Commentaires de livres faits par Gaumarr
Extraits de livres par Gaumarr
Commentaires de livres appréciés par Gaumarr
Extraits de livres appréciés par Gaumarr
For me.
I ceased to breathe. Pepper must have mentioned that I’d joined them. Or maybe he just sensed me. I didn’t know. I only knew that he was looking for me. I knew it the second before his eyes jerked to a stop on me. »
« Tous les jours, j’essaie de compter toutes les merveilles que j’ai reçues en cadeau.
Ma femme.
Mes enfants.
Mes frères.
Ma vie.
En y songeant, c’est dur de se rappeler comment c’était de vivre au jour-le-jour. Les temps difficiles sont terminés, du moins pour l’instant. On n’est jamais sûr de voir demain. C’est une chose dont j’essaie de me souvenir. Personne ne peut être sûr de voir demain, donc nous devons savourer chaque minute. »
« Je suis en train d’avoir des pensées vraiment indécentes à ton sujet », avoué-
je. Je ferme les yeux et prends une grande inspiration. Quand je les rouvre, elle est en train de sourire.
« Quel genre de pensées indécentes ? »
« Le genre où tu es complètement nue. »
« Et toi qu’est-ce que tu portes ? »
J’arrête, ferme les yeux, et prends une autre grande inspiration. Puis j’ouvre les yeux et regarde droit dans les siens. « Toi.
– Que veux-tu que je te dise, chérie ?, je réponds, les yeux rivés aux siens et je sens ma détermination qui flanche, juste un peu. Que je reconnaisse que j’ai envie de toi ? Nous savons tous les deux ce qu’il en est. J’ai eu envie de toi à la seconde même où je t’ai vue pour la première fois, dans ce bar. Tu es entrée dans cette salle et soudain, tout est devenu évident. C’était toi, toi que je voulais. Tes lèvres. Ton corps. Et ces yeux magnifiques, tellement vifs…
Seule Tegan compte.
Sa réponse, pendant la pré-interview avait été : « Ni l’un ni l’autre », ce qui, me semblait-il, était la réponse la plus adéquate au vu de sa vie sentimentale. Il n’était pas pris, mais il n’était pas libre non plus.
Cependant, cette fois-ci, quand je lui posai la question, il me prit par surprise en répondant :
– Pris.
Je fus désarçonné un instant, mais me remis rapidement en mode journaliste.
– Vraiment ? C’est nouveau ?
– Oui.
– Mais nouveau à quel point ?
– Tellement nouveau qu’elle ne le sait pas encore.
– Pardon ?
– Je compte bien le lui dire juste après cette interview.
– Le lui dire ? Pas le lui demander ?
– Voilà. Nous jouons au chat et à la souris depuis quelque temps. Et j’ai évité de lui en parler parce que je ne suis pas le meilleur du monde pour les vraies relations.
– Et ça a changé, à présent ?
– Oui. Elle me rend fou. Mais je ne peux pas arrêter de penser à elle. Il est temps pour moi de rendre la chose officielle et de me retirer du marché. Et voir ce qui se passe. »
— Salut, Bluebird. Ou est-ce qu’il faut t’appeler « Songbird » maintenant ?
Son souffle tiède chatouille ma nuque, et une délicieuse onde de chaleur m’envahit.
— Salut, Gavin. Il y a une fille qui te cherche, apparemment.
— Ah oui ? Dommage pour elle. J’ai déjà trouvé la fille que je cherchais.
Je sens mon nez se froncer tandis que je fais volte-face, comme à chaque fois que quelque chose me laisse perplexe.
— On peut savoir à quoi je dois ce grand numéro de charme ?
— Quoi, on ne peut même plus être gentil, maintenant ? »
En cet instant, par exemple, elle ne dit rien. Mais sa main qui presse la mienne est plus éloquente que tous les discours. Et elle m’arrache le cœur. »
— Ouais. Elle a décidé qu’on pouvait être amis, expliquai-je sans la quitter des yeux.
Elle était en train de parler à Della, qui jeta un œil dans notre direction. Puis Bethy hocha la tête à son attention et Della eut l’air soulagé.
— J’ai essayé le coup de l’amitié avec Blaire, une fois. Il n’a pas fallu une semaine pour que je me retrouve à lui arracher ses fringues à l’arrière de mon Range Rover. Bon courage à toi, embraya Rush d’une voix amusée avant de s’éloigner. »
Il rit. « Sur ma vie ? »
J'acquiesce.
Il fronce les sourcils. « N'es-tu pas censée jurer sur ta propre vie ? »
« Ma vie ne signifie rien si tu n’en fais pas partie. »
— Si jamais ma mère te voit avec ça…, le réprimande-t-elle.
— Elle me verra pas, répond-il, un sourire en coin.
— Merci pour ce matin. Pas un mot, hein ?
— Nope.
— C’est… C’est tripant, faire de la moto, murmure-t-elle doucement en s’assoyant à côté de Félix. J’ai vraiment ressenti une impression de liberté…
Il se tourne et la regarde, surpris de son commentaire.
— Alors toi non plus, tu ne te sens pas libre…
Félix s’interrompt et tire sur sa cigarette en fronçant les sourcils.
— Ma moto, elle me permet d’oublier, reprend-il en regardant les arbres au fond de la cour.
— Que cherches-tu tant à oublier ?
— Toi, dit-il en souriant. T’es tellement belle… Je t’ai tout le temps dans la tête depuis que j’suis arrivé ici. »
Que j’ai du mal à y croire,
Quand on est séparés, tu me manques à tel point
Que j’ai du mal à y croire,
Mais un de ces jours, je t’épouserai
Et
Cette fois…
J’y croirai. »
Extrait de : Hoover, Colleen. « Indécent T2 - Incandescent. »
Extrait de : Hoover, Colleen. « Indécent T2 - Incandescent. »
« Moi : Tu es d’accord pour apparaître sur deux photos de mon projet ?
Lui : Tu vas te servir de celles que tu as prises de moi ?
Moi : Oui, parce qu’elles sont mortelles et ça paraîtra bizarre si je te découpe.
Lui : Oui, je vois où est le problème… Mon truc est effectivement très large. Il doit remplir tout le cadre.
Moi : Ah, c’était ça, ce grain de poussière ? Tout s’explique.
Lui : Un grain de poussière ? Tu veux dire une tempête de sable, bébé.
Moi : *yeux au ciel* Calme tes ardeurs, Monsieur Propre. »
Bennett caressa mes lèvres et la chaleur du contact embrasa mon ventre et mes cuisses.
— Oui ? fis-je dans un halètement.
— Je ne sais pas ce qui se passe ni ce qu’on est en train de faire, mais, si je ne t’embrasse pas tout de suite, je crois que je vais exploser.
Ses doigts s’enroulèrent autour de mon cou et m’attirèrent plus près de lui.
— Mince, Bennett, susurrai-je, hors d’haleine.
Je laissai ma tête retomber en arrière contre ses doigts.
Il murmura des mots doux contre mon cou et sous mon oreille. Puis il mordilla ma lèvre inférieure et j’eus du mal à reprendre mon souffle. Il passa ses pouces sur mes joues et plongea intensément dans mon regard. Puis ses lèvres effleurèrent les miennes, si tendrement que je ne pus retenir un frisson.
Cet homme était-il obligé de tout faire à pas mesurés ? J’étais en train d’agoniser d’une mort lente et érotique. »
Je tendis la main par-dessus la table et saisis la sienne.
— Quand il s’agit de pardon et d’amour, il n’est jamais trop tard.
Il se leva tout à coup, se pencha par-dessus la table et m’embrassa sur les lèvres. Il se rassit avec un sourire satisfait, puis croisa les bras sur sa poitrine.
— C’était pour quoi, ce baiser ? demandai-je, me sentant rougir non par gêne, mais par excitation sexuelle.
— Je me demandais seulement comment j’ai pu être si chanceux.
Je me mordis la lèvre inférieure et regardai l’homme devant moi, heureuse qu’Henry commence finalement à récupérer.
— Je me demandais la même chose. »
• Un jour peut-être qu’à moi aussi tu enverras un baiser ?
Cette phrase vint achever toute la retenue dont j’avais miraculeusement fit preuve toute cette soirée et lui répondis :
• Un jour peut-être me baiseras-tu tout court ?
Je n’éprouvai aucune honte, aucune inhibition puisque j’étais alcoolisée, cette question me sembla même normale puisqu’il me plaisait, directe mais normale. Il sourît en regardant le sol, il était évident qu’il n’était absolument pas choqué par ma réponse, ah les hommes !
Une fois dans mon lit je me blottis dans mes draps et m’endormis aussitôt, la nuit fut parsemée de doux rêves érotiques mettant en scène mon bel avocat fortuné de Beverly Hills. »
— Dix, a-t-il tenté.
Bien sûr, il recommençait à marchander.
— Huit.
— Tu es une mauvaise négociatrice, a-t-il dit en faisant claquer sa langue. J’aurais facilement cédé pour cinq. Bonne nuit, Em.
Em. J’ai esquissé un sourire. C’était lui, le mauvais négociateur. Avec ce « Em », il aurait pu décrocher plusieurs heures de mon temps.