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Commentaires de livres faits par SoLiG

Extraits de livres par SoLiG

Commentaires de livres appréciés par SoLiG

Extraits de livres appréciés par SoLiG

- Vous en parlez comme si ça dépendait de ma volonté. Je ne suis qu’un spectateur. La pièce c’est vous et vos chefs qui l’avez montée.
- Je suis fatigué des enterrements, Daniel. Je ne veux pas avoir à assister au tien.
- Tant mieux, parce que vous n’êtes pas invité.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
La difficulté n’est pas de gagner de l’argent. La difficulté est de le gagner en faisant quelque chose qui en vaille la peine.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
date : 23-04-2014 par kats-at
« L'art n’est pas supposé être beau ; il est supposé vous faire ressentir quelque chose. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +77
date : 18-04-2014 par Poupette_14
Dieu sait si j'aimais mes parents, ces gens posés, tranquilles et discrets, mais comme j'aurais apprécié qu'ils me confient ce secret en plus de leur affection... Que le bonheur était dans les escaliers et qu'il ne fallait pas avoir peur. Peur de faire du bruit, peur d'être heureux, peur de déranger les voisins et de jurer toute la sainte tripaille de son cœur.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
date : 13-05-2014 par Rowenas-diadem
Mais Mathilde... mais c'est magnifique de souffrir quand on est en bonne santé. C'est un privilège! Il n'y a que les morts qui ne souffrent plus! Réjouis-toi, ma belle! Va, cours, vole, espère, plante-toi, saigne ou festoie, mais vis! Vis un peu!
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
date : 07-04-2014 par Laurie67
- Qu'est ce que tu fabriques ?
- J'observe le ciel.
- C'est une vision de l'esprit Lennie. Le ciel est partout, il commence à tes pieds.

[Oncle Big à Lennie]
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date : 01-07-2014 par Liesel19
-Waouh, qu'est ce qu'elle a aujourd'hui ? On dirait qu'elle vient de trucider quelqu'un juste pour le plaisir.
Park s'est retourné d'un coup. Eleanor. Elle lui souriait.
Elle avait un sourire de pub pour dentifrice, le genre où on voit pratiquement toutes les dents. Elle devrait sourire comme ça tout le temps, se dit Park ; son visage était passé de bizarre à beau. Il avait envie de la faire sourire comme ça tout le temps.
M. Stessman a fait semblant de se prendre le tableau en entrant.
- Juste ciel, Eleanor, arrêtez. Vous m'aveuglez. Est-ce la raison pour laquelle vous gardez votre sourire pour vous, parce ce qu'il est trop radieux pour nous, pauvres hommes ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +39
date : 08-03-2013 par Moeuwy
Y a des choses qui devraient rester comme elles sont. Faudrait pouvoir les planquer dans une de ces grandes vitrines et plus y toucher. Je sais que c'est impossible, mais bon, c'est bien dommage. Bref, je marchais je marchais et j'en finissais pas de penser à tout ça.
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Les cadeaux sont donnés pour le plaisir de celui qui les offre, pas pour les mérites de celui qui les reçoit.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
Il tourna son visage vers le mien.
- Promets-moi une chose, Hannah, souffla-t-il en caressant tendrement mes cheveux.
- Si je le peux.
- Promets-moi que plus jamais tu ne manqueras de confiance en moi, que désormais tu me parleras avant de ruminer dans ton coin, que quoi qu'il arrive, tu te souviendras que je suis celui qui t'aime, qui t'adore, te protégera à jamais.
- Ça fait trois choses, le taquinai-je.
- Promets-moi.
Contrite, je repensai aux doutes dont j'avais été empreinte, à la manière dont je pensais l'avoir haï lorsque j'avais cru qu'il m'avait menti. Aux choses horribles que je lui avais dites sur la confiance, à cette faculté qu'il avait eue de me pardonner bien que je l'eusse fait souffrir, bêtement, égoïstement. J'étais honteuse et sincèrement désolée, même si je ne l'exprimais pas. Alors quel meilleur témoignage de mon amour que de prononcer ces mots ?
- Je te le promets.
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date : 06-08-2013 par Izaa
- Bon, je ne vais pas faire partie de ces gens qui passent leur temps à raconter ce qu'ils ont l'intention de faire plus tard. Je vais le faire, c'est tout. Imaginer l'avenir est une forme de nostalgie.
- Hein ?
- On passe sa vie coincé dans le labyrinthe à essayer de trouver le moyen d'en sortir, en se régalant à l'avance à cette perspective. Et rêver l'avenir permet de continuer, sauf qu'on ne passe jamais à la réalisation. On se sert de l'avenir pour échapper au présent.
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date : 15-06-2014 par Oxygene13
"Tenir la main d'Eleanor, c'était comme tenir un papillon. Ou un battement de cœur. C'était tenir une chose pleine, et pleinement vivante."
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date : 29-06-2014 par Kiiwako
La foule me regarde fixement. Je m’entends bredouiller qu’il me faut retrouver Loulou. L’autre Loulou. Celle que j’ai laissée dans la pièce toute blanche.
Ils me dévisagent tous d’un drôle d’air, et Toshi sort son portable. Je l’entends parler ; elle demande que l’on envoie une ambulance. Il me faut une bonne minute pour comprendre qu’elle m’est destinée.
— Non, lui dis-je. J’ai déjà été à l’hôpital.
— J’aurais pas aimé te voir avant que tu y ailles, intervient la fausse Loulou. Tu as eu un accident ?
— Il s’est fait cogner par des skins, lui explique Pierre.
Mais c’est la fausse Loulou qui est dans le vrai. C’est par accident que je l’ai trouvée. C’est par accident que je l’ai perdue. Voilà au moins quelque chose dont on peut créditer l’univers : il sait maintenir la balance égale en toute occasion.
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date : 29-06-2014 par Kiiwako
Saba avait coutume de dire qu’il y avait une différence entre la bravoure et le courage. La bravoure consistait à faire quelque chose de dangereux sans réfléchir. Le courage, c’était affronter le danger en ayant une connaissance pleine et entière des risques encourus.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
date : 29-06-2014 par Kiiwako
Peu de temps avant que je l’embrasse pour la première fois, Loulou m’avait sorti une de ses phrases bizarres : « J’ai échappé au danger. » Elle y avait mis une certaine insistance, ses yeux luisaient d’une vive intensité, tout comme lorsqu’elle s’était interposée entre moi et les skinheads. Cela m’avait paru très étrange. Jusqu’au moment où je l’avais embrassée. Et c’est alors que je l’avais ressenti moi aussi, aussi brut et omniprésent que l’eau dans laquelle je baignais à cet instant. Le danger auquel elle avait échappé. J’ignore en quoi il consistait, tout ce que je sais c’est qu’en embrassant Loulou je m’étais senti soulagé, comme si j’étais enfin arrivé quelque part après un long périple.
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date : 29-06-2014 par Kiiwako
Elle m’avait ri au nez. Prétendant que la distinction entre tomber amoureux et être amoureux était fallacieuse. « Tu as surtout l’air d’un type qui aime bien baiser à droite à gauche. Mais au moins, aie la franchise d’être toi-même. »
Je souris en y repensant, même si Loulou, qui avait si souvent vu juste en moi jusqu’alors, s’était trompée sur ce point précis. Yael avait fait ses classes chez les paras au sein des Forces de défense d’Israël, et elle avait décrit une fois les sensations que l’on éprouvait en sautant d’un avion : fendant les airs comme une pierre, le vent de tous côtés, l’exaltation, la vitesse, l’estomac qui vous remonte dans la gorge, l’atterrissage brutal. Cela m’avait toujours semblé être l’exacte description des sensations que l’on éprouvait avec les filles – ce vent, cette exaltation, ce sentiment de tomber à une vitesse folle, ce violent désir, la chute libre. Et la fin brutale.
Et pourtant, chose étrange, ce jour-là, avec Loulou, je n’avais à aucun moment eu le sentiment de chuter. Mais plutôt d’arriver quelque part.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
date : 29-06-2014 par Kiiwako
Je sens ma gorge se serrer et je suis incapable de dire un mot. Mais cela n’est pas nécessaire. Parce que Yael se met à parler. Elle lâche les vannes, s’excusant de m’avoir tenu à distance, me racontant ce que Bram disait toujours, que ce n’était pas moi, mais elle, Saba, son enfance. Toutes ces choses que je savais, mais que je n’avais jamais comprises jusqu’alors.
— Tout va bien, maman, dis-je pour l’arrêter.
— Non, pas vraiment.
Et pourtant si. Parce que je comprends qu’on essaie tous les moyens qui existent lorsqu’on tente de s’évader, mais aussi que, parfois, on ne s’évade d’une prison que pour constater que l’on s’en est construit une autre, différente.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 10-06-2014 par Diable
"C'est comme si le monde s'était arrêté. Tu étais encore là un instant plus tôt, presque dans la pièce, avec nous. Mais tu n'étais déjà plus sur cette terre..."

p.20
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"Ces lettres, j'ai conscience de les avoir écrites à des êtres sans adresse ici-bas. Je sais bien que vous êtes morts. Mais je vous entends. Tous, je vous entends « Nous avons eu une vie. Une vie qui a compté.»"
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_ On se sent plus seul quand on vit avec la mauvaise personne que quand on est vraiment seul. Ou bien autant, d'une façon différente, crois-moi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
date : 16-03-2013 par eeloise

Je porte au poignet une montre en or toute fine. Ce n'est pas la mienne. Et l'espace d'un instant, je la vois au poignet d'une jeune fille. Mon regard remonte le long d'un bras mince, d'une épaule musclée, d'un cou de cygne. Lorsqu'il atteint le visage,je m'attends à ce qu'il soit vide, comme le visage de mes rêves. Mais ce n'est pas le cas.
Cheveux noirs. Peau claire. Yeu pétillants.
Je comtemple de nouveau la montre. Le verre est fêlé, mais le mécanisme fonctionne. Elle indique neuf heure et de nouveau, je commence à me douter de ce que j'ai oublié.
Je tente de m'assoir. Mais ma vue se brouille.
Le médecin pose une main sur mon épaule et me force à me rallonger sur le lit.
- Vous ètes agité car vos idées sont confuses. C'est temporaire, mais on va vous faire passer un scanner pour vérifier qu'il n'y a pas d'hématome. En attendant, on va s'occuper de vos coupures au visage. Je vais vous donner quelque chose pour insensibiliser la zone.
L'infirmière nettoie ma joue avec un liquide orangé.
- Ne vous inquiètez pas, ça ne va pas tacher. Ca ne tache pas, en effet, ça pique.

PDV : Willem.
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date : 27-04-2014 par Erinael
Drôle de chose que les souvenirs (...). Certaines personnes s'en nourrissent comme si leur existence était retenue par un fil qui les tient éloignées de la mort ; d'autres les effacent pour éclaircir le temps qu'il leur reste.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
date : 28-04-2014 par Erinael
On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il vous manque même quand il est dans la pièce à côté, parce que ses silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos défauts autant que vos qualités, parce que lorsque le soir en s'endormant on a peur de la mort, la seule chose qui vous apaise est d'imaginer on regard, la chaleur de ses mains. Voilà pourquoi on construit sa vie avec quelqu'un, et si ce quelqu'un est gentil, alors tant mieux, c'est un plus, mais seulement un plus !
Avez vous apprécié cet extrait ? +14
date : 18-04-2014 par Poupette_14
Elle a de la chance, elle appartient à cette catégorie d'êtres humains qui trouvent des causes et des solutions à tout : les acariens, le droit de vote des immigrés, la fermeture de la droguerie de la rue Daguerre, les verrues de son père et ma mélancolie. D'une certaine façon, je l'envie. J'aimerais être ainsi tenu.
J'aimerais que tout soit aussi simple dans ma tête, aussi facile, aussi... matérialisable.
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date : 25-03-2014 par anonyme
Les gens qu’on aime, on ne les rencontre pas, voyons, on les reconnaît.
Avez vous apprécié cet extrait ? +14
date : 25-03-2014 par anonyme
Et Facebook, c’est pas du fantasme ?
Et Meetic ?
Et Adopte ?
Et Attractive ?
Et tous ces sites de rencontres à la con ?
Tous ces chaudrons misérables où l’on vous fait bien touiller votre solitude entre deux visuels de pub, tous ces « J’aime » cliqués droit, tous ces réseaux d’amis imaginaires, de communautés surveillées, de fraternités démunies, grégaires et payantes reliées à des serveurs richissimes, c’est quoi ?
Et cette fébrilité, là…
Cet état de manque permanent, ce trou au côté, ces téléphones que vous rongez sans cesse, ces écrans qu’il vous faut toujours déverrouiller, ces vies que vous achetez pour pouvoir continuer à jouer, cette blessure, cette bonde, ces serrements dans votre poche ?
Cette façon que vous avez, tous, toujours, de tout le temps vérifier si on ne vous a pas laissé un mot, un message, un signe, une relance, une notification, une pub, un… un n’importe quoi.

Et ce « on » qui peut être n’importe qui ou n’importe quoi aussi du moment que ça s’adresse à vous, que ça vous rassure, que ça vous rappelle que vous êtes vivant, que vous existez, que vous comptez et qu’à défaut de vous connaître autrement, on peut peut-être essayer de vous refourguer une dernière petite saloperie au passage.
Tous ces abîmes, tous ces vertiges, toutes ces lignes de code que vous caressez dans le métro et qui vous jettent comme une vieille merde sitôt que « ça » ne vous capte plus.
Toutes ces distractions qui vous distraient de vous-mêmes, qui vous ont fait perdre l’habitude de penser à vous, de rêver à vous, de papoter avec la base, d’apprendre à vous connaître ou à vous reconnaître, de regarder les autres, de sourire aux inconnus, de mater, de flirter, d’emballer, de baiser même !mais qui vous donnent l’illusion d’en être et d’embrasser le monde entier…
Tous ces sentiments codés, toutes ces amitiés qui ne tiennent qu’à un fil, qu’il faut recharger tous les soirs et dont il ne resterait rien si les plombs sautaient, c’est pas du fantasme, ça, peut-être ?
Et je sais de quoi je parle.
Je saigne aussi.
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