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Commentaires de livres faits par Letempodeslivres

Extraits de livres par Letempodeslivres

Commentaires de livres appréciés par Letempodeslivres

Extraits de livres appréciés par Letempodeslivres

Le tome 1 de En proie au silence (ici) m’avait déjà fait une forte impression par les thèmes abordés, mais surtout, par la manière de les traiter, d’insuffler aux personnages des réactions réalistes mais dérangeantes

Ce tome est de la même lignée….J’ai eu la sensation d’avoir en miroir des comportements de notre société en pleine figure, et je n’ai pu que grimacer et fermer les yeux de douleur devant certaines scènes.

Ma condition de femme me lie au récit, ma colère face aux injustices et ma nature tempétueuse renforcent le fait que je me sente concernée, au delà de la fiction, par ce que l’autrice décrit.

Dans le mot de l’autrice il est écrit :

En dessinant ce manga, je passe du rire à l’écœurement. Bref, je m’amuse bien.

Ma foi, je ne suis pas du tout passé par la case rire, mais plutôt par l’hébétude, le désarroi, l’affliction, et la colère.

Si l’interlude créé par Wadajima en début de tome façonne le portrait de l’homme jouissant des opportunités offertes par la société constituée de femmes « craquantes », le tableau principal de la victime silencieuse est rapidement repris.

Alors que les abus sexuels qu’elle endure régulièrement depuis 4 ans par l’ignoble Hayafuji lui a fait déverser sa douleur coléreuse sur Niizuma, et qu’un malaise s’installe entre eux, elle remet ses chaussures de proie silencieuse. Et c’est pourquoi sa confrontation avec son antonyme : Midorikawa, sera d’autant plus forte car elle est ce qu’en 2020 (et même depuis quelques années déjà) chaque femme clame : propriétaire de son corps, décideuse de ses choix, que ce soit pour l’exposer ou non.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/06/04/en-proie-au-silence-tome-2/
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On ne présente plus l’Attaque des titans (ceux qui ne connaissent pas, c’est ici), après 29 tomes de pure folie où ça ne s’essouffle toujours pas et au contraire, où on ne cesse de voir certains mystères s’éclaircir et d’autres s’épaissir, chaque nouvelle sortie de tome me fait frétiller d’impatience car je sais que Hajime Isayama réussira à m’en mettre plein les yeux. Ce tome ne fait pas exception !

Avec ce 30e tome de l’attaque des titans, l’auteur, en plus de montrer qu’il avait tout bien en main depuis le départ et qu’il sait dérouler ses événements avec fluidité et dans un bon tempo, m’a aussi mis des étoiles plein les yeux par sa façon d’avoir aiguiller le lecteur, en donnant des indices, tout en nous laissant dans le noir total. En gros, pour la majorité, il a fallu arriver là pour comprendre certains détails importants.

Résultat : explosion et sensation d’incroyable.

Si tous les enchaînements des affrontements ont de quoi garder en haleine et même de couper le souffle à un moment précis, tant la page est percutante et qu’on ne s’y attends pas (la tête d’Eren…), ce qui m’a vraiment subjugué, c’est que l’auteur a traité le thème de la mémoire de deux manières.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/06/01/lattaque-des-titans-tome-30/
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date : 29-05-2020
L’histoire se déroule au 16e siècle, à l’heure de la Renaissance, en Italie à Florence. Arte est le titre éponyme renvoyant au prénom d’une jeune noble de 16 ans qui m’a déjà mise dans sa poche par son caractère. L’usage et les mœurs veulent que la femme vive pour plaire à un homme, qu’elle se marie et qu’elle vive à son crochet en cousant, et en s’occupant de tâches domestiques. Un avenir auquel Arte n’aspire pas du tout et tout son apprentissage afin d’être une bonne future femme lui laissait un goût fade qui se ressentait dans ses yeux, ce que son père préférait chasser en la laissant dessiner et peindre, seul activité qu’il voyait capable de l’animer.

Ainsi considéré comme excentrique et seul rempart ayant permis à Arte d’apprendre le dessin et la peinture, au décès de son père, sa mère prend les devants afin de la faire trouver un mari car « c’est la seule manière d’être heureuse dans la vie ».

Alors, ça m’a fait crisser des dents cette mentalité, même si je sais que c’était normal à l’époque et que ça existe toujours à l’heure actuelle chez certaines cultures mais voir justement Arte s’insurger contre ça et choisir sa liberté et son indépendance m’a rapidement fait l’apprécier, malgré les rejets qu’elle a rencontré par les nombreux artisans de la ville qui n’avaient pas voulu d’elle comme apprentie à cause de son genre. Pour cette unique et seule raison, sans même avoir regarder ses dessins et estimer ses compétences.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/05/29/focus-sur-arte-tomes-1-a-9/
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date : 06-04-2020
Le résumé prévient déjà sur trois points : il s’agit d’une histoire dramatique, les éléments problématiques lui donne un côté réaliste et le pouvoir d’Aya ajoute un soupçon de surnaturel


Si l’histoire commence avec un souvenir joyeux, le seul qu’à Kinomiya de son père, le reste de manga montre bien que le paternel n’a rien de bienveillant et d’appréciable. Cette unique journée de pêche où elle ne voulait même pas y aller devient lointaine dans ce quotidien de violence, de cris, de coups et d’humiliation.

Le paternel dirige sa famille avec la même douceur qu’un tyran criminel.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/04/06/transparente-tome-1/
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date : 03-04-2020
Vous savez qu’Aurélie Wellenstein est une auteure dont j’aime beaucoup la plume et la psyché de ses personnages, souvent tordus, ce qui change des classiques et gentils personnages dans le young-adult.


Yardam est un livre qui va vous mener au noyau de la folie tapie dans le cœur des hommes. Dans l’écartèlement de leurs volontés aussi bien morales que primaires.

Cette fois avec une touche orientale, le nom des rues, la description des habitations et du mode de vie rappellent la République Tchèque, et plus précisément Prague où l’autrice a changé certains éléments pour planter son décor imaginaire. Ce qui change de ses autres récits où l’histoire se passe souvent dans la nature, confrontant les personnages à l’hostilité qu’elle peut renfermer aussi bien par le climat que ses animaux.

Kazan atteint de la maladie sexuellement transmissible, « voleur d’esprit » à cause d’elle, ou grâce à elle selon le point de vue, partage sa tête avec pas moins de 7 personnalités, ce nombre fluctuant au fil des pages. Si directement, on voit un lien avec la populisme idée faite de la schizophrénie, cela va plus loin.

Il aspire en embrassant les personnalités de ses victimes, leurs souvenirs, états d’âmes et aspirations deviennent les siennes, tout comme leurs compétences, ce qui explique son agilité de chat par exemple : il a avalé un trapéziste de cirque. Mais si la gorgée d’âme passée, on se sent puissant, imbattable, d’un sentiment d’euphorie faisant penser à celle que traverse parfois les personnes atteintes de troubles maniaco-dépressif, ce n’est pas un ressenti immuable. Les voix hurlent, pleurent, crient, condamnent à mort et aux pires souffrances celui qui leur a ôté la vie en laissant d’elles des coquilles vides, des êtres perdant leurs cheveux, devenant asexués par une atrophie des membres, méconnaissables même par leurs familles et proches, semblables à tant d’autres coquilles peuplant les rues de Yardam et qui ne cessent de se multiplier. À tel point qu’une quarantaine est établie, empêchant quiconque de rentrer ou de sortir.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/04/03/yardam/
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date : 30-03-2020
Bien que ce 6e tome de Tokyo Revengers soit dans le registre explicatif, c’était un très bon tome car il permet de s’intéresser aux autres membres de la bande de Mickey, de les découvrir, de voir certains moments de leurs passés et de comprendre un peu plus comment ils sont passé du côté sombre, ce qui a mené le Toman à cette scission.


Il est drôle de voir l’effet boule de neige que peut avoir une action comme voler, empêtré dans des circonstances aggravantes jusqu’à ce qu’on n’en voit plus le bout. Drôle aussi de voir les proportions qui se répercutent dans le présent de chacun, même de ceux qui n’étaient pas là avant, ou qui avaient décidé de laisser cette page sombre arrachée. Et enfin, il est drôle de se rendre compte combien les gens aiment rejeter la faute de leurs propres erreurs, inconscience, stupidités sur les autres, cherchant une cible ais ne voulant pas se regarder dans le miroir pour la voir.

Kazutora est pile dans le profil que j’ai décrit : si ses actes partaient d’un bon sentiment, les moyens étaient mauvais et à présent, tout cela laisse un goût très amer autant pour Mickey ayant subi cela de plein fouet que pour les lecteurs n’appréciant pas ceux qui n’assument pas leurs responsabilités.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/30/tokyo-revengers-tome-6/
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Comme dit (ici) le premier tome de Goodbye Redberyl, bien que sous des traits de dessins plutôt plaisants était assez classique que ce soit dans le mythe du vampire que dans le fond de l’histoire, en développant progressivement une romance entre un orphelin n’ayant jamais rien eu et un homme devenu vampire contre son gré ayant tout perdu.


Akihito ne se retient plus et montre franchement le désir qu’il a pour le vampire replié autant dans ses quartiers physiques que de ceux de sa stabilité émotionnelle. Lui qui a vu sa femme et sa fille, vieillir et mourir alors qu’il ne pouvait pas et ne pourra jamais les rejoindre, traité de monstre, et s’écœurant lui-même, pourra-t-il prendre à nouveau le risque de s’ouvrir à quelqu’un et de partager une passion pour plus longtemps qu’une journée ?

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/29/goodbye-red-beryl-tome-2/
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date : 27-03-2020
Quand Ki-oon a présenté ce manga, je l’ai directement mis dans ma liste d’achat : j’ai toujours apprécié le thème sur les serial killer, psychopathes et gangs mais je suis plutôt du genre à fouiller leurs actes macabres dans la presse plutôt qu’à lire des romans de ce genre.


Ici, on ne suit pas les pas d’un tueur qui s’affirme et qui en possède tous les traits ou qui les acquièrent suite à un chamboulement de sa vie. Le manga commence de manière assez banale et clichée : une sortie entre garçons et filles dans le but de rentrer chez soi accompagné, et évidemment, il y a le gentil puceau naïf, qui fait des mines vraiment repoussantes parfois, au centre de tout ça.

L’auteur ne tarde pas à nous monter le problème : trois jours plus tard, Eiji se réveille sans la moindre idée de ce qu’il s’est passé alors que pas mal d’éléments ont quand-même changé. Si son caractère insouciant ne l’a pas fait prendre plus en considération cela, à la deuxième période d’amnésie, il s’inquiète et cherche à savoir ce qu’il lui arrive, surtout en apprenant par la police qu’ils ont retrouvé le cadavre d’une fille supposée avoir été sa copine, et qu’en plus, l’une des filles de sa promo se met à lui parler, mais jamais pour dire un truc qu’il comprend direct.

Le petit côté original se trouve dans l’idée qu’il existe un gène du psychopathe/du tueur. Et qui dit génétique, dit possible transmission à ses descendants. Ce point n’a pas encore été pleinement creusé, pour l’instant, on est sur la piste du trouble dissociatif de la personnalité. Ce qui se tient car Eiji a vu les horreurs dont était capable son père et a, inconsciemment ou non, fermement repoussé tout ce qui pourrait lui ressembler, au plus profond de son subconscient.

Le cerveau est une terre pleine de mystères et de surprises, et on ne sait jamais trop à quoi s’attendre. Pourquoi est-ce maintenant que cette partie se réveille ? Y-a-t-il eu un élément déclencheur ? Est-ce le hasard ? La fragilité de ses barrières mentales qui le permettent ? J’espère que ce sera un angle prochainement développé car c’est surtout ce qui m’intéresse dans cette histoire.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/27/the-killer-inside-me-tome-1/
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date : 25-03-2020
Paru Itagaki nous a habitué à ne plus savoir exactement sur quel pied danser avec elle, et après nous avoir remis sur la piste du meurtrier de Tem dans le tome précédent, elle commence le 9e tome de Beastars très fort !



Les toutes premières pages font le tome démarrer à 360 degrés : quand un carni oublie sa force en présence d’un herbi, cela peut très vite devenir une question de vie ou de mort. Mais quand en plus on découvre l’identité du meurtrier de l’alpaga, se demandant comment Legoshi l’affrontera et s’il a même une chance de réussir à le vaincre, l’attention est totalement acquise.

Je ne m’attendais pas vraiment à ce dénouement le concernant, et à vrai dire, peut-être est-ce faute de preuve qu’il y a eu cette clémence. Ou alors la suite décidera de son sort. Toujours est-il que j’ai apprécié de savoir pourquoi Tem est mort, et découvrir toute l’histoire derrière ce drame, qui donne plus de relief qu’une simple envie de chair fraîche. Malgré tout, cela n’a rien changé à ce que je ressens envers ce carni. Par sa façon menaçante de s’imposer et ses petits yeux qui me font penser que la théorie du criminel-né n’est pas tout à fait bonne à jeter, il n’a pas su s’attirer ma sympathie ni même m’attendrir, même si la scène de perte de raison était très réussie. La vraie nature finie toujours par resurgir, il ne sert à rien de se grimer.

Les relations sociales entre chaque individu sont toujours autant misent en avant dans ce tome, car Beastars est surtout une histoire contant les comportements humains sous couverts de figures animales, comme les fables de La Fontaine. De mon point de vue, c’est vraiment ce qui bonifie le manga car même avec les personnages secondaires, la mangaka arrive à faire ressortir des messages forts, des états d’âmes ou d’esprit. Comme le fait que la société pousse à entrer dans des cases qui ne nous correspondent pas forcément, qui sont trop petites, trop étroites, et qu’on aura bon s’y plier, on n’y sera jamais vraiment à l’aise. L’équilibre précaire peut se rompre à tout moment, mais qui de la cage ou de l’animal civilisé finira par se briser, en entraînant peut-être autrui dans son sillage ?

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/25/beastars-tome-9/
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date : 23-03-2020
Autant l’art sait ravir les cœurs sur un point commun, le plus souvent, autant la religion et les us qui s’y rapportent savent comment diviser le monde. Toujours aussi riche en informations, ce 7e tome de Reine d’Egypte permet d’en apprendre plus, que ce soit sur le passage à l’âge adulte d’un Pharaon, sur les monuments montrant la force de l’Egypte et les techniques qui s’y réfèrent, ou sur les liens forts se tissant et faisant dépasser des liens de sang envers ceux que l’on considère comme sa famille.



L’héritage postérieur des pharaons était d’une importance essentielle : c’était le souvenir indélébile qu’il laisserait dans l’histoire ou non. On se rappellerait de certains comme des puissants souverains ayant permis à l’Egypte de grandir et de déployer ses ailes, tandis que d’autres verraient leur nom effacer de partout, car la mémoire laissé ne serait qu’à peine plus marquante qu’un toucher invisible.

C’est ce que se démène à faire Chepsout, par son sexe et son genre, par son statut et idéaux, elle tend à marquer l’Egypte de façon à ce qu’on ne l’oublie jamais, à ce qu’on se souvienne d’elle comme d’un pharaon ayant toujours été aussi bienveillant qu’une mère pour son peuple et impitoyable, quand nécessaire, qu’une lionne défendant ses petits (,le règne animal montre assez souvent que c’est la mère la plus hargneuse).

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/23/reine-degypte-tome-7/
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Le yaoi n’est pas un genre connu pour sa grande structure, c’est pourquoi, personnellement, dès lors qu’il y a un effort de construction de scénario, de développement de personnages et de l’environnement où va se placer l’histoire, le manga gagne des points, comme celui-ci !



Malgré la couverture qui me faisait craindre un MMM, j’ai tenté ma chance car Fuyu Natsushita m’avait déjà fait apprécié sa plume avec le one-shot « Le maître de maison est un alpha » (ici)

Dans le même contexte d’omegaverse, elle nous amène dans un Japon modifié où des écoles prestigieuses préparent les lycéens à atteindre les hautes sphères telles qu’acteur, écrivain célèbre, homme d’affaire ou de politique. L‘académie Teijo est la meilleure et permet de tisser quelque chose de très important, y compris dans la vie : un réseau, des liens et relations qui permettent de se démarquer, d’être quelqu’un et de trouver facilement du travail par la suite.

Bien sûr, sachant que c’est une école réservée aux hommes, il faut se douter que l’envers du décor n’est pas super honnête et lumineux, surtout quand un petit groupe d’élèves est sacrément privilégié par rapport aux autres et que cela crée une lutte sournoise pour l’ascension sociale.

Envies, désirs, ambition et jalousie se mêlent dans le cœur de ces élèves qui essaient de s’attirer les bonnes grâces des 4L : les 4 légendaires, des représentants des clubs de sport, d’art, d’éthique et du savoir. Chacun a un caractère rendant fluctuantes les règles pour devenir l’un de ses favoris et ce n’est pas comme s’il existait un texte l’expliquant, c’est en les observant que les élèves voulant faire partie de ce groupe tiré sur le volets devine (ou pas) ce qu’il faut faire pour être choisi.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/21/the-teijo-academy-tome-1/
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date : 19-03-2020
Yureka est un manwha initialement paru en 2003 sous l’enseigne de Samji (qui a fermé depuis longtemps). Meian a repris cette licence cette année et nous offre à nouveau un excellent 1er coffret à prix compétitif ! Cette box comporte 10 tomes, 4 ex-libris et un poster à l’effigie des divers personnages et notamment de Lotto et Yureka. L’entièreté de la série compte 41 tomes qui seront divisés en 4 box dont la dernière sera composée de tomes inédits en France puisqu’ils ne sont jamais sorti à l’unité par les anciens éditeurs qui avaient fait des rééditions en abandonnant la licence avant la fin. Normalement, la box 2 sera disponible dans genre 3 mois.

Zoom sur le tome 1 de Yureka
En commençant l’histoire par la connexion du personnage phare parmi les principaux dans le MMORPG (massively multiplayer online role-playing game), cela nous permet d’avoir rapidement un aperçu de l’endroit où se déroulera la trame scénaristique et de ce qu’il en est dans la vie réelle, comme la famille et le contrôle parentale (plutôt laxiste de la mère) de Jangkun.

En effet, Jangkun, élève studieux accroc aux jeux vidéos dont la chambre est un désastre souvent représentatif du sanctuaire des jeunes, et ses amis jonglent entre leur passion et leurs obligations. Des éléments basiques comme la manière dont ils gèrent la nécessité de haut débit pour ne pas se faire déconnecter du net en plein affrontement, et comment ils récupèrent de leur nuit blanche, (comme Kwansu qui prend l’école pour son lieu de sommeil). Présentant alors leurs caractères qui diffèrent un peu de celui qu’ils ont dans le jeu, ils font aussi en sorte de garder pour eux sur les deux plans : leurs identités, le fait qu’ils y jouent et leur niveau de maître.

L’histoire et les personnages
Dessiné par les mêmes mains que pour le manwha Ping!, Kim Youn Kyung reste reconnaissable dans cette série où son talent commençait à s’aiguiser au fil des tomes (Ping! étant paru en 2007 en Corée alors que Yureka l’était en 2000). Les dessins sont donc satisfaisants, autant dans la conception des villes basées plutôt sur le moyen-âge occidental, la proportion des personnages et leurs costumes que pour les affrontements qui restent lisibles et fluides.

Au tome 3 se trouve une fiche récapitulative des personnages les plus emblématiques

plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/17/focus-sur-le-manwha-yureka/
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Le tome 3 de « La voie du tablier » est toujours entrecoupé de chapitres courts et efficace racontant chacun une histoire avec un humour de geste et de situations.



Les événements le mette dans des situations si cocasses qu’on se demande même si Tatsu a un jour véritablement été ce yakuza impitoyable si craint et respecté lui valant la dénomination de « l’immortel ». Déterminé à bien s’occuper du foyer et de sa femme Miku, il avait déjà montré dans le tome précédent qu’il était un touche à tout et dans ce tome il témoigne de cette polyvalence encore une fois quand il s’agit de trouver des moyens de détendre et de relaxer Miku.

L’humour m’a paru encore plus intense dans ce tome, surtout par rapport à la partie où il affronte avec la plus grande détermination, tel un duel à mort, un cafard. J’ai quasiment pleuré de rire à cause des mimiques du couple dans cette tourmente qui me rappelait le miennes quand je devais affronter ces horreurs.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/15/la-voie-du-tablier-tome-3/
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« Qui est pris qui croyait prendre » est un proverbe pouvant facilement définir le contenu de ce tome dans divers aspects



Comme dit dans le tome 3 (ici), Baltzar se révèle être un personnage fort intéressant qui, par son ingéniosité ayant permis des petits changements mélioratifs dans la situation du Baselland, se voit apprécié par le second prince, Reiner. Un fait qui atteste la largesse de ses compétences quand on se rappelle leur rencontre conflictuelle du tome 1.

Le deuxième prince nourrissant le désir de détrôner son frère Franz du trône, pas par soif de pouvoir mais pour l’incompétence de celui-ci et pour rendre plus fort et sûr son royaume pour ne pas ployer sous la probable invasion de pays tiers, va requérir dans son objectif, l’aide de Baltzar. Si notre instructeur rationnel et réfléchi a fantasmé sur le statut que cela lui conférerait d’être le bras droit d’un homme puissant, il ne perd pas de vue sa mission et son sang-froid : mettant de côté ses envies audacieuses, il permettra au prince (sous sa demande) d’avoir une entrevue non officielle avec ses supérieurs au Weiben !

S’il semble que « madame Chance et Bonne Fortune » soient de bonnes amies du jeune militaire, le vent pouvant les faire tourner en « monsieur Problème » s’infiltre et grossit lentement au fil des pages : son ancien ami et fauteur de trouble par excellence, Rudolf, croise sa route, et quand cette étincelle apparaît, le feu n’est pas loin.

Et quel feu ! à peine sortis des manipulations des dirigeants militaires du Weiben, le prince Reiner, fier d’avoir conclu une alliance avec eux, se retrouve embarqué dans une guerre ! Toutes les mesures à leur arrivée et la partie de chasse propre à cette époque pour tisser des liens et reconnaître « la valeur » des hommes montrent leur vrai visage : un simulacre pour que le pacte soit établi et qu’il se retrouve lié à cette embrouille qui existait bien avant la mise en scène alarmiste du messager.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/13/baltzar-la-guerre-dans-le-sang-tome-4/
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Lumen ne cesse de publier des livres aux superbes couvertures et celui-ci ne fait pas exception à cette règle, en plus d’un résumé qui sait piquer l’intérêt du lecteur.

L’histoire commence avec la recherche de Véronyka d’éléments qu’on arrive pas à comprendre l’objectif : elle fouille dans les poubelles, et on se demande alors si c’est pour y trouver de la nourriture à cause d’une extrême précarité ou si c’est parce qu’elle y a perdu un bien. Rien de tel. Elle cherche du combustible, des ossements d’animaux, et c’est quand elle rentre dans la petite cabane qui lui sert de logis et où se trouve sa sœur Val que l’on saisi pourquoi : il faut de quoi brûler aussi longtemps que possible pour que les œufs de phénix qu’elles ont trouvé aient l’énergie nécessaire d’éclore.

Tout en plaçant le contexte fantasy de son histoire, l’auteur nous apprend quels sont les pouvoirs que l’on peut y trouver : comme l’animagie ou l’ombremagie que les deux sœurs possèdent. Le premier pouvoir permet d’attirer les animaux, de se lier d’amitié à eux et de les contrôler. Le second permet de lire dans les pensées d’un être humain et de le soumettre.

Devinez qui est le personnage gentil plein de compassion et de douceur et celui qui est dur, tranchant et même sans cœur ? Vous comprenez là le plus gros point qui m’a dérangé dans ce livre, comme souvent dans la littérature young-adult : l’absence de nuance des personnages. On a l’impression qu’il est impossible dans l’esprit des auteurs qu’une personne puisse à la fois avoir des penchants durs et être tout de même de bon fond. Val est donc la quintessence du contrôle et de l’usage de force pour contraindre quelqu’un à lui obéir. Si on peut approuver l’usage de son ombremagie afin qu’elles puissent se nourrir, malgré l’effet de vol causé aux commerçants, on peut regretter (en tout cas je regrette) qu’elle soit écrite de façon à fatalement entraîner sa dépréciation. Parce qu’en plus de ces défauts, elle en cumul d’autres qui ne cesse de lui faire perdre des points.

Dans ce monde où les dresseurs de phénix ont été éradiqué lors d’un conflit durant lequel ils étaient fidèles à leur jeune reine et où toute personne douée de magie est soumis à l’esclavage et la servitude, on suivra le point de vue de Véronyka et de Sev, un animage qui a été enrôlé de force dans l’armée et qui cache sa vraie nature pour ne pas devenir « magesclave » comme ils aiment tant dire pour les humilier.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/11/soeurs-de-sang-tome-1-lenvol-du-phenix/
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date : 10-03-2020
Le 3e opus d’Angolmois reprend sur l’arrivée des purificateurs de l’empereur qui était une surprise permettant un virage inattendu dans la situation désespérée de l’attaque de nuit.



Les pertes humaines s’allongent et s’entassent dans les deux camps, peu de temps à soigner les blesser et à appliquer du baume au cœur et moral des troupes, les mongols traquent les japonais sans relâche et leurs laissent de funestes surprises et cadeaux, mettant au défi de se sortir de situations inextricables.



Plus complet sur le blo : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/10/angolmois-tome-3/
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J’avais bien apprécié le tome 2 (ici) que j’avais trouvé assez malin, malgré le contexte du bourrin, de faire Adam créer à l’image de Zeus l’affronter.



A mon sens, seul lui pouvait effectivement le vaincre. Donc voir le papy se relever m’a laissé un goût amer. C’était juste du power up qui a fini par faire l’humain atteindre ses limites. Un rappel que l’homme se brûle toujours en s’approchant trop près du soleil ? Que les limites même poussées à l’extrême vers le divin connaissent elles-mêmes des limites ? Bof. J’ai saisi que c’était pour éviter l’idée qu’un clan gagne, un clan perd, mais je trouve pas ça subtile.

Adam aurait pu gagner et par la suite, deux autres combattants de l’humanité perdent, voire 3, afin de vraiment instaurer du suspense. Là, en faisant un dieu se relever, malgré sa tête claquée à 180 degrés et sa claire défaite, revenir, se broyer le corps (il y a toujours ce type de procédé dans le nekketsu pour une renaissance, condenser l’énergie des muscles dans un poing, user de la force cinétique pour faire le plus de dégâts) eh bien, ça laisse entendre que les autres dieux peuvent aussi le faire. Du coup, quel est l’intérêt ? Les hommes aussi vont s’y mettre ?

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/06/valkyrie-apocalypse-tome-3/
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J’avoue que les 300 premières pages de ce 3e opus, qui est aussi le dernier, n’ont pas réussi malheureusement, à m’emporter très vite.

C’était une lecture dont je comprenais le schéma, un nouveau road trip imposé par Camille dans le but de réunir sa famille bancale et morcelée, mais sa famille tout de même, celle qui a toujours pris soin d’elle.

Je vois l’auteure poser les bases des révoltes secouant un peu partout, surtout dans l’Est où les champs sont si gris et les citoyens si mal nourris. Je comprends la peur de ceux de l’Ouest où l’herbe est plus fraîche et le grain plus doré mais tout juste assez pour ceux qui y sont, et encore, si on extrapole le terme « assez ». Ayant eu un aperçu de ce que la faim intense engendrait, ou plutôt, à quel niveau d’instinct primitif elle ramenait les hommes, la crainte de tout perdre, et le désir de partir pour éviter d’être piétiner en perdant tout, pour aller dans un lieu où on ne sait pas si c’est mieux ou si l’enfer s’y rejoue, est totalement assimilé.

De nouveau on se pose la question qu’aurait-on fait, si une fois de plus, le minuscule « chez nous » qu’on a réussi à créer était encore menacé, quand cela prendrait-il fin ? Partir et aller ailleurs oui, mais après, la faim sera toujours là, qui dit qu’il ne faudra pas partir de nouveau ? Sans cesse et en boucle ?

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Le 22e tome de MHA n’est du tout pas mauvais, mais c’est la fin que je retiendrai.


La difficulté de ce genre d’œuvres réside dans le nombre de personnages, pour les mettre en valeur c’est difficile, je pense qu’à la place de l’auteur je galérerai aussi, surtout du fait que c’est de l’action super héroïque et pas de l’aventure (difficile de les présenter comme dans One piece ou Naruto avec un rythme qui ne donne pas une sensation de coupure ou de schéma répétitif).

Toutefois le fait est là : les combats d’entraînement ne m’ont pas intéressé plus que ça, même quand mon cher Katsuki est passé car c’était clair qu’il gagnerait (j’veux dire…. C’est Katchan quoi !). Je comprends que ce soit une étape nécessaire cependant, pour tous, notamment Shinso qui aimerait intégrer la filière des héros.

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Ce petit manga tranche-de-vie sur le partage d’une passion où le second tome ici diffusait une chaleureuse atmosphère, continue dans ce troisième opus à nous la partager et va doucement montrer comment peut naître l’envie d’écrire une oeuvre BL.


Dans ce tome, on voit la prévenance d’Urara pour madame Ichinoi. Elle est tellement soucieuse qu’elle ne se fasse pas mal à cause de son grand âge, surtout avec ce froid connu pour raidir les articulations des plus âgés, qu’elle va prendre des décisions maladroites. Des décisions que dans le quotidien, il nous arrive de prendre pour une bête pensée qu’on ne veut pas déranger un ami ou proche ou que la sortie devienne difficile pour lui, nous privant tous deux d’un moment qui aurait certainement bien pu se passer.

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date : 03-02-2020
Le tome 9 de Perfect world donne une grande place aux sentiments et émotions aussi bien familiale, paternelle, qu’amoureuse. C’est très réussi car en se centrant sur le père de Tsugumi, on ne peut que comprendre le point de vue de cet homme têtu, qui certes, désapprouve la relation de sa fille avec Ayukawa, mais pour son bien. Pour ce qu’il croit être son bien. Il ne veut que son bonheur et pense que Ayukawa, du fait de son handicap, ne pourra pas l’assurer. Il se projette dans le temps, la jeunesse n’est pas éternelle. Si jeune, il y a tant de difficultés pour lui à vivre, qu’en sera-t-il plus âgé ?

Par ailleurs, le combat que le père de Tsugumi mène contre sa maladie lui donne un angle de vue plus profond sur la question. Il se sent comme une charge pour sa femme et sa famille, et cet homme si fort, qui a l’habitude de se démener pour elle, ne supporte pas d’être un poids ou de voir sa femme se casser le dos pour l’aider à s’asseoir sur sa chaise roulante. Vous l’aurez compris, le fait qu’il se retrouve sur une chaise roulante est loin d’améliorer les choses.

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Ce 29e tome de l’Attaque des titans est, sans surprise, excellent !


Après nous avoir laissé avec une fin digne d’une torture tant le cliffanger donnait envie de lire la suite, l’auteur repart pour une flopée de claques contre le lecteur. Sur les derniers souffles de Sieg, on plonge avec lui dans ses souvenirs, dans la manière dont le géniteur (Grisha) d’Eren et de lui-même a obtenu le titan originel. Mais ce qui laisse plein d’interrogation et pantois c’est l’apparition de ce titan rond et rampant, qui s’ouvre l’estomac en deux pour y loger Sieg. Le parallèle avec une petite fille très semblable à ce titan fait germer de nombreuses interrogations dont on aura pas les réponses maintenant.

Du côté de l’état major asservi et de Jelena, les tensions ne cessent de croître et quand cette dernière, clairement timbrée, commence à étaler son adoration envers Sieg et Eren qu’elle compare à des dieux antiques, tout en expliquant la finalité de leur plan, la question de savoir si Eren a vraiment perdu la boule et changé de camp ou non devient capitale

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Après la déclaration tant attendue de Ken dans le tome précédent, on suit les débuts de ce couple explosif.


Vu de l’extérieur, que ce soit la famille de chacun ou à l’école personne ne note une différence puisqu’ils sont amis d’enfance et qu’on a l’habitude de les voir ensemble, ce ui contrarie Kirara qui aurait sans doute ressentir une différence.

Ken est égale à lui-même, plutôt indifférent envers autrui, filant en douce Kirara pour le protéger d’éventuels ennuis don depuis petit il a l’habitude de se fourrer. Seul élément changeant vraiment c’est le côté officiel, et le fait que Ken, plutôt actif, ne rate pas une occasion pour essayer de faire de Kirara son goûter.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/01/28/et-demain-ca-sera-quoi-tome-5/
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date : 27-01-2020
Que dire, que dire, que dire ? Cela commence à être un refrain mais de nouveau : ce tome d’Ajin était excellent !

L’opération minutieuse qui se déroule repose énormément sur Nagai. On ressent la pression sur ses épaules, la tension qui lie tout le monde, attendant ses prochains ordres afin que tout soit un franc succès. Il est plaisant de voir combien ce personnage atypique depuis le départ et déroutant, peu sympathique et pas vraiment sociable, a su, par son intelligence et sa grande capacité de raisonnement, s’entourer d’alliés.

Même quand ses demandes paraissent impossibles à réaliser, que le cran du stress monte encore et que l’on se dit que le plan va capoter, ils obtempèrent, voyant qu’il se surpasse pour le faire, eux aussi font en sorte d’être à sa hauteur. Voir une équipe constituée de civils agir comme un commando m’a beaucoup plût. C’est l’histoire de l’humanité: face à un ennemi sérieusement dangereux, le front est uni dans une parfaite cohésion.

J’ai lu ce tome comme on boit un verre d’eau, tant le rythme et les actions s’enchaînent pour en faire un véritable page turner.

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Je suis dans ma phase d’éradication des livres moisissant depuis trop longtemps dans ma PAL, et il se trouve que j’ai décidé cette quête avec l’avant-dernier tome de la saga Santori.


Les aventures de Jamie et de Kage continuent de prendre des allures de drame et de situations problématiques.

Après s’être fait passer à tabac par les hommes de main de Theo, le meilleur ami du défunt oncle de Kage, Peter Santori, la relation entre le jeune journaliste accroc à son possessif combattant de MMA devient tendue et la distance s’installe entre eux.

Des personnages secondaires ont un peu plus de place : Steve, qui ne cesse de rayonner de couleur pastel et à qui on charge la décoration du spa, Theo jusqu’alors une lointaine silhouette dans le sillage que l’on découvrait grâce au journal de Peter et Aaron, ce mystérieux malabar silencieux au crâne rasé – qui avait sauvé Jamie et Kage de la situation délicate dans laquelle il avait été, après le meurtre que Jamie avait commis.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/01/26/santori-tome-2-renaissance/
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date : 25-01-2020
Cette chronique sera la dernière sur cette série que j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre (même si j’étais méfiante vers les premiers tomes), car il s’agit du tout dernier du titre Bien que la mangaka n’écarte pas la possibilité de publier à l’avenir quelques chapitres bonus qui composeront un 15e opus (source : manga news).



Je ne vais pas mentir : c’était une bonne fin, mais je suis restée sur ma faim.

C’était bien dans le sens où, avec tous ces personnages principaux, l’autrice a fait un éventail de leur cas. On passe au fil des pages, à chacun d’entre eux pour voir ce qu’ils deviennent depuis la mort du premier ministre et le débat sur l’avenir des vampires. Sur ce qu’il va devenir des ex- membres du CCC, s’ils seront graciés ou exécutés.

On reste alors avec chacun pendant un dizaine de pages environ avant de passer au suivant. Cela ne donne pas un goût survolé ou précipité. Les fins de tous les personnages sont donc ouvertes : leur vie se poursuit et honnêtement, je ne vois pas comment Ryo Hanada, l’autrice, aurait pu terminer autrement.

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/01/25/devils-line-tome-14/
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