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Commentaires de livres faits par Mijak

Extraits de livres par Mijak

Commentaires de livres appréciés par Mijak

Extraits de livres appréciés par Mijak

date : 21-08-2016
Je l'ai trouvé parfois très emmêlé, difficile à cerner, je n'ai pas lu le roman, donc je ne sais pas si le premier était aussi dans cette approche. Mais j'ai moins apprécié, du coup. J'y retrouve pas ce que j'avais aimé ; ici Tyler est bel et bien un antagoniste qu'il faut stopper, le message social est moins présent, la narration est moins linéaire, parfois on comprend pas bien le sens de certains passages.
Malgré tout, c'est une autre approche, et des éléments supplémentaires sur l'origine de Tyler chez Sébastian, et un jeu différent qui se joue, puisque l'existence de Tyler en tant que personnalité du protagoniste est avérée, connue, et du coup elle sert l'intrigue de façon plus explicite, là où dans le premier on ignorait sa nature.
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date : 21-08-2016
Très bon, très appréciable :) Un vrai manga français, contrairement à ceux que je connais (City Hall, Dreamland), qui gardent les mêmes clichés insupportables des shonens basiques. Non, ici on a tout d'abord un dessin qui n'est pas du calque d'un mangaka lambda, mais a une vraie particularité, on a pas de fanservice à la con ou de tros grosses ficelles déjà vues cent fois, mais on garde le lien avec la culture populaire actuelle occidentale, avec un héros qui sonne juste et à sa place, contrairement aux héros japonisés des manfra qui n'ont juste rien à foutre là, tellement ils sont pompés sur la norme japonaise, donc sans personnalité, etc.

A côté de ça, une intrigue intrigante qui n'en dévoile pas trop tout de suite, mais laisse entrevoir certaines pistes, le combattant solitaire, classique, mais pourquoi il semble si proche de notre culture, dans ce monde qui lui ne l'est pas du tout ? Quel genre de voyageur est-il ? Un tournoi certes, j'en dis beaucoup de mal, en tant que remplissage pour manque d'idées, mais ici le temps n'est pas dépensé sur ça ; des combats, on ne voit qu'une page ou deux, seulement quand c'est pertinent.
Bref, ça fait plaisir de lire ça. On sent bien l'inspiration manga, dans les plans, dans le thème de toute façon, mais à la fois ça s'en détache tellement, dans la forme et les personnages, que ça fait du bien.
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J'ai moins accroché à ce tome-ci ; l'histoire m'a moins emballé, c'est assez lent et bien moins poétique et/ou épique, je trouve. Et la traduction est surtout toujours aussi bizarre. Ce n'est pas du tout l'écriture de Tanith Lee que j'avais apprécié dans ses autres livres, parfois c'est maladroit, moche, avec des répétitions ou des tournures bizarres, et ça rend le tout difficile à lire de façon fluide et naturelle.
La fin semble s'enchaîner un peu avec le tome suivant, par contre ; et ça donne envie d'en savoir plus, assurément :)
Le personnage de Chuz est en effet bien intéressant, et les amateurs gamers du genre n'auront pas manqué de penser au Seigneur Shéogorath. La mythologie de la Terre Plate, en général, avec les vazdru, fait bien penser aux drémora de Nirn, et les princes aux princes daedra. J'ai même lu a un moment l'idée selon laquelle les étoiles seraient des trous percés dans le tissu du ciel, laissant apercevoir l'univers de lumière derrière.
Ce qui est exactement la cosmologie de TES :p
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Second tome avec une histoire suivie, comme j'espérais :p Qui se passe cependant avec différents protagonistes, sur une longue durée, et avec toujours ces images magnifiques et ces histoires grandioses, cette forme de conte qui laisse une liberté dans la narration et l'imagination, qui permet de raconter si légèrement, et qui permet également d'aller si loin dans le temps, avec Narasen, Simmu, Jirem, et ainsi de suite...
On a l'impression que chaque histoire annexe, commencée, chaque tableau décrit, pourrait être le début d'une saga à elle seule, tellement il y a de force dans la créativité et la qualité du récit. Le passage dans le royaume de la mer, l'épilogue, l'histoire de la sorcière... des choses peu approfondies, mais qui laissent voguer l'imagination sans se sentir frustré.
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Sympa, plus intéressant que le premier tome, j'ai trouvé :) Et un peu de hype sur l'épiphyte qui a l'air de dissimuler un secret...
Par contre le preview du prochain ne m'emballe pas ; un trop gros écart niveau dessin, va falloir s'habituer...
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Je ne m'attendais pas à ça ; pour une saga avec plusieurs tomes, je pensais à une histoire suivie. Que nenni, ce sont des nouvelles prenant place dans un même univers, avec plus ou moins d'éléments communs de l'une à l'autre.
J'avais déjà connu Tanith Lee dans ce style, avec Cyrion, mais ce ne sont pas mes préférés ; je suis plus dans le style de la Déesse Voilée ; une histoire plus... prenante sur la durée.
Sinon, son style ici est bien plus proche du conte (il l'est aussi ailleurs, mais là encore plus j'ai trouvé), avec ce côté féérique surpassant le côté réaliste ou cohérent ; tout dans la beauté et le romantisme, la poésie plutôt que le pragmatisme, mais sans être non plus fleur-bleue ni superficiel.
Par contre j'ai trouvé l'écriture légèrement en deçà de ce que j'avais lu d'elle par ailleurs ; à certains moments, des maladresses ou passages moins beaux qui m'ont fait tiquer ; je le mets sur le dos de la traduction française, peut-être à tort.
Mais toutes ces histoires sont belles, différentes, originales et prenantes. Je ne sais pas quelle forme vont avoir les tomes suivants, et j'avoue que j'aimerais un fil rouge plus consistant, mais je ne serai de toute façon pas déçu.
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Un très bon ouvrage sur les nouvelles techniques de calculs, les algorithmes qu'utilisent ces programmes d'analyse des données récoltées à notre insu sur Internet concernant les sites qu'on visite, notre navigation, et notre personne, en fonction de la place où se situe le système de mesure du web, ce qui détermine également l'idée et les motivations qui sont derrière.
Une écriture parfois un peu complexe mais toujours pertinente et des informations souvent ahurissantes. En bref, des connaissances et outils que tout utilisateur d'Internet devrait posséder pour naviguer en toute connaissance de cause, afin de ne pas être victime de ces algorithmes aux mains des géants du web tels Google, Facebook, Amazon, etc.
L'auteur fait également le lien entre ces procédés, leur évolution, et le modèle de société qui évolue avec elles et qui les alimente ou bien, au contraire, s'en nourrit.
Cookies tiers, traceurs, scripts de comptage statistiques, ce livre, pour peu qu'on se donne la peine de le traverser même si on peine à certains passages, offre un regard sur le net qu'il est primordial d'avoir si on veut que les choses changent ou, en tout cas, n'évolue pas vers un tout unique, un Internet globalisé donc l'utilisateur n'aurait aucune connaissance des arcanes et serait guidé, comme par un GPS, en ignorant tout du chemin qui est tracé pour lui.
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Bien, bon, je pensais me souvenir quand même que Gemmel était agréable à lire. Alors certes, il est simple, fluide, rapide à lire... mais quand même ennuyant.
Pas au niveau de son action ou de ses péripéties, de son épicness, de son suspense, non... mais au niveau des attentes qu'on pourrait avoir, de notre envie de lire de la qualité.
Car oui, quand même, surtout pour la série des Waylander, la qualité est très moyenne. Les personnages sont très clichés, peu fouillés, les scènes et retournements attendus ou peu surprenants. Le scénario dans sa globalité n'a vraiment rien d'exceptionnel, même si le plus beau reste l'univers de Drenaï et des royaumes alentour, la richesse que Gemmel a su donner à ses œuvres... malheureusement donc, c'est pauvrement exploité à travers une histoire plutôt médiocre.
Mais le second tome était toujours mieux que le premier, qui se bornait à raconter un énième siège (Gemmel semble en mettre dans TOUS ses bouquins). Ici on a bien sûr un siège, aussi, mais il est plus discret, plus court. Le principal est l'aventure...
Avec quoi ? Un troupe de super héros, rien que ça. Et qui ont décidé de voyager ensemble pourquoi ? Bah pour pas grand chose, en fait... on ne sait pas vraiment pourquoi ; des prétextes, des raisons bancales, à peine crédibles... non, on veut juste mettre une troupe de super combattants qui se réunissent, c'est cool.
Bon après les persos, comme je l'avais déjà dit dans un précédent Gemmel (le Roi sur le Seuil), ils sont tous très intelligents, communiquent bien, comprennent tout, surtout leurs camarades... oui oui, même si on montre le Nadir comme différent dans ses valeurs, ça n'empêche rien.
Bref, un livre sympa a lire pour se reposer le cerveau, sans prise de tête, sans trop se poser de questions. Les personnages typiques héros muteki qui envoie du paté, ça fait le café.

Ah si, raison pour le mettre en argent donc, comme j'ai dit il est mieux que le précédent. Et pas qu'un peu, car au niveau de l'univers où se situe l'histoire, on en apprend encore, bien sûr sur la formation des Trente, mais ça on le voit un peu dans chacun, mais également dans la forteresse de la fin, et ses secrets, la mention des "Anciens", les descriptions de décors étranges et bizarrement familières, qui laisse imaginer des choses tissant des liens, approfondissant encore l'univers de Drenaï... bref, encore de la richesse qui pousse à la curiosité ; malgré mes réticences sur la forme et la superficialité du récit, je lirai quand même encore sûrement des livres de Gemmel :)
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Moui, eh bien moi j'ai pas été si convaincu que ça par cette fin. Cette réunion d'anciens alliés fait un peu trop joyeux et sorti de nulle part ; on n'a pas accès à la préparation ni rien, on ne sait pas, finalement, ce qui se passe réellement, autrement que par des évocations mystiques et philosophiques. Pour finir, on n'en sait pas plus des Wolochs, et
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la fin m'a laissé également dubitatif ; ils la voulaient ouverte, certes, mais il y avait tellement moins wtf et là encore sorti de nulle part que ça - pourquoi en tant que gosses ? une explications ?

Finalement on reste quand même avec pas mal de questions. Où était la Terre ? Pourquoi avait-elle disparu ? Le paradoxe des modifications apportées en 1986 est balayé de la main sans être réellement expliqué... bref, je suis déçu.
Ah oui, et aussi, bon, les tomes précédents m'avaient habitués à une certaine maturité de l’œuvre, mais là avec ce dernier album j'ai eu l'impression que c'était du gentillet, avec ce côté force de l'amitié sans vouloir faire de mal à personne.
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Aaah, on revoit Hypsis et ses protagonistes, et plus encore ! L'histoire de la planète Terre progresse encore, et la quête de Valérian et Laureline, derniers humains (ou presque), à la recherche de leur planète disparue, dans leur temporalité.
Pas mal de questionnement sur la cohérence du scénario : pourquoi la planète aurait-elle disparu plutôt que changé ? Pourquoi serait-elle
Spoiler(cliquez pour révéler)
dans un trou noir ?[/spoiler] Pourquoi revoit-on [spoiler]des protagonistes du 1986 submergé
, apparemment sans autres raison qu'une coïncidence ? Mais je n'ai pas lu le dernier tome (dans la prochaine et dernière intégrale), donc peut-être (j'espère) que ces questions seront répondues :p
Sauf le fait que le changement de 1986 n'ait pas modifié les personnages du futur, comme les informateurs (dont le nom m'échappe) qui devraient ne même pas avoir rencontré Valérian et Laureline, dans cette timeline où Galaxity et le SST n'existent pas ; où ils sont orphelins, du coup, car, surtout Valérian, venant d'un futur qui n'existe plus.
Bref jouer avec le temps c'est toujours la sources de bordels scénaristiques pas possibles ! Et si on peut passer au-dessus, la série reste superbe :)
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Un livre assez beau et très romantique sur une relation passionnelle entre un homme et la femme qu'il déifie, qui va jusqu'à la soumission totale et inconditionnelle qui a donné au masochisme son nom, tiré du nom de l'auteur.
Par contre j'ai trouvé que même s'il est assez court il est parfois un peu ennuyant ; beaucoup de répétition dans les scènes et les descriptions introspectives des émotions de Sévérine, et une grande pudeur dans l'écriture qui rend la représentation difficile ou étrange.
Par contre j'ai beaucoup aimé le réalisme psychologique à travers parfois les émotions paradoxales, les dilemmes, les incohérences de sa volonté, de ses désirs/fantasmes ; ça rend le personnage très humain et inconstant. Et enfin, la fin est surprenante (enfin moi elle m'a surpris) mais très bien amenée.
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date : 20-04-2016
J'avoue qu'au départ je ne m'attendais pas à ça. L'histoire est très longue à "démarrer", bien que sa nature la rende inévitable : il s'agit du récit de la vie d'un homme, toujours très proche du protagoniste, très introspective et réaliste comme SK sait le faire. Je n'avais pas lu de ses livres récents (dernière décennie), et je note les changements dans les éléments, inévitables, pour s'adapter au monde actuel.
Pendant près de la moitié du roman il ne se passe rien de fantastique, Jamie nous raconte son enfance, son adolescence, son errance, et même si l'écriture et la façon de raconter de SK est toujours un régal et jamais ennuyante, je me suis demandé où il allait.
Mais quand l'intrigue un peu surnaturelle commence à émerger, très lentement, tout le plaisir revient, et les amateurs seront ravis de reconnaître tant de références à HP Lovecraft :D Car l'histoire est un hommage, dans ses références mais aussi dans ses thèmes abordés, mais je n'en dirai pas plus.
Enfin, personnellement, la fin m'a réconcilié avec le roman tout entier, car elle est grandiose. L'épilogue est aussi tout à fait lovecraftien.
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Le premier album de ce volume était aussi un de mes préférés. Surtout le début ; ces créatures puissantes et mystérieuses dont on ne saura rien de plus m'ont toujours fait imaginer plein de choses.
Aaaah, et le Schniarfeur ! Que de bons souvenirs ! On va le revoir lui !
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Un scénar qui parait tout d'abord tout con, juste parti d'une inversion, sans visible profondeur, mais qui se complexifie grandement dès le premier tome (premier tome d'ailleurs qui forme une partie complète de l'intrigue, qui par la suite démarre vraiment avec le second tome). Une SF assez prise au sérieux, avec pas mal de précisions et de rigueur, mais bon, après ça reste un shonen où le cadre est le prétexte à produire des super-combattants et des menaces totalement folles. Mais on ne cesse d'être pris par surprise ; l'auteur ne semble pas arrêté par le lien tissé avec certains personnages approfondis, certaines relations clichés ou non, pour faire survenir des évènements frustrants ou inattendus. Mais ça fait partie de la recette du seinen, aussi, et le choc est un bon moyen pour produire chez le lecteur une sensation de sérieux de l’œuvre.
Bref, néanmoins, une histoire très addictive, car très fouillée ; il ne s'agit pas que de cafards sur mars, comme il est expliqué officiellement, mais de secrets et manigances qui semblent dissimuler bien plus d'explications qu'il nous en est donné au départ. Les incohérences et possibles aberrations idiotes à première vue sont, au fil de l'intrigue, pointées et interrogées.
Et avec tout ça, le dessin est magnifique, j'ai trouvé.
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date : 08-03-2016
Le récit est rétrospectif pour tout ce qui concerne l'histoire d'Oryx (qui n'a pas d'intérêt jusqu'à très tard) et de Crake (et de Snowman dans sa jeunesse surtout, en fait, puisque c'est lui le narrateur), au présent on ne suit que ce type dans un quotidien post-apo (à peu près), entouré d'humains pas exactement humains.
Du coup ça plonge l'histoire dans une absence totale de dynamisme et d'action. Il ne se passe rien, puisque tout s'est déjà passé. De plus la narration, pour le récit rétrospectif, est entrecoupée d'interminables séances de descriptions d'un futur dystopique complexe, certes ; bien conçu, certes, mais soporifique, comme l'a dit quelqu'un plus bas. Mais me concernant, c'est pas sur l'écriture, qui est très bien, que je porte le jugement. Plus dans ce qui est raconté, et la lenteur du récit.
A bout de 200 pages j'ai commencé à sauter des paragraphes (inutiles car descriptifs d'éléments n'apportant rien à l'histoire, ou trop longs et cassant le rythme) et à lire en diagonale. A la moitié du bouquin il semble se passer des choses, alors que le récit rétrospectif arrive peu à peu à nous faire comprendre le présent de Snowman.
Bref, assez ennuyant, je trouve. Je n'ai pas encore fini, mais je ne suis pas sûr que je finirai.
(edit : je l'ai fini)
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Un volume regroupant 4 albums, qui rassemble le bloc soudé de l'intrigue principale qui se met en place pour le reste de la série. Avec le premier album de ce volume, l'univers prend un sacré virage au niveau scénaristique. Côté dessin il n'est pas en reste non plus ; l'évolution ne cesse depuis les premiers albums.
Je garde un souvenir très fort de ces 4 albums qui font entrer en jeu la problématique du voyage temporel, les paradoxes, les futurs alternatifs, et une intrigue mêlant plusieurs espèces à travers l'espace, comme le faisait déjà l'Ambassadeur des Ombres.
L'arrivée de nouveaux personnages surprenant, dans le dernier album du volume, m'avait marqué également pour le côté subversif et très décalé de la série. Des personnages qui reviendront par la suite.

La complexification de l'intrigue liée à la Terre m'est toujours restée assez confuse, et j'avoue qu'à nouveau maintenant, j'ai du mal à bien me représenter la logique qui est derrière.
Je tiens à souligner aussi que toutes les intégrales ont une préface bien remplie d'analyses et de récit sur les auteurs, les albums, leur signification, le contexte de leur écriture... Le premier de ce volume fait suite à la sortie du premier film Star Wars, ce qui a influencé Mézières, et le virage scénaristique (le plongeon, en fait) s'explique par le fait que la série s'apprêtait chronologiquement à rejoindre les évènements décris dans le premier album de la série (1986 je crois, N-Y submergé)
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Le premier tome de cette intégrale nous fait vraiment entrer dans l'univers de Valérian, en nous présentant pour la première fois Point Central, cette agglomération d'univers aliens dans une station spatiale gigantesque, d'espèces diverses, innombrables (Dans la même idée, on est dans quelque chose de bien plus riche que Mass Effect :p). Les tomes suivants sont assez comparables aux précédents. Laureline est quand même une sacrée héroïne, exemplaire.
Bref, la prochaine intégrale est vraiment intéressante et géniale, elle :p
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Ce 2e tome (les 3 livres suivants de la série) montrent plus le côté d'engagement et de messages politiques qu'a voulu faire passer Christin à travers sa science-fiction. De belles réussites, mais là encore on est pas dans le vif du sujet, et on sent que ça reste léger.
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Je me retape la série à travers ces intégrales, ça faisait si longtemps :)
Le début est daté, ça se ressent. Plus d'humour, pas encore totalement ce côté Space Opera, mais les personnages sont bien présents :)
Et l'intégrale comprend le tome prélude des Mauvais Rêves (le tome 0), qui introduit Laureline.
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Un tome sur une vraie investigation, une intrigue dans la ville sainte, beaucoup plus prenant. Claire reste ce personnage un peu tsundere qu'on devine percer sa carapace à certains occasions, et surtout par la suite ; Raki est le jeune survivant par excellence, qui aime sa sauveuse parce qu'il voit en elle plus qu'elle ne montre. Mais à côté de ça l'histoire est agréable à suivre, même si un peu trop rapide et dynamique à mon goût.
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Un tome d'introduction qui n'est pas très intéressant, mais qui place doucement le décor. Les dessins sont assez simples mais agréables, et l'ambiance fait penser à Berserk tout en étant beaucoup moins sombre et torturé.
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Encore une fois très beau, mais l'histoire semble être de plus en plus un prétexte à faire de belles illustrations. Côté scénario c'est pauvre et plutôt inintéressant, et mal écrit. Froideval a toujours eu cette familiarité dans le dialogue qui fait partie de son humour, je pense, mais qui participe aussi à rendre la fantasy de l'histoire médiocre.
L'histoire, en basculant depuis la 2nd époque sur quelque chose de global, a cessé d'être de l'héroic-fantasy, centrée sur Wis, du coup il n'y a pas d'aventure, juste du grandiloquent et du démesuré, comme le montre la fin de ce tome. Tout est trop démesuré ; leurs pouvoirs ne leur permettent plus de retrouver un air de fantasy sombre et épique, ici l'intrigue reste l’expansion de l'Empire et sa mise en place artificielle et complexe (notamment avec cette religion) à travers des méthodes qui nous rappelle toujours que Wis est une belle saloperie, quand même. Sûrement depuis tout ce que lui a fait Hazeel-Thorn.
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Je lis les nouvelles de Conan par ci par là, et c'est toujours un régal d'y revenir :) Ce tome-ci est terminé, j'en ai encore plusieurs. Ces nouvelles-ci étaient particulièrement bonnes, par rapport au premier tome, j'ai trouvé. La dernière (Une sorcière viendra au monde) est excellente. Elle mériterait un film, tant le récit est visuel et épique.
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date : 24-01-2016
Cette fin est assez idiote. Je ne comprends pas le message véhiculé,
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si c'est que le père ne veut pas mourir devant sa famille ou quoi...

Bref, sens du sacrifice, l'amour qui change les gens, les gens qui se dépassent pour leurs rêves, etc. Bof bof. Je m'attendais à quelque chose de moins attendu. (quelle phrase étrange)
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date : 22-01-2016
La postface explicite le point de vue développé dans ce manga, qui est l'image idéale d'une certaine forme de culture japonaise pour le père protecteur et attentionné, mais surtout très masculin, très viril. Cette postface est assez gerbatoire si on est pas viriliste, mais j'ai pas réussi à déterminer si elle décrit simplement, ou si elle justifie (à coup de "féminisation" de la société, etc)
Bref, le récit en lui même est intéressant, notamment par la porte d'entrée sur la société japonaise ; un milieu populaire désœuvré, une mère seule avec deux enfants déjà âgés tous les deux dans la merde, plus ou moins. Et là-dessus la venue du père, représentation archétypale de l'homme (otoko) culturellement idéalisé, le plus fort, dur, qui ne transmet rien de ses émotions, et qui ira jusqu'à tuer pour protéger sa famille, qui compte plus que tout à ses yeux.
Voilà. Ce point de vue, ne le partageant pas du tout (l'idée de la violence qui résout tous les problèmes, comme elle est illustrée ici, et sa justification par l'amour porté à sa famille), j'ai moyennement apprécié ; mais le dessin est magnifique, par contre, et ça a le mérite de nous montrer de la différence dans le récit et les personnages ; ça fait du bien.
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Mouais mouais mouais.
Alors franchement, ce tome-ci... il rabaisse encore un peu plus le niveau de Lanfeust Odyssey. Et j'ai pas rêvé, si ? Lylth (bon ça suffit avec Lilith, incarnation de je ne sais quelle déesse à la con dans le côté obscur des scénario de tellement d’œuvres...) a changé de... design ? Bref, son visage est plus le même, j'ai l'impression.
Bon, mais surtout, le gros truc ici, c'est
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le retour de Cixi. Je trouvais justement cool Lanfeust des étoiles pour avoir eu les c... de coller à son background, et de laisser Cixi avec son gosse dans l'espace ; deux chemins séparés à jamais, que 15 années séparaient.. mais là WTF quoi ? [/spoiler] WTF ?! C'est inutile et nul, je trouve. On avait pas besoin de ça.
Bon, à côté de ça, j'aime bien l'audace, déjà présente dans le précédent, de faire évoluer le personnage de Hébus, qui déjà dans la précédente saga s'était illustré comme très vif et plus intelligent qu'il ne paraît. Lanfeust, lui, bah... malgré sa débilité, on voit qu'il garde son sérieux, contrairement à un héros humoristique débile et agaçant (façon shonen), et même s'il n'arrive pas à suivre, sa frustration se ressent bien parfois, comme là, le passage où il essaye de trouver un plan, en vain.
Mais les femmes de Lanfeust, elles sont toujours aussi lourdes, même si ok, parfois (mais juste parfois) on échappe au sexisme de leur énorme fan-service. Le tout est quand même une grande soupe d'humour souvent lourdingue, mais pour ça on reste assez fidèle à la série.
Même si Lanfeust Odyssey, dans sa tentative de faire un cycle mêlant un peu de Troy et un peu des étoiles, ne fait ni l'un ni l'autre, en fait.
[spoiler]Surtout s'il ne trouve rien de mieux que faire ressurgir Cixi ! Bordel ! Mais ça suffit, le groupe du début quoi, Lanfeust et Hébus ok, y'a même un côté nostalgique en les voyant, mais faut savoir se détacher du passé un peu ! Arleston, bordel !

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