Les Désarrois de Ned Allen

Je m attendais a beaucoup de suspensbbeaucoup de rebondissement que tout aille vite et sois palpitant ..... je n ai rien eu de tout cela la première partie est super longue et m as donné envie d abandonné 10 fois mais j ai tenus

Quelle plume ! Je n'en reviens toujours pas, la qualité des scénarios, les rebondissements, voilà pourquoi il est sans doute mon auteur favori ( dans la catégorie américain masculin ). Et cela m'étonne de voir à quel point cela peut être aussi sombre et toujours aussi fascinant, addictif. on suit la vie du pauvre Ned et on en redemande encore malgré toutes les épreuves minables qui lui arrive. Douglas Kennedy a l'art de nous faire aimer les anti-héros...

Première lecture de cet auteur très apprécié de ma mère, je voulais essayer depuis longtemps.

Je finis très contente de ma lecture, mais j'avoue avoir mis beaucoup, beaucoup de temps à entrer dans l'histoire, et à avoir trouvé le début trop long.

Mais finalement, j'ai su apprécier, au fur et à mesure, pour finir par adorer à la fin.

Ajoutons à cela un style d'écriture que je trouve très agréable à lire : je lirai donc d'autres romans de cet auteur, sans hésitation !

On embarque pour moult péripéties avec Ned dans sa vie tumultueuse. Un roman qui se lit presque en courant, je m'explique, il arrive tellement de choses à ce personnage qu'on a l'impression d'être en apnée tout au long de la lecture. Un livre plein d'humour et de suspense. Pas de répit, ni pour le lecteur, ni pour Ned, tout part en vrille alors que tout allait bien mais voilà, un mauvais geste au mauvais moment et la roue ne s'arrête plus de dégringoler. L'écriture de l'auteur est légère, on survole les mots, pris dans le récit. Un moment de lecture très plaisant, et je remercie Virginie pour ce cadeau. Deux livres de cet auteur qu'elle m'a offert totalement différent. La plume de D. Kennedy est très intéressante et je pense ne pas m'arrêter là.

Mon premier Douglas Kennedy. J'ai été surprise d'avoir vraiment aimé ce livre, puisqu'il aborde un univers très loin de ce que je peut aimer. Mais c'est d'un suspens unique, avec une fin assez inattendu à mon avis. je le conseille vraiment pour les amoureux de polars ou de thrillers.

Un roman qui ressemble un peu aux autres, mais la recette marche et ça reste très bon.

Au départ, le personnage de Ned Allen m'a totalement déplu : imbu de lui-même, cachotier avec sa femme, un bagout qui arriverait à vendre un aspirateur cassé à (presque) n'importe qui, une importance sociale (selon lui) qui ne se tient que par le nombre de zéro qu'il y a sur son compte en banque (ou, du moins, du nombre de zéro que les autres pensent qu'il y a dessus) et qui, donc, vit bien au-dessus de ses moyens... Bref un personnage comme je ne les aime pas !

Mais, au fil de l'histoire, on lui trouve quand même un côté humain, notamment avec les membres de son équipe quand à lieu le grand chamboulement. Là, on voit qu'il est prêt à faire beaucoup de choses pour les protéger, même s'il ne s'y prend peut-être pas toujours de la bonne façon. Du coup, il est remonté dans mon estime. Au fur et à mesure de sa dégringolade, il devient de plus en plus désespéré, de plus en plus prêt à faire n'importe quoi pour s'en sortir... ou presque, bref de plus en plus humain.

Quant à l'histoire en elle-même, une fois passé le début que j'ai trouvé un peu long (je ne suis réellement entrée dans le livre qu'à la page 93, lorsque ça a enfin commencé à bouger un peu) et son jargon professionnel (même si instructif et bien documenté), on a envie d'aller toujours plus loin dans l'histoire pour savoir quelle sera la prochaine chose qui arrivera à Ned et comment il surmontera ça. Parce que comparé la vie qu'il menait, il est tombé bien bas et en a conscience.

En résumé, ce n'est pas un coup de cœur, mais néanmoins une très belle découverte.

L’histoire d’un homme qui va de mal en pis. Un petit hasard et c’est la chute de tous les dominos : quoi qu’il fasse, la vie de Ned Allen dégringole. Au début, on est horrifié : "mon Dieu, le pauvre homme !". Mais au bout d’un moment, ça devient presque amusant de voir la situation se dégrader immanquablement, même s’il se débat comme un beau diable et tente de trouver des solutions.

Je ne me rappelle plus de la fin, mais c’est vraiment ça qui m’a marquée : l’enchaînement d’évènements plus graves les uns que les autres, ce qui était un peu lassant. Les mêmes ficelles que L’homme qui voulait vivre sa vie, mais en beaucoup plus répétitifs et grotesques.

Néanmoins, ce livre se lit facilement et son rythme rapide nous emporte dans son univers.

Une petite déception, donc, et pas mon préféré de Douglas Kennedy !

Il fallait avouer que le résumé était assez accrocheur, et malgré des débuts assez chaotiques du fait du jargon publicitaire employé, la minutie et les recherches de Douglas Kennedy sont assez appréciables.

Tout comme dans "L'homme qui voulait vivre sa vie", l'auteur a su montrer un véritable travail de recherche, employant un vocabulaire très précis et mettant en évidences des détails qui, si à première vue paraissent négligeables, ont un réel impact dans l'histoire. C'est ce que je retiendrai de cet auteur. Ah, et aussi le fait que l'homme en question, une fois rencontré, déborde de chaleur humaine et de gentillesse.

Pour ce qui est de l'histoire de Ned, elle est très bien construite, avec une structure qui ne laisse rien au hasard et qui, lentement mais sûrement, mène son personnage, sans qu'on le sente venir, à sa perte.

Et dans cette spirale un peu clichée dans l'énoncé mais originale dans le déroulement, on se demande bien comment le pauvre Ned va s'en sortir à part en se tirant une balle dans la tête. Ainsi, la fin elle, laisse un peu sceptique. Légèrement irréaliste, on se demande bien si on a affaire à un coup de génie, ou un coup de bluff savamment mené.

Quoi qu'il en soit, Douglas Kennedy continue, avec ce roman, à tracer sa route vers le sommet, dans la liste de mes auteurs préférés.

Ce bouquin était très bien. Je n'avais jamais lu de D.Kennedy et je dois dire que j'ai été agréablement surpris. Le début m'a semblé un peu long, l'auteur détail un peu trop le travail du personnage principal.