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En septembre 1878, R. L. Stevenson accompagné d'un âne - mais à pied - traversait en douze jours les Cévennes, de Monastier à Saint-Jean-du-Gard. Dormant sous les étoiles qui avaient éclairé la révolte des camisards, attiré par la voix lointaine d'une flûte, emporté par les ombres qui valsaient en mesure à l'appel du vent, se lavant dans l'eau courante des rivières, amical envers les moines trappistes comme envers les dissidents protestants, il découvrit la magie des rencontres, la complicité des paysages, l'ivresse de la liberté. Trouvant dans une approche sensuelle et poétique de la nature toutes les raisons de croire en l'amour qui allait changer son existence, il ramena, de cette marche sur les chemins des bergers, le livre le plus cordial et le plus confiant en la vie
Quant à moi, je voyage non pour aller quelque part, mais pour marcher. Je voyage pour le plaisir de voyager. L’important est de bouger, d’éprouver de plus près les nécessités et les embarras de la vie, de quitter le nid douillet de la civilisation, de sentir sous mes pieds le granit terrestre et les silex épars avec leurs coupants. Hélas ! Tandis que nous avançons dans l’existence et sommes plus préoccupés de nos petits égoïsmes, même un jour de congé est une chose qui requiert de la peine.
Le récit des pérégrinations champêtres et bucoliques de l'auteur est un véritable régal à lire, non seulement sur le plan littéraire mais également pour le ton (humoristique, historique, philosophique, réaliste, universel). Et comment ne pas succomber aux charmes de Modestine ?!
J'avoue n'avoir lu aucun livre de Stevenson - pourtant mondialement connu pour "l'île au trésor" et "docteur Jekyll et Mister Hyde" - ces deux ouvrages ne m'intéressant guère.
C'est tout le contraire avec cet ouvrage ! Dès le départ, l'idée de voyager au fil des pages dans le décor montagneux et sauvage des Cévennes m'a charmé. Et je n'ai pas été déçu !
L'auteur décrit avec charme ce périple bucolique, où les petits villages paisibles côtoient les cimes flagellées par les vents et les monastères enneigés.
J'ai pris beaucoup de plaisir à voir notre héros poursuivre sa randonnée, accompagné de son encombrante Modestie, à le voir rencontrer des personnages hauts en couleur.
Étant une amoureuse de la Lozère et ayant séjourné pas mal de fois là-bas en vacances, J’étais curieuse de lire ce livre que j’ai beaucoup entendu parler.
Le texte est dans un langage soutenu mais reste très fluide, riche en tournures de phrases et métaphores mais reste toujours très accessible. J’ai bien aimé ce livre court mais ne m’a pas transcendé plus que ça. Il se lit bien et vite mais il ne se passe pas grand-chose qui a vraiment attiré mon attention. L’amitié avec l’ânesse nommée Modestine n’est pas très flagrante et reste plutôt froid, entre certains sévisses qui m’ont fait hérisser les poils et heureusement les remords de l’auteur par la suite.
J’ai surtout aimé les nombreux lieux qu’il découvre et détail, que j’ai déjà visités pour la plupart, notamment Notre-Dame-des-neiges d’où j’ai acheté ce livre, pour l’anecdote. Ses rappels à l’histoire, Stevenson étant protestant, il raconte, lors de ses passages dans les terres, les événements qui ont eu lieux dans les années 1700 entre Catholiques et Protestants qui se transformera en guerre de religion. Ses rencontres plus ou moins marquantes avec les villageois et la référence toujours encrée avec la bête du Gévaudan.
Je pense que ce livre plaira avant tout aux amoureux de randonnée qui souhaiteraient marcher dans les traces de Stevenson.
J’ai choisi ce livre dans ma PAL parce que le titre et la couverture m’intriguais beaucoup. La passionnée d’animaux que je suis n’a pas résisté longtemps à l’appel de ce roman.
Malheureusement ce livre m’a beaucoup déçu, c’était très très lent et il ne ce passais pas grand chose d’interessant. Ce qui m’a le plus déranger c’est le traitement qu’il fait à son Ânesse qui est pour moi inconcevable.
Je n’ai pas grand chose à dire de plus car aucun passage n’a retenue mon attention, j’ai failli l’abandonner plus d’une fois mais j’avais l’espoir que sa relation entre lui et son animal s’amélioré au fil du voyage (l’espoir fait vivre..) et pour finir je ne me suis pas du tout attaché au personnage mais bon logique quand je ne cautionne pas ses actions…
Et puis ce retournement de mentalité à la fin alors qu’il a fait un truc encore pire à son ânesse juste avant ne m’a pas du tout convaincue
Le récit de voyage que nous offre l’auteur est fait de rencontres, bonnes ou mauvaises, de paysages, sans avoir la main lourde sur les descriptions et enfin d’aventure, dans une époque ou bandits et loups faisaient partie des risques. Ce petit livre raconte comment Stevenson est parti du Puy pour terminer sa route dans les Cévennes avec son baudet Modestine. Route qui est aujourd’hui une GR et porte même son nom !
L’auteur avance à bon rythme, son livre aussi, si le début est un peu lent, comme son âne, au fur et à mesure de son aguerrissement il prend confiance et avance plus vite. Après cette longue route j’en ressors satisfait, j’ai aimé suivre les aventures de Stevenson et Modestine à travers des paysages fabuleux, suivre aussi bien ses galères que ses rencontres. Les chapitres courts donnent une bonne allure au texte, j’ai aimé mais ce n’est pas un coup de cœur.
Pour terminer, un conseil, mon édition Amazon manque de mise en page et n’apporte rien de plus que le texte de base, évitez donc l’édition collector sur ce site.
Ce livre était dans ma PAL depuis plus de 10 ans, il m’attirait mais je ne le saisissais pas. Puis, la période de confinement à été propice à la réduction de l’ensemble des livres en attente dans ma bibliothèque. En fait, c’est une très bonne surprise, ce récit de voyage m’a véritablement embarqué dans cette région des Cévennes chargée de drames historiques et de légendes. Stevenson a l’art de raconter des histoires et de réjouir ses lecteurs.
En cette fin du XIXème siècle, Robert Louis Stevenson entreprend de traverser les Cévennes accompagné d’un bourriquet, en ce sens il devient la curiosité de tous les autochtones, pour lesquelles le voyage doit avoir un autre sens que celui du seul plaisir. Il traverse ce pays au caractère bien marqué par les souvenirs encore vivaces des guerres de religion. Son parcours est semé de rencontres plus ou moins délicieuses, des nuits à la belle étoile dont il vante les vertus et de la magie des paysages.
Avec Stevenson, c’est aussi David Henry Thoreau que nous suivons, l’approche n’est pas la même à l’évidence, mais elle rappelle les points de convergence qui sont la redécouverte de plaisirs simples loin de la civilisation et les rencontres entre personnes que le milieu social n’aurait pas permis de croiser. Stevenson accompagne son récit de faits historiques, sociaux, culturels et cultuels qui font de son voyage une étude ethnologique des Cévennes. Un beau livre à découvrir à l’ombre d’un arbre.
Un récit amusant et pédagogique traduit avec les particularités de son siècle. Quiconque aime la randonnée et souhaite mieux comprendre les raisons qui firent couler le sang entre les chrétiens et les protestants, appréciera ce cheminement littéraire en terres cévenoles !
J'ai bien aimé le récit de ce périple que Stevenson effectue avec son âne Modestine, à travers les Cévennes, dans la seconde partie du XIXème. On a qu'une envie: suivre leurs traces, en empruntant le même chemin, 150 ans plus tard....
Résumé
En septembre 1878, R. L. Stevenson accompagné d'un âne - mais à pied - traversait en douze jours les Cévennes, de Monastier à Saint-Jean-du-Gard. Dormant sous les étoiles qui avaient éclairé la révolte des camisards, attiré par la voix lointaine d'une flûte, emporté par les ombres qui valsaient en mesure à l'appel du vent, se lavant dans l'eau courante des rivières, amical envers les moines trappistes comme envers les dissidents protestants, il découvrit la magie des rencontres, la complicité des paysages, l'ivresse de la liberté. Trouvant dans une approche sensuelle et poétique de la nature toutes les raisons de croire en l'amour qui allait changer son existence, il ramena, de cette marche sur les chemins des bergers, le livre le plus cordial et le plus confiant en la vie
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