Commentaires de livres faits par adele
Extraits de livres par adele
Commentaires de livres appréciés par adele
Extraits de livres appréciés par adele
Elle semblait avoir été mâchée par un animal et recrachée. Ses vêtements de cuir rouge étaient tout aussi déchiquetés qu'elle.
Elle me vit, me sourit et fit quelque chose d'affreusement banal, parfaitement dans la droite ligne de l'héroïne à qui on a un tas de questions super urgentes à poser, du type "Comment nous as-tu retrouvés?", "Qui t'a fait ça?" et "As-tu été suivie?".
Elle s'évanouit.
source site "dans notre petite bulle"
Après avoir déposé le manteau au dos d'une chaise, je leur en fis la démonstration et me mis à rire en les voyant sursauter.
- Hé! C'est pour de faux... les rassurai-je. Ils ne sont pas chargés et en plus je n'ai pas ôté le cran de sûreté. Le trench cache l'ensemble efficacement. Je commence à croire que ça pourrait marcher.
Sara se leva, s'étira langoureusement, puis me rejoignit et passa le bout de ses doigts le long de ma manche.
- Qu'est ce que c'est que ce truc? s'étonna-t-elle.
En haussant les épaules, je lui répondis:
- Une espèce d'armure corporelle qui me protège des crocs de vampires et des griffes de garous, apparemment. Elle n'arrêterait ni une balle ni un coup de couteau, mais cela devrait suffire si Royce décide de s'en prendre à mes jugulaires.
Ou à tout autre endroit de mon corps."
source site "dans notre petite bulle"
Je me lève d'un bon.
- Vous savez Lord Roscarrick, je ne pense pas qu'il y ait exactement de "bon" moment pour annoncer à une femme qu'on a envie de la fouetter en se prenant pour un sénateur de la Rome antique. - X attends!
- Mais je suis très contente que tu m'aies prévenue de ce petit penchant, comme ça je peux prendre le premier train et rentrer chez moi.
- X!
Sa voix se fait dure. Pendant une seconde, j'ai l'impression d'être une petite fille qui va se faire gronder. Ce qui a le don de m'énerver davantage, mais je reste calme alors il élève la voix.
- X, la raison pour laquelle je t'ai montré ces fresques, c'est parce qu'une fois qu'un homme a été complètement initié, qu'il gravi les degrés jusqu'au 5ème mystère, il n'a plus le droit d'avoir de relation sérieuse avec un non-initié. Ce sont les règles.
(...)
- Ciao!
Je tourne les talons et marche aussi vite que je peux. Alors que je m'éloigne je l'entends qui m'appelle.
- Alex. Per favore, ricordati di me.
source site "dans notre petite bulle"
- Je suis désolée, répété-je inlassablement contre son torse. Je suis désolée.
Son tee-shirt sent la fumée et la nature au printemps.
- Ce n'est rien, murmure-t-il.
Quand je me suis un peu apaisée, Julian me prend par la main et je le suis dans ma tente, grotte obscure qui a le même parfum que son tee-shirt, en plus puissant. Je m'allonge sur son sac de couchage, et lui, à côté de moi. Nos deux corps s'emboîtent parfaitement et je me blottis contre lui, bien en sécurité, bien au chaud. Je laisse alors rouler sur mes joues les dernières larmes que je verserai jamais pour Alex, et la terre les absorbe.
source site dans notre petite bulle
- Excuse-moi, mais si je ne m'étais pas jetée dans la mêlée, comme tu dis, ta nouvelle...ta nouvelle copine serait morte à l'heure qu'il est.
J'ai rarement eu l'occasion d'utiliser ce mot dans ma vie, et il me faut une seconde pour m'en souvenir.
- Tu n'es pas responsable d'elle, décrète Alex d'un ton égal.
Au lieu de m'apaiser, sa réponse me met hors de moi. Malgré tout ce qui c'est produit ce soir, c'est ce petit détail imbécile qui me donne envie de pleurer: il n'a pas nié qu'elle était sa copine. Ravalant le goût amer qui a envahi ma bouche, je réplique:
- Et tu n'es pas responsable de moi, tu l'as oublié? Tu ne contrôles pas ma vie.
J'ai retrouvé le fil de ma colère, et je le remonte, l'empoignant à deux mains.
- Qu'est-ce que ça peut te faire de toute façon? ajouté-je. Tu me hais. Il me dévisage.
- Tu ne comprends vraiment pas, hein?
Sa voix est dure. Je croise les bras et les serre fort contre ma poitrine, afin de faire rentrer la douleur, de l'enfouir sous la colère.
- Comprendre quoi? demandé-je
- Oublie, répond-il en se passant une main dans les cheveux. Oublie tout ce que j'ai dit.
Elle continua à le fixer, et il ne cilla pas. La douleur qui se reflétait dans ses iris bleu foncé lui coupa le souffle.
Il ferma les yeux et inspira avant de parler.
- T'est-il déjà arrivé de savoir ce qu'il fallait faire, mais sans pourvoir le faire ?
Elle recula de quelques centimètres.
-Ça dépend. Quelle est la chose à faire ?
Elle posa la question avec crainte. Mais c'était la réponse qui l'effrayait. Parce que, tout au fond, elle le sentait. Elle l'avait senti depuis que la grand-mère de Lucas lui avait parlé. Trop d'obstacles se dressaient entre Lucas et elle pour que cela puisse fonctionner entre eux.
- Je devrais te laisser partir, déclara-t-il. Je devrais mettre un terme à tout cela. A nous deux. Parce que tant que rien n'aura changé, tout le monde sera contre nous. Et pourtant ...
Il baissa très légèrement la tête, et ses lèvres trouvèrent les siennes.
[...]
Il recula et passa son pouce sur ses lèvres :
- Et pourtant, comment pourrais-je te laisser partir, alors que c'est toi qui me fais avancer ? Alors que tu es la raison pour laquelle je veux changer ?
[...]
- Je t'en prie, ne me laisse pas tomber, Kylie Galen.
[...]
Je m’en voulais d’avoir l’air si peu sûre de moi. Non pas que j’aurais accepté de faire quoi que ce soit avant d’être prête, mais je n’avais pas envie de me sentir coupable de frustrer mon petit ami tellement patient.
- Euh, pour être franc… parfois c’est vraiment dur.
- Je sais. Je le vois bien. N’oublie pas que je suis sur toi, là, lui ai-je dit avec un sourire provocant.
Brendan a levé un sourcil.
- Vraiment dur d’arrêter, je voulais dire, petite maligne. Et le reste aussi, évidemment.
source site "dans notre petite bulle"
- Ce n’est pas tout à fait exact, Nick. Je t’aimais aussi mais… Mais quoi ? Je l’aurais cru si tu avais été là plus souvent. Si tu m’avais aidée à y croire.
Il opina et j’en fus surprise.
- Tu as raison. Je travaillais trop. Mais j’avais pensé qu’une fois mariée, tu te serais sentie davantage en sécurité… Tu sais, Harper, j’ai toujours eu la certitude que nous finirions par surmonter nos problèmes. De ton côté, tu étais convaincue du contraire. Tu guettais le désastre.
- C’est toi qui m’as quittée. Tu as fait tes valises et tu es parti.
- J’avais besoin de prendre du recul. Mon intention était de rester chez mon ami quelques jours. Jamais je n’aurais demandé le divorce. Au fond de toi, tu le sais. Mais toi, Harper, tu as consulté un avocat le lendemain !
source site "dans notre petite bulle"
Il bondit sur moi, me souleva dans ses bras, et nous basculâmes sur le lit. Sa bouche couvrit la mienne, étouffant mon cri de surprise. La violence de son désir et le poids de son corps sur le mien me bouleversèrent...
- Tu m'as manqué, soufflai-je en enroulant bras et jambes autour de lui. Même si tu es sérieusement agaçant, parfois.
- Je te retourne le compliment. Tu es la femme la plus agaçante que j'aie jamais rencontrée.
- Tu m'as vraiment fichu en rogne. Je ne t'appartiens pas. Tu n'as pas le droit de...
- Oh, que si, Eva! coupa-t-til en me mordillant le lobe de l'oreille, me tirant un cri aigu. Et si, j'ai tous les droits.
- Dans ce cas, tu m'appartiens aussi. Et j'ai tous les droits également. (....)
- Ne compte pas être à cent pour cent à égalité avec moi , Eva.
- Oh que si!
Il se positionna entre mes jambes.
- Oh que non! persista-t-il en plongeant les mains dans mes cheveux pour m'immobiliser la tête.
Il se mit à onduler des hanches avec une habileté consommée. Un flot de désir brûlant se déversa dans mes veines.
- Arrête. Je n'arrive plus à penser quand tu fais ça."
source site "dans notre petite bulle"
- Votre père a donné son accord pour vos leçons d’autodéfense, dit-il. Je vous présente Keane (il désigna le grand ténébreux à l’air boudeur.) Il sera votre professeur.
Keane ne daigna pas se redresser, et le regard qu’il me lança était … hostile.
Le sourire de Finn s’élargit, il s’amusait manifestement beaucoup.
source site "dans notre petite bulle"
Mon cerveau passa en surcharge. Les lèvres d’Ethan étaient chaudes et humides sur les miennes, et avaient un étrange goût de cerise. J’essayai de suivre ses mouvements, mais je me sentais très maladroite, et je faisais sûrement n’importe quoi. Il titilla l’ourlet de mes lèvres de la pointe de sa langue jusqu’à ce que j’entrouvre la bouche. Son baiser se fit plus profond, et je faillais me noyer dans la saveur, les caresses et le parfum d’Ethan.
[…]
Il se leva et fit mine de s’avancer.
Là, pour le coup, je n’ai pas vraiment réfléchi. Je me suis contentée de réagir à la douleur, la colère et, oui, la peur, qui avaient pris possession de mon corps. Lorsqu’il s’approcha de moi, je levai le genou et le frappai là où ça fait très mal. Il se plia en deux, agrippant à pleine main ses bijoux de famille.
source site "dans notre petite bulle"
Kate: Je suis désolée, est-ce le moment où je tombe à genoux et tremble de peur, Ta Majesté Poilue? Quelle idiote, je n'ai pas reçu le mémo.
Curran: Pas pressée de résoudre la dispute?
Kate: Je préférerais manger de la terre. C'est entre Mark et les les vétérans, et ils se détestent mutuellement. Ils veulent juste s'envoyer des saloperies par dessus une table de conférence.
Curran: Tu pourrais toujours utiliser le plan B.
Kate: Tabasser tout le monde jusqu'à ce qu'ils la ferme et coopère?
Curran: Exactement.
Kate: Je pourrais toujours la faire à ta manière, à la place. Gronder jusqu'à ce que tout le monde se pisse dessus.
Curran: Connerie. Je suis parfaitement raisonnable et je ne gronde presque jamais. Je ne me rappelle même pas ce que ça fait de cogner deux têtes l'une contre l'autre.
Kate: Très progressif de ta part, Ta Majesté.
Ian eut beau détourner la tête, je vis que ses lèvres tremblaient. Une étincelle révélatrice illumina son regard lorsqu'il me débarrassa d'un geste brusque des restes de ma chemise. Je n'étais plus vêtue que de mon jean et de mon soutien-gorge. Une petite trace de sang séché, souvenir de mon voyage aux portes de la mort, marquait le centre de ma poitrine. Ian pencha la tête en avant pour l'effacer avec sa langue. (...)
- Oh oui, bois mon sang, dis-je d'une voix profonde. À mon tour de goûter le tien, maintenant.
(...) je saisis la chevelure d'Ian dans un poing et tirai jusqu'à exposer son cou pâle et lisse. (...) Incapable de me contrôler, je le mordis de nouveau, et déchirai sa chair dans ma hâte à me délecter de ce nectar écarlate.
- C'est ça, ma jolie rouquine, mords-moi plus fort, m'encouragea Ian.
Il me griffa le dos avec ses ongles, puis attira mes jambes autour de sa taille en m'empoignant fermement par les fesses. (...)
- Enlève tes sales pattes de ma femme!"
source site "dans notre petite bulle"
Le sol se fissura brusquement en deux, comme si l'Autre Monde était sur le point de s'effondrer. Les infinies réserves d'énergie de son royaume convergèrent alors dans le corps d'Henry, qui les absorba au milieu de toute sa peur, sa haine, son angoisse, jusqu'à en faire un diamant brut niché au creux de ses entrailles.
source site "dans notre petite bulle"
Voilà, c'était dit ! Bouleversée, je me laissai glisser par terre et serrai mes genoux contre ma poitrine. J'avais tout fait pour me convaincre que cela pourrait marcher, qu'avec le temps et un peu d'efforts, tout rentrerait dans l'ordre. Mais c'était impossible. [...]
- Hadès ...
Soudain, Perséphone se pencha, et l'espace entre eux se réduisit jusqu'à ce que leurs lèvres se touchent. Mon ventre se contracta, et j'enfouis ma tête entre mes mains.
source site "dans notre petite bulle"
Il se redresse soudain.
- Pourquoi? c'est sans danger : non seulement tu seras entourée de tes amis, mais en plus je serai près de toi tout du long!
- Tu parles, tu seras trop occupé à draguer la plus jolie fille de la soirée, et je peux te garantir qu'elle n'en perdra pas la moindre miette.
Ian me prend le visage au creux de ses mains.
- La plus belle fille de la soirée, ce sera sans conteste toi.
Je me surprends à étudier de près ses succulentes lèvres.
(...)
Son regard s'embrase.
- Je t'ai rencontré toi. Et je te promets que tu es largement plus séduisante que n'importe quelle star. Flirter avec toi, ce sera le défi le plus facile que j'aie eu à relever jusqu'à présent.
- Ha! Eh bien, vu sous cet angle, je me laisserais presque tenter.
- Et je dois avouer que tu n'y connais en termes de tentation.
source site "notre petite bulle"
- Je te rends nerveuse, on dirait.
- Pas du tout !
- Si tu le dis ...
[...]
- Non mais tu es toujours aussi sûr de toi ?
- Je ne suis pas sûr de moi !
- Tu as raison, c'est pire : tu es arrogant ! tu te crois vraiment si irrésistible ?
- Il semblerait que je le sois, la provoqua-t-il encore, il n'y a qu'à te regarder !
- Quoi ?
[...]
- Tu es toute rouge, tu trembles et tu crèves déjà d'envie que je t'embrasse, c'est évident ! insista-t-il.
-N'importe quoi ! C'est même tout le contraire : je ne t'ai pas rencontré depuis cinq minutes que j'ai déjà envie de clouer ton bec de jeune coq !
- humm, avec un baiser ? demanda-t-il de cette moue qu'il savait capable de faire fondre n'importe quel coeur de glace.
- Non. Plutôt comme ça ...
Avant même qu'il eût le temps de réagir, Abigail fondit sur lui, lui asséna un coup à la gorge avec son avant bras droit, lui fit plier une jambe et le coucha à terre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.
source site "dans notre petite bulle"
Siena était la dernière femme sur terre qu'il aurait dû toucher. Elle aurait pu l'étrangler, et il en était parfaitement conscient. Au lieu de cela, elle s'était enflammée et l'avait embrasé à son tour jusqu'à ce qu'il ait l'impression de se transformer en tas de cendres entre ses mains. (...) Eljah était excité comme jamais. Il savait qu'elle était consciente de son état et de son appétit dévorant. Elle se frotta contre lui comme si elle éprouvait la même sensation, se déhanchant de manière fort suggestive. (...) Elijah sentit les cheveux de la reine s'enrouler autour de son poignet, de son avant-bras, ses mèches animées le caressant avec sensualité comme des milliers de petites mains. Avec ses véritables mains, elle caressait son large torse, ses épaules... son dos, ses fesses musclées. Il en frissonna et la sentit pousser un gémissement de satisfaction dans sa bouche. Elle fit glisser ses doigts inquisiteurs le long de ses cuisses puis remonta sur son postérieur, cette fois passant sous la serviette alourdie par le poids de l'eau.
Ce fut à son tour de pousser un cri primal qu'il accompagna d'un mouvement brusque. Il interrompit son baiser et hissa la lycanthrope hors de l'eau en lui passant un bras autour de la taille. Il l'entendit pousser un petit éclat de rire, une pure invitation au sexe. Elle passa les mains autour de sa nuque, ses seins se retrouvant à hauteur de ses lèvres."
source site "dans notre petite bulle"
-Ali. Il m'a invitée au restau ce soir.
-Il n'en est pas question
-Quoi?
-Rebecca, je ne veux pas que tu sortes avec lui.
-Ne me dis pas que tu es jaloux!
-Si, il l'est, affirma Beth
....
....
-Je retire ce que j'ai dit. Bruce est aussi torride que l'est Ali, déglutit Beth.
-Qu'est-ce qui lui prend?
-C'est un loup Alpha. Qu'est-ce que tu t'imaginais.
Qu'il laisserait un autre métamorphe s'emparer de sa famille sans broncher?
-Je...non, mais...
-Mais quoi? Considère que tu as de la chance qu'il ne te pisse pas dessus pour marquer son territoire.
Je prends une longue et lente inspiration. J'ai besoin de respire comme tout le monde, mais je peux retenir mon souffle pendant plus d'une heure s'il le faut. Cependant, je relâche ma respiration avant de parler à nouveau, et la pièce se refroidit encore plus. Et M. Riley est pris d'un frisson.
- Répondez à ma question, dis-je simplement.
Il tousse.
- Il n'y a personne d'autre, répète-t-il.
- Vous feriez mieux de sortir votre revolver.
- Pardon?
- Vous allez mourir à présent. Je suppose que vous préférez mourir en combattant.
- Mademoiselle Perne...
- J'ai cinq mille ans.
Il cligne des yeux.
- Quoi?
Je lui livre mon regard, sans masque, celui que j'ai utilisé par le passé - moi seule - pour tuer.
- Je suis un vampire, dis-je doucement. Et vous m'avez mise en rage.
Il me croit. Subitement il croit à toutes les histoires d'horreur qu'on lui a racontées depuis qu'il est tout gosse."
site dans notre petite bulle
- Je peux te poser un question ? me demanda-t-il d'une voix douce.
- Tu viens de le faire, fis-je remarquer. Je t'écoute.
- Pourquoi ... tu m'en veux ?
- Quoi ? Pourquoi tu crois que ... je t'en veux ?
- Parce que tu m'évites ...
- Tu es paranoïaque ...
- ... Tu ne me regardes jamais droit dans les yeux ...
- ... et narcissique ...
- ... et tu ne me réponds que lorsque je te pose une question.
- ... et têtu.
site "dans notre petite bulle"
Je balançai la jambe par-dessus lui, puis m’assis à califourchon sur lui. Il poussa un gémissement, étouffé par nos baisers. Ses mains déjà brûlantes se baladèrent sur mon corps. Ma peau ne tarderait pas à atteindre la même température que la sienne. Je sentais la chaleur se propager en moi. Je m’écartai de lui juste le temps d’enlever mon tee-shirt. Il me sourit, admiratif. Comme il semblait sur le point de parler, je le fis taire en l’embrassant. J’adorais discuter avec lui mais, pour l’instant, les mots ne suffisaient pas.
source site "dans notre petite bulle"
- Oui, inutile. Parce qu'en fait, je suis invincible.
source site "dans notre petite bulle"