Commentaires de livres faits par adele
Extraits de livres par adele
Commentaires de livres appréciés par adele
Extraits de livres appréciés par adele
-Eh ben fais du yoga ! lui conseillai-je en sentant définitivement le rouge me monter aux joues, malgré mes efforts. Je suis ton garde du corps, pas un animal de compagnie avec lequel un psychopathe dans ton genre peut se divertir à sa guise.
source site "dans notre petite bulle"
- Tu compliques parfois tellement les choses, souffla-t-il.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
- Il n'y a pas de honte, avait-il sourit à son tour, m'effleurant l'oreille gauche de ses lèvres. Ah, plus de cachotteries: mon kartan-compagnon est celui de ma mère.
Je souris touchée par sa confiance. Un peu tardive, certes, mais enfin...
- Tu as raison, ressassai-je, j'aurais dû le lui demander, j'étais sous le choc, j'ai zappé.
- Ce qu'il ne faudra surtout pas que l'on zappe dorénavant, c'est de nous débarrasser de ces précieux kartans quand... quand je me mets à t'embrasser ici, avait-il en s'exécutant, et là, et puis là, là, et là.
source site "dans notre petite bulle"
Je me remémorais les détails de notre arrivée cataclysmique chez les Gardiens, ces Faucheurs à nos trousses, la course folle jusqu'à la porte vitrée. Ah ça, pour une entrée, c'était une entrée! Traquée façon lapin en peluche au seuil du clan du coin, j'avais dû me faire remarquer. Moi qui voulais faire profil bas! En prime, j'attrapai une flèche empoisonnée comme d'autres attrapent une gastro...
- Fréa, tu me réponds?
Mon corps gourd s'électrisa. Ma mère! Elle était là, tout près, juste dans mon dos, et je n'étais pas foutue de me retourner pour la voir! La voix éraillée et chaleureuse c'était elle. Je voulus me retourner, l'admirer, piquée par une curiosité insupportable. A quoi ressemble-t-elle?
source site "dans notre petite bulle"
Mais la force de cet appétit ne l'empêchait pas de la toucher avec une tendresse infinie. Glissant une main sous le rideau humide de ses cheveux, il lui prit la nuque et l'attira doucement à lui. Il l'embrassa, effleurant simplement sa bouche des lèvres.
(...) Elle le fit taire d'un nouveau baiser, plus exigeant que ne l'avait été le sien. Lorsqu'elle releva la tête pour le regarder dans les yeux, il ne lisait aucun regret dans son regard brûlant. Seulement le désir. Un désir clair, honnête et sans honte.
(...) Elle s'approcha encore et la chaleur de son corps lécha la peau de Chase comme une flamme nue. Elle redescendit sa main le long de son abdomen vers son ..."
source site "dans notre petite bulle"
( ... )
Soudain, je prends conscience que je suis complètement bourrée, mais peu importe. C’est une bonne chose.
Quand la chanson se termine, il ne me lâche pas.
— C’était drôle, dit-il alors que commence La Isla Bonita.
Je commence à m’écarter, à contrecœur, mais il m’attire contre lui. Il me serre, me repousse, me ramène encore plus près de lui, prenant un rythme plus lent, plus sexy. Je sens la chaleur de son corps, si proche du mien, ses mains sur la soie de ma robe. C’est un peu chaud, mais ça va. Ça reste amical. Même si, maintenant, nous dansons de façon vraiment osée.
— Tu es une très belle fille, me dit-il. Tu le sais ?
Je n’en crois pas mes oreilles.
— Oh non… Non.
— Oh que si. Tu ne le sais pas, c’est tout. Tu sais, dans
le genre rose anglaise. Un visage frais, un genre innocent… Mais pas trop innocent…
Sa bouche frôle mon oreille alors qu’il prononce ces mots, et ses lèvres caressent presque ma peau. Je sens que mes paupières se ferment, puis je les ouvre brusquement, et je me rends compte qu’absolument tout le monde a les yeux rivés sur nous. Quand la chanson se termine, je décide, dans le brouillard, de m’éloigner tout de suite de Luther et de me reprendre.
— Je reviens dans une seconde, dis-je.
— Ne sois pas longue, me souffle-t-il à l’oreille.
( ... )
— Dansons, dit-il.
Il m’attire vers lui et glisse un bras autour de mes épaules. Une chanson lente en italien est en train de passer.
On ne m’a jamais tenue comme il me tient maintenant, aussi fermement, avec autant d’assurance. Alors que nous bougeons lentement, je devine l’odeur de sa peau, de ses cheveux. Il a posé la main droite sur mon cou et la déplace lentement sous mes cheveux. Je dirige ma main libre sur sa nuque. Je sens son corps pressé contre le mien. Je ne peux pas le regarder. Si je le regarde, il verra à quel point j’ai envie de l’embrasser…
L’embrasser… J’imagine ses lèvres se refermant sur les miennes, leur douceur. Même si nous bougeons à peine, mon pouls bat à tout rompre, et mes genoux tremblent.
Soudain, je me sens très bizarre, comme si tout mon sang se précipitait dans ma tête puis s’en allait, me laissant toute faible. J’inspire, et cette sensation se dissipe, puis revient.
Je dois alors m’accrocher plus fermement à lui pour me stabiliser.
Il dit quelque chose que je ne comprends pas.
— Quoi ?
Je relève les yeux. Oh non. Je le regarde fixement. Son visage est si proche du mien. Il se penche, et il va vraiment m’embrasser…
source site "dans notre petite bulle"
"- Dis, Jude, articulai-je en essayant de contrôler ma respiration. Vous n'avez quand même pas recréé de dinosaures à l'étranger, hein?
- Si, j'en ai moi-même eu un, que l'on m'avait offert pour ma communion. Il s'appelait Denver. Mais ne t'inquiète pas, ils ne savent pas nager, déclara-t-il, donc ils ne risquent pas de débarquer ici.
Je le regardai en ouvrant des yeux ronds comme des soucoupes."
source site "dans notre petite bulle"
Ses doigts effleuraient à peine ma peau. Le toucher était léger, mais j'étouffais sous le feu que ses égards éveillaient en moi. Je sentais la chaleur incendier mes joues et j'étais grandement soulagée de savoir les lumières éteintes pour que personne ne pût me voir rougir."
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
Il tripote mon poignet, il arrache le tissu qui l'enveloppe. Il déroule la bande de mousseline qui enserre mon bras maigre si étroitement que j'oublie parfois qu'il ne s'agit pas de mon épiderme. Une fois ma peau mise à nu, il remonte sa propre manche effrangée. Nous entremêlons nos doigts, et il pose son poignet contre le mien. J'autorise le frisson à secouer tout mon corps, depuis le point de contact jusqu'à mes pieds enfoncés dans le sable.
[...]
Ro enroule le tissu autour de nos mains nouées, colle son corps au mien, les saillies de nos côtes s'encastrent les unes dans les autres. Nous mutons en un reflet mutuel.
Le chagrin pour la rage. La souffrance pour la colère. Les larmes pour la fureur.
source site "dans notre petite bulle"
- Non, laisse-moi finir. Je veux croire à mon erreur, je veux être persuadé de ma confusion. Si tu me l’assures, je te crois. Mais je sens ta retenue, ton hésitation. Dis-moi que cette discussion n’a pas lieu trop tard, dis-moi que tu peux encore m’aimer.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
- Écrivez- bien vos noms en haut à droite !
Son enthousiasme m'irritait.
J'ai enfin reçu ma copie. Après avoir écrit mon nom, j'ai lu la première question.
Qu'est-ce que " manipulation électorale" pouvait bien vouloir dire ?
J'ai jeté un coup d’œil en direction de Brett, qui avait déjà répondu à trois questions sur la première page. J'ai entouré la lettre a en réponse à la première question et me suis dépêchée de copier les autres. Mais il allait trop vite, je n'arriverais jamais à suivre.
- Ralentis ! lui ai-je ordonné dans un murmure.
Il m'a regardée, regardé la prof, puis a déchiré un coin de la première page du contrôle. Mlle Smithson a levé la tête et nous nous sommes efforcés d'avoir l'air très concentrés.
( ... )
Il a glissé le morceau de papier sur ma table. Après un autre regard noir à son endroit - il ne pouvait pas être plus discret ? - et tout en surveillant la prof du coin de l’œil, j'ai ouvert le papier et lu :
" Je ne peux pas faire ça. Tu dois faire le devoir. "
J'ai écarquillé les yeux sous l'effet de la surprise et me suis tournée vers lui. Il regardait obstinément sa feuille. Qu'est-ce que tout le monde avait aujourd'hui ? Personne ne me dit jamais non !
( ... )
- Tricher, dit-elle sur un ton plus intimidant que ce que j'avais imaginé au départ, est un comportement inacceptable. Je dois dire que je suis très déçue.
( ... )
- Lequel d'entre vous veut m'expliquer ce qui s'est passé ?
Elle veut que l'un de nous s'explique.
Donc : elle ne sait pas qui a triché. Je ne suis pas fichue, pas encore.
( ... )
- J'ai essayé de lui dire d'arrêter, mademoiselle Smithson. Je sais qu'il ne faut pas parler pendant un contrôle mais je ne savais pas quoi faire.
( ... )
Mlle Smithson a posé un regard inquisiteur sur lui. Au même moment, j'ai senti les yeux de Brett sur moi.
- C'est moi qui ai essayé de lui dire de ne pas tricher !
( ... )
Et j'ai aggravé encore la situation. Me rappelant le mot que Brett m'avait glissé, je l'ai sorti de ma poche et l'ai entendu à la prof.
- Vous voyez ? vous verrez bien que c'est lui, parce qu'il a déchiré le coin de sa feuille de contrôle.
Le mot était bien de lui. Les mots aussi. Mais j'en ai modifié le sens pour servir mes intérêts.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
Finley rougit.
- Nous sommes amis, c’est tout.
Griffin se mit à caresser un bouton de rose, un sourire douloureux aux lèvres.
- Dans ce cas, il s’agirait peut-être d’informer M. Dandy de cette petite nuance.
- Tu penses que j’ai pu lui laisser croire le contraire ?
Cette fois, il eut un rire amer.
- Finley : tu as passé la nuit chez lui. Comment pourrais-tu lui reprocher d’imaginer des choses ?
Elle se ficha les poings sur les hanches et le fusilla du regard.
- Et je vis chez toi. Alors, quel genre de choses as-tu imaginé, monsieur Ton Excellence ?
Oups ! Il aurait mieux fait de rester dans sa chambre, finalement…
- Rien du tout, répondit-il maladroitement. En ce qui te concerne, j’ai bien compris qu’il ne fallait s’attendre à rien.
Ce n’est pas exactement comme ça qu’il aurait voulu le formuler…
- Ce qui est censé signifier quoi ?
Griffin haussa les épaules ; c’était un combat perdu d’avance.
- Rien du tout, Finley. Ça ne signifie rien. Je suis désolé de t’avoir dérangée. Bonne nuit.
source site "dans notre petite bulle"
Il esquissait un sourire moqueur, qui donnait l'impression qu'il devinait mes pensées et ma gêne s'accrut.
- Non, merci. Tu sais que moi ...
Il prit un peu de glace avec son doigt et s'en caressa les lèvres avec application.
- Tu es sûre ?
Mon pouls s'accélera.
- Je crois que je vais me laisser tenter, lâchai-je.
J'approchai ma bouche de la sienne et goûtai ses lèvres. Elles étaient glacées et gorgées de l'arôme de son sang. J'avais presque envie de croquer ses lèvres et de sucer le sang qui en coulerait mais je m'abstins. A la place, je me contentai de les mordiller et de les lécher. Lorsque j'eus terminé, il esquissa un sourire, ses yeux remplis de désir.
- Je devrais manger des glaces plus souvent. On recommence ? proposa-t-il, espiègle.
*****
Lorsque je me matérialisai dans son appartement, il était allongé en train de lire. Je montai à califourchon sur lui. Il repoussa son livre pour que je puisse l'embrasser.
- Je te manquais tellement ? susurra-t-il.
- Pas en si peu de temps. Nous avons passé la journée ensemble et nous nous sommes quittés il y a à peine une heure.
Dimitri esquissa une moue amusée.
- Tu es dure, là.
source site "dans notre petite bulle"
Très loin, un loup hurlait sans interruption. Ce n'était peut-être qu'un chien, mais j'avais envie que ce soit un loup.
Puis il y a eu un autre bruit, derrière moi, celui d'une approche furtive qui ne pouvait pas savoir à quel point j'ai l'ouïe fine. Je ne sentais aucun danger. Je ne me suis pas retournée et j'ai gardé les yeux fermés. J'ai seulement sursauté un peu au contact de ce qui effleurait mes cheveux. Ça s'est refermé doucement sur mes oreilles. Une pression que je connais bien.
La musique a pénétré ma tête.
Ma voix était beaucoup plus claire et cristalline que dans mon propre casque, qui était loin d'égaler la qualité de celui-là.
( ... )
C'était ma musique, mais c'en était aussi une autre, tellement plus belle, plus fine.
J'ai écouté entièrement la chanson. A regret, j'ai retiré le casque. J'ai ouvert les yeux et je me suis retournée.
Il était là, debout, tout près, son MP4 à la main au bout du câble qui le reliait au casque.
- Bonjour, Selma. Enfin...bonne nuit, plutôt.
( ... )
-Comment tu as su que c'était moi, de dos ?
Son sourire s'est élargi. Il a plissé les yeux.
- Parce que Lisa est blonde. J'ai vu sa vidéo avec Shon. Et puis...
- Et puis ?
- Je ne vois personne d'autre que toi pour rester assise dans la nuit sans grelotter par un froid pareil.
source site "dans notre petite bulle"
J’avais besoin de l’aimer et de sentir tout son amour pour moi. Je devais effacer toutes les horreurs que j’avais ressenties, et seul Jack pouvait m’y aider.
J’entremêlai les doigts dans ses cheveux, et il poussa un gémissement contre ma bouche. Ma réaction l’étonna et amplifia son excitation. De ses mains, il explora mon corps, et ses caresses se firent de plus en plus déterminées contre ma peau brûlante.
Je rompis notre baiser et, sans réfléchir, posai la bouche sur son cou et le mordis. Il eut un hoquet de surprise qui se transforma rapidement en grognement rauque. Si lui m’avait mordue à plusieurs reprises, c’était la première fois que je le mordais.
source site "dans notre petite bulle"
- Pas mort, articula-t-il avec un sourire en coin. C’est juste que… tu as pris beaucoup de mon sang.
- Je suis désolée.
La honte embrasa mes joues déjà empourprées.
- Ne t’excuse pas. J’ai adoré, m’assura-t-il avant de pousser un soupir satisfait. Tu es si belle. Tu es radieuse.
- Tu dis ça parce que tu as perdu trop de sang, rétorquai-je en secouant la tête. Tu veux que j’aille te chercher à boire ?
- Non, pas tout de suite. J’ai envie de savourer cette sensation. Je te sens encore dans mes veines, et je ne suis pas prêt à renoncer à ça pour l’instant.
Il souleva la main et la posa sur ma joue. Je me blottis contre sa paume.
- Je t’aime, ajouta-t-il.
- Moi aussi, je t’aime.
source site "dans notre petite bulle"
Je secouai la tête et m’éloignai de lui.
- Tu ne comprends pas.
- C’est toi qui ne comprends pas, insistai-je. Pourquoi tu refuses que je garde un truc qui m’appartient ?
- Quoi ? lança-t-il, déconcerté. Je ne te suis pas. Tout ça est à toi.
- Non. Tout ça est à toi, dis-je en désignant la maison d’un grand geste. Tout ici t’appartient.
- Pas plus qu’à toi, déclara-t-il. C’est à nous. C’est notre vie.
- Non, Jack ! cette existence, c’est la tienne. J’ai toujours tout fait en fonction de toi, et j’ai tout plaqué pour être avec toi. J’ai tout abandonné !
- Non, tu… (La tristesse déforma son visage.) Je croyais que c’était ce que tu voulais.
- C’était vrai. Et ça l’est encore. (Je poussai un soupir et détournai le regard.) Seulement, j’avais envie de faire quelque chose pour moi.
- C’est réellement ce que tu éprouves ?
- Comment ça ?
J’ignorais ce à quoi il faisait allusion.
- L’impression d’avoir renoncé à tout.
La peine que je lus dans ses yeux bleus me blessa.
- J’ai essayé de tout te donner, ajouta-t-il
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
L’incandescence que j’y vis me consuma. D’un imperceptible mouvement, je me rapprochai de ses hanches. Le feu qui couvait s’embrasa. Sa bouche reprit la mienne avec plus d’exigence et sa paume glissa sous mon tee-shirt, emprisonnant l’un de mes seins érigé. J’émis un petit râle qui décupla ses ardeurs. Nos corps en fusion se cherchèrent, maudissant les vêtements qui nous entravaient. Mes mains furieuses caressaient, palpaient, griffaient, fébriles et impatientes de révéler nos peaux à nu. Alors le vertige me prit, la nausée m’inonda et je sentis mes genoux fléchir. Je chutai à ses pieds à la limite de l’évanouissement.
source site "dans notre petite bulle"
- Pas littéralement, j'espère.
- Je voulais dire mortelle pour les autres, chérie. Je croyais que tu étais bonne en vocabulaire?
Shane les rejoignit alors, les bras chargés de tee-shirts, avec des inscriptions qui offenseraient forcément quelqu'un à Morganville. Il s'arrêta net en les apercevant. Il ouvrit, puis referma la bouche. Eve s'écarta, mais Shane ne la voyait pas de toute façon. Il n'avait d'yeux que pour Claire. On aurait cru qu'un astéroïde venait de le percuter.
- Tu me trouves comment ? demanda-t-elle.
Question totalement superflue vu la façon qu'il avait de la dévorer du regard. Il lâcha les tee-shirts pour l'embrasser passionnément, et la joie qui envahit Claire se transforma en véritable orage intérieur.
( ... )
Lorsque Shane décolla ses lèvres des siennes, Claire suggéra :
- On devrait peut-être payer nos vêtements avant de fêter ça.
- Pourquoi attendre ?
Il lui donna un nouveau baiser enfiévré.
source site "dans notre petite bulle"