Commentaires de livres faits par adele
Extraits de livres par adele
Commentaires de livres appréciés par adele
Extraits de livres appréciés par adele
- Tu es sûr ? J’espère qu’on ne franchit pas la ligne jaune.
- Tant pis ! Je veux montrer à ma femme combien je l’aime.
Sa voix me donnait la chair de poule. Il s’est tu et a pris mon visage entre ses mains. Ses prunelles turquoise étincelaient dans la pénombre.
- Comment m’as-tu appelée ?
- Ma femme, a-t-il répété tout bas en faisant glisser une bretelle de ma robe.
À ce contact, pourtant si familier, j’ai vibré comme s’il me touchait pour la première fois. Nos corps à présent enlacés, j’ai compris à quel point il aurait été facile de déraper. Comment avions-nous réussi à résister si longtemps ? Comment avions-nous fait pour étouffer l’étincelle qui jaillissait dès que nous nous frôlions ? C’était étrange, de savoir que, cette fois-ci, nous pouvions succomber à cette atmosphère électrique. J’ai posé la main de Xavier sur ma poitrine haletante afin qu’il sente mon cœur cogner contre mes côtes. Il a fermé les yeux en grimaçant presque.
source site "dans notre petite bulle"
- Tu survivrais sans moi, Anna. Tu sais faire tout ce que je fais, tout irait bien.
- Non, tout n’irait pas bien. J’aimais la solitude à la maison, mais je ne veux pas me retrouver seule ici, T.J. Pas sur cette île. (Mes yeux se sont emplis de larmes à l’idée de la douleur et du sentiment de solitude que je ressentirais si T.J. disparaissait.) Je ne sais pas s’il est possible de mourir de solitude, mais au bout d’un moment, j’en viendrais certainement à le souhaiter, ai-je murmuré.
Il s’est légèrement redressé avant de poser la main sur mon avant-bras.
- Ne dis pas ça.
- C’est vrai. Ne me raconte pas que tu n’y as jamais songé.
Il ne m’a pas répondu tout de suite, mais il évitait mon regard.
Il a fini par hocher la tête et a avoué :
- J’y ai pensé quand la chauve-souris t’a mordue.
Les larmes ont jailli de mes yeux et roulé sur mes joues. T.J. m’a attirée contre sa poitrine et m’a caressé le dos le temps que je cesse de pleurer. Nous ne portions pas grand-chose – il était en short, et je n’avais sur moi que mon Bikini –, et le contact de sa peau m’a apaisée d’une manière inattendue. Il sentait l’océan, une odeur qui resterait pour moi toujours associée à lui.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
Suzanne se raidit, recula et lui jeta un regard noir.
- Ce n'est pas drôle, Ryder.
- C'est très sérieux.
- Comment peux-tu dire une chose pareille ?
Oh! oh. Suzanne s'énervait et, comme d'habitude, Ryder ne comprenait pas ce qu'il l'avait mise en colère.
- Je dis ça pour que tu te détendes, pour que tu ne te tracasses pas au sujet de cet argent et que tu profites de ce week-end avec moi. Tu ne comprends pas que c'est ça qui compte, qu'on soit ensemble ? Qu'on soit vraiment ensemble.
Oh mon Dieu, elle avait les larmes aux yeux.
( ... )
- C'est cruel et stupide de dire ça. On n'a jamais été des amoureux qui s'éclatent à Vegas. Pas même pendant notre lune de miel. Et tu ne peux pas avoir envie de te marier avec moi.
( ... )
- Ce sont deux problèmes différents, Suzanne. Et d'un, si je dis que j'ai envie de me remarier avec toi, c'est que je le pense vraiment... et je t'interdis de me contredire ! Et de deux, j'étais fou amoureux de toi pendant notre lune de miel. Je ne sais pas si tu l'étais, mais je croyais que tu avais été heureuse, toi aussi.
- J'étais heureuse, Ryder. Mais j'avais surtout peur. J'étais terrifiée à l'idée que tu m'aies épousée parce que j'étais enceinte et seulement pour ça. Terrifiée à l'idée qu'on s'éloigne progressivement l'un de l'autre, qu'on finisse par divorcer et que tu me brises le cœur. Et c'est exactement ce qui s'est passé !
- C'est toi qui est partie ! explosa-t-il ( ... ). Ce n'est pas moi qui ai demandé le divorce ! Et je ne me suis pas marié avec toi parce que tu étais enceinte ! Je t'ai épousé plus tôt que prévu car tu étais enceinte, mais j'ai su dès le premier jour que je me marierais avec toi !
source site "dans notre petite bulle"
Le lendemain matin, elle se réveilla les yeux gonflés et rougis, l'estomac noué. Elle repassa plusieurs fois leur dispute dans sa tête. Qu'avait-elle fait de mal ? Aurait-elle pu agir autrement ? Dire autre chose ? Ces questions ne cessèrent de tournoyer dans sa tête, jusqu'à ce qu'elle soit incapable de se concentrer sur autre chose que la douleur de son cœur brisé.
( ... )
Deux semaines s'écoulèrent et chaque jour fut pire que le précédent. Au début, Ty aurait pu jurer que ce n'était pas possible, mais alors qu'il se dirigeait vers le paddock pour les essais de la dernière course de la saison qui se courait à Miami, il réalisa avec stupeur que c'était parfaitement possible. Il n'avait pas reparlé à Imogen depuis leur dispute. Elle ne l'avait pas appelé.
Chaque jour qui passait accroissait sa douleur et il se sentait un peu plus à cran.
( ... )
Cette pensée n'améliora pas son humeur, qui s'assombrit encore lorsqu'il aperçut Evan Monroe qui se dirigeait vers lui.
- C'est vrai que tu as rompu avec Imogen ? s'enquit-il d'emblée.
Ty rugit intérieurement, mais se contenta de hocher la tête.
- Je suis désolé pour toi, mec. C'est dommage.
- Ouais.
- Tu dois avoir les boules, non ?
- ça va. Ce n'est pas la mort non plus.
Apparemment, il mentait de mieux en mieux, car l'expression affligée d'Evan disparut.
( ...)
- Ah d'accord. Alors ça ne te dérange pas si je lui propose de sortir avec moi ? J'ai un faible pour les brunes.
Ty ne sut pas lui-même ce qui s'était passé. Il était debout à côté d'Evan et, la seconde d'après, celui-ci était allongé par terre et il était assis sur lui, ses mains agrippant le devant de la combinaison d'Evan.
( ... )
Oui, chaque jour s'était révélé pire que la veille depuis sa dispute avec Imogen, et il venait peut-être de toucher le fond.
source site "dans notre petite bulle"
Aveuglé par la rage, il l'agrippa par les bras, la pressa contre lui, et l'embrassa. Cette étreinte n'avait rien de tendre. Elle servait simplement à gommer toute trace de l'autre mâle. À afficher sa domination comme le gros dur qu'il était. À s'assurer que leurs contacts intimes ne découlaient que de la colère ou de la soif de sexe, parce qu'il ne pouvait pas se permettre de ramollir.
Mais Sin n'étais pas du genre à se laisser faire. Elle poussa un cri indigné et lui écrasa le pied avant de tambouriner contre son torse.
Puis, elle lui mordit la lèvre assez fort pour le faire saigner. Lorsque le sang goutta sur sa langue, elle fit un pas en arrière, mais le mélange incisif de plaisir et de douleur excita Connall. Il s'immiscça dans sa bouche, et la caressa, la lécha, la força à le goûter.
Soudain, elle cessa de se débattre. C'était inutile. Elle lui planta la pointe acérée d'une lame dans l'aine, et il se figea comme une statue de glace.
- Embrasse-moi encore une fois sans ma permission, murmura-t-elle contre ses lèvres, et je t'arracherai les couilles pour les revendre à un boucher ruthanien. C'est leur spécialité. Pigé?
- Tu n'en feras rien, chuchota-t-il en retour. Elles te manqueraient trop.
Sin poussa un grognement agacé et rangea l'arme dans sa poche avant de reculer.
- C'est fou ce que les hommes surestiment la valeur de leur appareil génital."
source site "dans notre petite bulle"
Je ne le laissai pas terminer et lui sautai littéralement dessus, ma bouche capturant la sienne avant qu'il ait le temps de formuler son rejet. J'eus la satisfaction de lui couper le souffle et la parole d'un seul geste. Ses lèvres s'entrouvrirent de surprise, et je n'attendis pas d'autre invitation. Je saisis sa tête à deux mains. Il était tout en retenue, pourtant il était sur le point de rompre. Oh, il en avait envie. Il en avait bien plus envie que moi. Il frissonna lorsqu'une de mes mains descendit lentement, caressant sa joue, puis son cou. Je sentis la digue lâcher, et il s'abandonna. Je l'avais gagné. Il me rendit bientôt un baiser fiévreux, ses bras enroulés férocement autour de mes hanches pour me maintenir au plus près de lui. C'était ce qu'il voulait. Je l'embrassais, et j'en avais envie. Rien que parce qu'il ne s'y attendait pas.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
Il s'interrompit, les yeux fixés sur le large décolleté.
[...]
- ... peau, acheva-t-il en ignorant de toutes ses forces la raideur soudaine de son sexe. Je vais avoir une petite discussion avec Marguerite. Je lui avais parlé d'"élégance sexy", pas de "provocation sexuelle à vous en décrocher la mâchoire.
- Je ne vois pas ta mâchoire se décrocher, répondit-elle d'un ton badin en se tournant pour qu'il l'aide à enfiler son gilet.
[...]
- Elle se décroche intérieurement, marmonna-t-il en ajustant le vêtement. (Il la prit par les épaules et la tourna face à lui, la détaillant de la tête au pieds.) Tu n'aurais pas, par hasard, choisi cette robe pour me faire passer un message, n'est-ce pas ?
source site "dans notre petite bulle"
La possédant.
Une chaleur humide apparut au creux de son ventre. Elle n'avait jamais rien connu d'aussi intense, et son corps réagissait pleinement à cette expérience. Ian la serra plus fort, accentuant la pression de son corps contre le sien. Il était si brûlant. Si dur. Oh, mon Dieu, ayez pitié de moi ... Comment avait-elle pu penser qu'elle le laissait indifférent ? Elle sentait une bosse saillante à travers le tissu de son pantalon ...
C'était comme d'être brutalement entraînée dans une fournaise de désir sans espoir d'en sortir.
source site "dans notre petite bulle"
Quel amant ! Mon Dieu quel amant !
Elle laisse échapper son plaisir à n’en plus finir ce qui le motive davantage pour poursuivre.
source site "dans notre petite bulle"
Elle n’a pas envie de se lancer dans une discussion sur l’effet qu’il a sur elle et apparemment lui non plus. Il dégage ses cheveux de son cou avant d’y apposer ses lèvres. Il couvre sa gorge de baisers en même temps que sa main glisse sur l’une de ses cuisses. Ses intentions sont plutôt claires et dans son état, Victoria n’arrive pas à réfléchir. Quand il l’attire sur le canapé en cuir, elle ne résiste pas. Il verrouille la porte avant de déboutonner sa chemise. C’est la première fois qu’elle le voit torse nu et cette vision augmente son désir. Il ne perd pas de temps et s’allonge entre ses cuisses en même temps qu’il ouvre son pantalon. L’instant suivant, il repousse le tissu encombrant pour enfouir son membre en elle.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
Il avait fait le ménage dans sa chambre, et pas qu’à moitié : tout avait été rangé, le lit fait, l’aspirateur passé. À moins que…
- Qu’est-ce que tu as proposé à Ève, en échange ?
Il joua l’innocence blessée avec beaucoup trop d’insistance.
- Comment ça ?
- Oh, allez, Shane ! Tu as chargé Ève de nettoyer ta chambre.
Avec un soupir, il avoua :
- D’accord… Elle avait besoin d’argent, alors je lui ai proposé un marché. Mais c’est chouette, non ? Et j’ai eu l’idée tout seul ! Ça t’impressionne, non ?
Elle se retint d’éclater de rire.
- Oui, je suis très impressionnée qu’un garçon ait pensé à dépenser de l’argent pour avoir une chambre propre.
- Ça vaut le coup, si tu es impressionnée ! conclut-il en s’affalant sur son lit.
source site "dans notre petite bulle"
- Vous en avez mis du temps ! Qu'est-ce que vous faisiez tous les deux ? lança-t-elle.
- Euh, eh bien en fait, euh...
Mon Dieu, Tamara n'avait aucun talent pour le mensonge.
- J'ai administré un massage de la nuque et des épaules à Tamara pour la soulager de sa migraine, expliqua tranquillement Elec en se rasseyant à côté de Nikki.
- Oui, je me sens beaucoup mieux, enchaîna Tamara en s'asseyant à son tour, sentant ses joues s'empourprer sous le regard inquisiteur de Suzanne.
- Tu peux me passer la bouteille de vin ? demanda Nikki à Elec. Je voudrais savoir combien de colories il y a là-dedans.
- Bien sûr.
Nikki plissa le nez au-dessus de la main d'Elec qui lui tendait la bouteille.
- Tu sens comme les ballons. tu sens le...comment ça s'appelle, ce truc avec lequel on fabrique les ballons ?
- Latex, lui rappela Ty avec un sourire contenu.
- Voilà, c'est ça. Tu sens le latex. Comment ça se fait ?
Tamara se sentit plus morte que vive.
- Elec est un adepte du massage protégé, intervint Ryder.
- Oh, fit Nikki avant de froncer les sourcils.
- Tu veux bien me passer la pelle à tarte qui est à côté de toi, s'il te plaît, Elec ? lança Suzanne.
(...)
- Tiens, Suzanne, dit Elec en lui tendant la pelle à tarte.
- Tu t'es lavé les mains ? demanda Ty. Un ange passa.
- Oui, assura Elec en fusillant Ty du regard.
- Parce que tu vois, je me disais qu'il valait peut-être mieux que tu évites de toucher aux couverts de service...
Suzanne lâcha la pelle à tarte, tendit le bras et attrapa le couteau propre à côté de l'assiette de salade de Nikki.
- Mais maintenant, toi aussi, tu as touché la pelle à tarte, lui fit remarquer Ryder.
Suzanne se tourna vers lui, souleva le plat à tarte d'une main...et l'écrasa sur le visage de Ryder.
- C'est la dernière tarte que tu recevras de ma part, déclara-t-elle d'un ton rempli de satisfaction.
source site "dans notre petite bulle"
Un peu surprise, je me laissai aller à ce baiser.
- Je croyais que tu voulais dormir, soufflai-je, haletante, au bout d'un moment.
- Je te veux, toi !
- Moi aussi.
Nous nous perdîmes l'un en l'autre. Avec ses caresses, Stark chassait la mort, le désespoir et la peur. Ensemble nous prenions parti de la vie, du bonheur et de l'amour.
source site "dans notre petite bulle"
- Je suis là, et je t'aime.
- Moi aussi je t'aime, Zoey, dit Lucie.
- Et moi, ajouta Damien.
- Tu peux m'emprunter mes boucles d'oreilles en diamants deux carats quand tu veux, dit Aphrodite.
Je m'arrêtai et me tournai vers elle.
- Quoi ?
Elle haussa les épaules.
- C'est ce que tu auras de plus proche d'une déclaration d'amour de ma part.
[...]
- Déesse, je déteste être gentille ! marmonna Aphrodite pendant que je poussais la porte du salon.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
- Oh mon Dieu, oui ! Damien, je t'en prie ...
Sans ménagement, il me pousse en arrière et je me cale dans l'encoignure. Je me tiens à la vitrine à côté de moi, tandis que sa bouche s'empare de la mienne. Son baiser est sauvage et fiévreux. J'ai une telle soif de lui que je bois avidement tout ce qu'il peut me donner.
Ses doigts continuent leur ascension pendant que ma langue lutte avec la sienne et que je mordille ses lèvres. Alors sa main caresse mon sexe impatient et je pousse un cri que seules ses lèvres posées sur les miennes parviennent à étouffer.
- Pas de culotte, dit-il. Tu as dit ...
- J'ai menti, dis-je. Tais-toi et embrasse-moi.
- Vous embrassez ? Mademoiselle Fairchild, je vais faire bien davantage.
- Le cocktail ?
- Rien à foutre du cocktail, gronde-t-il.
- Si quelqu'un descend ...
- Personne ne viendra.
- Mais si ...
- Nikki ?
- Oui ?
- Tais-toi.
source site "dans notre petite bulle"
- D'accord ! obtempéra-t-il docilement.
Sytry retira sa main de mes hanches et d'un geste précis, retroussa entièrement ma jupe et passa ses doigts sur ma cuisse mise à nu.
- Mais ! Pas de cette façon ! le grondai-je.
- Comment, alors ? Comme ça ?
Son autre main fit glisser ma bretelle et pétrit mon épaule.
- Ou comme ça ?
Soudain, ses lèvres se posèrent sur ma bouche et, avant même de comprendre ce qu'il m'arrivait, sa langue dansait le tango avec la mienne. Ses doigts pianotèrent sur ma clavicule et descendirent sur mon sein pour caresser sa pointe à travers l'étoffe.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"
Puis j'entendis... quelqu'un cracher?
Je regardai Clive, dont la queue était gonflée à mort. Il fit le dos rond et commença à marcher de long en large au pied du lit.
"Hey Monsieur, tout va bien. On a juste un voisin bruyant, c'est tout." je le calmai, en tendant ma main pour le toucher. C'est à ce moment là que je l'entendis. "Miaou".
Je penchai ma tête sur le côté, écoutant avec plus d'attention. J'étudiai Clive, qui me regarda d'un air de dire "c'était pas moi."
"Miaou! Mon Dieu. Mi-Aou!"
La fille d'à côté était en train de miauler. Mais qu'est-ce que mon voisin pouvait bien lui faire pour que ça arrive? Clive, à ce stade, réagit comme un dingue et se lança contre le mur. Il était litéralement en train de grimper au mur, essayant d'aller là d'où venait le bruit, ajoutant ses propres miaulements à la chorale.
"Ohhh, oui, comme ça, Simon.... Mmmm... Miaou, miaou, Miaou!"
Mon Dieu, il y avait des chats hors de contrôle des deux côtés de ce mur ce soir.
source site "dans notre petite bulle"
Je me approchée tout près de lui, me suis haussée sur la pointe des pieds, et j'ai enfin cédé au besoin de me coller contre son corps. Il a étouffé un grognement de plaisir, m'a enlacée et a baissé la tête.
Je l'ai embrassé, le forçant à écarter les lèvres, rendant intentionnellement notre baiser aussi profond que possible. De la douceur, je me suis laissée aller à une perte de contrôle affolante. Son énergie s'est déversée en moi, enivrante ; sa puissance s'est ruée dans mes veines comme un flot de lumière liquide. Il a gémi dans ma bouche, et son souffle lui même me nourrissait.
source site "dans notre petite bulle"
- C'est très bien exprimé. Tu te trouves en effet dans un environnement sûr, très sûr. Le problème, c'est que tu n'as absolument jamais expérimenté le genre de chose que tu vas devoir faire pendant les deux prochains week-ends. Je vais être honnête avec toi, Natalie: je ne crois pas que tu iras jusqu'au bout de la formation.
- Qu'est-ce qui vous donne le droit de porter un jugement sur moi? demanda-t-elle, furieuse qu'on puisse l'imaginer capable de renoncer à un but qu'elle s'était fixé.
- J'arrive très bien à analyser les préférences et les capacités sexuelles des gens. Tu as passé tellement de temps à la place du conducteur que je ne te vois pas prête à changer de siège pour devenir simple passagère. A toi cependant de me prouver que j'ai tort, n'est-ce pas?
- Tout à fait, dit-elle rageusement.
source site "dans notre petite bulle"
source site "dans notre petite bulle"