La conclusion spectaculaire de cette série. J'aurais aimé un épilogue plus long sur l'avenir des personnages, voire éventuellement, la suite des aventures, même dans une autre série. Je suis un peu déçue par le couple final et les quelques incohérences de la série, il y avait vraiment matière à déployer certains détails : de l'aide de Sidheag, de Félix Mersey, des informations sur les autres professeurs notamment lady Linette, auraient été savoureuses. L'intrigue reste la même dans ces quatre romans pour adolescents, et même si elle est vraiment bien développée et construite, elle aurait pu tellement être étoffée grâce aux possibilités que l'univers propose.
Si le pensionnat me manquait un peu dans le tome trois, le long combat de plusieurs jours dans celui-ci m'a comblée et Sophronia s'est vraiment bien débrouillée dans cette dernière aventure que nous suivons avec elle. Elle semble avoir eu moins de chance et facilités, ce qui rend ses talents plus réalistes.

On s'attache assez vite au personnage de Waverley, avec son caractère insouciant et tous les malheurs qui lui arrivent alors. Mais ce livre vaut le détour pour comprendre les mœurs des communautés claniques écossaises au XVIIIème ainsi que la seconde crise jacobite. Enfin, ce qui m'a le plus plu était d'être plongée au milieu des paysages magiques Highlands, en compagnie des montagnards singuliers mais attachants.

J'ai plus apprécié cette pièce que ce que j'aurais imaginé. L'approche de Néron est intéressante, où son caractère est moins manichéen, dans une certaine mesure

Bien que reconnaissant le travail de Pierre Laborie, cet ouvrage était un peu trop complexe pour moi. J'ai pu retenir quelques idées mais la lecture entière m'a plus embrouillée.

Un roman épistolaire un peu long sur les bords, il faut s'y retrouver dans tous ces correspondants, mais on voit bien au final la critique autant des Orientaux, auxquels on trouve les mœurs étranges mais ce regard critique se pose ensuite sur les Occidentaux du XVIIIème siècle.

Il faut réussir à entrer dans le style de Socrate pour découvrir sous ce discours une philosophie et une logique des plus connues et intéressantes.

À lire vraiment dans le but d'une étude complémentaire des Faux-monnayeurs. Gide parle de lui-même et se confond avec son roman, les articles de journaux et lettres à la fin nous permettent de faire le lien entre la réalité et son œuvre.

Une très belle BD, sur un thème tout aussi original. Les couleurs et les formes sont superbes, sans parler de l'histoire, on pourrait se contenter de regarder les cases sans les lire.

Les Faux-monnayeurs était un roman révolutionnaire à sa sortie. Aujourd'hui encore, on se laisse happer par les différents personnages et intrigues croisées, tel un film ou une série. C'est ce qu'il y a de plus intéressant à mon avis dans ce roman.

Une magnifique fin pour une si longue histoire enfin (ou déjà ?) terminée. Dommage qu'il n'y est pas d'épilogue explicatif du futur des chats. L'attente de la traduction de cycle 6 va être longue.

Je l'ai eu à lire et à étudier pour les cours, il est trop étrange et absurde à mon goût.

Une très belle histoire, mais que je ne conseillerais pas aux plus jeunes, car elle en reste très dure et très triste !

Il est dur de se mettre à la lecture de cette pièce, mais une fois dedans, ça va. L'histoire est assez bien même si je n'ai pas très bien compris pourquoi les personnages pouvaient changer d'avis si facilement. Mais Lessing a un style difficile à lire en version originale.

L'héroïne de l'histoire, Pélisse, est jeune et pétillante, et avec le vieux et attachant Bragon, ils nous emmènent dans leur univers fantastique et nous amusent beaucoup. On ne demande que la suite !

L'univers de ce tome est très estival et joyeux, on a envie d'être à la place des personnages. De plus, on a quelques informations sur les mystères auxquelles on s'interrogeait dans le tome précédent, même si ce n'est pas tout à fait convaincant. Mais cela fait plaisir de retrouver Lou un peu "comme avant".

J'ai beaucoup attendu cette conclusion à tout l'histoire. Même si les histoires des extraterrestres n'est pas tellement celle à laquelle je m'attendais (bien que je cois qu'aucune des fins peut être celle que chacun aurait imaginée), elle est suffisamment convaincante, surtout pour l'explication de l'intrigante boule, que j'ai bien aimée.

Je l'ai lu en première. Rabelais a un certain style. La première partie sur son enfance et ses études à Paris est assez sympa mais j'ai trouvé lourd les guerres picrocholes.

L'avantage de Fullmetal Alchimist est que malgré une histoire sur un fond très sérieux, on a toujours une bonne dose d'humour. Mais la fin avec tous les homonculus est très intrigante.

J'étais vraiment heureuse de retrouver Edward et Alphonse, après avoir lu le tome précédent il y a longtemps. On découvre Greed, qui est vraiment très saisissant.

Quand j'ai rendu cette BD à mon amie après l'avoir lu, je lui ai demandé : "Mais pourquoi tu m'as fait lire ça ?!". La BD est super, on voit vite l'évolution du grand-père dans sa relation avec la petite. Sa famille et lui sont au final comme tout le monde, de nombreux détails et anecdotes nous le font remarquer et nous permettent de mieux nous identifier. Mais la fin est vraiment inattendue

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, alors qu'on pensait que tout finirait bien.

Pas trop mal, le début est un peu long et je n'aimais pas trop l'enquête (je ne suis pas trop romans policiers) mais l'effet a vite disparu. Bien que la présence de nombreux être du merveilleux soit très enrichissante, j'aurais aimé découvrir plus de machines et de technologies steampunk, voir même sortir plus des frontières de Paris, mais bon le livre ne s'appelle pas "Le Paris des Merveilles" pour rien.

Ce que j'ai aimé et retenu de cette BD, c'est de raconter une histoire simple, de famille, qui peut arriver à tout le monde, avec ses soucis et malheurs mais aussi la joie de vivre et l'humour.

La suite soulage un peu

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-Okko n'est pas mort (même si c'était dur a croire qu'il l'était) !-. On en apprend sur la véritable identité de Noburo, même ce dernier ne retire pas son masque, et je commence à avoir des doutes sur Okko…

Un nouveau cycle que je préfère puisque le décor est différent, moins sombre et situe l'histoire dans un seul lieu. Cela change du cycle précédent, quoique tout aussi bien.

Une BD intéressante sur la première féministe. Sa taille est un peu effrayante mais le format BD le soulage un peu, et les illustrations en noir et blanc sont du plus bel effet. L'histoire est très complète et en plus de cela, il y a des notes historiques et des fiches biographiques à la fin. Le seul bémol était que je confondais l'héroïne et sa mère au début du livre.

Bon, le début de ce roman est assez déprimant, et l'ambiance plane toujours un peu dans le livre mais pour du reste, Foenkinos s'en sort très bien ! Sa manière de retourner à la ligne donne un peu de poésie et il relate très bien la vie de Charlotte (même s'il est dur de croire qu'il n'a pas inventé toutes les pensées les plus intimes de Charlotte…).