Le vent dans les voiles
Auteur
- Jacques Perret (Écrivain)
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Classement en biblio - 3 lecteurs
Commentaires récents
Le titre de ce roman m'a intriguée et m'a donné envie de le lire. Pour autant, je ne suis pas parvenue à le terminer. L'histoire ne m'accrochait pas, je n'aimais pas le personnage de Gaston et les descriptions vraiment très voire trop fouillées m'ont un peu perdue. Pour autant, j'ai vraiment envie de savoir comment s'achève l'histoire et j'essaierai peut-être de reprendre cette lecture plus tard.
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Bof, je m'attendais à mieux, mais je suis allé au bout quand même.. Parfois c'est amusant mais globalement c'est pas terrible...
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Gaston le Torch est retraité de l'infanterie coloniale, il se consacre à reconstituer à la bibliothèque nationale le passé héroïque de ses ancêtres qui ont tous été marins.
Au hasard de ses recherches il découvre qu'Eugène le Torch, en 1697, commandant la frégate "La Doulce" a fui devant les anglais.
Un soir, peut-être à cause du petit vin blanc qu'il affectionne, il se retrouve à bord de la frégate en présence de son aïeul.
Alors commence une formidable et étrange histoire maritime dans laquelle il ne manque même pas la dame d'une grande beauté qui sera le prix d'un combat épique.
Assurément un des meilleurs romans de Jacques Perret, qui déploie ici tout son énorme talent d'écrivain pour nous faire sentir l'air du grand large à bord de "la Doulce".
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Date de sortie
Le vent dans les voiles
- France : 2006-05-18 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Ayant combattu avec vaillance sur terre comme sur sable pour la gloire de la République, Gaston Le Torch, l'heure de-la retraite venue, a conscience de .ne pas avoir démérité de ses ancêtres, encore que cette conscience soit aussi vague que sa connaissance des susdits. Ce vague engendre une gêne d'où naît à son tour une fringale généalogique que comblent de longues recherches dans les archives. Hélas, il n'a pas le temps de se complaire au rôle de digne héri-tier d'une valeureuse lignée de marins qu'une gravure lui en donne le démenti : il y a un lâche dans la famille, Eugène Le Torch, commandant La Douce (32 canons) qui a viré de bord devant la frégate anglaise Elizabeth (2¢ canons). Que cela se soit passé le 18 octobre 169"/ ne fait rien à l'affaire. Gaston veut laver l'honneur familial. Dans le bar de son ami Grandmédard, ombreux comme un entrepont, il cherche au fond d'un verre de muscadet le moyen d'arranger les choses en foi de l'adage in aino veritas. Or il n'y a rien de mieux que le vin pour vous mettre du vent dans les voiles, après quoi vogue la frégate. On voit par quel enchaînement commence l'aventure de Gaston Le Torch. Sa suite et sa fin ne décevront personne.
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