Commentaires de livres faits par Becky07
Extraits de livres par Becky07
Commentaires de livres appréciés par Becky07
Extraits de livres appréciés par Becky07
-Moi aussi, je t'aime.
- Je serais obliger d'aller chez le coiffeur plus souvent.
- Les deux, je réponds. »
j'ai levé les yeux au ciel.
- Tout le monde le sais. Votre histoire est devenue un conte de fées.
En entendant ça, leurs regards se sont adoucis et ils ont souri. Leur corps ont semblé se rapprocher subrepticement l'un de l'autre et mon père s'est mordu la lèvre en contemplant ma mère.
- Excusez-moi. Votre fille aînée est dans la pièce, au cas où vous l'auriez oublié.
-Aïa a t-il crié en reculant .
-Pardon je voulais juste ...
Il m'a attrape par le poignet et ma fait entrer brusquement dans la pièce la plus proche dont il a chaque la porte derrière nous tout en me poussant contre le mur . Il m'a embrasse plus brutalement que je ne l'avais fait: apparemment sa lèvre ne lui faisait pas si mal que ça .
- Pour vous, ce sera Chieuse Royale, ai-je rétorqué.
[...]
—Oh, non, répond-t-il. [...] Je n'ai pas assez d'intérêt pour le pouvoir.
L'exact opposé de son père. Et du mien...
—C'est exactement pour ça que tu serais bon. Parce que le pouvoir ne t'intéresse pas.»
— Où sont passés mes vêtements ?
— Ils sont partis, répondit-il, très sérieusement.
— Tu les as pris ?
Il haussa les épaules.
— Tu n’aurais pas bien dormi avec.
— Comment as-tu réussi à m’enlever mon soutien-gorge sans me réveiller ?
Il eut un sourire espiègle.
— Je n’ai rien fait de plus. Promis. Je l’ai simplement… retiré pour des raisons de sécurité. C’est dangereux, les armatures.
— Bien sûr.
— Il était temps de faire preuve d’un peu plus de jugeote. C’est bien que tu aies peur.
— Je tremble parce que j’ai froid
— Et tu es très mignonne, quand tu as peur.
Je lui adresse un regard espiègle.
— Ah ouais ? Eh toi, tu es super mignon quand tu as peur.
Il éclate de rire.
— Tu veux dire que je suis d’une beauté ravageuse quand je n’ai pas peur, c’est ça ? Parce que tu ne m’as jamais vu avoir peur.
— J’ai dit que tu étais mignon, c’est tout.
_ Je...
Rien ne me vient.
Je tend la main, pensant que nous pourrions peut être nous rapprocher un peu. Mais des algues sont entortillées entre mes doigts, que je secoue par réflexe. Elles atterrissent en plein dans le visage de Raffe avant de glisser.
Il se laisse tomber en arrière sur le sable et s'esclaffe.
Il doit reprendre son souffle, mais son rire, chaleureux et sincère, est le plus beau son que j'ai jamais entendu.
Il tend la main et attrape mon bras pour m'attirer près de lui sur le sable. Ma robe se retrousse mais peu m'importe.
Il me prend dans ses bars et me serre fort.
Il est une poche de chaleur dans un monde glacé. Son étreinte me donne la sensation du foyer que je n'ai jamais eu. Il halète encore, et ne cesse de rire.
Mais soudain, l'ambiance change.
Il continue de chercher son souffle. Sa poitrine se contracte désormais par spasme. Il me presse si forts qu'une armée de scorpions ne pourrait pas me trainer hors de ses bras.
Je lui caresse les cheveux et lui répète les paroles de réconfort qu'il m'a murmuré la dernière fois que nous avons été ensemble.
_ Chut. Je suis là. Je suis tout près de toi...
Il est aussi chaud que le soleil d'un après midi d'été.
Nous nous enlaçons dans notre petite poche de chaleur, protégés des monstres de la nuit par la brume qui nous entoure, et de cet affreux ressac qui martèle le sable à nos pieds.
- Je ne suis pas rusé, ma dame, je peux vous le promettre. Je suis juste doué pour contourner les obstacles.
[...]
- Est-ce que toutes les filles de dieux sont aussi rusées que vous, ma dame ? demande-t-il.
Je lui adresse un sourire sans joie.
- Peut-être que moi aussi je suis douée pour contourner les obstacles."
Je ne suis pas encore prête.
Mais... si ma vie sur Terre doit prendre fin, qu'elle se termine sur une promesse.
Sur une note d'espoirs.
J'enroule mon petit doigt autour du sien. Il l'enserre, et le monde ne me paraît plus aussi hostile.
-Tu resteras toujours avec moi? je murmure.
-Toujours.
-De l'autre côté du couloir, répondit Matthew.
Je me rappelai vaguement avoir expulsé Marcus de la chambre quand les contractions s'étaient intensifiées.
-Si j'ai besoin d'une césarienne, il peut arriver à temps? demandai-je.
-Vous m'avez appelé? dit Marcus en entrant avec sa blouse.
Son sourire chaleureux et son air imperturbable me calmèrent aussitôt. Maintenant qu'il était revenu, je ne me rappelais plus pourquoi je l'avais chassé.
-Qui a déplacé ce fichu lit? soufflais-je durant une autre contraction.
Le lit était apparemment au même endroit, mais ce devait être une illusion, car il me fallait une éternité pour y arriver.
-Matthew, répondit Sarah d'un ton désinvolte.
-Mais certainement pas! protesta-t-il.
-Durant le travail, nous accusons le mari d'absolument tout. Cela empêche la mère d'avoir des envies de meurtre et cela rappelle aux hommes qu'ils ne sont pas le centre de l'attention, expliqua Sarah.
- Je suis leur bourreau, Lief.
- Ils vous y contraignent.
- Cela n'y change rien ...
- Pour moi, si, proteste-t-il d'une voix douce. Plus que vous ne l'imaginez.
Je ne le ferai jamais tomber, raisonnais-je intérieurement tout en m’en approchant. Je me prépare néanmoins à donner tout ce que j’ai. C’est comme ça que chaque séance se termine, par une attaque sauvage où je ne retiens plus mes coups, Ford m’encourageant à chercher ce qu’il appelle ma zone folle. Si seulement il savait ! Ma folie ne se limite pas à une zone, c’est un véritable continent.
Je commence à tournoyer sur moi-même, prenant davantage d’élan à chaque nouveau tour jusqu’à arriver à portée du sac ennemi : j’arme alors ma jambe droite et décoche un plat du pied en plein milieu. Puissamment. Plus fort en tout cas que j’aie jamais frappé ce sac, réalisé-je en entendant un crac sonore. Ce n’est que lorsque je vois le punching-ball s’élever à l’horizontale que je me rends compte de ce que je viens de faire. Ses cent kilos de sable vont s’écraser avec fracas dix mètres plus loin sur un tas d’haltères.
It's Raffe.
Everything about him - his paced, his arched wings, his shaded face - is the perfect nightmare image of the devil stalking his prey.
Even though I'm sure it's Raffe, my heart stutters with fear at the sight of him.
This is not the Raffe I've come to know."
Taduction personelle :
"Mais je le reconnais. Même avec ses nouvelles ailes de démons, je le reconnais.
C'est Raffe.
Tout en lui - son rythme, ses ailes arquées , son visage ombragé - est l'image parfaite d'un cauchemar du diable traquant sa proie.
Même si je suis sûre que c'est Raffe, mon cœur palpite de peur à sa vue.
Ce n'est pas le Raffe que j'ai appris à connaître."
- Tais-toi. Vas t'amuser. Mais attends, d'abord il faut qu'on te débarasse de ta cravate.
Il a baissé les yeux pendant que je commençais à défaire le nœud.
- Quel est le problème avec cette cravate?
- Tout. Les mots me manquent pour t'expliquer à quel point ta cravate est un problème. Je suis sûre que si on la brûlait, on rétablierait la paix dans le monde.