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Source Lune & PLume
Ouai, c’est bien ca le problème ! Je désirais des trucs que je n’avais aucun droit de vouloir. »
Source Lune & PLume
-Oui c'est ç, fais tes petites blagues. Morue.
-Une blague? Je suis très sérieuse.
Petite joute verbale entre Greta et Taryn
- Alors, comme ça, tu es dingue de moi ?
Il sourit dans la pénombre.
- Bien trop pour ma santé mentale et physique.
- J'adore.
Son salon n'était pas fait pour supporter de telles élévations de magie. Il fit donc, très naturellement, ce que font les murs lorsqu'ils sont soumis à une forte pression.
Il explosa.
"Spain."
"Yeah?"
"Yeah, it was amazing. Thank you so much for taking me, and then taking me." I nudge him with my elbow.
"It was my pleasure, on both counts. I'm glad you could...come," he snorted.
- J
Il me fait son sourire de travers, et mon cœur s'envole.
- Je suis désolée, je lui glisse.
- De quoi?
- D'être toujours... tellement...
-Ingrate?
- Ouais.
- Désagréable?
- Je crois.
- Grincheuse? Têtue? Violente?
- Je suis pas violente!
- Oh, si. Beaucoup, même. Mais ça me plaît chez une femme.
J'éclate de rire.
- T'es fou, je dis.
- J'étais normal avant de te rencontrer.
- Mais avant cela, avant de partir, je veux que tu saches... que... Oui j'ai besoin de te le dire, même si je sais que ça ne changera rien... Je veux te dire... que je t'aime.
- Ren! Tu m'as vraiment fait peur! Fait d'abord un bruit ou quelque chose, veux-tu?
Nous nous approchâmes de la petite cabane, et je m'armai de courage pour frapper à la petite porte, mais j'hésitai, jetant un coup d'œil vers Ren.
- Nous devons d'abord faire quelque chose à ton sujet.
Je retirai la corde jaune de mon sac à dos et je me dirigeai vers un arbre sur le côté de la cour. Ren me suivit en hésitant. je lui fis signe de s'approcher. Lorsqu'il fut finalement assez proche, je glissai la corde à travers son collier et j'attachai l'autre extrémité à un arbre. Il ne paraissait pas heureux.
- Je suis désolée, Ren, mais je ne peux pas te laisser libre. Cela ferait peur à la famille. Je promets que je serai de retour dès que je pourrai.
Je commençai à m'avancer vers la petite maison, mais je figeai alors sur place lorsque j'entendis une voix calme masculine derrière moi qui disait:
- Est-ce vraiment nécessaire?
Me détournant lentement, j'aperçus un beau jeune homme, debout juste derrière moi. Il avait l'air jeune, au début de la vingtaine. Il était plus grand que moi d'une tête et il avait un corps solide musclé et bien défini. Il était vêtu de vêtements amples en coton blanc. S chemise à manches longues était desserrée et négligemment boutonnée, révélant une poitrine lisse et bien bâtie au teint bronze doré. Ses pantalons légers étaient roulés au niveau des chevilles, mettant l'accent sur ses pieds nus. Des cheveux noirs luisants balayaient son visage et frisaient légèrement à la nuque.
Mais ce sont ses yeux qui me fascinaient le plus. C'étaient les yeux de mon tigre, du même bleu cobalt intense.
Tendant une main, il se mit à parler.
- Bonjour, Kelsey. C'est moi, Ren.
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Bonne Lecture:)
-Très bien. Tu veux savoir ce que j'ai appris sur toi jusqu'à présent ?
Comme malgré moi, j'ai murmuré un "Oui" : ma curiosité était trop forte.
-J'ai appris que tu étais entêtée, décidée, drôle et...
J'ai feint de le frapper du poing en pleine poitrine.
-Dis donc !
-Quoi ? C'est vrai !
Il a retenu ma main dans la sienne.
-Et tu es rancunière.
-Vraiment ? Et bien, je me demande bien pour quelle raison tu voudrais faire davantage connaissance avec une telle personne ! ai-je répliqué d'un ton railleur.
-Peut-être parce que ce sont mes qualités préférées ?
A ces mots, il se fige et nos regards se verrouillent.
— Et vous ? demande-t-il d'une voix inquisitrice. Qui êtes-vous, Mia Snow ?
— Une femme en colère ! »
- Non.
- Est-ce que c'est du café aromatisé au vin?
- Non. Bois.
Il pencha le verre en direction de ma bouche.
Je pris une gorgée et...
- Hey, mais c'est pas mauvais.
- Finis ton verre et je te ramènerai chez toi.
- Mec, il me faut plus qu'un verre de vin pour me soûler. Tu te souviens de ce que je suis?
- Ennuyante.
- Ca, c'est vraiment petit.
- Tant mieux ! Criais-je, rouge de colère. Et qui te dit que j’en ai envie.
- Oh si, tu en as envie.
- Oh que non éclatai-je. Surtout pas avec toi, qui me rends dingue !
- Je te rends dingue ?
Il fit deux pas vers moi prit mon visage entre ses mains et m’embrassa.
La terre trembla sous nos pieds. Littéralement.
Pas grave !»
Il a regardé par dessus son épaule avec un sourire en coin.
- Tu veux venir avec moi Goodfellow ?
- Oh! monsieur Glaçon ! Un ballade au clair de lune avec vous ? Comment pourrais- je dire non ?
- Tu es mon chez moi.»
- Moi, c'est Kenzie. Enfin, Mackenzie, en entier, mais tout le monde m'appelle Kenzie. Par contre ne m'appelle jamais Mac, sinon je te frappe.
Derrière elle, les autres filles se faisaient des messes basses en nous décochant des regard furtifs. Soudain, j'avais la désagréable impression d'être un animal de foire, et le ressentiment est monté en moi. C'était clair, je n'était qu'une bête curieuse pour elles, le nouveau de la classe un peu inquiétant, l'objet de tous les regards et de tous les ragots.
-Et toi... tu es...? m'a demandé kenzie
j'ai détourné le regard.
-Pas intéressé.
-O.K.Waouh
Elle a paru surprise-mais pas fâchée. Pas encore en tout cas...
-Ce n'est pas... ce que j'attendais.
-Va falloir t'y habituer.
Je me suis hérissé intérieurement en entendant ma propre voix. Je me conduisait comme un vrai mufle, j'en avais parfaitement conscience. Là, j'étais en train de saboter toutes mes chances de ma faire accepter dans ce lycée. On ne parle as de cette manière à une pom-pom girl populaire, et adorable en plus, sans devenir un vrai paria. Elle allait retourner avec ses copines,tout leur raconter, de nouveaux cancans allaient circuler, et je serais pointé du doigt pour le reste de l'année.
Parfait, me suis-je dit tout en essayent de me convaincre. c'est exactement ce que je veux. Comme ça, je ne ferai de mal à personne. Tout le monde me fichera la paix.
sauf que... que la fille ne partait pas. du coin de l’œil, je l'ai vu se planter face à moi et croiser les bras, arborant un petit sourire en coin.
-Pas la peine d'être désagréable, m'a-t-elle dit,visiblement indifférente à mon agressivité. Je ne te demande pas un rencard, gros dur; juste ton nom.
Pourquoi me parlait-elle encore? Ne m'avais-je pas fait clairement comprendre? Je n'avais pas envie de discuter. Je n'avais pas envie de répondre à ses questions. Plus je parlerais à quelqu'un, plus il y aurait des chances qu'ELLES le remarquent, et le cauchemar recommencerait.
-C'est Ethan, ai-je maugréé sans quitter le mur des yeux.
J'ai vraiment pris sur moi pour prononcer les mots suivants:
-Maintenant, dégage.
-Oh. Super sympa, dis donc.
Et encore manqué. Être désagréable n'avait pas l'effet escompté. Au lien de la rebuter, cela semblait presque... la stimuler. Bravo. J'ai résisté à l'envie de la regarder, sentant son sourire toujours braqués sur moi.
-Je voulais juste être gentille, vu que c'est ton premier jour ici, et tout ça. Tu est aussi cool avec tout le monde?
-Mademoiselle Saint James?
La voix de notre professeur s'est élevée dans la pièce. Kenzie s'est retournée, et j'en ai profité pour la regarder furtivement.
-Je dois parler avec M.Chase, a poursuivi Mlle Singer en souriant à Kenzie. Veuillez rejoindre votre prochain cours, s'il vous plaît.
Kenzie a hoché la tête.
-Très bien, Mlle Singer
Jetant un regard en arrière, elle m'a surpris en train de l'observer et a souri avant que j'aie eu le temps de regarder ailleurs
-A plus, gros dur!>>
Il ferme la porte derrière nous et enlève ses chaussures.
- Tu veux un verre d'eau? Me propose-t-il.
- Non, merci.
- Ca va? me demande-t-il en me caressant la joue.
Il glisse une main derrière ma tête, enfouissant ses long doigts dans mes cheveux. Il sourit et m'embrasse.(...) Tout en m'embrassant, il fait glisser mon blouson qui tombe par terre avec un bruit sourd. Je tressaille et je repouse Tobias (...)
- Quoi? Qu'est-ce qui se passe?
Je secoue la tête.
- Ne me dit pas qu'il n'y a rien, reprend-il
Il m'attrape le bras.
- Hé. Regarde-moi.
(...)
Je répond le plus calmement possible:
- Quelque fois, je me demande... ou est ton intérêt là dedans. Dans ce... ce truc entre nous.
- Mon intérêt, répète-t-il froidement.
Il recule en secouant la tête d'un air incrédule.
- T'es vraiment une idiote, Tris.
- Non, répliqué-je. Et justement parce-que je ne suis pas une idiote, je sais que c'est un peu bizzare que tu m'aies choisie, moi, au milieu de toutes les filles que tu pourrait avoir. Alors si tu cherche juste... enfin, tu sais...
- Quoi? A coucher?
Il me jette un regard mauvais.
- Si c'était ce que je cherchais, tu ne serais sans doute pas la première à qui je m'adresserais.
(...)
- Je vais te laisser, mururé-je avant de faire un pas vers la porte.
- Attends.
Il m'attrape par le poignet et me force à me retourner. Je le repousse, violement, mais il me saisit l'autre poignet et maintient nos bras croisés entre nous.
- Excuse-moi. Ce que je voulais dire, c'est que tu n'est pas ce genre de fille. Et je le sais depuis le début.
- Tu étais un obstacle dans mon paysage des peurs, lâché-je d'une voix tremblante.
- Quoi?
Il me lâche et son air bléssé réapparait
- Tu a peur de moi?
- Pas de toi...
Je m'arrête pour stabiliser ma voix.
- ... mais d'être avec toi... ou avec n'importe qui. Je n'ai jamais eu une histoire avec quequ'un... et tu es plus vieux que moi, et je ne sais pas ce que tu attends, et...
- Tris, me coupe-t-il d'un ton grave. Je ne sais pas ce que tu t'est imaginé, masi tout ça, c'est nouveau pour moi aussi.
- M'imaginer? Tu veux dire que tu n'as pas...
Je hausse un sourcil.
- Oh! Oh... j'avais supposé... enfin, tu vois...
(...)
- Ben tu supposais mal.
- Pierce.
Le garçon de mes rêves n'était pas mort au fond de l'océan finalement, finalement. Il était dans mon lit. Non seulement il était dans mon lit, mais il me tenait dans ses bras. Voilà pourquoi mon nom avait résonné si fort à mon oreille que j'ai fais un bond : j'avais la tête contre son torse.
Nu. Son torse nu.
Ma mère n'aurait carrément pas toléré ça.
Chapitre 1, page 16
La voix de Barrons est profonde, marquée de cet étrange accent de l’Ancien Monde et légèrement agacée. Jericho Barrons est très souvent agacé.
Après tout ce que nous avons traversé ensemble, il m’appelle encore Mademoiselle Lane, à une exception près : Quand je suis dans son lit. Ou bien sur le sol, ou encore dans un autre endroit où j’ai temporairement perdu l’esprit et me suis convaincue que je ne peux pas respirer s’il n’est pas en moi dans l’instant. Alors les choses dont il m’appelle deviennent variées et ne regardent personne d’autre que moi.
Je réponds : ''Barrons'', sans inflexion. J’ai appris quelques petites choses depuis que nous sommes ensemble. La distance est souvent la seule intimité qu’il puisse tolérer. Ça me va. J’ai mes propres démons. De plus, je ne crois que pas que les bonnes relations survivent si nous sommes toujours dans les affaires des autres. Ce sont les divorces qui viennent ainsi.
J’admire la grâce animale avec laquelle il entre dans la pièce et se dirige vers moi. Il préfère les couleurs sombres, car il est plus facile de se mouvoir dans la nuit, dans une pièce, inaperçu à l’exception de ce qu’il a laissé derrière lui, et que vous pourriez ne pas découvrir avant un certain temps, comme par exemple un tatouage sur le crâne de quelqu’un.
''Qu’est-ce que vous faites ?''
''Je lis'', je réponds nonchalamment, massant le tatouage à l’arrière de ma nuque. Je tourne le livre pour qu’il ne voie pas la couverture. S’il voyait ce que je lisais, il saurait que je cherche quelque chose. S’il réalise combien cela est devenu grave et ce que je pense faire, il essayera de me stopper.
Il tourne autour de moi, regarde par-dessus mon épaule l’épais vélin de l’ancien manuscrit.
''Dans la première langue ?''
''C’est ce que c’est ?''
Je feigne l’innocence.
Il sait précisément quelles cellules de mon corps sont innocentes et lesquelles sont corrompues. Il est responsable de la plupart de ces dernières. Un coin de sa bouche s’étire vers le haut et je peux voir une lueur de la bête derrière ses yeux, une lueur pourpre sauvage, tachant de sang le blanc.
Cela m’excite. Barrons me fait me sentir violente, électriquement sexuelle et en vie. Je marcherais jusqu’en enfer à ses côtés.
Mais je ne le laisserai pas aller en enfer avec moi. Et il n’y a aucun doute qu’il s’agit bien de là où je me rends.
Je croyais que j’étais forte, une héroïne. Je pensais être victorieuse. L’ennemi est entré dans ma tête et a tenté de mes séduire avec des mensonges.
Il est facile de ne pas croire aux mensonges.
Le pouvoir, c’est une autre chose.
La tentation n’est pas un péché dont vous triomphez une fois pour toute et dont vous êtes ensuite libre. La tentation s’insinue avec vous dans votre lit chaque nuit et vous aide à dire vos prières. Elle vous réveille le matin avec une tasse de café et sait exactement de quelle manière vous prenez ce dernier.
Il contourne le sofa Chesterfield et me domine de toute sa hauteur.
''Vous cherchez quelque chose, Mademoiselle Lane ?''
Je suis nez à nez avec sa ceinture mais ce n’est pas là où mon regard reste rivé, et soudain ma bouche est si sèche que je peux à peine déglutir et je sais ce que je veux. Je suis Pri-ya pour cet homme. Je déteste ça. J’adore ça. Je ne peux pas y échapper.
Je tends la main vers la boucle de sa ceinture. Le manuscrit glisse de mon ventre, oublié. Tout comme tout le reste si ce n’est cet instant précis, cet homme.
''Je viens juste de la trouver'', je lui réponds.