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Mademoiselle S., lettres d'amour 1928-1930



Description ajoutée par madness-story 2015-06-14T07:43:30+02:00

Résumé

«Il n’y a pas de phrases, si éloquentes soient-elles, qui puissent exprimer toute la passion, toute la fougue, toute la folie, que contiennent ces deux mots notre amour. Nous goûtons à de telles extases qu’on serait inhabile à les vouloir conter!»

Cette correspondance érotique des années 20, découverte par hasard par Jean-Yves Berthault, ancien ambassadeur, dévoile la folle passion d'une femme pour son jeune amant. Un trésor épistolaire écrit dans une langue recherchée, souvent crue et d’une grande modernité. L’audace des mots, la transgression, s’imposent en même temps que celles des gestes, et si Mademoiselle S. nous fait partager ses fantasmes les plus fous, elle nous révèle avant tout une magnifique et tragique histoire d’amour.

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Classement en biblio - 9 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par anonyme 2015-06-22T16:16:26+02:00

Moi, j’attends, le cœur battant d’un délicieux émoi, ta première étreinte. Tu vas me faire souffrir dis-tu. Tant pis, mais dis-moi que tu seras heureux dans mes bras, que j’entendrai ton cri de victoire, ton cri de mâle, quand tu m’auras dans tes bras, meurtrie, vaincue, à bout de forces !

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Commentaires récents

Pas apprécié

https://lamouchequilouche.wordpress.com/2015/06/22/mademoiselle-s-anonyme/

Je suis de nature curieuse, c’est en parti pourquoi je me suis retrouvée avec cet ouvrage dans les mains. Mes remerciements sont adressés à Gallimard et Versilio pour ce service-presse.

Mademoiselle S. a été « retrouvé » par Jean-Yves Berthault, au fin fond d’un grenier. Déjà, j’ai quelques difficultés à y trouver une vraisemblance probable. Ça me fait seulement penser aux Liaisons Dangereuses de Laclos, ce dernier avait plus ou moins prétexter la même chose pour se dédouaner de la censure. Son livre avait choqué. Sauf que dans le cas de Laclos, c’est bien écrit.

L’anonyme de Jean-Yves Bertault, Simone, a un écriture extrêmement vulgaire. Il n’y a rien d’érotique dans cette histoire, dans ses lettres, si ce n’est les mots employés. Sauf que ceux-ci le sont mal, donnant des phrases plates, vulgaires, cherchant seulement à créer polémique.

Si – en croyant à la vraisemblance des lettres et du texte – nous pouvons très bien imagine que c’est un pari gagner : cette relation basée sur un amour à sens unique et sur du sexe a bien du en choquer plus d’un !

Mais pour moi, ce roman épistolaire n’est pas classable dans l’érotique. Il ne fait naître aucun désir. Il m’a blasé, plutôt. Nous lisons de travers, tournant les pages, sautant parfois même des lettres entières ! Oh, nous ne perdons rien de cette pratique, gagnant juste du temps : toutes les lettres se ressemblent, bâties sur un seul et même schéma. Plaintes, sexe, plaintes, cœur.

Enfin. Je pense être hermétique à ce genre de récit, et ce n’est pas faute d’avoir essayé ! Aux puristes, j’espère que Mademoiselle S. plaira. Hormis le très beau travail éditorial (couverture rose et pages bleutées, très rétro), je ne conseille pas ce roman aux novices du genre. Il a été pour moi une perte de temps.

1/5

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Lu aussi

Avis d'Em'ma:

J'ai reçu ce livre dans le cadre de masse critique. Je remercie Babelio et les éditions Gallimard/Versilio de l'avoir envoyé.

Ce recueil réunit les lettres écrites par Mademoiselle S, ou plutôt Simone, entre 1928 et 1930 à Charles, son amant.

Dès le début, l'amour de Simone pour Charles s'impose.. Elle accepte tout pour lui plaire, ne vit que pour les moments qu'il veut bien lui consacrer. Leur vie sexuelle et leur amour semblent être les points centraux de sa vie, ce qui la fait avancer.

...

Lire la suite =>http://ladyh.canalblog.com/archives/2015/06/22/32256524.html

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Bronze

Présenté par Jean-Yves Berthault

Lorsque le Babelio et les éditions Gallimard m’ont proposé de lire ce livre, j’ai accepté. Je n’avais peut-être pas tout lu bien comme il faut, j’en étais en tout cas restée à « lettres d’amour » « véritable correspondance » et « soupçon d’érotisme » mais je l’ai peut-être rêvé celui-là !

Ce que je trouve bien avec ce recueil c’est que Jean-Yves Berthault a réellement retrouvé cette correspondance datant de la fin des années 1920. Des centaines de lettres racontaient la relation amoureuse et tumultueuse entre Simone et son amant, Charles. Au fil des lettres, on voit la manière dont la relation évolue, Simone prenant de plus en plus confiance en elle, allant au devant des désirs refoulés de son amant, dans l’unique but de lui offrir le plus de plaisir possible. Oui, parce qu’en réalité « soupçon d’érotisme » est rapidement vite devenu « pornographie », autant que vous le sachiez avant d’ouvrir ce livre. Simone raconte en détail leurs ébats et imagine leurs futurs ébats. Il n’y a donc que très peu d’informations sur leurs vies en dehors de leur couple (ce que j’ai trouvé dommage), donc pas réellement de trame narrative et beaucoup de lettres redondantes.

Quant aux scènes détaillées, elles sont TRES détaillées, donc si ce n’est pas votre truc, passez votre chemin.

En revanche, la présentation du livre en lui-même est très agréable, avec un beau papier dont on voit la trame. J’ai apprécié les notes explicatives sur la société de l’époque, ainsi que les ajouts en fin et en début pour resituer et analyser cette relation. Et je trouve tout de même extraordinaire d’avoir retrouvé une telle correspondance datant d’il y a bientôt 100 ans.

Avis aux amateurs, donc ; mais certainement pas à mettre entre toutes les mains !

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Bronze

Ce roman épistolaire que nous offre Jean-Yves Berthault, ancien ambassadeur du Bruneï, qui a découvert les lettres dans une cave. Les lettres commencent doucement dans un ton érotique et brutal. Son amant préfère la sodomiser et la battre. On peut se rapprocher du genre Dominant et Soumise dans certaines missives. Puis, au fur et à mesure, Simone expose d'une manière crue presque irréelle sa possession avec Charles.

Charles est un homme marié. Simone tente de satisfaire les besoins de Charles qu'il ne peut trouver avec sa femme. Simone révèle à chacune de ses lettres sa passion qui est à l'entière disposition de Charles. On découvre rapidement les penchants sexuels de Charles pour les hommes. Simone dévoile, sans cesse, ce qu'elle aime et a aimé.

Mais est-ce que tout ce qu'elle écrit est vrai ?

Jean-Yves Berthault avoue lui-même le doute qu'il a ressenti dans les dernières lettres de Simone pour son amant. Je pense que Simone pimentait ses lettres pour satisfaire Charles, pour ne pas qu'il l'oublie, ainsi que ses besoins.

Progressivement, j'ai été un peu lasse des lettres, des mots qu'emploient Simone et de la tournure de leur relation. Sachant que l'époque ne portait pas trop sur les mœurs légères, Simone ne traite que de sa romance mais aussi de ses doutes sur Charles. Elle a mis un malin plaisir à avouer ses disconvenances pour mieux avilir Charles dans sa tourmente sexuelle.

Malheureusement pour moi, j'ai trouvé les lettres trop répétitives. Le besoin de Simone grandit dangereusement qu'il m'a été difficile, parfois, de trouver une once d'amour ou de romantisme. Puis, je vous avoue que j'ai eu l'impression de lire une fiction qui n'a que seul attrait la fusion des corps pour le plaisir de l'un ou de l'autre ou même de mettre des pulsions pour blesser. Peut-être qu'un écrivain aurait pu utiliser les lettres pour une histoire. Je pense que j'aurai apprécié les lettres et cassé justement la monotonie des lettres tout en nous les dévoilant.

"Mademoiselle S." m'a permis de découvrir les mœurs de la période des années 1920 mais les lettres dans lesquelles Simone se déverse me laissent quelques peu pantoise. Les lettres se ressemblent vraiment trop malgré l'évolution du couple.

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Argent

Un vrai bijou d'érotisme que cette authentique correspondance d'une jeune femme des années 20 ! A travers les lettres de Simone à son amant, Charles, on plonge peu à peu dans le monde des deux amants et on s'enfonce avec Simone dans la passion totale. Passion, qu'à travers les angoisses de Simone, on devine vouée à s'éteindre. Et pourtant... elle s'en donne du mal Simone ! Pour plaire à son "petit dieu", elle ne recule devant aucun sacrifice, ni aucun tabou. De lui, elle accepte tout, elle donne tout... Entre les lignes enflammées et parfois délirantes de Simone on lit son renoncement à la pudeur, à la morale, on lit aussi sa peur d'être abandonnée et on devine, parfois, l'égoïsme de Charles...

Grâce aux petites annotations de l'éditeur, on en apprend également plus sur la société des années 20 et sur la sexualité de l'époque, ce qui fait de cet ouvrage un vrai témoignage de la vie d'une femme (très coquine) dans ces années.

Enfin, il faut souligner la qualité stylistique de Simone qui écrit crûment mais sans vulgarité, ainsi que son imagination très vivace !

Ce que j'aime : le style, la progression de l'histoire, les idées de Simone

Ce que j'aime moins : quel dommage que l'on ait pas une lettre de Charles !

En bref : Un incontournable pour qui aime la littérature érotique, Simone n'a rien à envier à EL James et autres : ses lettres érotiques ont une poésie et une inventivité auxquelles il est dur de résister

Ma note

8,5/10

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