Seras-tu lady, Gardénia ?
Auteur
- Barbara Cartland (Écrivain)
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Classement en biblio - 37 lecteurs
extrait
Ce soir-là, Gardénia resta dans sa chambre. Elle se sentait incapable de supporter la vue du baron. Le souvenir de son baiser restait encore marqué sur ses lèvres, et, bien qu'elle les eût frottées jusqu'au sang, elle ne pouvait oublier l'horreur et la honte qu'elle avait ressenties.
Afficher en entierCommentaires récents
Pas un de mes préférés, mais les personnage sont attachants. Et l'histoire nous prend dès le début. J'ai trouvé la fin un peu rapide, j'aurai préféré que le héros souffre un peu plus pour la reconquérir. Je suis restée un peu sur ma faim.
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Devenue orpheline, Gardenia arrive à Paris chez sa tante. Elle y découvre un mode de vie totalement aux antipodes du sien mais naïve comme elle est elle ne se rend pas compte de tout.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire et certains passages étaient peu crédibles mais cette romance se laisse lire en toute simplicité.
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Barbara Cartland fait de tres bon livrez, elle nous fait plonger dans un reve ou toutes les fille reve de cette histoire
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Une très belle histoire.Barbara Cartland sait bien nous faire rêver et nous faire plonger dans le livre en très peut de pages!
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Un bon moment de lecture, Barbara Cartland sait parfaitement nous faire rêver du prince charmant!
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Date de sortie
Seras-tu lady, Gardénia ?
- France : 2008-08-15 - Poche (Français)
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Résumé
Gardénia quitte Londres : orpheline, sans ressources, elle n'a pas d'autre choix que de demander asile à sa tante, la duchesse de Mabillon. Arrivant de nuit, dans ce Paris de la Belle Epoque, elle découvre l'hôtel de Mabillon brillant de tous les feux d'une fête somptueuse. Mais les convives sont si frivoles, si libertins... Et c'est à regret, semble-t-il, que sa tante Lily lui accorde l'hospitalité. Pour la candide Gardénia, le supplice commence : pourquoi lui adresse-t-on tant de propos et de regards audacieux ? Et pourquoi le séduisant lord d'Harcourt, un instant amical, ne lui témoigne-t-il plus qu'un mépris glacial ?
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