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Commentaires de livres faits par anneso05

Extraits de livres par anneso05

Commentaires de livres appréciés par anneso05

Extraits de livres appréciés par anneso05

Même si j’avais conscience que cela n’entrait guère dans les bonnes manières, je détaillais ma mère entre mes paupières plissées. Ses cheveux gris en bataille formaient un nuage désordonné autour de sa tête, son châle était de travers, la transpiration couvrait son visage rond et doux d’un voile luisant et, pour couronner le tout, même si les angelots l’avaient rhabillée de leur mieux, elle reposait sur le carrelage recouvert de manteaux avec les cuisses écartées de la plus vulgaire des façons.
J’acquiesçai d’un air approbateur. Voilà qui était parfait. Avec un peu de chance, je ne prendrais aucune réflexion pour mon chapeau disparu, mon chignon défait, mon manteau rouge taché de sang et déchiré par endroits, et mes bottines couvertes de boue. (...)
— Louise ! se récria ma mère, effarée. Mais… Mais dans quel état…
Elle ne put terminer sa phrase. Je haussai un sourcil éloquent et le braquai sur sa propre tenue. Elle baissa le regard et poussa un gémissement d’horreur. Elle s’empressa de resserrer les jambes, rajusta son châle, passa la main dans ses cheveux – sans grand succès – et regarda autour de nous.
— Bonté divine… souffla-t-elle. Comme tout cela est... est...
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Je n’étais pas censée naître et pourtant, je suis venue au monde au sein des Enfers, d’une mère qui ne m’aimait pas et d’un père qui n’avait pas prévu mon existence. Pourtant, même si j’ai grandi au cœur d’un monde dans lequel une enfant ne devrait pas grandir, j’ai vécu dans l’amour, la fidélité, le courage, l’honneur et les principes.
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« — Je ne t’épouse pas pour le plaisir de t’appeler « ma femme », esclave. Je ne t’épouse pas pour officialiser notre relation. Je t’épouse afin de te posséder à jamais. Ton âme m’appartiendra pour l’éternité. Dans la souffrance et dans la volupté, dans la vie et dans la mort, tu seras à moi, et je serai à toi.
Q m’attira plus près de lui et chuchota contre ma bouche :
— Ne crois pas qu’il s’agisse simplement d’un contrat entre deux personnes amoureuses. Ne crois pas que ce document légal ne soit qu’un bout de papier. En m’épousant, tu m’acceptes tout entier. Ce que je suis et ce que je pourrais être. Mon côté sombre et mon côté lumineux, mon esprit irrémédiablement dérangé. En prenant mon nom, tu ne seras plus Tess Snow.
— Qui serai-je ? demandai-je dans un murmure, en recevant son doux baiser.
— Tess Mercer. Pour toujours et à jamais. Pour l’éternité. »
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« (c’est Ludmilla qui parle) : lire, c’est aller à la rencontre d’une chose qui va exister mais dont personne ne sait encore ce qu’elle sera… »
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« Je ne suis pas une voiture, Wheeler. Tu ne peux pas trouver de pièces de rechange pour tout ce qui ne fonctionne plus correctement chez moi. »
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« Et à une nuit du Diable, il n’y avait pas si longtemps, où un garçon (moi) avait pourchassé une fille qui aurait pu être comme Rika dans un endroit comme l’hôtel que j’apercevais par la fenêtre en ce moment même.
Sauf qu’à la différence de ce soir ce garçon n’avait pas su s’arrêter. Il avait fait quelque chose qu’il n’aurait pas dû faire. »
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date : 06-04-2018
- Il ne me suffit que de quelques mots, Evy… susurre-t-il avant de me mordiller le lobe de l’oreille.
Le gémissement sort de ma gorge avant que j’aie pu le retenir. Mon plan a marché, je lui ai fait ressentir des sentiments, des émotions. Je devrais m’en tenir là et décamper comme il me l’a si bien conseillé.
Mais je n’y arrive pas. Mes yeux se ferment d’eux-mêmes et ma tête se pose sur son épaule pour lui donner libre accès à ma peau. Je suis consciente d’avoir déjà passé la ligne rouge, mais je ne peux pas résister.
Ses mains remontent sur mes seins et les pressent avec envie. Je peux sentir dans le bas de mon dos à quel point son abstinence forcée lui a été pénible, ces deux dernières semaines. Et comme si mon cerveau était en veille, mon corps se colle un peu plus contre celui de Ryder, réclamant toujours plus de caresses, toujours plus de sensations.
Il me retourne face à lui et prend possession de ma bouche. Il s’immisce à l’intérieur sauvagement, comme si je lui appartenais. Bientôt, je me retrouve coincée entre son torse sculptural et le rebord de l’îlot de la cuisine. Je n’ai plus aucune échappatoire. Ai-je réellement envie de m’écarter ?
Non.
– Dis-le, Evy… grogne Ryder, sa bouche survolant ma poitrine.
Je soupire d’excitation tandis que mes mains se perdent dans sa chevelure d’ébène. Je voudrais avoir la force de résister.
– J’ai envie de toi…
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« Ne crois pas une chose simplement parce que d'autres l'ont dite
Ne crois pas une chose parce qu'elle appartient à la tradition
Ne crois pas une chose parce qu'elle a été répétée par les générations de tes pères
Ne crois pas une chose parce que le maître te la enseignée
Ne crois pas une chose parce que le prêtre te l'a revelée.
Crois seulement à la chose que tu auras toi-même éprouvée,
Crois seulement à la chose que tu auras toi-meme expérimentée
Crois seulement à la chose que tu auras toi même reconnue pour vraie
Crois seulement a la chose que tu auras toi même jugée bonne pour toi et les autres
Cette chose-la crois y et conformes-y ta vie »
(Mahaparinirvana Sutra
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Chapitre 1 version non corrigé

BRIDGET
Putain de bordel de merde!

Oui c'est carrément ça, non franchement, il n'y a pas d'autres mots pour décrire ce que je ressens. Je me retrouve encore avec un de ces rendez-vous arrangés pour le bon plaisir de mon père.

Je regarde mon portable dans l'espoir fou que les minutes passent plus vite...

Akhil n'est pas moche, non loin de là, il est simplement un peu trop con!

Carrément en symbiose avec la signification de son prénom qui signifie roi ou seigneur en Inde. Il se croit invincible et démontre avec une arrogance non dissimulée son pouvoir.

Il me narre l'importance des investissements rentables de l'entreprise de son paternel et franchement, je n'en ai strictement rien à foutre.

Je lui souris poliment de temps à autre et hoche mon visage.

Le repas se termine enfin, il paye galamment la note, me pose sa main au creux de mes reins, je me jure que si il l'a baisse d'un centimètre, je lui éclate la gueule.

Il essaye de parler de nous, de ce que pourrait être notre relation et du plaisir immense qu'auraient nos parents si une union venait à commencer entre nous, je ne dis rien, mais je n'ai qu'une envie, c'est de l'envoyer chier.

- Tu sais Bridget, je te trouve vraiment très belle, tu me plais énormément...
Putain non, il va me demander qu'on couche ensemble...

- Akhil, je vais être très honnête avec toi...

- Je ne te plais pas ?

Ça commence bien, il ne me laisse pas finir.

- Je disais donc...

- Tes parents seraient ravis de te voir fréquenter un mec comme moi, et puis tu aurais tout à y gagner.

Je me retiens, mais putain que c'est dur...

- Donc je voulais te dire...

- De toute façon, tu n'as pas top le choix, vu qu'ils souhaitent que tu me fréquentes.

C'est bon t'as fini du con, non, mais il commence vraiment à me gonfler là.

- Ecoute, je ne suis pas...

- Tu ne peux pas refuser mon offre, tes parents t'en voudraient énormément.

- Stop, d'une tu vas la fermer, de deux je n'ai aucune envie de sortir avec toi et de trois tu m'emmerdes débité-je d'une traite en lui lançant deux yeux mauvais.

Bon vu sa tête d'ahuri, je vois que ma sortie à porter ses fruits. Sans attendre une réponse de sa part, j'ouvre la portière de sa superbe Ferrari et rejoins directement l'appartement que je partage avec Viviane.

Viv c'est ma colocataire sur ce campus hyper standing, la plupart des élèves ici sont issus de famille pleine aux as.

Je fais partie de cette élite, nos pères se connaissent par leurs affaires, leur travail et nos mères par les oeuvres de charités ou par les associations dont elles sont membres. J'ai toujours vécu ainsi dans le luxe et l'opulence.

Je suis la honte de mes parents et je m'en tape, oui car je ne suis pas le genre pauvre petite fille riche qui se la pète ici... d'ailleurs je ne m'entends pas avec ces pétasses, elles ne sont que des connaissances que j'évite le plus possible, elles sont prêtes à tout pour avoir une notoriété et encore plus de thunes.
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date : 14-03-2018
Cette voix. Ce timbre. Du velours de crème. Du chocolat fondu. Une putain de bombe à retardement.

Je me trouve face à l’essence même du fantasme féminin. Ou en tout cas du mien. Le sombre inconnu me fixe intensément, son grand corps adoptant une position aussi nonchalante que virile. Bras croisés aux muscles apparents, jambes légèrement écartées, bien plantées dans le sol. Son regard sauvage, méfiant, retient le mien prisonnier. Ses yeux aussi ont des nuances chocolatées. Je n’ai plus du tout peur, je réalise qu’il ne me fera pas de mal. Mais je manque d’air. Terriblement.

J’observe rapidement sa tignasse brune et ondulée, son nez droit, ses mâchoires carrées. Ses lèvres pleines : c’est ce qui m’aimante plus que tout. Peut-être le détail le plus sensuel chez lui. Si appétissantes, si parfaites, elles invitent aux baisers. Mais la barbe de trop de jours, tout autour, semble faire barrière. Lui donne un air dur. Je me reprends un instant, embarrassée par mes propres pensées, remonte les yeux le long de son visage et me perds à nouveau. Dans ses yeux légèrement plissés, complètement farouches. Ils sont marron liquide, bordés de cils si noirs et si épais qu’ils vous engloutissent tout entière. Et je ne parle même pas de l’étincelle indescriptible qui brûle au fond de ce regard de feu…

– Vous avez de très beaux yeux, d’accord, mais il serait peut-être temps de vous servir de votre bouche ?
– Et comment tu veux que je m’en serve ? lâche-t-il sans sourire.

Je réalise un peu tard l’ambiguïté de ma dernière phrase puis celle de sa réponse… et rougis.
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— Je jure d’être fidèle. Par le sang et jusqu’aux confins du monde.
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date : 12-08-2017
– Tu danses ? dis-je spontanément avant de me mordre la langue.
Se sentir bien avec lui ne veut pas dire perdre la tête non plus ! Ce que j’ai visiblement tendance à faire un peu trop facilement dès qu’il est dans les parages.
– Je bosse. Mais j’ai du mal à me concentrer, ajoute-t-il.
Qu’est-ce que je dois lui répondre ? Son regard est si intense, si… franc, qu’il me met en confiance. Qu’est-ce que je risque après tout ? Il m’attire. Énormément. Pourquoi ne pas en profiter ? Pour une fois, je pourrais penser à moi, à mon désir, à mes envies.
Alors, je décide de m’avancer un peu vers lui tout en continuant à danser. Je le vois se crisper et je lui souris, contente de sa réaction. Il n’est visiblement pas insensible lui non plus. J’ai bien remarqué les regards féminins qu’il attire, mais lui, en ce moment, il est fixé sur moi. Il détaille mes hanches puis remonte vers ma poitrine et s’arrête sur ma bouche. Il soupire puis m’attrape la main.
– J’ai besoin d’une pause, murmure-t-il en me tirant vers lui. Viens avec moi.
Monsieur Muscles se dirige vers une porte de secours. Il sort une carte de son jean qu’il passe sur le petit boîtier noir qui clignote, sûrement pour désactiver une alarme, et me fait sortir.
L’air froid me fait frissonner mais pas plus que le corps du vigile qui se plaque contre le mien. Il me fait reculer jusqu’au mur et capture ma bouche pour un baiser fougueux et passionné. C’est électrique. Incroyable. Je ne peux pas regretter de l’avoir suivi ici. Les sensations qu’il déclenche sont délicieuses et ne demandent qu’à être approfondies.
Je m’accroche à ses solides épaules et entrouvre les lèvres pour goûter sa langue. Nos souffles s’accélèrent et, sentant son érection contre mon ventre, je gémis, de plaisir et de frustration. J’en voudrais plus. Ce qui est inquiétant et excitant en même temps. Est-ce que je peux me laisser totalement aller avec lui ?
Pourquoi pas ?
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“– Vas-y, Getty. Saute, c’est tout.
Saute, c’est tout. Mon esprit me repasse l’injonction en boucle. Elle contient tout ce qu’est ma nouvelle vie en tant que Getty Caster.
Et comment je tiens à continuer à la vivre.
Je ferme les yeux, inspire calmement – comme si c’était possible – fais le premier pas dans le vide… et saute, c’est tout.”
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“Sois patient. Mais pas trop. Si tu désires quelque chose, donne-toi les moyens de l’obtenir. Mais s’il y a quelque chose qui mérite que tu prennes le temps et dont tu as follement envie, alors sois patient.”
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent à notre approche. J’entre juste derrière elle, m’appuie sur le mur du fond et croise les bras pour imiter sa posture. Les portes se referment, mais nous n’esquissons pas un geste, comme dans un bras de fer silencieux. Les portes se rouvrent sans que l’ascenseur ne soit monté, Beaux tend la main pour appuyer sur le bouton du douzième étage.
– Mon étage, s’il te plaît. Tu te rappelles où se trouve ma chambre, n’est-ce pas ?J’incline la tête pour la regarder et apprécie de voir ses joues rougir d’irritation.J’attends une remarque acerbe, mais elle se contente de se tourner pour fixer les portes de l’ascenseur sans appuyer sur le numéro huit. La tension est si palpable qu’elle pourrait se matérialiser dans l’air.
Je brise le silence en lâchant :
– Je ne te fais pas confiance.
– Bien. (Nous arrivons au douzième étage.) Fais attention à qui tu donnes ta confiance, le diable a commencé par être un ange, tu sais.
Sur ce, elle sort de l’ascenseur. Sa phrase tourne en boucle dans mon esprit.
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Je me remis à fixer le plafond et me concentrai de toutes mes forces jusqu’à ce que j’entende la voix grave et bourrue de mon père me chuchoter : Les bêtises, Sprite, ça fait de belles histoires à raconter.Mon petit discours ne s’adressait pas à ma compagne de cellule… C’était moi qui avais besoin de l’entendre… maintenant plus que jamais.
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Le temps c'est précieux. Perds-le intelligemment.
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date : 24-04-2017
Je suis à deux doigts d’arracher la chemise dans laquelle je flotte pour la lui jeter au visage. Mais ça voudrait dire être quasi nue devant lui… et je préfère éviter.
Je me contente donc de lui lancer mon regard le plus méprisant, celui qui vous scanne des pieds à la tête et vous déstabilise… Celui que j’utilise pour l’infâme Jonathan, l’élève le plus rebelle de ma classe, qui a failli tuer Black et Decker, nos poissons rouges, mascottes des grandes sections…
Oui, je le mate de haut en bas, dédaigneuse, et…
Non… Le salaud !
Mon souffle se bloque dans ma poitrine alors que je remarque son alliance, que je désigne d’un index tremblant.
– De mieux en mieux. Vous êtes marié !
Je ne peux détourner les yeux de cet anneau en or, bien voyant, bien brillant.
– Qu’est-ce que… réplique-t-il, interloqué.
Mais il s’interrompt brusquement et blêmit.
– Merde.
Ses prunelles s’agrandissent. Il s’approche, attrape ma main, et là, horreur, je l’aperçois. L’alliance à mon doigt. Énorme, kitsch et clinquante.
– C’est impossible !
Ma voix n’est qu’un filet et je suis à deux doigts de tomber dans les pommes. Avant que ça ne se produise, je m’affale dans le fauteuil qui m’a presque brisé l’orteil, alors qu’il fait les cent pas dans la chambre, comme un lion en cage.
– Je n’y crois pas ! renchérit-il en serrant les poings. Dans quoi vous m’avez embarqué ? Vous avez tout manigancé, ou quoi ?
Retrouvant instantanément mes forces, je me lève d’un bond, puis me poste devant lui pour le forcer à me faire face.
– Dites donc ! Dans quoi vous, vous m’avez embarquée ?
Il ouvre la bouche pour répondre, mais je le stoppe d’un geste de la main.
Car soudain, ça fuse dans mon esprit…
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Ella prend une grande inspiration et souffle lentement. Je commence à perdre patience. C’est infernal de ne pas savoir ce qui se passe ni pourquoi je suis ici. Elle va peut-être m’annoncer qu’ils déménagent à l’autre bout du pays ? Peut-être qu’elle démissionne ? Ou qu’elle veut demander le divorce ? Du moins, c’est ce que je lui souhaite.
Elle cherche ses mots. Au bout de quelques secondes, ses yeux parlent d’eux-mêmes.
Ils ont dérivé par-dessus mon épaule, calmes et concentrés. Et soudain je l’entends. Cette voix qui a le pouvoir de me paralyser de la tête aux pieds. Impossible de me tromper. Quand les premiers mots sortent de sa bouche, je suis pétrifiée. Tout, absolument tout, s’arrête quand il dit :
— Elle parle de moi.
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date : 25-06-2016
Dans tout chemin de vie, il y a des rendez-vous. Au moins un. Il y a ceux qui le regardent passer impuissants et désolés ; il y a ceux qui s’acharnent à poursuivre les mirages de tous les autres qui n’auront jamais lieu ; et enfin, il y a ceux qui vivent d’abord. Et qui comprennent ensuite.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Je me tiens sur le plateau d’une célèbre émission diffusée en direct. Face à moi Konrad Fisher. D’égal à égal. C’est complètement dinguece qui m’arrive. Ça fait bien un an qu’il ne m’a pas vue, mais il ose à peine me regarder. Comme si nous ne nous connaissions pas. Pourtant, à ses yeux, j’ai été quelqu’un un jour.
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