- Ne me dites rien : Tony est un puma, un tigre ou..
- Un chihuahua.
J’écarquillais les yeux.
- Un... un chihuahua ? Un "chihuahua" est en train de traquer notre présumée tueuse ?
- Ouais.

... Un chihuahua ? Non mais franchement !

... Et après ? Qu'est ce qu'il comptait faire ? Lui pisser dessus et lui mordiller sauvagement les mollets ?

-Satanées bonnes femmes ! Peu importe la classe sociale, la race ou l'espèce, vous ferez toujours autant chier le monde...

« — Écoutez, monsieur Orcus…
— Orcus tout court.
— Euh, oui… Écoutez, monsieur Toukour, je suis dans une situation très délicate parce que je ne vais pas pouvoir vous délivrer tout ce que je sais. Vous demander de me faire confiance serait sans doute un peu exagéré, mais si vous pouviez éviter de poser trop de questions et vous contenter de m’aider, ce serait vraiment très aimable à vous.
Il en est resté stupéfait pendant plusieurs secondes avant de réagir. »

La tiédeur de Bran n’allait pas remettre en question l’autosatisfaction de Denton.
— Qu’est-ce que les gens faisaient avant Internet ? s’interrogea-t-il à voix haute.
— Ils allaient à la bibliothèque, parlaient à des gens, posaient des questions ? suggéra Bran.
Il était déjà à la porte et tapait un message sur l’écran de son téléphone.
— Ça devait être chiant.
— C’est sûr.

Mon père n'est autre que le roi Scar...( çà vous rappelle quelques chose? Oui...non...mais si voyons "le roi lion"! Scar est le tonton pas très sympa de Simba... Si çà ne remonte pas dans vos mémoires, moi je dis: " faut vous remettre aux Disney"... enfin, je dis çà je dis rien...

Le sexe avec lui est la chose la plus proche du sacré que j'ai jamais connu. Barrons est mon église. Chaque caresse, chaque baiser, un hallelujah.
Faites moi brûler en Enfer si vous avez un problème avec ça.
Il y sera avec moi.

_Vous êtes trop tendu, marmonna Ryodan. Bordel de merde, vous ne courez pas après un orgasme, vous savourez son arrivée.
_Parle de tes bon sang d'orgasmes avec ta bon sang de femme, pas avec la mienne, bon sang, maugréa Barrons. Tu ne sais rien de ses orgasmes et tu n'en sauras jamais rien.
Ryodan lui lança un regard meurtrier.
_C'était une métaphore.
_Je ne cours jamais après les orgasmes, déclarais-je. Avec Barrons, pas la peine.
_Trop de putain d'information, Mac, répliqua Ryodan.

— Vous savez, le vrai plaisir du single malt réside dans ses nuances. Comme pour beaucoup d’autres plaisirs, si vous vous précipitez, vous renoncez au meilleur. (Il sourit.) Personne ne vous a jamais dit ça ?
Elle fronça les sourcils, lui prit le verre des mains et le posa sur le comptoir devant elle.
— Je préfère agir à ma guise.
Zael gloussa.

- Vasic vient de me demander si j'ai le temps de me joindre à lui pour une session d'entraînement. (une requête d'ami plutôt que de Flèche.) Je l'ai invité à nous rejoindre à la place.
-Carrément ! dit Rémi. Je veux le voir escalader.
Après être d'abord repassé chez lui pour mettre des vêtements et des bottes adaptés à l'escalade, Vasic se téléporta au pied de la paroi rocheuse dix minutes plus tard.
Au lieu de lui parler par télépathie - ce qui aurait exclu Rémi de la conversation -, Aden lui annonça à voix haute le temps que Rémi et lui avaient mis à grimper.
-Essaie donc de battre ça !
Les yeux gris comme l'hiver de Vasic brillaient au soleil du soir qui tombait quand il les regarda et leva ostensiblement son bras unique. Aden haussa les épaules, tandis qu'à côté de lui Rémi lança :
- Tu n'as le droit d'utiliser que le strict minimum de télékinésie. Juste assez pour compenser ton bras manquant !
Vasic étrécit les yeux. Il s'écarta de la paroi rocheuse pour l'examiner soigneusement pendant un petit moment, puis il vint agripper sa première prise. Il suffit à Aden de quelques minutes pour constater que Vasic se servait d'une quantité bien moindre de télékinésie que ce que Rémi aurait autorisé.
- Il ne se sert que de ses muscles et de son intelligence.
Rémi siffla.
-Je te l'avais bien dit. Ce mec se déplace comme un félin

-Ha Lex, je suis choquer du peu de confiance que tu as envers un ami de longue date.
-Marrant ça,je ne me rappelle pas qu' on ait été copain toi et moi.
-Bah tu sais ce que c'est,je tuait des innocents,tu n'aimait pas ça ... on ne peut pas toujours être en osmose sur tous les plans.

Chaque être humain possède sa beauté, sa poésie... Oui bon, d’accord ! En ce qui concerne l’ivrogne vautré sur le trottoir d’en face, cela me semblait plus difficile à voir, mais quand même. En cherchant bien...

Traiter cet homme exaspérant de tête de mule constituait une insulte pour la mule.

Alexios jura et fit basculer son fauteuil en arrière pour éviter la boule de feu qui lui était destinée, renversant de ce fait le soda sur sa chemise. Le canapé s’enflamma comme une torche.
— Mon fauteuil tout neuf ! s’écria-t-il.
Daeron bondit derrière la table basse, évitant de justesse les couteaux qui allèrent se planter dans le mur. Tandis que Neyla s’abritait derrière le comptoir de la cuisine.
— L’état de ton fauteuil n’est pas ce qui me préoccupe le plus pour le moment, cria Daeron.
Alexios le regarda, éberlué.
— C’est toi qui le dis ! C’était un modèle sur mesure. Je l’ai payé une véritable fortune !
— Vu le prix que tu as dû payer ce truc, il aurait au moins pu être ignifugé !

- c'est vrai, tu seras toujours à mes cotés? Demanda t elle, les yeux brillants.
Leander contempla chaque centimètre de son visage.
- Toujours, susurra t il en déposant un baiser sur son nez.
- Pourquoi?
Il recula et la fixa en fronçant les sourcils.
- Parce que je te déteste.

force d’observer l’environnement autour de moi, je ne vis pas une plaque de verglas et une seconde plus tard j’avais les quatre fers en l’air.
— Aïïïe ! hurlai-je.
J’essayai de me lever, mais dès que je posai un pied au sol, je glissai de nouveau.
— Voulez-vous de l’aide ? proposa une voix charmante.
— Oui, volontiers, répondis-je en levant la tête.
Oh non ! C’est le type aux yeux jaunes.
— Hors de question d’accepter l’aide de l’homme qui m’a assommée et séquestrée ! déclarai-je fermement.
— Je crois que vous n’avez pas le choix, répondit-il en m’attrapant par le poignet.
Il me remit sur pieds sans difficulté et me toisa d’un regard noir. J’étais si près de lui que je m’accrochai à ses yeux. Je restai stupéfaite par leur couleur marron alors qu’à notre dernière rencontre, ils étaient jaunes. Leur teinte devait changer à la lumière. Il s’aperçut que je l’épiai, alors il détourna le regard vers les passants. Je profitai de cette diversion pour tirer mon poignet de sa main.
— Lâchez-moi tout de suite ! hurlai-je.

Tu es vraiment gelé, bougonna son compagnon en l’enlaçant cependant.
— C’était la galère, sur la route. J’ai fait les derniers kilomètres à pied. Je t’avoue que j’étais content de voir l’immeuble.
— Juste l’immeuble ? demanda Kyren.
— L’idée d’un lit chaud m’a plu aussi ...
Kyren le pinça légèrement, lui soutirant un petit cri de protestation.
— Ça t’apprendra à prétendre que n’importe quel lit chaud aurait convenu.

- j'ai un cancer du cerveau. Je ne peux plus supporter la douleur. ..
- Je sais,chérie.
-Tu savais ?
-J'ai trouvé ton flacon de médicaments. Mme Adams m'a raconter le reste.
- C'est pour ça que tu as coucher avec moi ? Parce que tu avais pitié de moi?
- Non ! Je t'ai fait l'amour parce que je te désire. Je te veux plus que n'importe quoi d'autre dans cette vie.

"Pourquoi ? Pourquoi tu m’as sauvé la vie ?
- Pourquoi n’aurais-je pas dû le faire ? lui répondis-je d’un ton que je voulais apaisant.
- J’étais pourtant prêt à mourir.
- Mais ce n’était pas ton heure, mon ami. Ils t’ont torturé, battu et certainement humilié. Tu méritais ta vengeance, et je t’ai donné cette possibilité. A toi de voir ce que tu souhaites en faire."

- Votre nom a du m'échapper sur la liste des invités, murmura le prince Moncrieff. Il me semble que seules les sangs bleus de noble naissance ont été invités à cette journée d'inauguration.
- Il suffit d'avoir la tète de l'emploi. En, plus, qu'est ce que la noblesse, si ce n'est ce sentiment d'impunité qui vous permet de faire tout se que vous voulez?

« Il m’embrasse avec dureté, comme pour me punir, avant de souffler contre mes lèvres :
— Est-ce que c’est le seul moyen de te faire taire ?
— Pas le seul mais un de ceux que je préfère.
— Je reconnais que ça n’est pas déplaisant. Faisons une trêve, petit loup.
— Une trêve ?
— Juste du sexe et de la luxure. Pas de mots blessants, pas de crocs aiguisés plantés dans nos gorges. Ni loup ni vampire cette nuit, juste deux hommes.
— Juste deux hommes, je murmure en signe d’assentiment, absurdement heureux tout d’un coup. »

- J'ai pour ordre de l’exécuter , fit Crosby. Il est mourant de toute manière.
- Dans se cas pourquoi essayer de le tuer?

"Dis-moi quelque chose que je ne sais pas."
Un moment passa avant qu'elle ne parle.
"J'ai toujours voulu un Mogwai.
_ Hein? "
[...] Elle a finalement sourit et un poids s'est envolé de ma poitrine.
"Tu as vu les Gremlins, non? Tu te rappelle de Gizmo?"
Lorsque je hochais la tête, elle se mis à rire. Un rire rauque, comme si elle n'avait pas rit depuis longtemps. Je suppose que ce n'était pas le cas.
"Maman m'a laissé regarder quand j'étais gamine. et j'étais obsédée par Gizmo. Je voulais ça plus que tout autre chose au monde. J'ai même promis à maman que je ne le nourrirais pas après minuit et que je ne le mouillerait pas."
[...]
_ Je ne sais pas.
_ Hein?"
Elle se rapprocha, mettant ses doigts contre le col de ma chemise. Je mis mon bras autour de sa taille, et je pris, ce qui me semblait être, une vraie respiration depuis des semaines.
"Si j'avais un Mogwai, tu peux être sûre qu'il serait nourrit après minuit. Ce Mohawk gremlin était badass."
Elle rit [...] "Pourquoi ça ne me surprend pas? Tu serais totalement en symbiose avec le Gremlin.
_ Que veux-tu? C'est ma personnalité qui est pétillante."

est ce qu'on lui avait déjà expliquer qu'on attrapait davantage de mouche avec du miel? Parce que, bon dieu, ce dont il venait d'arroser Gros Bras n'était même pas du vinaigre, mais carrément de l'acide de batterie.

- Tu es toujours aussi belle, murmura-t-il.
- Et toi... t'es chelou, répliqua-t-elle.
- Tu ne me reconnais pas ?
Il paraissait déçu.
Lilith haussa les épaules.
- Je regarde pas L'Homme le plus recherché d'Amérique.

Cela ne vous a jamais semblé incongru que ce soient des cloches qui apportent les œufs de Pâques ? lança Makenna à l’assemblée qui se tut. Les cloches ne pondent pas d’œufs après tout.

-Je ne sais vraiment pas ce que tu vas faire avec elle, mais en supposant que tu veux toujours la garder en vie, tu ne peux pas l'envoyé en mission. Elle est beaucoup trop haute en couleur.