Celle que je suis, Tome 1

Manase se sent mal dans sa peau depuis toujours, et il aime en secret son meilleur ami. Mais grâce à l’aide de Tigre il va réaliser qu’il n’est pas le seul à se sentir comme ça.

Malgré de bonnes intentions, je suppose, ce manga reste très cliché et stigmatisant de le communauté trans. On y voit un personnage qui trouve enfin son identité mais qui la cache et explique qu’en tant que personne trans elle n’a pas d’avenir, entre autres couacs.

Très beau manga sur son moi intérieur.

J'ai été agréablement surpris par cette histoire, le ton du récit est délicat et humain, bien qu'il y ait quelques lacunes à combler sur le sujet de la transidentité, c'est déjà un bon début pour une série en manga.

J'ai emprunté les deux tomes en bibliothèque. Ce n'est pas le meilleur manga sur le sujet, c'est vraiment très cliché sur la transidentité. Le livre comportent de grosses lacunes, si vous êtes en questionnement ou en début de transition ne lisez pas cette série car c'est assez désespérant et que ça ne reflète pas la réalité (quand bien même l'histoire tente d'être optimiste !). Et même pour les personnes non-concernées, n'allez pas croire que cette oeuvre puisse être représentative de quoi que se soit. Alors certes, l'intrigue se déroule dans les années 80 mais aujourd'hui il existe de meilleures solutions que de vivre son identité cachée et à l'abri des regards. Dans cette série, Manase semble résignée, malgré le fait qu'elle finisse par comprendre qui elle est. En revanche, la lecture est fluide et pas désagréable grâce aux personnages qui entourent l'histoire.

• La transidentité, un mot qui fait peur pour encore beaucoup de personnes, alors que c’est simplement et je cite le dictionnaire : « Fait d’avoir une identité de genre qui n’est pas en adéquation avec le sexe assigné à la naissance. »

Où est le mal ? Il n’y a pas de mal justement !! C’est l’état d’esprit de ceux qui pense à le faire, ce mal contre ceux qui se sentent mieux dans le genre qu’ils veulent.

Les années 80, en plein Japon, un pays avec une culture et des traditions qui n’avancent pas depuis des années, je dirais même depuis des siècles. Alors imaginez le fait d’être transgenre ! Hors de question !

J’ai appris à connaitre la transidentité à travers l’histoire de Yûji, jeune étudiant avec des secrets, dont il ne veut surtout pas que ça se sache ; le fait d’être amoureux de son meilleur ami et d’avoir le malaise de ne pas être celui qu’il veut être ; à savoir une femme. Il sait au fond de lui, qu’il ne peut pas se permettre de faire ça dans le quotidien, ça barderait pour son matricule. Il a trouvé le moyen pourtant , après la visite de sa sœur, celle-ci à laissée une robe qui va changée yûji ; il trouve enfin le moyen lorsqu’il est tout seul d’être enfin dans « son » enveloppe, la vraie ….

Un premier tome qui aborde avec finesse et douceur, dans une société ancrée dans ses traditions, le sujet de la transidentité. Un manga qui devrait être mis dans le programme scolaire (C’est croire au père noël !!) car il pourrait faire voir la vie autrement à la nouvelle génération car il ya encore du boulot ….

Hâte de savoir la suite !! Comme je l’ai dit , c’est doux et dur à la fois, ça fait réfléchir surtout !! Allez en route pour la suite !!

J'ai adoré le concept et surtout sa change et sa parle vraiment d'un sujet très peu abordé.

Un bon premier tome qui soulève des interrogations intéressante j'ai hâte de lire la suite...

Aujourd'hui, j'aimerais que vous fassiez avec moi la connaissance de Yûji Manase. C'est un étudiant taciturne qui cache quelques secrets que vous allez découvrir dans les pages mais dont vous vous doutez du plus gros : le malaise qu'il éprouve vis-à-vis de son corps d'homme.

Dans ce court manga édité chez Akata, vous l'aurez deviné, il y est principalement question de transidentité. C'est une robe laissée par hasard chez lui par sa sœur actrice qui va permettre à Manase de trouver éventuellement la solution à son mal-être. Mais comment faut-il assumer l'apparence féminine d'un corps programmé pour être masculin ? J'ai beaucoup aimé observer le personnage principal évoluer, jusqu'à des dernières pages où son identité d'homme est fragilisée et où les traits de la mangaka viennent s'équilibrer minutieusement entre féminité et masculinité avec un grand soin et une grande sensibilité. Malheureusement, j'ai trouvé qu'elle s'éparpillait beaucoup. On découvre l'histoire de tous les personnages qui gravitent autour du protagoniste, ce qui a pour effet de ne pas assez approfondir chacune d'entre elles. Et c'est dommage. Je les ai tout de même toutes lues avec curiosité, non sans être restée un peu sur ma faim.

J'accorde un 5/10 à Celle que je suis. Celle que je suis est un manga en deux tomes tout en sensibilité avec un coup de crayon qui l'est tout autant et qui transmet la fragilité tant masculine que féminine de son héros discret. C'est sans lourdeur qu'il aborde des thèmes d'actualité, jusqu'à un final où, malgré des sentiments non réciproques, les sourires gagnent la partie et réchauffent les cœurs.

J'ai adoré ce premier tome, les dessins sont magnifique l'histoire est bien mis en place et les personnages sont tous attachants à leurs façon.

C'est un très beau manga qui à réussi à parler de transidité sans trop en faire ou le tourné d'une mauvaise façon, je recommande ce manga.

Bon shôjo sur le thème transgenre, ce qui est assez original car on n'en voit peu voire pas du tout. J'ai bien aimé suivre l'évolution du personnage principal, ainsi que les 4 autres personnages secondaires. Les dessins sont fins et splendides, ce qui est un énorme plus. J'ai hâte de lire le tome suivant.