Commentaires de livres faits par Becky07
Extraits de livres par Becky07
Commentaires de livres appréciés par Becky07
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— Autant qu’il en faudra pour te faire tourner en bourrique, dit-elle, la voix chargée d’émotion.
— En ce cas, une petite fille rousse devrait suffire.
— Je t’aime. (Au-delà du lien de l’union et de l’attirance physique, elle aimait Riley, tout simplement.) Un peu plus chaque jour.
Et elle se moquait d’être niaise.
Riley esquissa l’un de ses lents sourires parfaits. Rien que pour elle. »
- J'ai rêvé que tu m'embrassais.
Ma voix était tellement basse que j'espérais qu'il ne m'avait pas entendue. Qu'est-ce qui me prenait de dire une chose pareille?
Hélas, ma remarque ne lui avait pas échappé.
- Vraiment? Et alors?
(...)
- Et alors? C'était bien, murmurai-je.
Il eut un rire amusé.
- Anaïa...
Sa voix vibrait d'affection et d'émerveillement.
Il m'attirait à lui à nouveau.
- oui. vu qu on se marie.
- on se...(elle se mordit la levre.) c est ta proposition? comme ca: on se marie.
_Je te suivrais jusqu'en enfer, murmura-t-il à mon oreille. Même enchaîné, je te suivrai.
S'il avait l'intention de sécher ses larmes en la choquant, ce fut réussi. Elle laissa échapper une espèce de hoquet de rire.
- C'est affreux, dit-elle. Je suis sérieuse, c'est affreux. Ce n'est pas drôle. Je ne suis pas en train de rire...
- C'était il y longtemps, soupira-t-il. Des milliers d'années. Je fus la Bête dont parlent les Elfes.
Elle ferma les yeux et inspira profondément.
- Qu'est-ce qui t'a fait arrêter ?
- J'ai discuté avec quelqu'un. C'est alors que j'ai décidé de ne plus manger quelque chose qui parle.
— Euh oui…, c’est ça.
— La vache, ce que tu as changé !
— Il paraît…
— Je m’appelle Jessica, je viens de Belgique.
— Moi, c’est Hannah, je suis française.
— Comme ma sœur !
J’avais perdu le fil.
— Française comme ta sœur ?
— Non ! Hannah, comme ma sœur !
Nous rîmes.
— C’est ton petit ami ? se renseigna-t-elle en levant le menton vers Darius.
— Non, mon meilleur ami.
— Il n’arrête pas de te regarder comme s’il avait peur que tu te sauves.
Je fus embarrassée.
— Il est très protecteur.
— Hum… je vois. Et lui, tu le connais ?
— Qui ça ?
— Le type, derrière toi, à l’opposé de ton meilleur ami. Lui, on dirait qu’il va te manger sur place. J’essayai de tourner la tête en catimini et scrutai le fond de salle. Leith me fixait avec insistance. Il était entouré de gens que je ne connaissais pas. Mon cœur fit une farandole endiablée.
Le sol se déroba sous les jambes de Cinder. Sa tête se vida d'un seul coup. Elle avait dû mal entendre.
Au bout d'un moment, Kai haussa les sourcils en un encouragement muet.
- J... je vous demande pardon ?
Il s'éclaircit la gorge et se redressa.
- Je suppose que vous avez prévu d'aller au bal ?
- Je... je ne sais pas. Enfin, non. Non, je regrette, je n'irai pas au bal.
Kai recula, décontenancé.
- Oh. Très bien... mais... peut-être pourriez-vous changer d'avis ? Parce que je suis quand même... enfin...
- Le prince.
- Je ne cherche pas à m'en vanter, s'empressa-t-il d'ajouter.
-C' est tout à fait inutile,assurai-je. Je ne retournerai pas vers eux. Je vous le jure!
Un petit rire amer lui échappa.
-Supplier n'est pas de très bon gout , ma belle. Il fallait y penser avant de trahir votre clause de confidentialité.Vous avez craqué sous la pression.A cette minute, vos promesses n'ont plus aucune valeur.Vous faire mienne permettra que cela ne se produisent plus.
Il ne parlait pas que d'une simple petite morsure d' amour. Il avait en tête une relation à part entière qui me lierait à lui jusqu'à la mort.
— Je ne supporte pas les vendeuses dans les magasins qui ne cessent de me donner des conseils et cherchent à avoir mon numéro.
Je dois avouer que cela ne m’étonnait guère. Quelle fille ne souhaiterait pas tenter sa chance avec cet Apollon ?
— Comment peux-tu être aussi arrogant et méprisant ? lui dis-je en secouant la tête.
En même temps, il était si préoccupé par sa personne que je me félicitais d’être un minimum réaliste.
— Comment peux-tu être aussi alléchante dans cette tenue aussi simple ? répliqua-t-il."
- Je n'ai pas besoin d'aide. Je me débrouille très bien toute seule, je rétorque sèchement en le fixant droit dans les yeux.
Son regard se fait plus intense, l'étendue mate de ses iris laissant apparaître un vide insondable totalement envoûtant - ou presque.
- Aïe, dur ! Dis-moi, tu sais torturer les hommes, toi, pas vrai ?
source site" dans notre petite bulle"
Aidan se détourna, les muscles de son cou tendus. Il soupira :
- Tu deviendras le centre du monde de quelqu'un un jour. Et il sera le plus chanceux connard de la terre.»
La porte de la salle de bains s'ouvrit à toute volée et Connor entra d'un air foanfaron, en bas de pyjama, une serviette sur l'épaule. Il cessa de siffloter au spectacle du dos de Ren et de moi pressée contre le mur.
- Grands Dieux§ Mes yeux§ s'exclama-t-il en se couvrant le visage. Mon innocence!
- La ferme, Connor! Lançai-je, à la fois soulagée et déçue.
Je passais sous les bras de Ren, franchis d'un bond l'espace qui me séparait des vestiaires et me jettai ) l'intérieur.
Ça s'est très mal termine.
- Tu préfères rester ici avec moi ?
- Plutôt manger de la poussière.
Le félin apprécia cette réponse. De même que l'homme. Il retint un sourire et lui emboîta le pas vers le studio à présent désert.
-Tu parles italien.
Elle semble dubitative.
-Si.
-Dis quelque chose.
-Sii la mia schiava d'amore, je susurre.
-Traduis.
-Jamais de la vie, je replique, amuse par son attitude reservee.
Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai le sentiment qu'elle ne serait pas d'accord pour devenir mon esclave sexuelle.
Oh la ! Bas sign.
Je n'aimais pas du tout ce petite ton arrogant de mâle suffisant.
"Oui,mais tu sais,il m'arrive aussi de penser a mon dentiste,ça ne veut rien dire" répliquai-je.
Jean-Claude: Exact. Nous ferions donc un couple très assorti.
_ Avis aux garçons du monde entier : ça, c'était un baiser.
- Eh bien, je mentirais si je disais que je suis surpris, déclara Roar en débarquant tranquillement sur la terrasse.
Perry étouffa un juron et s'écarta d'Aria.
- Joli corps-à-corps, Aria. Ce n'est pas moi qui te l'ai appris, mais tu t'es débrouillée comme un chef. Je crois que tu as gagné.
- C'est bon ? me demanda-t-il d'une voix si basse et si lente que je n'étais pas certaine qu'il parlait du dessert.
Je me concentrai sur le goût intense du chocolat pour ne pas trop penser à ce qu'il pouvait vouloir dire.
Quand j'ouvris de nouveau les paupières, il m'observait toujours, ses yeux comme deux émeraudes.
- Quoi ? répétai-je. (Il haussa un sourcil d'un air sardonique. Je secouai la tête.) Chocolat ou pas, on ne joue pas à ça.
Ethan grommela et avança d'un pas.
- Tu en as oublié un peu, dit-il en levant la main.
Il la posa sur ma joue et passa son pouce sur mes lèvres.
Et alors que nous étions là, à nous regarder, il le porta à sa bouche magnifique pour en sucer le chocolat.
J'entrouvris les lèvres.
- Tu triches, parvins-je à murmurer malgré ma peau en feu et mes lèvres comme gonflées à son contact.
- Je ne joue pas, Sentinelle.
- Comme quoi ?
- Comme si tu étais en train de me chasser. Je ne suis pas une antilope.»