La fin d'un récit plus que dense. Entre des moments toujours plus intenses, des coups de théâtre, de la science poussée dans son extrême complexité et des passages de pure contemplation. La fin tire un peu en longueur sans se simplifier. Que ce soit dans le bon comme dans le mauvais sens, la lecture ne laisse pas indifférent.

Un bon gros morceau. J'avais trouvé le premier riche et complexe, disons que je n'étais qu'au début de mes surprises. Intéressant par ces concepts durs et sa time-line compliquée, passionnant par ses batailles spatiales et ses personnages profonds. Ça a été une aventure de se balader dans La Forêt Sombre. J'imagine que La Mort Immortelle ne va pas être plus simple..

De la bonne hard SF, dense et riche. Les concepts scientifiques sont un peu lourd mais ça va. Je me demande ce que réservent les 2 autres tomes.

Encore une très belle adaptationp par Gō Tanabe. Ces découpes en deux tomes sont assez frustrantes.

Ça me fend le cœur de finir Dune, cet univers magnifique, surtout sur une 'fin' aussi abrupte. Mais ces deux derniers tomes au cœur du Bene Gesserit furent intense... Moins prenant que les précédents je dirais mais intéressants à leur manière.
Toutefois je pense que le cycle se suffit en lui même, et ce manque de conclusion permettra une grande place à l'imagination du lecteur ennivré par l'histoire ces 6 livres. Ainsi je ne me lancerai pas dans '' l'œuvre '' de Brian Herbert et Kevin J. Anderson. Je resterai sur ma fin, celle de Frank Herbert.

Bien intéressant, l'univers de Dune reste captivant, bien qu'il semble que je commence à m'y perdre un peu tant on quitte de si loin l'histoire de Paul. Je trouve ce cinquième moins prenant que ne l'ont été L'Empereur-Dieu ou même le premier livre éponyme de la Saga.

Et c'est à ce moment que ça part loin... 700 pages dans la tête d'un tyran. Toujours aussi intéressant que le reste du cycle. Je me demande juste comment le cycle en entier va former un tout.

Encore un classique de Dick que j'ai enfin pu lire. Une uchronie bien alarmante, toujours dans cette perception et réalité confuse de Dick.

Ça faisait un petit moment que je voulais le lire. Après avoir lu '' Ubik '' ça me confirme que j'aime bien Dick. Bien différent du film, les questionnements se recoupent avec le cycle des robots d'Asimov, même si traiter assez différemment.

une histoire fantastique mais à mon gout desservie par la longueur du livre, qui se fait ressentir surtout dans la première moitié, les éléments utiles à l'intrigue arrive selon moi tard et assez entassés en deuxième moitié

Une bonne consistance avec le premier. Tant niveau histoire/univers que critique. Toujours un peu long pour ce que c'est, alors que pourtant c'est vachement bien. Le récit polyphonique, l'univers foisonnant, les relations interpersonnelles. J'ai adoré me replonger dans ce monde mais bon c'est trop allongé à mon gout.

Une suite plus qu'à la hauteur de son prédécesseur et un final grandiose. J'ai adoré ce voyage sombre dans une revisite de la Chine du 14e siècle.

Je suis content de découvrir un autre Michael McDowell après 'Blackwater' et qui est assez différent. Gangs, violences et manigances dans le New York du 19e, c'était assez plaisant à lire, j'aime beaucoup les pages descriptives on se figure bien les scènes.

C'est le début du grand final ! Et quel final ! Grosse revelations et on sens que les 4 derniers tome vont être denses.

Enfin la conclusion de Biomega en grand format, on y comprends pas forcément beaucoup plus même après une deuxième lecture, mais c'est toujours plus appréciable en grand et la collection est complète.

Toujours un plaisir de retrouver Biomega en grand format on profite bien de la puissance du dessin de Tsutomu Nihei

Au tiers du manga ! Je re-découvre pleins de perso, Lin, Lanfan, Lust. Je ne me rappelai plus que des revelations tombaient si tôt.

Un bon tome 5 ! La première version de Greed m'était sorti de la tête, c'est bon de le retrouver.

Une magnifique fin de cycle. Des robots presques humains, voir plus humains que certains humains. Les prémisses de fondations sont bien présentes ou plutôt on reconnaît les raccords fait par 'Fondation et Empire', notamment la Loi Zéro. La belle clôture d'un chef d'œuvre de la science fiction.

De manière analogue au cycle de Fondation avec '' l' Aube '' et '' Prélude '', ou au cycle de Dune avec les œuvres de Brian Herbert, je ne me pencherais pas - ou du moins dans l'immédiat - sur '' Le Robot qui Rêvait '' ni '' Nous les Robots ''.

Asimov pousse le concept encore plus loin avec Aurora : la distinction humain/robot s'amenuise tout en explorant des questions sur la sexualité - féminine surtout - et la perception de l'amour, tou ça bien sûr au milieu d'une enquête bien ficelée.

Il est agréable de revivre une enquête d'Elijah Baley et R. Daneel Olivaw, j'aime beaucoup cette dynamique que l'on retrouve aussi bien dans ''Les Cavernes d'Acier'' entre l'évolution de l'enquête et la description du monde alentour dans lequel elle se déroule. On voit dans Solaria les débuts des questionnements qu'Asimov se posera dans le cycle de Fondation, notamment la perte de l'individualité que l'on trouvera avec Gaia. On pense également au meilleur des mondes quand il est question d'eugenisme, ou même à notre époque quand on voit la vie par visionnage interposé des solaire. Bref des questions posées il y a bien longtemps, mais toujours d'actualité, d'une manière ou d'une autre.

Quels personnages fascinant sont Elijah Baley et R. Daneel Olivaw! Que de questionnement soulevé et quelle graduation de tension dans l'enquête avec cette fin à la minute près ! On voit déjà les prémisses de ce qui deviendra l'Empire et les lointains problèmes de fondation

Toujours plus intéressant, cela m'éblouit à quel point les questionnements, soulevés dans les années 1950, sont intimement d'actualités. Je suis particulièrement touché par le questionnement du travail créatif en conclusion de la dernière nouvelle.

Pour l'instant assez différent de Fondation, normal et heureux cependant. J'aime beaucoup la progression de l'ampleur de la vraisemblance et du rôle des robots de nouvelle en nouvelle. Hâte de lire la suite du cycle.

Ahhhh quel sentiment étrange de terminer une saga, de la quitter... Je ferais le même commentaire que pour 'Le Vol du Héron', un peu long mais tout aussi passionnant très riche et apporte un début satisfaisant à la trilogie originale. Heureusement il y a 'Shikanoko' pour se replonger, d'une autre manière, dans ce monde.

Excellente conclusion quoiqu'un peu longue, mais à la hauteur des 3 tomes de base. Aussi prenant, beau et sombre. Ma fin laisse un goût amer mais reste cohérente. C'est dur de quitter cet u'ivers passionnant, heureusement qu'il y a la presuite 'Le Fil du Destin' bien que ça ne soit plus Takeo et Kaede.