Commentaires de livres faits par Livie-1
Extraits de livres par Livie-1
Commentaires de livres appréciés par Livie-1
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Le visage d’Alyssa s’illumine instantanément. Elle pose la main devant sa bouche avec émotion. Son visage se couvre de larmes et elle ne cherche même pas à cacher les sanglots de soulagement qui la secouent. Hardy se met à courir dans sa direction, n’ayant rien à foutre des pans de sa chemise d’hôpital qui s’écartent et qui laissent entrevoir son cul. Bordel je ne me remettrai jamais de cette image, c’est assuré.
Il arrive à sa hauteur et se jette à ses genoux, posant sa tête sur ses cuisses et embrassant chaque parcelle de son corps avec un laisser-aller dont je n’aurais j’aimais cru le voir faire preuve un jour.
— Tu as envie de me baiser ?
Je hoche la tête en guise de réponse, mon cerveau est déconnecté, elle ajoute :
— C’est dommage tu sais, parce que c’est moi qui vais le faire.
Sur ces paroles, elle contracte la cuisse qui me tient et relève l’autre, heureusement que nous sommes appuyés contre le mur sinon elle basculerait en arrière. Et là, elle me balance un énorme coup de genou dans les parties.
Game over...
— C'est quoi ce cirque ?
Son visage affiche un rictus entre dégoût et haine. Une moue que je savoure avant le coup final.
— Vous vouliez savoir ce qui s'est passé cet après-midi ? demandé-je éclairée par un sourire niais de jeune damoiselle naïve et à côté de la plaque. Hardy et moi sommes ensemble, annoncé-je en entendant Hardy s'étrangler au même instant que Cartweld. Je ne l'ai pas dit plus tôt, mais je ne voulais pas provoquer d'ennuis à mon Hardychou chérie, ajouté-je en me retenant de rire.
Je sais qu'il déteste toute forme de mièvrerie, et c'est précisément ce qui fait que j'y prends plaisir.
Alors que je boutonne ma chemise, je reçois un texto... de Robyn.
Improbable.
"Mon varan, tu ne vas pas le croire ! Je suis allée remercier mon Terminator italien trop canon et il venait de sortir de la douche. Un pur délice. Avec juste une serviette autour de la taille. Des abdos en béton et des pecs à la Chris Hemsworth. Et ses tatouages, putain ! J'ai tellement mouillé ma culotte que j'ai dû allumer mon sèche-cheveux en rentrant ;-)"
Je ris comme je n'ai pas ri depuis des années.
"Son Terminator italien trop canon ?" C'est un compliment original, au moins !
Je devrais faire comme si de rien n'était, mais c'est plus fort que moi. Je lui renvoie un SMS.
"Mademoiselle Lewis, je pense que vous vous êtes trompée de destinataire."
-Teag... pleure-t-elle dans mon cou. Arrête...
Je la serre plus fort contre moi, je ne veux pas la laisser. Je ne sais même pas quand elle est arrivée là, mais elle est sur moi: ses cuisses sont de chaque côté de mes hanches, je suis assis et ses bras sont repliés contre mon torse.
— Tu es… pour moi ?
Ne pensant plus qu’à Zaal et moi, au magnétisme qui opérait entre nous et à ce que nous venions de partager, je posai mon front contre le sien et répondis dans un murmure :
— Oui, Zaal. Je crois que je suis… pour toi
- Vraiment ?
- Non. Je me suis juste dit que la formule avait de la gueule.
-Tu dois perdre ton charme en vieillissant, Anita. C'est moi qu'il veut se faire, pas toi.
— As-tu des propositions à nous faire ? demanda Tao.
— Je ne sais pas moi… une activité constructive et agréable.
— Super, fit Taryn joyeusement. Je veux bien t’aider à faire tes valises. »
— Je ne suis pas en colère contre toi, même si je dois reconnaître que je t’ai imaginé plus d’une fois descendant à califourchon une rampe d’escalier recouverte de barbelés.
— À ce point-là ? s’enquit-il en faisant la grimace.
— Ouais, à ce point-là, répondit-elle sèchement en hochant lentement la tête. Mais ne sois pas trop dur envers toi-même. Je vais m’en charger avec plaisir.
Nick la croyait sur parole. Il avait entendu parler de son sale caractère.
— Je vais me racheter. Dès que je t’aurai ramenée en Californie…
— Je te l’ai déjà dit. Je ne réintégrerai pas la meute du Phénix.
— Je ne suis pas venu te chercher pour te ramener là-bas.
Shaya ne suivait vraiment plus du tout. Elle remarqua une lueur inquiétante dans le regard de Nick.
— Je ne comprends pas. Qu’est-ce que tu me veux ?
— C’est toi que je veux. Tout entière.
Il avait l’air si déterminé que Shaya en eut le souffle coupé. Non, il ne pouvait pas vouloir dire ce qu’elle pensait qu’il voulait dire.
— Qu’est-ce que tu entends par là ?
— Je suis venu te revendiquer.
Jamais il n’aurait imaginé que Shaya lui envoie une cuillère à café en plein front en guise de réponse. Elle lui avait fait mal en plus, merde.
— Me revendiquer ? Ah la belle blague. Je préférerais embrasser un requin à pleine bouche que de m’unir à toi ! »
« J’avais envie d’envoyer un message à une personne intelligente, sexy, et agréable… Mais je ne voulais pas m’écrire à moi-même. Alors, je t’adresse ce petit mot. »
-C'est mademoiselle Pétasse pour toi, rétorquai-je."
- Je peux vous offrir un verre, ma petite dame?
Je tâtonnai derrière moi, m'emparai de la main de Jason et la levai sous le nez du type.
- Je suis déjà prise. Désolé.
Ce n'était pas pour rien que j'avais demandé à Jason de m'accompagner dans un bar le vendredi soir.
Le type le toisa de toute sa hauteur en bombant légèrement le torse.
- Vous ne préfériez pas quelque chose d'un peu plus grand?
- Non. Plus ils sont petits, plus c'est facile de leur tailler des pipes, répondis-je très sérieusement.
Jason me glissa un regard en biais.
-Tu dois perdre ton charme en vieillissant, Anita. C'est moi qu'il veut se faire, pas toi.
— Elle fait l’exorciste bordel, mais c’est quoi cette merde ?