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La Fin (Face B : La Bienveillance)



Description ajoutée par Bibounine 2023-11-14T10:33:40+01:00

Résumé

La Fin est l'histoire de William, un homme de 38 ans qui souffre.

Un professeur.

Alors il écrit.

La Fin est un premier roman dérangeant, vertigineux, un roman malade, un roman en deux faces qui, brouillant nos perceptions et nos certitudes, mise sur le ressenti du lecteur. Dans un style très assuré, le cocktail détonnant - et follement original - que l'auteur a préparé mélange le récit hilarant et dérangeant d'une sexualité crue, la novlangue d'un capitalisme managérial éco-socio-responsable, les références d'une adolescence nineties et d'une jeunesse qui résiste à se dissoudre ; l'itinéraire passera par la série Game Of Thrones, l'Islande, la Croatie, le groupe Oasis, Stanley Kubrick, David Bowie - entre autres - le tout hanté par une Éducation nationale aussi névrosée que les personnages qui peuplent cette quête d'un amour perdu ou (re) trouvé.

L'auteur aurait pu en rester à la fin de la face A.

Oui mais voilà.

Il fallait écrire, encore et toujours.

Sur la société, bien sûr.

Sur la musique, le cinéma, comme autant de miroirs, le sien, les siens.

Sur la série de son cœur, aussi.

À la femme de notre cœur et qui, peut-être, serait celle qui nous sauverait.

Sur la folie.

Jusqu'à la fin.

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Classement en biblio - 5 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Bibounine 2023-11-14T10:35:01+01:00

Je culpabiliserais si tu venais jusque dans ma province pour un dîner… il y a une expression ravissante en italien que j’adore : mi sentirei in colpa

Je me vois mal attendre plus de deux semaines avant de te voir, tu ne veux quand même pas gâcher mon voyage quand même ? (double smiley clin d’œil).

Bien sûr que non !… c’est probablement plus sympa de se voir à ton retour de

Guadeloupe, surtout que ton avion atterrira le jour de la Saint Florence !

Oui, mais Florence, d'ici là, tu vas tomber amoureuse d'un beau châlonnais, je le sais bien… (smiley grand sourire) et alors je sombrerai dans l'alcool, serai radié de l'Éducation Nationale, et essaierai en vain de te retrouver en faisant du stop sur le périphérique de Vitry-le-François… C'est ça que tu veux, hein ?

(smiley grand sourire)

(triple smiley gros rire)

Hum, j’ai comme un doute… (et pas que pour ta tentative de co-voiturage

écocitoyenne sur le periph’ de Vitry…)

(triple smiley pleurs)

Et en plus tu m'envoies des photos de Châlons by Night à l'atmosphère romantique pour me narguer… (smiley rire)

Cela, c’est pour aller dans ton sens : ça grouille de mâles sexy qui bourdonnent les plus belles chansons d’amour sous mon balcon…

Le Châlonnais est vigoureux, c'est bien connu, et c'est ce qui me terrifie…

Mince… Je suis prise en flagrant délit ! Pourquoi crois-tu que je suis venue m’installer vivre ici ?

Oui, mais tu sais, tu as loupé le meilleur spot… À Vitry-le-François, ils sont chauds bouillants les mâles… Ne traîne pas trop sur le périf après ton travail, s’il te plaît, tu n'y résisterais pas…

Puis, il revint à la charge : « tu sais, il arrive que je mette plus de 2 h 08

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Commentaires récents

Bronze

Ben, c’est définitif. J’ai bien envie d’écrabouiller William. Même malade, il arrive à me mettre le cerveau en ébullition, à le retourner. Telles étaient mes pensées quand j’ai refermé le livre. Cet homme souffre et nous le fait savoir d’une manière qui lui est propre. Ô misère! Ce-livre-pavé serait-il une forme de thérapie pour l’auteur? Une sorte d’exorcisme du côté négatif de la vie?

Nous continuons notre voyage dans les coulisses de l’Education Nationale. Nous poursuivons notre voyage dans ses amours toujours aussi perturbées. Cependant, j’ai trouvé le héros plus pondéré que dans le précédent tome. Même si William nous emporte dans un discours logorrhéique sur ses sentiments et son métier. La musique est au coeur de ce second tome comme dans le précédent. L’humour aussi. Un humour caustique. crispé et crispant. Mais, savoureux. Un humour qui décrit le côté obscur du héros.

La lecture n’a pas été facile, simple. Le héros m’a fait sortir de mes gonds plus d’une fois et je devais déposer le livre pour fulminer. Finalement, la Fin Face B – la bienveillance est à la hauteur du précédent voire pire. Attendez-vous à passer par toutes les émotions ainsi que par tous les désirs négatifs enfouis au fond de vous. Même pour les non-violents comme moi. C’est une lecture intrigante. Gênante. Dérangeante. L’humour en plus.

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Diamant

Un livre envoûtant dans l'esprit de la face A, un livre vibrant émouvant touchant, déchirant, humain.

Un livre plus complexe que la face A, plus adouci.

Un livre parfum qui dénote encore davantage une manière de penser originale, parfois singulière, dénotant une hypersensibilité de l'auteur, cet irrépressible espoir qu'est la Vie, un style inédit par la pensée très mouvante ressemblant parfois à une tornade, une écriture originale qui brouille nos perceptions habituelles de lecture.

Le héros pense toujours très fort et la pensée apparait toujours très vivante.

Le héros ose être ce qu'on est tous au fond de nous-mêmes et ça nous dérange pas mal ! Ça nous bouscule d'autant plus qu’on est tous des êtres aux 1 000 couleurs et aux multiples facettes... des personnages à la Dostoïevski !

On peut tous perdre pied face à nos paradoxes et notre complexité... On a tous un moment donné été confrontés à ces moments douloureux, à des traversées très pénibles et fortement agitées dans nos vies...

Cependant le plus noir est passé dans la face B et après la nuit, l'aube et le jour vont apparaître.

C'est bientôt la fin du tunnel et le héros va vivre désormais non dans cette obsession du passé mais après sa sortie du "réacteur" (moment de pure folie dans le livre !!! ) il découvre enfin toutes les nuances de gris dans la réconciliation avec lui-même et une forme de pardon !

Un livre plus complexe que le 1er.

Une ode à l'amour même s'il y a aussi quelques messages de détresse.

On est hypnotisé par la qualité de la plume à la fois belle et si déroutante car l'auteur garde son style et veille à bouleverser tous nos repères habituels de lecture ! C’est ce qui en fait aussi l'originalité car William entre littéralement dans notre tête qu'on le veuille ou non !

La fin serait peut-être une finalité, une essence de vie nouvelle, elle nous montre un être transformé qui renait avec un deuxième souffle en abandonnant sa première jeunesse, un homme qui se relève enfin, empli de cet irrépressible espoir qu'est notre vie !! Le Definitely Maybe de la face A est alors considérablement transformé.

La vie est mouvement et on se transforme continuellement toute la vie mais Marius l'écrit si bien...

Toujours beaucoup d'humour en tous les ressentis de l'auteur.

Le hasard ludique du café n'arrive pas par hasard ! Il rappelle à William l'ironie de la vie d’un hypersensible...

On découvre à la fin du livre pour notre plus grand plaisir un certain apaisement du personnage qui a abandonné sa première peau avec sa première jeunesse et se réconcilie avec son passé.

« La vie c'est plein de surprises »

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J'ai adoré, et malgré un long passage que je dois admettre ne pas avoir pleinement compris en raison du fait que je n'avais pas les références des personnalités françaises pour certains personnages (je suis québécoise).

Ce que j’aime dans les romans de Marius William est le fait qu’ils nous forcent à réfléchir sur nous, sur ce qui nous entoure. Se permettre de ne pas être seulement qu’une facette qu’on nous impose (ou devrai-je dire qu’on s’impose) de laisser paraitre en public. Un humain ne peut être entier que par son ensemble. Ne croyez-vous pas ? Enfin du vrai, malgré la fiction !

L’état d’esprit dans lequel je me trouvais pour la lecture de La Fin (face B : La Bienveillance) de Marius William était tout autre que celle de la Face A. Comme on dirait, le chemin était déjà préparé pour le personnage de William. Celui qui m’a fait le plus grincer des dents dans cette face, c’est celui de Coralie. Bien que je comprenne parfaitement sa situation et ses intentions (peut-être parce que je me suis vue dans ce personnage). Un acharnement (qualité première) qui a fait en sorte de la garder en vie, mais qui cause souvent un frein aux autres relations de tout type. Ne dit-on pas que nos plus belles qualités sont aussi nos plus grands défauts (ou/et vice versa) ? L’auteur souligne cette ambivalence ou dilemme devrais-je dire entre ce désir d’être comme les autres (normal physiquement et mentalement) tout en étant pleinement différent (par choix ou forcé).

Mon voyeurisme m’a poussé à cette envie de tourner sans cesse les pages afin de découvrir ce que la relation entre William et Océane deviendrait. La fin serait-elle heureuse ou au contraire causera-t-elle la perte de celui qui s’est fait tellement d’espoir ? J’ai même craint à un certain moment pour notre cher ami William. La plume de l’auteur nous fait douter de notre propre santé mentale. Ce qui crée chez le lecteur un certain inconfort. Par moment, j’ai cru halluciner et j’ai cru être vraiment dans l’erreur. Je me suis même surprise à retourner en arrière dans ma lecture. On se demande si c’est nous ou l’auteur qui en perd des bouts. Chapeau pour cet effet qui nous aide à comprendre comment le personnage se sent (du fait même, combien de milliers de gens sur cette planète) ! L’importance de faire les choses pour soi et non pour plaire aux autres prend tout son sens. Pour trouver le bonheur, il faut d’abord être capable d’être soi-même. De se trouver et de s’accepter ce qui est très difficile à notre époque. Tellement plus facile d’être qui nous ne sommes pas pour fuir la réalité qui nous étouffe parfois. À force d’épreuves, l’être humain devient parfois le monstre qu'il redoute le plus. On devient celui que l’on voit dans les autres. Comme un miroir. La communication à travers les réseaux sociaux et son interprétation peut parfois, très souvent, être biaisée par de multiple facteurs : environnement extérieur, état d’esprit, santé physique, santé mentale et j’en passe. On peut prendre une vie complète à ESSAYER de connaitre en profondeur une personne (même soi-même), mais il restera toujours un petit recoin non exploré. En fait, c’est le voyage d’une vie aussi courte puisse-t-elle nous sembler. Ce fameux temps dont William semble nostalgique. La jeunesse et la naïveté des premiers années où l’on croit tout possible. L’idée préconçue que l’on se fait du bonheur et de notre parcours qu’on nous force à prévoir d’avance. La peur de vieillir (peur de la fin) alors que le cœur semble (veut) rester jeune : le corps, lui, entame ses derniers milles. La fin d’un roman, la fin d’une relation, un changement de carrière, la fin d’une vie ; accepter la fin (lâcher prise) s’est aussi s’ouvrir à quelque chose de magnifique. On prend aussi conscience de l’importance du moment présent. La Fin (Face A : la malveillance) et La Fin (Face B : La Bienveillance) sont des romans qui risquent d’être lus et relus plusieurs fois pour ma part. Pour le moment cela est mon interprétation, mais je suis curieuse de voir d’ici quelques années si mon analyse sera la même. Des détails échappés dans l’écoute d’une chanson (playlist) ou d’une référence à un film, des entre-lignes restés incomprises… Je vous invite fortement à plonger dans cette merveilleuse aventure que nous offre l’auteur.

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Or

Il m’en a fallu du temps, pour le lire, ce livre… Ce n’est pas un roman « prémâché » que l’on peut absorber sans réfléchir, mais il faut, tout en gardant une part de lâcher prise (personnellement à moment donné, c’est l’impression que ça m’a fait : j’ai accepté de lâcher prise et de ne pas tout comprendre, pour avancer et faire confiance -mais le faut-il !- à l’auteur pour nous guider là où il a envie de nous emmener), être attentif et concentré pour relever les indices petits ou grands qui peuvent nous permettre d’accéder à une compréhension du livre (je dis une, car je pense qu’il y en a plusieurs… et je soupçonne l’auteur de penser qu’il y a autant de compréhensions possibles de son livre que de lecteurs !).

Avec la Face B, on replonge dans l’univers de la Face A, mais différemment. On y retrouve des thèmes, des événements parfois identiques mais écrits ou éclairés d’une nouvelle manière. C’est comme si les deux faces formaient un tout, complémentaire et polymorphe.

Ce n’est pas pour autant que l’on comprend tout, il faudrait, je pense plusieurs lectures pour tenter de s’approcher de ce que l’auteur a voulu faire passer, tant c’est riche et complexe, alambiqué et entremêlé, labyrinthique…

Dans ce second opus, William nous livre, entre autres pensées et souvenirs, ses correspondances néo-épistolaires… Je dirais même plusieurs versions de ses correspondances… Laquelle est la bonne, lesquelles ont été inventées, rejouées, transformées, sublimées ou peut-être juste rêvées ? Au lecteur de démêler le vrai du faux, de lire entre les lignes denses de ce roman hors du commun.

Marius William aime surprendre le lecteur, mais avec sincérité et vérité. Il nous livre un personnage que l’on découvre plus humain et touchant que dans la Face A. Perdu, délirant, anxieux ou au contraire ivre d’espoir, d’amour, de poésie, il se livre à nous sans faux-semblants, se met à nu, différemment que dans la Face A, au sens symbolique de l’expression, cette fois, même s’il y a quelques passages crus, même si la noirceur n’a pas totalement disparu.

Mais la Face B, c’est aussi de l’humour, de l’actualité revisitée, avec une vision d’anticipation de notre société, une satire sociale en quelque sorte.

Une suite à la fois dans la lignée et en rupture avec le premier opus. Tout aussi intéressante et déroutante. Avec une fin… que je ne vous spoilerai pas

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Le commentaire de Martine :

Une deuxième partie émouvante, inspirante qui est agrémentée de plusieurs références à Oasis, Game of Thrones, etc. Marius est en pleine recherche de lui, on sent qu’il se retrouve, se perd à nouveau, une belle quête vers l’amour, c’est un récit magnifique et très touchant. Une histoire qui dégage une honnêteté sans bornes. Un récit très humanisme d’une grande candeur, inédit et très intelligent qui permet de suivre le parcours d’un homme vers la découverte et la fin peut être de la souffrance qu’il porte en lui.

Ce qui me plaît dans les romans de Marius William, c’est le réaliste, la vérité, l’intériorité de ce récit qui nous renvoie à notre propre identité, et nos propres souffrances. On apprend que l’indulgence et la bonté envers soi-même, peuvent amener la bienveillance.

Je vous recommande de lire les romans de Marius William en commençant par la Face A, et pour moi, je souhaite qu’il aille nous écrire sur une nouvelle face, et cela, sans FIN.

http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/06/la-fin-face-b-la-bienveillance-marius-william-editions-librinova-par-martine-levesque.html

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La Fin (face B : La bienveillance) de Marius William.

C'est le deuxième volet de l'histoire de William, cette fois bienveillante...

Ce roman m'a paru encore plus humain que son précédent, beaucoup plus touchant.

On connait déjà William, on a une petite idée de qui est, comment il est, mais on découvre qu'en réalité on ne sait rien du tout.

Dans la face B, on apprend à le connaître, à le comprendre, à l'aimer (oui, oui !) tout en détestant une partie de lui. On arrive jusqu'à en avoir pitié de lui. Il souffre, on comprend pourquoi... C’est un homme qui cherche désespérément à être aimé, il est désespéré, désemparé, perdu.

Ce roman a joué avec mes sentiments d'une façon complètement différente que son prédécesseur dans lequel on sentait la rage, la rapidité de la vie, mais dans la Face B il va plus profondément, il va au cœur, on sent le désespoir, la tristesse de celui qui a envie d'être heureux.

Même si la Face B garde un peu le même principe que la face A dans ses expressions, la façon avec laquelle le roman est écrit (avec des phrases plus courtes) ; les deux sont complètement différents, même s’il y est toujours fait référence à des séries très connues, que l’on n'est pas épargné des réseaux sociaux, et l’on est à fond avec le répertoire de musique comme leitmotiv et métaphore.

J'avais peur, je le dis, de tomber sur exactement la même chose que dans la Face A et j'ai eu une belle surprise : pas du tout !

Il faut oser lire les deux faces, il faut oser arriver jusqu'au bout de la face B ! Je vous y encourage car c’est une si belle découverte !

Si je devais choisir l’une des deux faces, je reste définitivement avec la B, mais je sais que l'une est le complément de l'autre et le tout en fait une histoire extraordinaire, pleine d'humour, de sarcasme, d’émotion, sensible, folle.

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