Commentaires de livres faits par Lolosup
Extraits de livres par Lolosup
Commentaires de livres appréciés par Lolosup
Extraits de livres appréciés par Lolosup
- Ses poils sont SUPER soyeux, vous lui donnez quoi ?
- Les âmes des meurtriers et parfois des blancs d'œufs.
— C’est mon anniversaire, et j’ai besoin de toi pour les courses. On a un accord, tu te souviens ?
— Tu me fais du chantage ? je m’offusque en voyant clair dans son jeu.
— Voiture, il se contente de rétorquer.
Je me mords la langue et fais défiler mes options en moins d’une seconde. Rapide, puisque je n’en ai aucune.
— J’ai une condition ! je concède en trottinant derrière lui. Tu n’évoques pas notre… cohabitation temporaire. Sous aucun prétexte.
— Tu t’occuperas du bar.
— Connard
— Pardon ?
— J’ai rien dit.
- Raison de plus pour vous écraser au plus vite. Même si le reste du monde n’y voyait pas d’objection il serait très fâcheux pour nous autres que l’ordre actuel disparaisse ! Vous voudriez mener « une existence normale » ?Mais mes pauvres, vous n’avez rien compris ! Vous n’êtes que des pièces de bétail ! Vous n’avez droit à rien du tout ! Vous vous êtes bercés de douces illusions !
- Il reste à soulager la douleur, la souffrance, optimiser le confort, accompagner, soutenir... Et puis... Ajouter de la vie aux jours à défaut d'ajouter des jours à la vie...
Qu'il faudra le confronter, assise juste à côté de lui
Sachez
Qu'il faut être riche pour être violée
Que les avocats les experts les traitements les psychiatres les légistes la cour d'assise les cliniques les arrêts de travail
Vous coûteront des dizaines de milliers d'euros
- Si tu le dis.
Elle découvrit alors ses jambes salement écorchées, d'où s'échappaient des flots de sang vermeil.
Tedros sourit.
- Un... deux... trois...
Elle s'évanouit dans ses bras.
- Aucun doute, c'est une princesse.
Joins toi à nous... et partons ensemble pour ce monde... que tes camarades rêvaient de voir !
- Pars devant si tu veux, Hitman, je te rattraperai quand même.
Et je crois que, si on exclut son obsession pour le jardinage et pour les chênes miniatures, c’est à peu près tout ce que je peux dire à son sujet.
C’était une femme maigre, avec de longs cheveux mous. Je ne sais pas si elle existait avant de le rencontrer. J’imagine que oui. Elle devait ressembler à une forme de vie primitive, unicellulaire, vaguement translucide. Une amibe. Un ectoplasme, un endoplasme, un noyau et une vacuole digestive.
Et avec les années au contact de mon père, ce pas grand-chose s’était à peu près rempli de crainte.
- Je peux voir ta tête d'idiot ! Tu devrais te couvrir.