures de son sevrage à sa rencontre avec Margaux sont décrites de façon géniales : j’ai pu enfin me faire une idée du début de la vie d’un chien d’assistance, et je me rends compte que ce n’est pas simple.
Margaux Lenormand a une écriture fluide, et j’ai lu le livre en à peine quelques heures. Un moment très agréable. Je conseille vraiment ce premier tome d’une trilogie! Une lecture doudou !
L’écriture de Meg Cabot est très simple, ce qui la rend très fluide. En même temps elle reste destinée à un public relativement jeune. Il ne m’en fallait pas plus, et j’ai beaucoup apprécié ce moment où je n’avais pas besoin de beaucoup me concentrer.
J’avoue être malgré tout un peu déçue de l’histoire. J’imaginais une vie trépidante autour d’une star qui arrive dans le lycée : au début ça m’allait. Mais rapidement tout est centré sur Jenny et sa rébellion du système éducatif et sur sa manière d’être. Elle profite un peu trop d’avoir été la douce et gentille Jenny pour devenir une petite rebelle. Sans oublier que cela ne choque littéralement personne du corps enseignant. Ça me fait doucement rire et à la fois, j’admire cette héroïne qui ose enfin prendre les choses en main à cause des paroles d’une petite star renommé. Rapidement d’ailleurs cette star passe à la trappe pour ne revenir que quelques chapitres avant la fin. J’aime beaucoup la relation amicale que Jenny et Luke entretienne et je savais dès le début que la romance ne se ferait pas entre les deux. En revanche, voir Scott et Jenny se retrouver, j’ai trouvé cela si touchant, et le dernier chapitre est certainement mon préféré.
Un petit roman très feelgood, positif, qui se passe plutôt bien du début à la fin et surtout qui se lit très vite.
Le début reprend les premières scènes du film et j’ai bien cru, l’espace de quelques pages que je lisais le livre du film. Jusqu’à la fameuse rencontre avec les Moresby-Plum qui nous fait entrer dans une période antérieure à l’histoire du film. J’ai apprécié le personnage de Magda, bien plus présente que Richard. La relation amicale naissante entre elles m’a vraiment plu, jusqu’à cette fameuse histoire qui rappelle à Estella ce qu’elle est vraiment, une petite orpheline de rue.
Avoir une petite histoire d’amour au milieu de ce livre, même si elle est assez succincte La rencontre entre Peter et Estella est innocente, leur relation également. Je suis tellement triste de la tournure que prennent les événements et par l’abandon que ressent Estella. Elle a voulu écouter son coeur, faire éteindre la voix de Cruella dans sa tête, mais elle se récoltera que de la déception. Sauf auprès de ses amis de toujours Jasper et Horace.
J’aime retrouver la mode et le monde dans lequel nous plonge l’histoire de Cruella à la base.
La fin nous montre une belle leçon d’amitié et de confiance. J’ai été touché par les réactions de Jasper et Horace, leur pardon et le retour à la planque. Cette histoire nous aide également à en apprendre plus sur le personnage de Cruella que nous voyons dans le film. J’ai également compris pourquoi l’amour n’était pas tellement présent dans le film, et s’est plus concentré sur la famille. Je pense que je relirais et je conseille vivement ce livre pour les autres fans de Cruella.
Je ne parle même pas des incohérences de ce bouquin! Il se passe «en théorie» en France, mais est très américanisé! A commencer par les fêtes hors de prix, avec des tenues de grandes marques pour les personnages mineurs, un soit-disant traiteur pour finir avec de la pizza à toutes les fêtes. On en parle du barman qui distribue de l’alcool à des mineurs ? Maquilleuse, coiffeuse etc. Typique des histoires américaines. C’est à se demander où Brice trouve tout cet argent et même si maman est derrière, aucune justification. Puis si Juliette a une famille si aisée, jamais elle ne paye visiblement.
Je ne m’avance même pas sur le système scolaire supposé français mais visiblement inconnue de l’autrice. L’option théâtre n’ouvre pas les facs de droit ou de Sciences po, surtout dans un lycée agricole...
Toujours des leviers forts mal exploités. Ils sont signalés au début du livre, mais franchement ils ne sont pas exploités à leur juste valeurs dans ce bouquin.
J’attends de voir le second tome de la Mairesse de la nuit, mais je crains que je vais une nouvelle fois être déçue. Mais si mes commentaires peuvent aider des potentiels lecteurs à passer leur chemin, ne me remerciez pas.
Je suis un peu contrariée d'avoir les histoires bonus en plein milieu de l'histoire principale (Tokyo Black cat et les minis-mew mew) : je trouve cela un dommage de les avoir mis là, ça nous casse un peu dans la lecture, mais je suis ravie qu'elles soient de nouveau là dans la nouvelle édition.
j'aime toujours autant retrouver mes héroïnes favorites, j'adore les dessins de Mia Ikumi et je suis très attachée à l'histoire. Il me tarde de découvrir le prochain tome (et dernier de la série originale) et ensuite le remix de Tokyo Mew Mew à la mode.
Je ne connaissais pas du tout Hachie Ishie ni son style. Les dessins sont vraiment très beaux, différents des mangas que j'ai pu lire jusqu'ici. J'aime beaucoup la façon dont Cruella est représentée au fil des pages. La couverture est d'autant plus magnifique avec ce côté métallisé sur le titre.
Il est vrai que l'histoire est vraiment un complément au film qui se situe avant l'entrée d'Estella chez la Baronne. Nous découvrons qu'elle a toujours été tourmenté par la personnalité de Cruella bien qu'elle se donne beaucoup de mal pour être et rester Estella. J'ai apprécié l'histoire autour de ses cheveux et l'importance qu'elle leur donne. Le quotidien que le trio vit est intéressant, et les hivers semblent bien rudes pour eux, j'ai bien aimé avoir les dessous de leur quotidien. La période blanche est très intéressante avec Emilia, et découvrir son avenir dans la dernière période «rouge» sonnait comme une évidence. La période noire, j'imagine, fait référence aux idées sombres d'Estella et j'ai beaucoup aimé. Estella est un personnage que j'apprécie beaucoup et nouvelle petite histoire n'échappe pas à la règle. Pour les amateurs du film, je conseille cette petite aventure.
Hiroto est vraiment beaucoup trop mignon avec Kilari! Il a réussi à se trouver du temps pour venir aider Kilari, quitte à mentir à Seiji ! Ce dernier comprend d'ailleurs clair dans son jeu et va chercher à les réunir, je fonds, c'est trop touchant! C'est vraiment un bon tome, plein de rebondissement et surtout de petites réflexions sur Kilari et Hiroto! J'ai hâte de lire le prochain tome!