Commentaires de livres faits par anonymoous
Extraits de livres par anonymoous
Commentaires de livres appréciés par anonymoous
Extraits de livres appréciés par anonymoous
– Alors tu crois qu’ils sont quelque part là-haut ?
– Absolument. Mais chacun se fait une idée différente des extraterrestres. Le mot désigne seulement une vie étrangère. Ça pourrait être des bactéries, des organismes unicellulaires, des plantes.
– Ça aurait été horrible. Quelqu’un vous aurait filmé, et ça aurait fait la une des torchons… et t’aurais eu l’air d’un enfoiré.
– Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre ?
– Tu viens de me dire que tu veux inspirer les gens.
– S’ils savaient pourquoi j’avais foutu mon poing dans sa gueule, ils auraient été inspirés.
— Non, je ne poserai pas mes fesses sur ton engin ! Il hausse ses sourcils retenant un sourire moqueur et réplique :
— Je t’assure que mon engin adorerait que ton cul se pose dessus…
—Eh bien.
—Oui.
—On va continuer à parler, alors.
— Merci beaucoup. Je devrais m’en rappeler facilement. Crétin. Il continua à renseigner le questionnaire.
...
— Taille de soutien-gorge ?
— Ils demandent ça aussi ?
— Non.
...
— OK, maintenant, ils posent des questions sur ta personnalité. Loisirs et centres d’intérêt ?
— Lecture…
— Bien sûr. Lire des romances de triolisme !
– C’est parfait, minou, parce qu’on ne sort pas ensemble. Cette fois, ses deux sourcils se lèvent.
– Ah ?
Je rapproche ma tête de la sienne et sens l’odeur du soleil et des fleurs sauvages. Mon nouveau parfum préféré.
– Non. On va baiser. Beaucoup baiser.
Elle éclate de rire.
Ah, si…
– Arrête ça, Frenchy, on dirait un porno soft des années quatre-vingt. Lola rigole.
– Plus sérieusement, annoncé-je pour couper court. Tu veux du boulot dans la photo ? En vrai, il y en a plein. Du moins, si tu sais où chercher et une fois que t’as évincé les wannabe photographes qui n’ont pas grand-chose d’autre qu’un appareil hors de prix et de l’arrogance. Et c’est bien ça le problème : il te manque un peu du second. Faut que t’apprennes à te vendre, c’est tout.
– Si ça veut dire enlever un bouton de ma chemise, tu peux te trouver un nouveau projet, se pique-t-elle.
– À vendre tes photos, Lola, me désespéré-je. Tu n’as pas besoin d’enlever quoi que ce soit pour être déjà beaucoup trop séduisante…
— Et si c’est moi qui brise le sien ?
— Je suis tout ouïe, dit-il avec humour.
— Que pensez-vous de… (Je m’interromps.) J’ai eu une idée mais...Enfin… je… Je pousse un soupir, agacée par ma propre maladresse.
— Est-ce que ça vous tenterait qu’on s’envoie en l’air tous les deux?
- Si tu savais comme je t'aime. Je sais que je n'arrête pas de le dire, mais je ne peux pas m'en empêcher.
- Peut-être. Pourquoi ?
- Je vais passer avec ma soeur.
- Si elle te ressemble, elle est la bienvenue.
- Et sinon ?
- J'irai faire un tour.
- Abruti
#Discussion entre Hunter et Tay.
Le bruit de la porte d'entrée nous parvint, immédiatement suivi de la voix de Hunter.
Les yeux verts de Daemon se firent brillants. Il tendit la main vers moi, les doigts écartés, mais il ne toucha ni les lasers, ni la porte.
— Je t’aime Katy. Depuis et pour toujours, dit-il d’une voix voilée par l’émotion, par la panique. Je reviendrai te chercher. Je reviendrai…
Les portes d’urgences se verrouillèrent dans un bruit étouffé.
— Je t’aime, lui dis-je.
— Quoi ? m’exclamai-je, les joues rouges.
Un léger sourire étira les lèvres de Daemon.
— Du calme, Kitten. Sinon, je vais devoir te trouver une pelote de laine pour t’occuper.
L’agacement m’envahit.
— Ne joue pas au plus malin avec moi, connard.
— Vampire ou humain, peu m’importe. Sarren aurait pu te forcer à tuer une centaine d’hommes, ça n’y aurait rien changé. Je serais quand même revenue vers toi. Et tu te trompes. Tu es plus fort que tu ne le crois. C’est toi qui m’as appris que l’humanité vaut le coup qu’on s’y accroche, qu’elle vaut qu’on se batte pour elle bec et ongles. Tu m’as toujours dit que j’étais davantage qu’un monstre. Eh bien, maintenant, tu vas devoir te le prouver à toi-même. Mais je serai là. Je ne te laisserai pas tomber.
-Je ne fais rien de tel/
-Alors il n'y a pas de carottes sur cette fourchette ?
J'ai regardé les petits morceaux orange.
-Eh bien...si...
Il attendait, sourcils haussés.
-Hmm...Je suppose que je me suis dit que les légumes ne vous feraient pas de mal.
J'ai baissé les yeux sur l'assiette. Jusque-là, je regardais la présentatrice à la télévision, en me demandant quelle tête j'aurais si je me teignais les cheveux de la même couleur qu'elle.
-Hein ? Qu'est-ce que vous racontez ?
-Vous en avez écrasé un peu pour dissimuler dans la sauce. Je vous ai vue le faire.
J'ai rougi. Il disait vrai.
Lasse, elle lâcha un petit rire :
— Idiot. Je suis déjà à toi.
Il soupira de satisfaction, puis ajouta :
— C’est tout ce que je voulais entendre."
Un peu embêté de ne pas comprendre, il fixa l’argent pendant quelques secondes avant de reporter son regard sur elle :
— Pardon ?
— Qu’est-ce que tu ne comprends pas ? Je t’offre trois cent cinquante dollars pour passer la nuit avec toi, c’est évident, il me semble ! Et n’essaie pas de négocier davantage ! C’est à prendre ou à laisser !
Dieu du ciel ! Elle voulait l’engager… comme une pute ? Était-ce une façon de le punir ou simplement un prétexte pour se jeter au lit avec lui ? Dans les deux cas, il était prêt à jouer le jeu. Il reporta son regard sur la liasse de billets et finit par le prendre entre ses doigts. Le sourire de Victoria se confirma.
— En général, je prends cinq cents quand c’est pour la nuit, dit-il en paraissant déçu de la somme.
— Il est plus de dix heures. Et si tu es doué, je t’offrirai peut-être un bonus.
Il sourit et se remémora le nombre de fois où il avait dû négocier pour une femme avant d’ajouter, en retenant son rire :
— Je t’avertis, il y a un supplément pour la sodomie.
Elle soupira d’énervement et ouvrit son portefeuille :
— Combien ?
— Cent.
La moue tirée, elle sortit deux billets de vingt et les tendit dans sa direction :
— C’est tout ce que j’ai. Et t’as intérêt à être efficace, sinon…
Elle laissa sa menace en suspens et il arracha les billets de ses mains pour les joindre aux autres. S’il n’en tenait qu’à lui, il se serait jeté sur elle sur le champ."
– C’est quand même dangereux…
– C’est dangereux de conduire, Vic. On a beau prendre toutes les précautions possibles, on ne peut pas tout contrôler. Le seul fait de vivre est risqué, et tout le monde meurt un jour ou l’autre. Alors tu devrais profiter de la vie avant que ton heure arrive.