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L'archiviste



Description ajoutée par Fl3g 2023-02-22T23:08:23+01:00

Résumé

K est archiviste dans une ville détruite par la guerre, en Ukraine. Le jour, elle veille sur sa mère mourante. La nuit, elle veille sur des œuvres d'art. Lors de l'évacuation, elles ont été entassées dans la bibliothèque dont elle a la charge. Un soir, elle reçoit la visite d'un des envahisseurs, qui lui demande d'aider les vainqueurs à détruire ce qu'il reste de son pays : ses tableaux, ses poèmes et ses chansons. Il lui demande de falsifier les œuvres sur lesquelles elle doit veiller. En échange, sa famille aura la vie sauve. Commence alors un jeu de dupes entre le bourreau et sa victime, dont l'enjeu est l'espoir, espoir d'un peuple à survivre toujours, malgré la barbarie.

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Classement en biblio - 10 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par HundredDreams 2024-02-02T05:50:51+01:00

Mes souvenirs sont un énorme fardeau. Ce que le gouvernement a fait dans les années 1930, ce que cette ordure de Staline a permis ! Quand avec Vasyl Symonenko et Les Taniuk nous avons découvert cette fosse commune. Ces milliers de corps que ces pantins ont tués d’une balle dans la nuque, tu crois que je peux dormir avec cette image ? Et ceux qu’on n’a pas tués, mais qu’on a déportés, ces pauvres artistes, comment penses-tu qu’ils ont survécu ? Et ce peuple à qui on a interdit de parler sa propre langue ! Du jour au lendemain, ils ont perdu les marques de leur enfance, cet équilibre que chaque être essaie de préserver. Dans les rues, chez l’épicier, le boulanger, à l’école, une autre langue avait été imposée, jetant l’opprobre sur l’ancienne. Étrangers dans leur propre pays…

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par HundredDreams 2024-02-02T05:49:18+01:00
Or

« Il faut que les gens d'ici se sentent étrangers chez eux. Déraciner les peuples conquis a toujours été, sera toujours la politique des conquérants. Il faut tuer la cité au point que les citoyens sentent qu'une insurrection, même si elle réussissait, ne pourrait la ressusciter ; alors ils se soumettent. »

Simone Weil, Venise sauvée (1943)

*

L'histoire de K se situe vraisemblablement en 2022, année tragique de l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe.

Le personnage principal de ce récit, K, est conservatrice dans une bibliothèque spécialisée dans les archives. Au commencement des bombardements, de nombreuses oeuvres d'art vont être mises à l'abri dans les sous-sols de cette ancienne abbatiale parcourue par de nombreux souterrains. C'est ainsi que K devient la gardienne des trésors culturels et artistiques de son pays, une façon pour elle de lutter contre l'envahisseur.

Un soir, elle reçoit la visite d'un homme austère, menaçant, portant un chapeau. Il se présente à elle pour lui demander un étrange travail : il ne désire pas que les oeuvres d'art qu'elle cache soigneusement soient détruites, il désire qu'elles soient modifiées de manière imperceptible, falsifiées pour en détourner les messages.

K a les compétences artistiques et les connaissances pour mener à bien ce projet. En contrepartie, sa soeur retenue prisonnière aura la vie sauve et sera libérée.

L'Homme au chapeau a compris que la destruction physique des oeuvres du patrimoine ukrainien desservirait sa cause, constituant au contraire un terreau propice à la nostalgie, à la colère voire à la révolte. Il veut au contraire utiliser la jeune femme pour déformer puis effacer peu à peu toutes les voix du passé et ainsi poser les bases d'une nouvelle culture.

La guerre prend ainsi une autre forme puisqu'il s'agit de dénaturer, mutiler puis effacer un patrimoine culturel, en adoptant comme armes, des plumes et des mots, des pinceaux et des oeuvres d'artistes.

Pour K, c'est un crève-coeur de dégrader des oeuvres inestimables auxquelles elle tient tant. K est habitée par la peur, mais elle doit trouver un moyen de duper l'Homme au chapeau.

« K se demandait ce qui constituait pour chacun l'attachement à un pays, si ce n'était pas ce legs des personnes décédées qui portent les suivantes et les animent de leur souffle souterrain. »

*

C'est un livre instructif qui traverse les époques et quelques tranches de vie, le temps d'un rêve, peut-être. Grâce à une structure narrative qui entremêle habilement présent et passé, Alexandra Koszelyk fait revivre l'Histoire de l'Ukraine à travers plusieurs chapitres douloureux de son histoire, comme la catastrophe nucléaire de Tchernobyl ou encore l'Holodomor, une famine à grande échelle orchestrée par le régime stalinien au début des années 30 qui coûta la vie à plus de 5 millions d'Ukrainiens.

A la frontière entre le fantastique et l'actualité, Alexandra Koszelyk met magnifiquement en lumière un pays riche d'un patrimoine, d'une culture et d'une identité qu'elle porte par ses racines ukrainiennes.

J'aime beaucoup la forme irréelle que prend le courant qui emmène K dans d'autres époques. Ici, la magie s'invite sous la forme d'ombres qui entourent K, qui se pressent autour d'elle et l'entraînent dans les méandres du temps. Réelles ou imaginaires, ces ombres venues du passé n'ont rien de menaçant, ni de maléfique, elles sont plutôt des anges protecteurs.

« le réel prendrait peu à peu la dimension d'un songe. »

L'autrice célèbre la mémoire de certains grands artistes et écrivains ukrainiens dont les pensées et la résistance ont traversé le temps et dont les messages sont encore présents dans les mémoires collectives. Des noms connus, Mykola Gogol, Alexandre Pouchkine, Sonia Delaunay, d'autres noms qui m'étaient inconnus, comme le poète Taras Chevtchenko ou les artistes peintres Alla Horska et Maria Primatchenko.

« Pour les Soviétiques, seul le réalisme socialiste a sa place : reproduire avec exactitude le réel est pour ces hommes le seul horizon valable … À leurs yeux, l'imaginaire est dangereux, car il peut conduire à un autre monde, une autre réalité qui échapperait alors au pouvoir. »

*

L'écriture est belle, poétique nous emportant dans le carrousel de vies passées dont les mouvements entremêlent l'intime à l'universel.

« Comment réduire ma patrie à quelques mots, elle, la changeante, l'ambiguë, comment mettre sur le papier ses coquelicots, ses cosaques dont chaque geste porte la liberté, comment dire l'étendue de ses jaunes, de ses dorés, sous un ciel sans nuage, et ses steppes que le soleil arrose ? »

Pour un récit assez court puisqu'il fait moins de 300 pages, je l'ai trouvé particulièrement profond et riche en réflexions sur la littérature et l'acte d'écrire, sur la guerre et la suppression impassible d'une nation en gommant ce qui fait sa richesse et son caractère unique : sa culture, sur son art et sa langue, sa mémoire et son passé.

Il est aussi question de liberté, de force morale, de combat, d'engagement.

« Pour avancer, il faut tenir entre ses mains la lampe de son passé. Sinon, aucun génie ne pourra en sortir. »

C'est aussi un magnifique hommage au peuple ukrainien, à leur courage, à leur incroyable capacité de résistance et de résilience, à leur attachement à leur terre, à leur culture et à leur patrimoine.

« La vérité règnera-t-elle

Et ce monde, parmi les hommes ?

Il faut que cela soit, sinon

Le soleil arrêtant sa course

Brûlera la terre souillée. »

Taras Chevtchenko

*

Entre rêve et réalité, « L'archiviste » est une lecture originale et émouvante, un voyage intime et tendre à travers les mots de l'auteur et son histoire familiale, à travers des rencontres inattendues, à travers la clameur du passé et la mémoire d'un pays.

Ce roman engagé est une vraie surprise, de celle qui m'autorise à vous le recommander tout particulièrement.

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Commentaire ajouté par caromagikbooks 2023-09-21T17:53:06+02:00
Diamant

Ce roman est de ceux qui vous bouleversent, vous empêchent de dormir car cela remue beaucoup de choses en nous. Il rappelle l'importance de la culture populaire d'un pays, ses mythes, ses personnages de légende, ses artistes, tout ce qui définit un pays au-delà de ses simples frontières, de sa politique ou de son économie.

J'ai hésité à le lire car il aborde un sujet d'actualité, ce qui n'est pas mon genre de lecture à la base, mais il y avait une part de fantastique qui me tentait, et je n'ai pas regretté un seul instant ma lecture. Il rappelle que la résistance peut prendre de multiples visages.

Nous sommes en Ukraine dans un proche avenir et l'Envahisseur (dont on ne citera jamais le nom) a gagné. K. est archiviste. Avec d'autres, ils ont commencé à mettre à l'abri toutes les œuvres d'art. Mais aujourd'hui K. est seule. Jusqu'au jour où un mystérieux homme au chapeau noir lui demande de falsifier les œuvres culturelles ukrainiennes, par exemple, changer des paroles de l'hymne national. Tout ceci est très insidieux et vise à mettre à bas ce qu'il reste de l'Ukraine. Sa famille étant menacée de mort, K. va-t-elle devoir céder ?

C'est là que le fantastique prend toute sa place en nous entraînant dans le passé de l'Ukraine et de ses grandes figures. J'ai appris beaucoup de choses sur l'Ukraine et son histoire, et c'était passionnant.

La tension entre l'espoir du peuple de survivre malgré les horreurs de la guerre et les choix difficiles auxquels K est confrontée crée une toile narrative captivante. Le roman explore la résilience humaine face à l'adversité et les dilemmes moraux complexes auxquels les individus peuvent être confrontés dans des moments de conflit et de chaos.

Roman coup de poing, "L'archiviste" nous fait connaître l'histoire de l'Ukraine, on a vraiment l'impression d'être auprès de ceux qui l'ont construite et ont fait son histoire, on comprend que la résistance peut revêtir de multiples visages et, surtout, quelle ode à la culture d'un pays. Tout simplement nécessaire, bouleversant et magnifique.

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Commentaire ajouté par Ocelline 2023-07-22T16:18:43+02:00
Argent

L'Archiviste est une réelle surprise car je ne m'attendais pas à autant apprécier. C'est une ode à la culture ukrainienne grâce à la dimension fantastique. La portée du récit est magnifique étant donné les thèmes exploités autour de la guerre, de la culture et de l'identité d'un peuple. Il y a une grande pudeur mais cela rend le récit d'autant plus difficile. J'ai été très émue par de nombreux passages dont la fin qui nous révèle le début du récit sous un autre prisme. La plume de l'autrice est extrêmement poétique et fluide à lire.

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Commentaire ajouté par lea298 2023-05-07T16:02:59+02:00
Or

Difficile de trouver les mots pour parler de ce roman qui possède énormément de qualités et qui m'a beaucoup plu!

Il reflète la triste actualité puisque l'intrigue se déroule en Ukraine lors de son envahissement. L'autrice y développe des sujets forts, importants et très intéressants tels que la résistance à l'échelle de chacun, l'effacement de la culture de tout un pays par son envahisseur ainsi que la suppression de la liberté de son peuple, la morale, l'art,...

Tout au long du récit on oscille entre les souvenirs lumineux de l'archiviste et les ténèbres des tâches qui l'incombent et de la guerre.

L'écriture est très belle et poétique. J'ai savouré chaque ligne, chaque tournure de phrase.

Aussi j'ai adoré l'utilisation du réalisme magique qui nous tient captivé et nous permet de partir à la rencontre de l'histoire et de la culture Ukrainienne.

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Commentaire ajouté par LecturesLunaires 2023-04-28T11:17:31+02:00
Lu aussi

Une lecture intéressante qui aura comblé certaines de mes lacunes. L'écriture comme les messages que laissent cette archiviste dans le travail qu'on lui impose sont poétiques. Un beau roman qui rend hommage à la culture d'un pays ainsi qu'à la résistance de tout temps.

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Commentaire ajouté par Matatoune 2023-04-11T19:45:00+02:00

Le troisième roman d’Alexandra Koszelyk, L’archiviste, aborde très justement la manière d’effacer un peuple en détruisant sa culture, son histoire, son essence avec autant de réalisme que des armes !

La sœur de k, Milla, photographe de presse, est détenue par la bande de l’Homme au chapeau, représentant du pays agresseur, qui exerce un chantage artistique. Ainsi, il impose à k, archiviste de son métier, de détruire petit à petit toute la culture de l’Ukraine afin d’éradiquer son peuple, sa civilisation, son histoire. Ainsi, sa sœur sera libérée.

« Il ne s’agit pas de tout changer, vous l’aurez compris, mais seulement certaines parties, détourner quelques vers, mettre un mot à la place d’un autre, gommer un personnage sur un tableau, remplacer un chef d’État sur une photographie, détourner un objet folklorique de son usage premier. Vous voyez bien, ce n’est pas grand-chose ! Il ne s’agit même pas de destruction mais de réorganisation, voire de création ! De devenir l’autrice de cette nouveauté !»

Bien sûr, K trouve une manière créative de se soumettre au chantage tout en préservant les richesses de son pays. Néanmoins, le roman étant si proche de la réalité actuelle, je n’ai pu m’y plonger avec détachement et légèreté.

Alexandra Koszelyk a répondu à sa manière à l’invasion de son pays d’origine en se donnant pour mission d’expliquer ce qui fonde l’histoire et la culture de son pays. Du coup, force est de constater notre ignorance !

Taras Chevtchenko, poète qui a aidé au réveil de la nation ukrainienne au XIXè siècle côtoie Gogol. Alla Horska, artiste peintre, première représentante du mouvement underground des années 60, était elle-même archiviste ! Alexandra Exter, amie de Sonia Delaunay dont k a la consigne de falsifier une de ses œuvres, a illustré les albums du Père Castor. Etc.

La suite ici https://vagabondageautourdesoi.com/2023/04/11/alexandra-koszelyk-larchiviste/

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Commentaire ajouté par Rozine 2023-02-24T07:58:43+01:00
Argent

Au début j'ai eu du mal à comprendre l'histoire, jusqu'à ce que je découvre qu'il y avait une part de fantastique dans ce roman, et qu'il était construit comme une fable et non comme une histoire qui se lit du début jusqu'à la fin de façon chronologique. Ce livre est une richesse culturelle. L'autrice nous raconte certains événements marquants de l'histoire ukrainienne, à travers le personnage K. Elle y évoque des poètes, des peintres, des auteurs, des chansons, Tchernobyl... Pour ne pas oublier la culture Ukrainienne, pendant que la Russie veut tout effacer ce qui appartient à l'Ukraine. L'écriture est très poetique, l'autrice chante avec les mots.

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Commentaire ajouté par Fanfan_Do 2023-02-10T17:12:51+01:00
Lu aussi

Quelle étrange chose que de lire une histoire qui se situe dans une guerre se déroulant en ce moment même, à nos portes, en Europe… au XXIÈME siècle.

Je me suis laissé porter comme une plume dans le vent par ces lignes pleines de poésie qui étrangement, parlent avec une infinie beauté d'une chose aussi laide que la guerre et les destructions qu'elle charrie.

K est archiviste, amoureuse des arts et des lettres, de ce qui fait la mémoire de l'humanité et de son pays, l'Ukraine, qu'elle aime profondément.

Un jour un homme vient vers K. Il lui dit que les ukrainiens sont des rêveurs et qu'ils ont déjà perdu la guerre, que personne ne leur viendra en aide. Il sait qu'elle a caché des œuvres d'art afin de les protéger de l'envahisseur. C'était sa façon à elle de combattre, sa contribution à l'effort de guerre. Il exige d'elle qu'elle profane des œuvres existantes, qu'elle devienne une faussaire dans le but de servir la propagande russe, quelle participe activement à l'élimination de la culture ukrainienne. Comment lutter quand on n'est qu'une petite archiviste face à la Russie ? Face à un homme qui a de terribles moyens de rétorsion. L'impuissance dans toute son horreur, voilà face à quoi on se trouve et c'est glaçant.

À chaque œuvre que K doit dénaturer, elle se retrouve comme par enchantement au cœur même de sa création, dans un passé plus ou moins lointain, dans les méandres de l'histoire ukrainienne.

On suit, à travers ces événements, le chemin que tous les peuples opprimés ont subi, la négation de leur histoire, le sacrifice de leur identité par la destruction et l'interdiction de parler leur langue, de perpétuer leur culture. À vouloir falsifier le passé, l'ennemi pense duper le monde et s'absoudre de ses fautes en les faisant endosser à ses victimes.

J'ai traversé cette histoire comme dans une torpeur, quelque chose d'irréel et cotonneux, rempli de sons feutrés et de solitude. Les événements, qui semblent hors du temps car on avait entendu dire un jour "plus jamais ça", donnent un aspect fantomatique à ce qui ressemble à un mauvais rêve.

Encore une fois, à travers un roman, Alexandra Koszelyk célèbre ses origines ukrainiennes en nous racontant le pays de ses aïeux et nous emmène visiter l'histoire de l'art de ce pays ainsi que quelques-unes de ses tragédies.

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lea298 le place en liste or
2023-05-07T16:02:33+02:00
Rozine le place en liste or
2023-02-11T17:47:05+01:00

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