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Commentaires de livres faits par Johanne24

Extraits de livres par Johanne24

Commentaires de livres appréciés par Johanne24

Extraits de livres appréciés par Johanne24

date : 08-01-2011 par x-Key
Le roi des fous, au lieu de porter une camisole de force, disposait du sang des peuples pour alimenter le jeu de ses démences.
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Je cours tout seul. C'est le meilleur moyen pour être toujours en tête. Moi, je suis heureux d'arriver le premier, et personne n'est triste d'arriver après moi.
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Si j'avais été quelqu’un d'autre, je serais peut-être devenu mon copain.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Il y a un petit truc que je voudrais mettre au point avec vous...Parce qu'à la longue ça devient très désagréable pour moi ! J'aimerais que vous perdiez l'habitude de lire pendant que je parle.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Il parait que notre cerveau ne fonctionne qu'à 50 pourcent de ses capacités. Je ne le croit qu'à moitié.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Au fond...
Si le phonographe avait été en cuir et si une équipe de onze joueurs essayait de l'envoyer dans le but de l'équipe adverse en tapant dessus avec le pied, Edison n'aurait pas inventé le phonographe mais le football.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
[...] je me racontais des histoires, et je me promenais au bord du parc Borély, qui est un sorte de parc de Saint-Cloud, en bout du Prado de Marseille.
Le jeudi et le dimanche, ma tante Rose, qui était la sœur aînée de ma mère, et qui était aussi jolie qu'elle, venait déjeuner à la maison, et me conduisait ensuite, au moyen d'un tramway, jusqu'en ces lieux enchanté.
On y trouvé des allées ombragées par d'antiques platanes, des bosquets sauvages, des pelouses qui vous invitaient à vous rouler dans l'herbe, des gardiens pour vous le défendre, et des étang où naviguaient des flottilles de canard.
On y trouvait aussi, à cette époque, un certain nombre de gens qui apprenaient à gouverner la bicyclette : le regard fixe, les mâchoires serrées, ils échappaient soudain au professeur, traversaient l'allée, disparaissaient dans une fourré, et reparaissaient, leur machine autour du coup. Ce spectacle ne manquait pas d’intérêt, et j'en riais au larmes. Mais ma tante ne me laissait pas longtemps dans cette zone dangereuse : elle m'entrainait -la tête tourné en arrière- vers un coin tranquille, au bord de l’étang.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
-Tu connais la vérité au sujet des aurores boréales ?
La petite Dee, qui s'était installée dans le giron de sa mère, fit signe que non, ses boucle rebondissants comme des ressorts.
[..]
-Depuis la nuit des temps, les gens ont imaginé des tas d'explications. Certains pensaient que les aurores polaires étaient de grands feu dans le ciel ou des oiseaux gelés en pleins vol. La plupart des gens aujourd'hui croient que c'est la lumière du soleil qui s'adonne ici à un petit jeu qu'elle ne s'autorise pas ailleurs. Mais, tout ça, c'est des sornettes.
[..]
-La véritable histoire des aurores boréales est la suivante, commença Leila en se frottant les mains devant le feu. Il y a des milliers et des milliers d'années de cela, elles n'existaient pas le moins du monde. En ce temps là, les habitants de la planète menaient tous des vies similaires. Ils chassaient pour subsister, formaient des familles et des tribus. Ils se levaient avec le soleil et se couchaient en même temps que lui.
"Puis vint une fille, poursuivit Leila, qui voyait que l'horizon s'élargissait, que la vie se compliquait. On construisait des bateaux qui descendaient des rivières jusqu'à des endroits inconnus. On se mettait à peindre, à écrire, à faire de la musique.
"Cette fille comprenait que son existence pouvait prendre différents chemins et s'inquiétait à l'idée de s'être engagée sur la mauvaise voie. Et si elle voulait être aventurière ? Et si elle était vouée être peintre, mais que personne ne lui donnait jamais de pinceau ? Toute la journée, elle réfléchissait aux autres vies qu'elle aurait pu vivre.
[..]
-Toutes ces idées entravaient la fille, lestaient son corps. Ses pieds se firent si lourd que c'est à peine si elle pouvait marcher. Pas moyen de lever les bras pour porter une cuillère à sa bouche. Le champ des possibles commençait à lui peser sur les poumons, rendant sa respiration difficile.
"Ses parents, inquiets, firent venir le médecin de la tribu. Mais il ne sut pas dire quel était son problème. Tout le monde vint la voir, mais personne ne savait dire ce qui la plombait autant. Plus les gens venaient, plus elle se sentait mal.
"Le problème, c'est qu'elle voyait la même chose se passer chez les autres. Toutes les vies que personnes ne vivaient -le prof avec un cœur de guerrier, le paysan avec l'imagination d'un écrivain. Le temps passa. À chaque visiteur, son cas s’aggravait. Elle aurait voulu leurs dire ce qui lui arrivait, mais sa langue était trop lourde pour articuler le moindre mot. Et, un jour, c'en fut trop. Il y avait trop de vies pour que la fille puissent les garder toutes à l’intérieur d'elle-même.
-Que c'est-il passé ? interrogea Dee, se penchant depuis les genoux de sa mère.
-Il y eu un éclair, dit Leila en ouvrant sa main, paume en l'air, comme son père l'avait fait en lui racontant l'histoire. L'éclair le plus lumineux qui avait jamais frappé la Terre, et il emporta la fille et toutes les vies qu'elle renfermaient jusqu'au ciel. Voilà ce que sont les aurores boréales. Toutes les vies que nous ne vivons pas. Pas juste celles de cette fille, non, celles de tout un chacun.
"Selon la légende, la première fois que tu vois ces lumières qui dansent, elles te révèlent ta voie. "
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Tu pénètres dans une vaste cour lumineuse encerclée de chapiteaux. Des allées qu serpentent tout autour t'éloignent du centre, t'entraînant dans d'invisibles mystères constellés de lueurs scintillantes.
Des vendeurs ambulants circulent parmi la foule qui t'entoure, offrant des rafraichissements et des curiosités, des créations parfumées à la vanille, au miel, au chocolat ou à la cannelle.
Non loin, une contorsionniste en costume noir étincelant se tort sur une estrade, son corps plié dessinant d'impossibles figures.
Un jongleur lance très haut des globes noirs, blanc et argent qui semblent planer un instant avant de retomber dans ses mains, sous les applaudissements des spectateurs fascinés.
Le tout baigne dans une lumière chatoyante qui émane d'un grand feu de joie brûlant au centre de la cour.
En t'approchant, tu vois qu'il est installé dans un vaste chaudron noir, posé en équilibre sur des pieds griffus. Le haut du chaudron se divise en longues volutes de fer forgé qui semblent avoir été fondues et étirées comme du caramel.
Le fer forgé se recourbe sur lui même et s'entremêle aux autres boucles, formant une cage.
Les flammes apparaissent das les interstices et s'élèvent légèrement au-dessus. Seul le fond est sombre, si bien que l'on ne distingue pas si c'est du bois, du charbon ou tout autre chose que l'on brûle.
Les flammes qui dansent ne sont ni jaune ni orangées, mais d'une blancheur de neige.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
François Blais s'intéresse surtout aux bulletins d'information, et moi, aux pubs. Je trouve que la pub me renvoie une image de mon avenir très peu réjouissante.
Exemple n°1 : Un prince veut embrasser une princesse, mais celle-ci préfère dormir parce que son matelas est confortable.
Exemple n°2 : Un homme aime sa petite amie parce qu'elle lui offre une télé.
Exemple n°3 : Des filles dansent comme des malades parce qu'elles ont une serviette hygiénique qui ne fuit pas.
Et je me questionne particulièrement sur celle qui est diffusé en ce moment.On voit deux mariés qui sont pressés de dire leurs souhaits pour sauter dans leur voiture. Dans mon imagination, je remplace la tête des mariés par celle de Nicolas et moi (même si leur happy end est de monter dans une voiture).
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Samedi 13 janvier
Ma mère : Tu crois qu'on a besoin d'un humidificateur ?
Nous sommes au super marché depuis au moins une heure, alors que nous étions entré ici pour acheter du savon. Je ne sais pas ce qu'il se passe dans la tête de ma mère quand elle entre dans un super marché, mais elle devient carrément folle. Depuis que nous sommes arrivés, elle a acheté trois millions (je n'exagère pas du tout) de trucs. Nous n'avons pas un savon, mais au moins dix, de dix parfums différents parce que ma mère trouve que c'est bien de "varier", car on se lasse d'une odeur de savon. Ensuite, elle a vu du papier de toilette en promo et on a décider d'en acheter six paquets "pour faire des réserves" (comme si elle préparait un abri anti nucléaire ou un truc du genre), elle a acheté un nouveau balai (alors que le notre est en parfait état surtout parce que c'est ma tâche et que je ne m'en sers pas si souvent, on peut dire qu'au lieu de faire le ménage avec le balai je ménage le balai. Hi hi ! Je suis tellement spirituelle !). Le pire, c'était dans le rayon de produit de beauté, quand la vendeuse lui a donné pleins d'échantillons. (Ma mère se sent mal de ne rien acheter à quelqu'un qui lui donne des choses, alors elle achète presque tous les produits qu'on lui a fait essayer. Elle fait la même chose à l'épicerie lorsque les gens lui font déguster de nouveaux mets. Elle adore quand il y a des dégustations, mais elle est incapable de partir sans acheter le produit.) Bref, six paquets de papier toilette, vingt-quatre étuis de mouchoirs, deux démaquillant, une crème de jour avec la crème de nuit assortit, une boîte de teinture (au cas où sa coiffeuse serait en congé de maternité ou ferait un burn-out) et deux bouteilles de shampoing plus tard, elle est devant l'humidificateur à ce demander si notre environnement est assez humide.
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date : 17-02-2016 par Miss-Charley
-Papa, pourquoi es-tu si vieux ?
En entendant cela, il a haussé les sourcils, qui ont formés comme deux petits parasols à moitié déployés au-dessus de ses yeux. Il a poussé un grand soupir, puis il a dit :
-Je ne sais pas.
Je me suis tournée vers ma mère, elle m'a lancé un regard signifiant : je t'expliquerai plus tard. Le lendemain, sans dire un mot elle m'a prit le main et nous avons descendu la colline, en direction du village. Nous avons prit un chemin menant à un cimetière, dans les bois. Elle m'a conduite devant trois tombes, dans un coin, avec trois pieux blancs couverts d'inscriptions.[...]Ma mère me les a montré du doigt :
-"Natsu, épouse de Sakamoto Minoru."
Sakamoto Minoru était le nom de mon père. [...] Elle m'a désigné de pieu suivant : "Jinichiro, fils de Sakamoto Minoru mort à l'age de six ans, dans le dix-neuvième année de l'ère Meiji", puis le dernier pieu, identique au précédent, hormis le nom, Masao, et l'âge, trois ans. Il me fallut un petit moment pour comprendre que mon père avait déjà été marié, il y avait de ça bien longtemps, et que toute sa famille était décédée.
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-Ouh là là, ça pue pire qu'un poulet pourri ici !
-T'as qu'à jeter un sort de senteur odoriférante et parfumée, Pilipip. Celui à la framboise n'est pas mal.
-Et toi tu t’empresserais de raconter au grand Boulouakoulouzek que j'ai gaspillé un sort pour rien ! Faux frère !
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BOUM ! BOUM !
[...] L'oncle Vernon entra dans la pièce en glissant par terre. [...]
- Qui est là ? cria-t-il. Je vous préviens, je suis armé !
Il y eut un instant de silence, puis...
CRAAAAAC !
On cogna sur la porte avec tant de force qu'elle fut arrachée de ses gonds et tomba à plat sur le sol dans un fracas assourdissant.
Un véritable géant se tenait das l'encadrement. Son visage était presque entièrement caché par une longue crinière de cheveux emmêlés et par une grande barbe broussailleuse, mais on voyait distinctement ses yeux qui brillaient comme deux scarabées noirs au milieu de ce foisonnement.[...]
-Si vous aviez une tasse de thé, ce ne serait pas de refus, dit le géant. Le voyage n'a pas été facile.
Il s'avança vers le canapé où Dudley était resté assis, pétrifié de terreur.
-Bouge-toi un peu, gros tas, dit-il.
Dudley poussa un petit cri et courut se réfugier derrière sa mère, tout aussi terrifiée, qui se cachait elle-même derrière l'oncle Vernon.
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Dimanche 23 octobre
La guerre est officiellement déclarée avec ma mère ! Cet après-midi elle est sortit et on s'est dit "bye" totalement froidement ! Après son départ j'ai remarqué que c'était le bordel. Habituellement, je ne le remarque pas tant que ça, mais étant donné son obsession pour la propreté, ça me rend un peu plus, disons, observatrice. Alors j'ai pris des post-it et j'en ai placé partout dans la maison, question d'aider sa mémoire à court terme visiblement défectueuse et de répondre à ses questions, à savoir " Qu'est-ce qui est à qui ?"
Post-it du divan : "A France, mais Aurélie l'utilise parfois."
Post-it de la tâche sur le divan : "Faite par Aurélie, onze ans, alors qu'elle avait mangé des pâtes ici."
Post-it du pot de vitamine C : "A Aurélie et à France pour prévenir grippe."
Post-it d'un kleenex par terre : "indéterminé"
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Mes résolutions pour la nouvelle année :
1) Aider d'avantage ma mère à faire le ménage. Elle me le demande souvent, et j'avoue que je pourrais me montrer un peu plus copérative... coopérative ? Voyons, comment ça s'écrit ?
2) Chercher les mots que je ne connais pas dans le dictionnaire. (Coopérative, voilà ! Déjà une résolution de tenue !)
3) Ne plus me disputer avec Kat. (Ce qui veut dire suivre les règles : ne pas dire qu'on a kiffé des chanteuses pop qui ne sont plus à la mode, ne pas dire que j'aime des films pour enfants genre la petite sirène et ne pas laisser de garçon briser notre amitié.)
4) Ne pas dire que je trouve Truch prétentieux, affecté, ampoulé, arrogant, crâneur, empathique, guindé, immodeste, inabordable, insolent, m'as-tu-vu, maniéré, orgueilleux, outrecuidant, pédant, pontifiant, poseur, précieux, présomptueux, ronflant, suffisant, supérieur, vain, vaniteux, vide. (Ma nouvelle résolution de regarder dans le dictionnaire est une super résolution ! Il a vraiment pleins de synonymes pour décrire Truch !)
5) Améliorer mes notes, je suis vraiment nulle en anglais. En maths. En géo. Et, en français, je suis bonne, vu que je suis dans le groupe des meilleurs, mais je suis la plus nulle du groupe. Faudrait que ça change. Peut-être faudrait-il que j'écrive plus de poèmes ?
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Dimanche 7 mai
Bonjour, je m'appelle Aurélie Laflamme, j'ai 14 ans, bientôt 15, et je suis une chocoholique.
J'ai cherché dans le dictionnaire, et ce mot n'existe pas. Le fait de devoir inventé un mot pour me définir constitue la cent millième preuve que la race humaine et moi, ça fait deux.
Je me suis récemment découvert une passion sans borne pour le chocolat. Pas que je n'aimais pas ça avant. J'aimais ça. Mais depuis quelques temps, ça dépasse l'explication rationnelle. Et manger du chocolat est devenu une de mes nouvelle, disons, habitude (c'est peut-être aussi une dépendance et/ou une obsession). C'est la faute de Pâques aussi, il y a du chocolat partout. Et en reçoit pleins (jamais trop) en cadeau. Le chocolat (et peut-être un peu les lapins dans le cadre précis de la fête de Pâques) à une grande importance dans notre société (et dans mon estomac, surtout- pas les lapins, le chocolat). Mmmm...le chocolat c'est tellement bon.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
-Si un ennemi se précipite sur vous, comment réagissez-vous ?
Les scénarios défilent dans ma tête. Je cherche une arme ? Je fais une feinte pour le désarmer ? Un croche-pied ? J'insulte sa mère ?
-Je prend mes jambes à mon cou. Aussi vite que possible.
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C'était la voix de Douce. Elle hennit une seconde fois, et tous les animaux se ruèrent dans la cour au grand galop. Alors ils virent ce que Douce avait vu.
Un cochon qui marchait sur ses pattes de derrière.
Et, oui, c'était Brille-Babil. Un peu gauchement, et peu accoutumé à supporter sa forte corpulence dans cette position, mais tout de même en parfait équilibre
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
« Il rit doucement, déboutonne ma blouse et écarte les pans du tissu. Je me retiens de ne pas frissonner. Franchement on ne peut pas m’en vouloir. Je ne suis pas hyperhabituée aux contacts physiques avec la gent masculine, encore moins avec un homme ultrasexy avec des airs de dieu grec en vacances. Sans parler du fait que je suis totalement dingue de lui et que ma poitrine est… disproportionnée par rapport au reste de mon corps. Pourquoi, mais pourquoi est-ce que je ne suis pas faite comme les filles normales de ce monde »

Extrait de : Alexiane de Lys. « Les ailes d'émeraude. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
"Du noir pour chasser la nuit tombée
Du blanc pour le deuil et le respect des morts
De l'or pour la robe de la mariée
Et du rouge pour jeter un sort.
De la soie blanche pour brûler nos défunts
Des bannières bleues pour le retour des égarés
La couleur flamme pour l'enfant nouveau-né,
Et orange encore pour laver nos péchés.
Le gris pour le savoir qu'il faut taire
L'ivoire pour ceux qui ne vieilliront pas,
Le safran pour éclairer la marche de la victoire
Le vert pour soigner nos cœurs las.
L'argent pour nos tours ancestrales
Et le bronze pour invoquer le mal."
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date : 24-05-2015 par Cambee
(A Kurt Cobain)
Quand elle (sa fille) aura besoin de toi, tu ne seras pas là. Tu t'en fous où quoi ? Comment as-tu pu lui faire ça ?
Tu sais ce qu'elle aura à la place d'un père ? Ta dernière lettre. Tu y a pensé, en l'écrivant, que ces mots allaient assombrir sa vie ? "J'ai une femme divine qui respire l'ambition et la compassion, et une fille qui me rappelle trop ce que j'ai été, qui déborde d'amour et de joie, qui embrasse tout ceux qu'elle croise car, pour elle, tout le monde est bon et personne ne peut lui faire de mal. Et ça me terrifie, presque à me paralyser. Je ne supporte pas l'idée que Frances devienne ce que je suis devenus, un rocker minable, autodestructeur et mortifère."
As-tu pensé en écrivant ces mots, en te donnant la mort, que tu lui as volé l'innocence que tu aimais chez elle ?
Qu'à jamais tu as changé ce cœur emplie de joie ? Tu as été le premier à lui faire du mal. Tu es celui par qui le danger est entré dans sa vie.
Je ne sais pas pourquoi je t'ai écris toutes ces lettres.
Je pensais que tu avais compris.
Mais tu es parti, toi aussi.
Comme les autres.
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Je croise un type, la trentaine, qui m'adresse la parole, mais je ne comprends rien.
J'enlève un écouteur et j'appuie sur << pause >>.
Moi: Quoi ?
Type: You speak English ?
Bon. Il parle anglais.
Moi: Yeah, a little bit.
Je parle un peu. Du moins, selon Kat. Et mon inconscient.
Type: Blan blang blang... Jump cable... Blang blang blang.
Il répète << jump cable >>. Je ne comprends rien.
Moi: Slowly, please.
Il parle plus vite que La Fouine rappe. Je vais lui en chanter, moi, du rap en français, pour voir s'il va tout comprendre !
Il commence à s'énerver. Il fait de grands gestes et répète << blaaang blaaaaang blaaaaang >>.
Bon, je ne comprends rien, mais il faut juste que je me concentre et que je me connecte avec mon inconscient bilingue et je vais tout comprendre.
Le type a l'air symphatique. Zéro menaçant. Jump, ça veut dire << saute >>. Cable, ça veut dire << câble >>. << Sauter par-dessus des câbles. >> Il me fait peut-être part de son métier. Il travaille pour le Cirque du soleil ou quelque chose du genre et il veut simplement discuter et il trouve frustrant que je ne comprenne pas ce qu'il dit. À moins que, puisqu'il travaille pour le Cirque du soleil et que c'est quand même un cirque mondialement connu, il ait un peu la grosse tête et qu'il trouve totalement inconcevable que je ne le reconnaisse pas.
Moi: Aaaaah ! (avec l'accent anglophone) Cirque du soleil ! Yeah ! You jump (je saute sur place). Coooool ! I didn't recognize you. Because of (je pointe mon visage) the make up.
Type: blang. Blang. Blang. Jump. Cable.
Puisqu'il perd vraiment patience, je conclus que j'ai mal compris. Et qu'il me fait sûrement une blague qui a un rapport avec le fait de sauter par-dessus des câble ! Il n'y a rien de plus irritant que de tenter de faire une blague à quelqu'un (surtout si elle est hilarante) et que la personne ne la comprenne pas. Et c'est pour ça qu'il est sorti de ses gonds. Il faut simplement que je rie de sa blague et il sera content et, surtout, rassuré sur son talent de conteur. Et il me laissera tranquille.
Moi: HA HA HA HA HA HA HA HA !!!!!
Type: Ok, bye bye.
Moi: Ok, byyyye ! Thank you for the good joke ! HA HA HA HA ! Jump cable ! Very funny !
Et je lui fais un signe avec le pouce en l'air.

9h45

Je monte dans la voiture et François se met à rouler. Il me demande:
-À qui tu parlais ?
Moi: À un monsieur vraiment symphatique !
Ma mère: Ah oui ? Tu sais que je n'aime pas trop que tu parles à des inconnus.
Moi: Je n'ai plus dix ans ! J'ai quinze ans.
Ma mère: Quand même... Ne le refais plus. Là, on te surveillait, mais ne fais jamais ça si tu n'es pas dans un lieu public, où quelqu'un peut t'enlever ou quelque chose du genre. S'il t'arrivait quoi que ce soit, je...
Moi: Oh ! Maman ! Il m'a simplement raconté une super blague ! Peut-être que vous la connaissez et que vous pouvez me l'expliquer. Parce que... à cause de son accent, j'avais du mal à saisir.
François: Laquelle ?
Moi: Oh, ça parlait d'un mec qui saute par-dessus des câbles...
François: Quoi ?
Moi: C'était en anglais. Il faut être parfaitement bilingue pour comprendre.
François: Je suis bilingue. Qu'est-ce qu'il a dit, exactement ?
Moi: Ben... Il disait << jump cable >>, << jump cable >>.
François (en se mettant la main sur la bouche): Oh non ! Qu'est-ce que t'as fait ?
Moi: J'ai ri, pourquoi ?
François: Jump cable, ce sont des câbles de démarrage ! Il était en panne de voiture et il avait besoin d'aide !
Ma mère: Ouuuuaaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ! (À l'infini jusqu'à ce qu'elle soit obligée de se remettre du mascara.)
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Elle s’impatienta :
— Vous comptez rester planté là, à m’observer toute la journée ?
— Pourquoi pas ? Je ne tombe pas tous les jours sur une nymphe des bois à demi nue perchée dans un arbre.
Caitrina sentit le feu lui monter aux joues :
— D’abord, je ne suis pas à moitié nue ; ensuite, si vous vous donniez la peine de lever le nez, vous constateriez que je ne suis pas perchée, mais coincée, et que j’ai besoin d’aide.
Sa réponse acerbe sembla réjouir l’inconnu qui continuait de l’observer d’un air amusé.
Le scélérat se moquait d’elle !
Peu habituée à être traitée de la sorte, surtout par un homme, Caitrina lui lança un regard assassin. Certes, la situation était comique, mais il aurait dû avoir la courtoisie de ne pas le montrer. Elle se sentait maintenant ridicule. Mais ce goujat ne perdait rien pour attendre ! Dès qu’elle serait de nouveau sur la terre ferme, elle lui dirait sa façon de penser.
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
Alec remonta ses genoux sur sa poitrine et regarda pensivement Jace.
"Je sais," dit-il. "Je ne suis pas jaloux. J’ai toujours su, depuis le début, que tout le monde pensait que tu étais mieux que moi. Mon père le pensait. L'’Enclave le pensait. Izzy et Max te regardaient comme le grand guerrier qu’ils voulaient devenir. Mais le jour où tu m’as demandé d’être ton parabatai, j’ai su que tu voulais dire que tu me faisais suffisamment confiance pour recevoir mon aide. Tu me disais que tu n’étais pas ce guerrier solitaire et autonome capable de tout faire tout seul. Tu avais besoin de moi. Donc, j’ai réalisé qu’il y avait au moins une personne qui ne pensait pas que tu étais meilleur que moi. Et cette personne c’est toi."
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Mamie et papi nous attendaient dans le salon, bien installés dans leur fauteuil ; ils ne nous avaient laissé que le canapé. A peine nous étions-nous assis que l’interrogatoire a commencé.
Papi : « Vous avez des idées sur votre avenir professionnel ? »
Avec un grognement, j’ai enfoui ma tête dans mes mains. C’était exactement ainsi qu’il avait commencé la conversation avec Justin. Et il n’allait pas s’en tenir là, évidemment.
Cole : « La fac de droit, pour entrer dans la police. »
Mamie : « Oh ! Je l’aime déjà plus que l’autre garçon ! »
Papi : « Bien, très bien. Maintenant, je vous propose de m’aider à finir cette phrase : “Quand une fille dit non, c’est…” »
Cole : « “… exactement ce qu’elle pense.” Je la laisse tranquille. »
Mamie : « Encore une très bonne réponse. Mais voilà une autre phrase à terminer : “Le sexe avant le mariage, c’est…” »
J’aurais mieux fait de me laisser dévorer par les zombies.
Cole : « “… du ressort du couple.” Ce qui se passe entre deux personnes ne regarde qu’elles, et personne d’autre ne doit s’en mêler. Y compris vous, vous m’en excuserez. »
Un long moment, papi et mamie sont restés interdits, mais ils ont fini par accepter cette réponse. Pour ma part, j’avais viré au rouge écrevisse le plus profond (enfin, je
suppose). Néanmoins, je trouvais la réponse de Cole extraordinaire.
Papi : « Je suppose que c’est de bonne guerre… Et que pensez-vous de l’alcool au volant ? »
Cole : « Je pense que c’est stupide. Voilà bien une chose dont vous n’avez pas à vous soucier quand je suis avec Ali : je ne bois pas. Et, si cela devait lui arriver à elle, je n’essaierais pas d’en profiter. Je la ramènerais chez vous. Vous avez ma parole : le plus important pour moi, c’est sa sécurité. »
— Moi non plus, je ne bois pas, suis-je intervenue. Et je ne commencerai jamais.
Mamie : « N’est-il pas charmant ? »
Papi : « Si, vraiment. »
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