Les carnavals d'une tueuse à gages

Un roman à suspens plutot intéressant qui m'a rappelé un peu le livre sans nom de part ses personnages et son style, j'ai beaucoup aimé ma lecture sans pour autant graver ce livre dans la pierre de ma mémoire. Une bonne lecture sympathique sans pour autant filer de grandes émotions!

Une fois de plus en ce mois de décembre chargé, c’est dans le cadre d’un service presse que j’ai lu ce roman. Dans l’ensemble c’est plutôt un bon livre, même si je pourrais souligner quelques petits points négatifs, mais rien de bien méchant non plus. J’ai lu ce livre assez rapidement, complètement happée par l’histoire de Mercedes la tueuse à gages, et de Sergueï qui est l’autre personnage principal de l’histoire. Ces deux-là vont se rencontrer dans des circonstances un peu particulières, et on va suivre leur évolution en parallèle. Mais c’est surtout sur la fin que j’ai été déçue, je l’aurai voulu différente, un peu moins simpliste, je ne m’attendais pas à finir ma lecture ainsi, dommage. Et malgré quelques autres petites incompréhensions, j’ai trouvé que l’histoire était intéressante et j’ai fini ce livre en quelques heures seulement, préssée de savoir comment tout allait se terminer.

Sergueï Romanov, chargé de Relations Publiques chez Nature Harmony, une société peu scrupuleuse dans la vente de pesticides, est licencié par un DRH narcissique, lors d'un plan de restructuration.

Sergueï est un vieux beau, amateur de santiags, de Harley-Davidson et d'Iggy Pop, portant les cheveux longs, divorcé, père de jumeaux. Dans la lignée de la société, il ne recule devant aucune malversation pour placer un contrat juteux !

Suite à son licenciement, il décide de se venger en faisant liquider le DRH par une tueuse à gages.

Mercedes Da Silva, d'origine brésilienne, profession : tueuse à gages ; soixantenaire refusant de vieillir à coups de Botox et de chirurgie esthétique, aime les dessins animés pour jeunes enfants et les poissons rouges. Elle est tombée dans le milieu suite au décès de ses parents, alors qu'elle n'avait que 3 ans, initiée par son oncle, chargé de son éducation !

Les choses se déroulent sans accroc jusqu'à ce que Mercedes accepte un autre contrat et que Sergueï, pris de remords, ressente le besoin de se confesser. L'histoire prend alors une tournure inattendue, nous menant dans un imbroglio, dont certains ne sortiront peut-être pas indemnes...

Conclusion

Une histoire noire réunissant des personnages abjectes et paradoxaux.

L'auteur nous plonge directement dans le vif du sujet, nous tenant en haleine jusqu'à une fin des plus surprenantes.

Ce roman, écrit par Alain Bidaux, est un policier noir bien écrit, avec une plume fluide malgré quelques longueurs.

Sergeï, un riche homme ambitieux, vient de se faire licencier par un DRH dédénieux qui se moque du devenir des personnes. N'acceptant pas ce licenciement, Sergeï, un vieux beau chaussé de ses éternelles santiagues, décide de se venger en faisant exécuter le DRH. Pour ceci, il fait appelle à Mercedes, une tueuse à gages Brésilienne qui est capable de tuer de sang-froid n'importe quelle personne et qui d'un autre côté, a gardé son âme d'enfant en regardant des dessins animés pour petits enfants, à longueur de journée, sur ses multiples téléviseurs.

Ce premier assassinat va nous emporter vers plusieurs autres meurtres...

Une bonne histoire qui change des romans que j'ai l'habitude de lire, mais qui me désole, vraiment, à cause de la méchanceté, de l'indifférence et de l'égoïsme que certaines personnes peuvent avoir vis-à-vis des autres.

Ce roman, écrit par Alain Bidaux, est un policier noir bien écrit, avec une plume fluide malgré quelques longueurs.

Sergeï, un riche homme ambitieux, vient de se faire licencier par un DRH dédénieux qui se moque du devenir des personnes. N'acceptant pas ce licenciement, Sergeï, un vieux beau chaussé de ses éternelles santiagues, décide de se venger en faisant exécuter le DRH. Pour ceci, il fait appelle à Mercedes, une tueuse à gages Brésilienne qui est capable de tuer de sang-froid n'importe quelle personne et qui d'un autre côté, a gardé son âme d'enfant en regardant des dessins animés pour petits enfants, à longueur de journée, sur ses multiples téléviseurs.

Ce premier assassinat va nous emporter vers plusieurs autres meurtres...

Une bonne histoire qui change des romans que j'ai l'habitude de lire, mais qui me désole, vraiment, à cause de la méchanceté, de l'indifférence et de l'égoïsme que certaines personnes peuvent avoir vis-à-vis des autres.

Ce roman, écrit par Alain Bidaux, est un policier noir bien écrit, avec une plume fluide malgré quelques longueurs.

Sergeï, un riche homme ambitieux, vient de se faire licencier par un DRH dédénieux qui se moque du devenir des personnes. N'acceptant pas ce licenciement, Sergeï, un vieux beau chaussé de ses éternelles santiagues, décide de se venger en faisant exécuter le DRH. Pour ceci, il fait appelle à Mercedes, une tueuse à gages Brésilienne qui est capable de tuer de sang-froid n'importe quelle personne et qui d'un autre côté, a gardé son âme d'enfant en regardant des dessins animés pour petits enfants, à longueur de journée, sur ses multiples téléviseurs.

Ce premier assassinat va nous emporter vers plusieurs autres meurtres...

Une bonne histoire qui change des romans que j'ai l'habitude de lire, mais qui me désole, vraiment, à cause de la méchanceté, de l'indifférence et de l'égoïsme que certaines personnes peuvent avoir vis-à-vis des autres.

Une histoire bien ficelée et bien menée.

Un intrigue originale qui captive, qui tient en haleine.

Malgré quelques longueurs de lectures, la plume reste fluide et agréable.

J'ai apprécié les descriptions des lieux, des personnages.

J'ai aimé faire la connaissance de cette tueuse à gages, complexe mais attachante.

La fin offre un point finale pour conclure ce roman.

Un bon moment de lecture que je recommande.